| Sujet: The hanging tree. (Rumer) Lun 14 Déc - 20:30 | |
| rumer isobel sweenage❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Rumer, c'est un volcan constamment en ébullition. C'est cette tornade qui dévaste tout sur son passage. Mais c'est aussi cette douce brise qui vient doucement caresser votre visage. Elle est difficile à comprendre, la Sweenage. Un instant, elle vous enveloppe dans une étreinte chaleureuse tout en caressant tendrement vos cheveux et l'instant d'après, elle s'époumone en vous hurlant dessus à n'en plus finir. C'est qu'elle a du mal à contrôler ses émotions. Elles l'envahissent et quand c'est le cas, elle ne sait plus comment réagir, même du haut de ses 28 ans. Alors elle se laisse emporter, incapable de se contrôler et elle explose de la même façon que le ferait une bombe à retardement. C'est un peu ce qu'elle est au fond. Une bombe à retardement prête à exploser au visage du Capitole. Téméraire comme elle l'est, il n'est pas rare qu'elle se mette en danger. Elle a toujours eu du mal à suivre les ordres quand ils n'allaient pas dans son sens et c'est bien ça qui fut le plus difficile en devenant soldate pour Coin ; apprendre à mettre de côté ses envies de vengeance pour exécuter un plan sans doute mieux dessiné que le sien. De toute façon, Rumer est prête à tout pour mettre fin à ce système pourri qui gère Panem. Même si cela veut dire se sacrifier. Si ça permet aux autres de mieux vivre, alors, ça en vaut la peine. Surtout qu'elle est pas seule, Rumer. Elle a sa famille derrière elle. Avalon. Billie. Julian. Et rien que ces trois petits noms suffisent à la motiver et à l'inciter à s'engager davantage encore dans la cause rebelle. Parfois, la vie dans le District 9 lui manque. C'était pas facile pourtant. Bordel, c'était même l'enfer. Une véritable misère. Et pourtant, ça semblait bien moins compliqué que la situation actuelle. Parce que maintenant, sa vie, c'est un vrai foutoir.
about games and relative.
➺ COMMENT VOIS-TU TA MORT ? Inévitable. Prématurée. Elle finira bien par arriver un jour ou l'autre. Probablement dans pas si longtemps que ça, d'ailleurs. C'est pas du pessimisme mais du réalisme. Dans le monde dans lequel on vit, à moins d'être né au Capitole, l'espérance de vie est pas très élevé en général. Quand en plus, on se livre à des activités aussi dangereuses que les miennes.. On se fait facilement une raison. Je dis pas que j'ai envie de mourir ; évidemment, je veux vivre. Seulement, je suis préparée à l'éventualité d'une mort prématurée. Et croyez-moi, quand on réalise que ce n'est rien d'autre que l'ultime étape de la vie, on l'appréhende avec beaucoup moins de peur.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Pour ma famille. Je préfère mourir plutôt que perdre l'une de mes sœurs. De toute façon, si c'était le cas, je le supporterais pas. Quand j'ai cru perdre Billie, mon monde s'est effondré et si il n'y avait pas eu Avalon, je sais pas vraiment ce que j'aurais fait. Mais je me devais d'être là, pour elle. Alors si je devais mourir pour leur permettre de vivre, je le ferais sans la moindre hésitation. Et si il le faut.. Je suis prête à mourir au combat pour défendre mes idéaux. Sans doute ma mort ne servirait pas à grand-chose. Et pourtant, je préfère mourir en luttant pour mes convictions plutôt que mourir à genoux.
➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ? A l'étroit. Le grand air me manque. Seulement, je suis prête à faire ce sacrifice, pour la cause. Parce que je sais que justement, quand on aura terminé avec tout ça, on aura plus besoin de se cacher et on aura tout le grand air qu'on voudra. Mieux encore, on sera libre et ça, ça vaut bien la peine de vivre dans ces sous-terrains trop étroits et étouffants. Étrangement, je me sens quand même à l'aise là bas. Parce que même si on doit se cacher de l'intérieur, on a pas à se cacher entre nous. On sait tous ce pourquoi on est là, on a tous le même avis. Je prétends pas que tout est parfait dans le meilleur des mondes mais je m'y sens quand même relativement bien, tout en attendant à chaque fois avec hâte les missions qui m'inciteraient à retrouver l'extérieur.
➺ SERAIS-TU CAPABLE DE TUER POUR PARVENIR A TES FINS ? Oui. Et honnêtement, ça me fait peur de ne même plus hésiter. Je me rappelle encore du tout début, lorsque je pensais encore pouvoir mener ce combat sans avoir à m'en prendre à qui que ce soit. Ce que je pouvais être naïve. J'ai rapidement du me rendre à l'évidence ; malgré toute la bonne volonté du monde, si je voulais être efficace et survivre, alors je devais blesser. Voir même tuer. Alors oui, j'ai déjà tué au nom de cette liberté que je revendique. Bordel, ça me rend malade à chaque fois. N'allez pas croire que je suis une machine de guerre ; si je peux éviter de tuer, j'évite. Mais c'est déjà arrivé quelques fois.. Et je me rappelle de chaque victime, de chaque pacificateur avec une précision déconcertante. De leur visage. Des nuits sans sommeil qui suivaient, à chaque fois. De ma culpabilité, toujours aussi présente. Des cauchemars qui me hantent lorsque je pense à ces vies ôtées. Et je me dégoûte un peu plus dans ces cas-là. Pourtant, je dis rien. Je fais comme si ça m'était égal, comme si c'était normal alors qu'au fond, j'ai juste envie de hurler tellement ça me bousille de l'intérieur.
➺ QUEL SERAIT LE PÉCHÉ CAPITAL QUI TE REPRÉSENTERAIT LE MIEUX ? La colère. J'ai l'impression d'être en colère constamment. C'est comme si ça bouillait en moi, encore et encore, en attendant de remonter à la surface et d'exploser. J'arrive pas vraiment à contrôler ce sentiment. Il m'envahit vague par vague et moi, je me laisse aller, m'emportant sans doute un peu trop souvent. C'est tellement facile de se laisser envahir de la sorte. C'est beaucoup plus facile que de pardonner en tout cas. J'envie ceux qui ont cette force là. Moi, c'est pas mon cas. Loin de là.
JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est un bien précieux qu'il ne faut pas gaspiller. DU COUP, MON NOM N'A aucune CHANCE D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE soldate pour Coin ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime ce que je fais ; je me sens utile et j'essaye de changer les choses comme je le peux. JE SUIS DANS LE 13ème district actuellement, même si je suis née dans le 9ÈME DISTRICT. AYANT 28 JE ne peux heureusement plus PARTICIPE(R) AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende la prochaine moisson, dégoûtée à l'idée que d'autres vies seront sacrifiées . ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story.
« Ça va aller. » chuchota-t-elle au creux de l'oreille d'Avalon. Elle serra le corps frêle de sa petite soeur contre elle, la berçant doucement. Ses sanglots commençaient seulement à se calmer tout comme ceux de son père qui caressait tendrement le dos d'Avalon dans un geste réconfortant. Rumer, elle, n'avait pas pleuré. Pas encore du moins. Et pourtant, elle était tout simplement anéantie par la perte de Billie. Elle avait assisté à la mort de sa cadette, impuissante. La blonde avait eut envie de hurler sa rage et, encore maintenant, elle en ressentait le besoin. Sauf qu'elle n'était pas seule. Elle avait empêché de justesse Ava d'assister au spectacle sordide du décès de leur sœur. Et, depuis, elle prenait soin d'elle, la consolant comme elle le pouvait. Elle devait prendre soin de son père aussi, déjà bien trop abîmé par la vie. Survivre à son enfant devait probablement être la pire épreuve qui soit. Alors Rumer prenait sur elle, encore et encore, remplissant le rôle de cette mère partie bien trop tôt. Quand Ava se fut enfin endormie dans ses bras, elle alla la déposer dans son lit avec l'aide de son père. Ce dernier déposa un baiser sur le front de l'aînée avant de la serrer dans ses bras pour ensuite aller se coucher à son tour. Enfin, Rumer put rejoindre sa chambre. Et c'est seulement à ce moment là, alors qu'elle était seule, qu'elle se laissa aller, s'effondrant en sol et éclatant en sanglot. La jeune femme avait encore ce désir de hurler ; de hurler au monde entier sa peine ; de hurler aux visages des Capitoliens qui raffolaient tant des Hunger Games son dégoût ; de hurler au président Snow sa rage. Et pourtant, elle ne hurla pas. Elle était consciente que si elle faisait trop de bruit, sa sœur et son père risqueraient de se réveiller. Jamais elle ne supporterait qu'ils la voient dans un tel état de faiblesse. D'autant plus qu'elle devait être forte pour eux. L'un des Sweenage devait bien le rester, au moins en apparence. Mais là, dans l'espace confiné de sa chambre, elle pouvait bien se permettre de laisser tomber sa carapace. Elle continua à sangloter des heures durant, jusqu'à ce que toute force ne se soit échappée de son corps. Billie, sa Billie. Elle était tellement jeune et avait encore tellement de choses à vivre. Elle aurait préféré mourir mille fois à sa place plutôt que devoir la perdre. C'était comme perdre une partie d'elle-même ; la meilleure partie d'elle-même. Et c'est seulement lorsque les premiers rayons du soleil vinrent caresser son visage que Rumer se calma peu à peu. Elle était épuisée, épuisée par cette nuit sans sommeil et épuisée par tous ces sanglots. Tellement épuisée, même, qu'elle n'avait plus la force d'être triste. A la place, un sentiment vicieux s'insinuait progressivement en elle, se faisant une place jusque son cœur. La haine. Celle du Capitole. Celle de tous ceux qui avaient dirigé les yeux. Celle de ceux qui avaient simplement regardé en se délectant de chaque moment. Mais aussi et surtout celle du Président Snow. C'est alors que la blonde comprit. Elle ne devait pas laisser la tristesse l'envahir ; elle devait laisser la colère l'emporter. Rediriger toute sa peine contre les véritables responsables. Contre le Capitole et Snow. Et ainsi, elle finirait par obtenir sa revanche. Pour Billie. Et pour tous les autres, tombés pour qu'une poignée d'êtres abjectes puissent se divertir. Ils allaient tous tomber, un par un.
« Tu veux qu'on en parle ? » Haussement de sourcil. Parler. Ça a jamais été son fort, à Rumer. Elle a du mal avec les mots. Elle est trop maladroite avec eux et bien souvent, elle finit par dire l'inverse de ce qu'elle pense. La preuve encore aujourd'hui. Elle ignorait pourquoi elle avait réagit de la sorte. Après tout, Billie était en vie. Elle aurait du sauter au plafond, l'enlacer et lui dire à quelle point elle l'aimait. Sauf qu'évidemment, la blonde en avait fait autrement. D'abord, il y avait eu la joie. Et, rapidement, en à peine quelques secondes, ce sentiment si agréable s'était transformé en colère, ce sentiment qui lui était si familier désormais. Les horreurs hurlées au visage de sa petite sœur n'avaient de cesser de la hanter. La rebelle avait été tout simplement horrible avec sa cadette. Et Avalon, qui avait assisté à la scène, médusée. Adieu les regards bienveillants et maternels ; adieu les étreintes tendres, adieu les sourires heureux et encourageants. Sur le moment, elle n'était plus cette figure maternelle qui les avaient élevés. Non, elle s'était transformée en animal blessé qui, en guise de défense, ne trouvait rien mieux de faire qu'attaquer. Les accusations lancées à Billie étaient horribles. Quel genre de sœur pouvait accuser sa cadette d'être la cause de la mort de leur père ? Elle lui avait reproché son absence, perçue comme un abandon sur le moment. Et maintenant qu'elle était calmée... Rumer se sentait tout simplement horriblement mal. Elle savait que ce n'était pas de sa faute ; que Billie n'avait pas eu le choix, autrement, elle serait revenue dès que possible. Pourtant, elle n'avait pas pu retenir ces mots et leur violence. Avalon ne l'avait probablement jamais vu aussi furieuse, même après toutes ces années passées toutes les deux suite à la mort de leur père, un an après les Hunger Games de Billie. Un soupire s'échappa de ses lèvres rosées. « T'étais au courant ? » C'était à peine un murmure, si bien que la blonde n'était pas sûre que Julian ait entendu. Elle leva le regard vers lui. Elle espérait qu'il n'ait pas été au courant pour Billie parce qu'elle n'avait pas la force pour un autre affrontement. Il secoua la tête et c'était assez pour la blonde. Elle le croyait et lui faisait suffisamment confiance pour ne pas remettre en doute ce qu'il lui disait. Si il avait su plus tôt, Julian lui en aurait parlé, elle le savait. « J'veux pas parler de ça. J'veux juste.. Dormir. » Dormir. Tout effacer. Tout oublier. Et peut-être, repartir à zéro demain. Lorsqu'il se leva du lit de camp de la jeune femme, celle-ci le rattrapa par le bras. « Tu peux .. Tu peux rester avec moi cette nuit ? » C'était sa première nuit dans le district 13. Il n'y avait rien de familier ici alors elle avait besoin de la présence rassurante de Julian à ses côtés. Julian, qui semblait savoir panser ses blessures sans même s'en rendre compte. Julian, qui rendait parfois le monde un peu moins moche. Julian, qui était probablement aussi abimé qu'elle. « Bien sûr. » Un léger sourire étira brièvement les lèvres de Rumer. Elle laissa le rebelle s'installer avant d'aller se blottir contre son torse, fermant les yeux quand les bras rassurants du jeune homme vinrent l'entourer. Elle allait dormir et demain, tout irait mieux. Elle ira s'excuser auprès de Billie et d'Ava, aussi. Et elle s'efforcerait de recoller les morceaux de cette famille brisée par le Capitole. Ça allait marcher, il le fallait.
« C'est des conneries tout ça ! » hurla-t-elle en balançant sa tasse contre le mur, juste à côté de la projection qui venait de leur présenter le discours du Président Deverell. Quelques personnes regardèrent dans sa direction, plus par curiosité qu'étonnement. Presque tout le monde au district 13 connaissait le caractère explosif de Rumer et, en plus de ça, nombreux étaient ceux d'accord avec elle. « Rumer.. » Son prénom, murmuré du bout des lèvres par Avalon, un peu comme une sorte d'avertissement ou d'incitation à se calmer. Sa cadette était bien moins impulsive qu'elle et essayait toujours de la calmer. Ça pouvait marcher, parfois, mais là, rien n'y faisait. « Quoi ? Ils nous prennent pour des cons, encore une fois ! Comme si on allait croire à toutes ces conneries ! » protesta-t-elle. Après tout ce qu'ils avaient vécu, la blonde peinait à croire les propos du politicien. Ce qu'elle voulait, c'étaient des preuves, réelles, concrètes. Et même avec ces preuves-là, Rumer continuerait à se méfier. Le Capitole pouvait bien avoir n'importe quel politicien à sa tête, ils se valaient tous. Aucun ne comprenait réellement la souffrance endurée dans les districts, aucun n'avait réellement du vivre dans de telles conditions et surtout, aucun d'entre eux n'avait perdu d'être chers à cause des Hunger Games, instaurés par ce même gouvernement. Alors comment les croire, après tout ce qu'ils avaient fait de néfaste à la population de Panem ? Non, Rumer ne comptait pas se laisser berner si facilement. Elle voulait lutter, encore et encore, jusqu'à ce qu'elle soit sûre que Panem soit entre les mains d'un gouvernement qui se soucierait vraiment de chaque habitant. Elle entendit un soupire s'échappait des lèvres de sa sœur. Avalon et elle peinaient toujours à s'accorder sur des sujets comme ceux-là et ceux, depuis les débuts de l'engagement de Rumer. Et même si elles essayaient de ne pas laisser ça se mettre entre elles, elles n'y parvenaient pas réellement. La tension était bien là, palpable, sans pour autant que l'une d'entre elles ne se décide à faire quelque chose pour y remédier. De toute façon, qu'y avait-il à faire ? Pas grand-chose. Alors que les mots du Président Deverell raisonnaient encore dans son esprit, la blonde croisa le regard de Julian. Aussitôt, celui-ci détourna le regard et quitta les lieux. Cette fois, ce fut au tour de Rumer de soupirer. Elle avait l'impression que toutes ses relations avec ses proches finissaient par se dégrader. Billie, avec qui les choses n'étaient pas vraiment comme avant. Avalon et leurs divergences d'opinion. Julian et cette distance qu'il instaurait entre eux, bien plus présente ces derniers temps qu'après leur rupture. Pourtant, Rumer essayait. Elle faisait de son mieux pour arranger la situation sans réellement y parvenir. Alors, elle se rattrapait à ce qu'elle savait faire. Se battre. Encore et encore. Dans l'espoir qu'un jour, la liberté soit reine à Panem.
reality is here.
Yo les gars, j'me présente je m’appelle Henry (je sais elle était facile celle-là Laura, j'ai 20 ans et je suis en lce anglais. Bon, j'ai pas vraiment lu les livres HG mais j'ai vraiment adoré les films donc je pense m'y mettre (quand j'aurais terminé tout ce que j'ai à lire pour les cours donc dans vingt ans ). Votre forum a l'air de tout défoncer et j'ai déjà trop hâte de jouer parmi vous, voilà voilà, bisous sur vos fesses FEATURING Teresa Palmer © COPYRIGHT we heart it.
Dernière édition par Rumer I. Sweenage le Lun 21 Déc - 1:08, édité 8 fois |
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Avalon R. Sweenage △ correspondances : 13212 △ points : 2 △ multicomptes : dely, ridley, dahlia △ à Panem depuis le : 23/04/2011 △ humeur : mélancolique △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : garde d'enfants
| Sujet: Re: The hanging tree. (Rumer) Lun 21 Déc - 16:19 | |
| Ta fiche est parfaite omg Je valide Tu viens d'être validé(e), mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent. Pour commencer, pour les vainqueurs et les membres ayant des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Si tu fais partie des potentiels tributs, va inscrire ton personnage dans les registres ici. Il faudra ensuite que tu recenses le métier de ton personnage ici. Si ton personnage est de la famille du maire de son district, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence. Il est tout à fait possible que ton bonhomme soit un rebelle. Nous avons mis en place un registre avec leur hiérarchie. Tu le trouvera ici. Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici. N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici. Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay
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