about games and relative.

(merci de répondre aux questions en suivant les indications de lignes. certaines questions sont seulement pour certains personnages, merci de supprimer celle(s) qui ne correspondraient pas au vôtre.)

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

J'imagine que je la vois avec fatalité. Il y a quelques années, je pensais être invincible. Qu'avec mes entraînements réguliers, ma capacité de survie et mon caractère, je serais capable d'être la meilleure et pouvoir survivre. Et puis un évènement m'a brutalement ramené à la réalité et j'ai compris alors que je n'étais qu'une petite fille trop faible comparée aux autres. Je ne suis qu'un pion impuissant, qui doit faire face à la réalité. C'est pourquoi aujourd'hui, je me contente de l'attendre. Ouais, j'attends chaque fois mon nom soit crié sur la place, et que je parte pour les Hunger Games. Je sais que je vais mourir, je sais que je ne pourrais jamais avoir d'enfants, aimer, grandir et mûrir. Mais qu'importe à présent, je suis préparée à tout ça.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Personne, et c'est là peut-être ma plus grande force. Mes parents m'ont toujours appris à ne pas me faire d'amis, et peut-être bêtement, je les ai écoutés. La seule personne pour qui j'étais prête à me sacrifier, est malheureusement décédée et je crois que c'est pour cela que je suis si... Froide? Invisible? Détruite? Je ne suis pas prête à mourir pour quelqu'un, peut-être parce que je crois au destin et qu'il ne faut pas le contrer. Ma survie avant tout, et puis c'est tout.

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

Je suis rapide et agile, ce sont mes deux plus grandes qualités, seulement parce qu'elles sont innées, et mon père a toujours dit que c'était mon don. Dès que j'ai appris à marcher, je ne pouvais m'empêcher de marcher tout le temps, courir après un papillon. A l'âge de cinq ans, j'étais déjà difficile à rattraper: peut-être est-ce dû à mon envie de fuir cette vie, à mon envie de courir après la vie. J'ai un autre talent, qui est le maniement de dagues: c'est l'arme qui a sauvé ma mère durant ces Hunger Games, et elle a voulu que j'apprenne à les utiliser en son honneur. Cela m'a pris des années, mais mon entraîneur a su me rendre parfaitement habile dans ce maniement, d'ailleurs j'apprécie particulièrement avoir une dague dans chaque main, m'offrant plus de possibilités.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Il me semble judicieux et respectueux de parler avant tout de ma mère, celle qui a gagné les jeux à peine âgée de quinze années. Il nous arrive de visionner tous les quatre -mes parents, mon petit frère et moi-même- ses jeux, et tout ce que je vois dans ses yeux, c'est la fierté. Fierté d'avoir gagné, d'avoir tué, alors que la plupart des personnes normales en sont sorties traumatisés. Oui, ma mère est une tueuse, cela ne fait pas de doutes et c'est d'ailleurs grâce à mon père qu'elle a su calmer ses envies de sang sur les murs.

Mais à cette question, je n'ai pas envie de parler d'elle, car le seul prénom qui me vient à l'esprit est Jasper. Mon meilleur et unique ami, celui que j'aimais plus que tout. On s'entraînait toujours ensemble, et d'ailleurs, il était bien plus fort que moi: pourtant, il ne me ridiculisait pas, il se contentait de me taquiner et ça nous faisait rire. Mon héros, mon idole, mon amour, mon modèle, ma vie, mon tout. Puis une année, il en a eu assez de tout cela, assez de cette pression pour être le meilleur et voulait le prouver à Panem tout entier: alors il s'est porté volontaire. Avec du recul, je sais que j'aurais dû me porter volontaire également, du haut de mes treize ans. J'aurais dû me tuer pour le laisser gagner, mais au moins il en serait sorti vainqueur, et brillant de succès. « T'en fais pas Nerys, je reviens bientôt. Je les tue tous, et puis je t'emmènerai avec moi à la tournée des vainqueurs. On sera jamais séparé, t'entends? Tout ira bien. » Mon erreur a été de trop l'estimer, de boire ses paroles en y croyant sans aucun doute: il était le meilleur, cela ne fait pas de doute.

Seulement voilà, au district deux, on nous apprend pas à la survie, et a rapidement eu des difficultés à trouver nourriture et eau à sa guise. Ses déplacements devaient plus difficiles, sa hache trop lourde, et durant les jeux, je lisais dans ses yeux son envie de se trancher la gorge pour ne pas se ridiculiser un peu plus longtemps. Puis on l'a tué, comme ça, une seule flèche et il était à terre. Après toutes ces années d'entraînement, ne méritait-il pas une mort plus glorieuse? Derrière mon téléviseur, moi, j'y croyais encore. Il m'avait promis qu'il reviendrait, et je le croyais, même s'il se vidait de son sens. Zoom avant sur les yeux peinant à rester ouverts, son corps tout tremblant puis il n'a prononcé qu'un mot. « Daenerys... » pour ensuite s'endormir éternellement.

Mon coeur s'est serré si fort que je ne parvenais plus à respirer. Ma main a frappé le téléviseur à de nombreuses reprises jusqu'à la casser, me cassant par ailleurs tous mes doigts. Mais qu'importe, il était mort. Alors j'ai crié, crié jusqu'à ne plus avoir de voix, pleuré jusqu'à ne plus avoir de larmes, hurlé jusqu'à ne plus avoir de souffle. Jasper était parti, on l'avait tué. Je me sentais anéantie, impuissante, dévastée, mais surtout seule.

C'est depuis ce jour que j'ai compris que si j'allais aux jeux, j'allais inévitablement mourir: si lui n'est pas parvenu à gagner contre le Capitole, j'allais être incapable de faire mieux que lui. La seule chose que je me suis promise, c'est de retrouver la gagnante de cette année-là, celle qui a tué mon Jasper, et lui faire payer. Parce qu'en le tuant, c'est ma vie qui s'est emportée.

➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ?

Je crois que derrière le téléviseur, on ne réalise pas que ce sont de véritables personnes, avec une famille et des amis, qui jouent leur vie. A part l'année de Jasper, je regarde les Hunger Games avec beaucoup de détachement: je reste concentrée sur leur façon de survivre, sur leurs techniques qui pourraient m'être utilises, et c'est tout. Est-ce qu'on peut que pour autant j'apprécie ce visionnage? Je ne sais pas, je ne crois que je peux dire que j'éprouve de la satisfaction à voir des enfants mourir. Mais c'est le jeu, c'est ainsi, et puis c'est tout, n'est-ce pas?

➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?

Je crois que cette révolte m'indiffère, ce n'est pas mon combat. Il me semble d'ailleurs que j'ai perdu toute volonté de me battre lorsque j'ai entendu le coup de canon pour signaler la mort de Jasper. Mais je veux malgré tout cette révolte, car cela permettrait assez le chaos pour que je puisse quitter le district deux, retrouver celle qui a tué celui que j'aimais et lui faire payer. Je ne suis pas sûre de gagner contre elle, mais ma haine m'aidera, j'en suis certaine. Alors oui, que cette révolte éclate, et que je puisse accomplir mon dernier devoir.



(les résidents du capitole n'ont pas à remplir le paragraphe ci-dessous, merci de le supprimer dans ce cas!) (remplissez le paragraphe en choisissant le champ qui correspond à votre personnage. il vous est bien sûr possible de changer le texte pour que cela colle mieux, mais garder la trame de départ tout de même. message à supprimer quand la fiche est postée.)

JE VIENS D'UN MILIEU favorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est abondante. DU COUP, MON NOM A un grand nombre de chances d'être tiré au sort, car mes parents ont échangé des tessera afin d'ajouter mon nom plus de fois, sachant que jamais je ne me porterais volontaire. . J'EXERCE LE MÉTIER DE rien du tout ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime ne rien faire à part m'entraîner. JE SUIS DANS LE deuxième DISTRICT. AYANT 16 années JE peux PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET je me suis déjà entraîné. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

tell us your story.

« J'en ai assez de me battre, Jasper. » Je ne parviens pas à dire ma phrase d'un trait, entre-coupée par des inspirations fortes sortant de ma bouche tant je suis essoufflée. Il arbore son petit sourire satisfait à son visage, ce petit sourire que je déteste et qui me donne envie à nouveau de me battre : il sait comment m'atteindre, il sait comment me motiver, inexorablement. Alors je me relève, cours à sa rencontre pour le toucher avec ma dague mais il parvient à m'éviter sans difficultés, en bien meilleure forme que moi. Voilà que mon corps tombe sur la terre sèche, et que mes jambes ne répondent plus. Levez-vous, bougez ! J'ai beau leur hurler de faire quoique ce soit, mon corps ne m'appartient plus à cause de la fatigue. Jasper se trouve au-dessus de moi, il me regarde longuement et malgré ma fatigue évidente, je constate que son sourire a complètement disparu. Peut-être se rend-t-il compte que je ne suis pas assez forte pour les Jeux, que je vais sûrement mourir et que ça le rend triste.

Je n'en peux plus, j'ai tout donné. Pourtant, Jasper n'a pas l'air d'estimer que tout ceci est terminé car sa hache danse entre ses doigts et ses mains, ce qui ne fait qu'augmenter mon adrénaline. « Jasper, s'il te plaît, est-ce qu'on peut arrêter là ? » « Tu crois que les ennemis vont attendre que tu reprennes ton souffle avant de te tuer ? Non ! Alors bats-toi, Nerys, lève-toi et cours tant que tu as encore tes jambes ! » J'essaie de reprendre mon calme et je réalise alors. Je suis Daenerys River, je suis la fille de ma mère, une grande gagnante, j'ai son sang coulant dans mes veines et je ne peux mourir ainsi. La hache de Jasper commence à s'abattre sur moi et par instinct de survie, je réagis rapidement : je sors mon autre dague que j'avais caché autour de ma ceinture, puis grâce à mes deux armes, bloquent sa hache afin qu'elle ne m'atteigne pas. Sous l'effet de surprise de Jasper, il reste immobile quelques secondes, ce qui me laisse le temps de me relever et le griffer légèrement en-dessous de l’œil : quelques larmes de sang coulent sur son visage, et cette couleur rouge déclare la fin de notre combat.

Mais Jasper n'est pas un mauvais perdant, alors il se met à sourire, tandis que je me laisse à nouveau tomber sur le sol, tentant de retrouver une respiration correcte. « Demain, c'est la moisson, Nerys. » En guise de réponse, je me contente d'acquiescer, n'ayant toujours pas récupéré assez de forces pour lui dire amèrement que je suis au courant. Tout le monde l'est. Il s'assoit alors en face de moi, pose sa hache sur ses cuisses, qu'il caresse avec affection puis me fixe. Longuement, sans rien dire, et je m'inquiète alors. Il commence à ouvrir la bouche mais je l'intercepte, je me jette sur lui, en posant ma main sur sa bouche. Mon corps est envahi de terreur à l'idée qu'il va prononcer ces mots que je redoute. Alors nous restons ainsi quelques instants, lui allongé sur le sol dur de notre lieu d'entraînement et moi assise sur son ventre, une main fermement posée sur ses lèvres. Beaucoup plus puissant que moi, il parvient à la retirer et je dois alors affronter la vérité. Celle que je déteste, celle que je vomis. « Daenerys, demain, je me porterais volontaire. » Je n'ai que treize ans, il en a quinze. Nous ne sommes que des enfants et notre avenir nous échappe, il est retenu et contrôlé pour le Capitole. Je me réfugie dans le cou de Jasper et me mets à pleurer, à chaudes larmes, incapable de contrôler mes sentiments. Si mes parents me voyaient, ils seraient tellement déçus de me voir aussi faible.

Mais Jasper est ma faiblesse, il l'a toujours été. Voilà qu'il me porte et je sais où il m'emmène, et je ne tente plus aucun signe de révolte. Et s'il mourrait ? Et s'il me quittait pour toujours ? Je tente de me répéter qu'il s'agit de Jasper Donahue, et qu'il n'a alors aucun risque que quelqu'un l'atteigne. Et pourtant. Quand nous arrivons à l'arbre mort, il me pose sur le sol et tient mon visage entre ses deux grandes mains, me forçant à le regarder. J'imagine qu'il va me faire la morale, qu'il va me demander de m'entraîner jour après jour, en attendant son retour. Que je devienne plus forte que lui, que je sois indestructible. Oui, je m'attends à l'un de ces longs discours de super héros, et pourtant il se contente de poser ses lèvres sucrés contre les miennes. Et c'est doux, et c'est beau, mais ça sonne comme un adieu un peu trop amer. Alors quand il veut lâcher ma bouche, je me mets sur la pointe des pieds pour attraper sa nuque et l'attirer encore contre moi, pour l'embrasser, encore et encore. Que ce moment ne termine jamais, que ses lèvres ne me quittent jamais, qu'aujourd'hui soit éternel afin que nous parvenons jamais à demain.Jasper...Dans quoi tu t'embarques ?

Allongée sur l'une des grosses branches de l'arbre mort, je ne veux plus bouger. Non, je ne veux plus retourner m'entraîner, je ne veux pas rejoindre ma maison pour manger, je ne veux plus rien de tout ça. Il est parti. Devant tout Panem, il a prononcé mon prénom puis a laissé échapper son dernier soupir. Dernier souffle. Il n'était pas censé mourir, ce n'était pas ça le plan de notre histoire. Il devait rentrer chez nous, il devait devenir un vainqueur et m'emmener danser. Et je comprends qu'en mourant, il a emporté toute ma vie. Que mon existence, ma personnalité, tout ce que j'étais en réalité, je lui devais, et qu'en disparaissant, moi aussi je devenais invisible. Mes parents n'ont même pas tenté de me réconforter, ils se sont contentés de me dire que c'est ça, les Hunger Games, et qu'il était temps que j'en prenne conscience. C'est moi, qui aurait dû mourir dans cette arène, c'est moi qui aurait dû être à sa place.

« Daenerys, tu es là ! Je t'ai cherché partout, avant qu'on me dise que tu es allongée ici tous les jours depuis sa mort. » Je ne connais pas la voix du garçon, mais je ne veux pas prendre la peine de regarder de qui il s'agit. Surtout qu'il ne prend pas de gants pour me parler de Jasper, alors que c'est trop tôt, et que c'est trop dur. Il escalade l'arbre à son tour et arrive à la même branche que moi, je le sais car j'entends les craquements de ses pieds sous le bois. Mais encore une fois, je ne prends pas la peine de me relever pour le saluer : pour qui se prend-t-il pour pénétrer ainsi dans mon intimité ? Dans ce lieu qui nous appartient, à Jasper et moi ? « Dégage d'ici avant que je te tranche la gorge. » « Léger problème, ta mère m'a engagé pour être ton nouvel entraîneur, donc on va se voir tous les jours. » Sans perdre une seconde de plus, je me redresse pour le plaquer contre le tronc de l'arbre, mes mains fermés sur son cou, prête à l'étrangler. « Si tu oses une nouvelle fois dire que tu es mon entraîneur, et si tu oses encore me parler de sa mort comme une banalité, je te jure que je te tue. Je te torturais jusqu'à ce que tu retires tes paroles. Compris ? » Il sourit. Il sourit, et il me faut quelques temps pour réaliser que si ma mère l'a engagé comme entraîneur, c'est qu'il est bien plus fort que moi et qu'il peut me tuer en une fraction de seconde. Je ne me suis pas trompée, car voilà qui me donne un coup de coude dans le ventre, si puissant que le choc contre mon corps me fait tomber de l'arbre. Un instant, je crois qu'il m'a brisé le colonne vertébrale mais finalement je parviens à me redresser et courir quand il cherche à tomber sur moi, une épée entre les mains.

Je me mets à fuir. Fuir le plus rapidement possible alors qu'il me poursuit, et je comprends que je ne peux rien faire. Laisse-toi tomber laisse-toi mourir Daenerys, peut-être seras-tu assez chanceuse pour rejoindre Jasper et vivre heureuse. Je tente d'établir un plan pour faire chuter le nouveau gars. Tout en courant, je me saisis de mes deux dagues et décide de faire demi-tour pour l'affronter. Il est bien plus fort que moi, c'est certain, mais mon corps est tant envahi de haine et de colère face au décès de Jasper que je parviens à être une adversaire redoutable. Je suis si essoufflée, et lui pourtant a toujours un sourire large sur le visage, semblant impassible et increvable. Il m'a touché : échec et mat la River, tu n'es que poussière et tu redeviendras poussière. A terre, une main contre mon ventre ensanglanté, je ne parviens pas à faire disparaître mon regard noir à son égard. Lui, semble assez satisfait de sa performance et ça ne me donne que plus envie de lui cracher au visage. « Au fait, je m'appelle Jorah. » « Je m'en fous. » « Je suis le remplaçant de Jasper. » « Tais-toi, tais-toi, tais-toi ! Tu n'as pas entendu ce que je t'ai dit sur l'arbre ? Tu parles de lui et tu es mort ! » Voilà qu'il se met à rire à ma menace, et je ne peux lui en vouloir : ne suis-je pas le pathétisme même, le sang coulant le long de mes vêtements, mon corps tremblant, et l'irréfutable envie de pleurer, trop en deuil pour combattre ? Je voudrais tomber sur le sol, et ne plus jamais me relever. J'aurais le courage de revivre seulement quand Jasper me reviendra. « Lève-toi et marche jusqu'à moi, gamine. » Mais je n'en fais rien, je ne veux pas lui obéir. Je ne veux même pas l'écouter, je ne veux pas qu'il existe et tourne le visage ailleurs pour l'ignorer royalement. Mais il sait comment attirer mon attention, et voilà qu'il me parle de Jasper Donahue, ce tribut du District 2, qui avait de nombreux sponsors derrière lui mais qui n'a pas su faire face à la nature et aux dangers qui l'entourent. Je crie pour ne pas entendre ces mots, mais sa voix se fait plus forte : voilà qu'il dit qu'il a fait honte à notre District, il décrit dans les moindres détails sa façon de mourir, et ce dernier mot qu'il a prononcé. C'en est trop pour moi, et me lève alors le plus rapidement possible pour me jeter sur lui. Et je le frappe, je le frappe, je le frappe sans m'arrêter de crier. Je ne suis maîtresse de mon corps, c'est la rage qui me contrôle. Jasper, t'es où ? Qui va me contrôler, à présent ? Puis Jorah tient finalement mes poings entre ses mains, et sourit, semblant à nouveau satisfait de lui-même : « Tu vois, Daenerys, il était apparemment ta faiblesse, mais il est devenu ta force. Sers-toi en pour te battre. » Est-ce la douleur, les émotions trop fortes, le deuil ou cette constatation, mais voilà que quelque chose provoque en moi des sanglotements incontrôlables. Comme une idiote. Il me semble que Jorah me prend affectueusement dans ses bras, mais je ferme les yeux et imagine qu'il s'agit de l'odeur et des caresses de Jasper. Tu me manques, petit con.

Bienvenue sur MJ
je pars te réserver Juno Temple

bonne chance pour ta fiche n'hésite pas si tu as des questions

Bienvenue parmi nous
J'adore le prénom et puis Juno
Bonne chance pour la suite de ta fiche