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 FLEUR + Now it's just you and me

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MessageSujet: FLEUR + Now it's just you and me   FLEUR + Now it's just you and me Icon_minitimeMer 8 Oct - 16:34

now it's just you and me
fleur & wyo
Le chemin qui séparait les plaines du Village des Vainqueurs, cette année, me paraissait long, très long, extrêmement long, beaucoup trop long. Arrivées dans l’après-midi, la nouvelle Vainqueur et moi-même avions passé le reste de la journée sur la Grand-Place de notre District Huit. J’avais gardé un œil sur elle pendant tout le temps qu’on avait passé collées l’une à l’autre. Je souriais, elle souriait, comme je lui avais conseillé lors de sa sortie de l’arène. Je n’avais aucune idée de la façon dont Silk avait passé tout ce temps, et je m’en fichais. Son rôle de mentor ne l’intéressait absolument pas, et je pouvais à peine imaginer quel degré de bonheur elle avait atteint lorsqu’elle avait appris qu’elle n’aurais plus jamais besoin de monter dans le train et de se montrer tous les ans. C’était la rouquine et moi maintenant, les mentors du Huit. Cette dernière était d’ailleurs rentrée un peu avant moi, alors que les habitants du district commençaient à vider la place, pour qu’il n’en reste plus que quelques-uns en plus des Pacificateurs qui nous entouraient. J’étais allée attendre Saad dans les plaines, comme on en avait convenu le jour de son départ du Capitole, mais il ne s’était pas montré. Alors je rentrais, comme je l’avais fait des centaines de fois. Je mettais un pied devant l’autre, avançait petit à petit, pour rejoindre ma maison de gagnante, cette grande bâtisse froide et immaculée qui n’attendait que moi. Mais j’avais l’impression que ça durait des heures. Comme si sous prétexte que j’avais plus de temps que certains pour vivre, il avait décidé de passer moins vite juste pour moi. Mais je voulais juste rentrer chez moi, enlever mes chaussures, enlever toutes les pinces qui maintenant mes longues mèches blondes en chignon, desserrer la ceinture de ma robe et aller m’asseoir dans le canapé du salon. Avec une pomme. Le genre de plaisirs que je pouvais me permettre, moi, Vainqueur des Hunger Games, et que ma petite rousse allait pouvoir découvrir.

Une fois sur mon perron, je me suis penchée vers le pot de fleur le plus loin de la porte d’entrée pour écarter les tiges et récupérer mes clés. Que je n’ai pas trouvé. J’ai froncé les sourcils, me suis redressée. Ma porte n’avait pas l’air ouverte. Je me suis reculée, ai descendu les marches du perron pour me figer au milieu de l’allée centrale et de lever les yeux vers les fenêtres de chez moi. Aucune lumière. J’en ai fait le tour, et rien n’avais l’air suspect – c’était désert. Sauf que je n’avais absolument aucune idée de l’endroit où pouvaient se trouver mes clés. Je suis remontée jusqu’à ma porte, ai fait tourner la poignée, juste au cas où elle était ouverte. Et quand j’ai entendu les gonds grincer, j’ai retenu ma respiration, ai retiré mes chaussures à talons et me suis avancer à pas de loups dans mon entrée.

Mon salon, ma cuisine, tout mon rez-de-chaussée était vide. Personne. Mais ma corbeille à fruit était vide, les coussins de mon canapé par terre, une chaise de la salle à manger mal rangée, la nappe un peu froissée. Je ne dérangeais pourtant jamais rien. Et pour rien au monde je ne serais partie de chez moi en laissant tout ça dérangé. Ca n’allait pas du tout.

Il y avait quelqu’un chez moi.

J’ai ouvert toutes les portes discrètement, histoire de ne pas signaler ma présence. On ne savait jamais, ça pouvait être n’importe qui. Il y avait forcément des rebelles assez débiles pour me prendre pour une véritable Capitolienne et vouloir ma mort. J’ai fait tout le rez-de chaussée, la plupart des chambres du troisième étage. Personne. Je me suis arrêtée au milieu du couloir, les mains sur les hanches, et ai soupiré. Peut-être que celui ou celle qui était venu était partie. Je m’en occuperais demain. J’ai passé la main de mes cheveux que j’avais détachés sur le chemin du retour, et me suis dirigée vers ma chambre. Et en ouvrant la porte, j’ai entendu une respiration, forte, régulière, comme celle qu’on quand on est endormi. Je me suis avancé vers mon lit en essayant de faire le moins de bruit possible, mais n’ai pas eu besoin de soulever la couverture du visage de celle qui reposait là pour la reconnaître. Ses cheveux bruns et son bras tatoué m’ont tout de suite renseignée sur son identité.

Fleur.

Je me suis assise sur le bord du lit, et l’ai secouée un petit peu pour la réveiller, susurrant son prénom. Elle a commencé à bouger, doucement, pour ensuite repousser mon bras d’un geste vif.

« C’est moi, t’inquiètes pas. »

Elle a soupiré, a reposé son bras sur le lit et s’est retournée sur le dos pour me faire face tout en restant allongée. J’ai voulu sourire, mais je n’ai pas réussi – la mort de mon tribut, de la sœur d’Elyas et de Claire encore au travers de la gorge.

« Qu’est-ce que tu fais dans mon lit ? »
electric bird.
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MessageSujet: Re: FLEUR + Now it's just you and me   FLEUR + Now it's just you and me Icon_minitimeVen 10 Oct - 19:32

Now, it's just you and me
wyoming & fleur


PAN.

Et elle sursaute, Fleur. Si violemment que ses pieds s’emmêlent dans les draps et qu’elle finisse sa course tête première contre le sol de la chambre. Ses yeux cherchent frénétiquement une menace alors qu’elle se relève. Son cœur bat dans sa poitrine, si fort qu’elle n’entend plus que ça. Elle a peur, Fleur. Peur jusqu’au fond de son ventre. Si peur qu’elle ne sait plus. Elle ne sait plus rien. Alors elle attend. Avant que la raison ne semble lui revenir et qu’elle constate qu’elle est bel et bien seule. Que non, un homme ne pointe pas son arme face à elle. Fleur tourne doucement la tête, observant le décor rassurant de la chambre de Wyoming. Wyoming, chez qui elle s’est réfugiée. Et Fleur se calme, doucement. Avant que la réalité ne lui éclate une nouvelle fois à la figure et que son esprit ne scande qu’un seul mot. Qu’un seul prénom. Saad. Saad. Saad. Et trop tôt déjà, elle revoit le corps inanimé de Saad. Elle ne voit plus que ça, Fleur alors qu’elle a mal. Tellement mal qu’elle ne sait plus ce qu’elle fait ici. Cachée chez Wyoming. Elle voudrait courir. Loin. Mais elle ne peut pas. Parce qu’elle n’a nul part où aller. Parce que Saad est mort et qu’elle ne comprend pas. Qu’elle refuse de comprendre alors qu’une horrible culpabilité s’insinue chaque seconde dans son corps. Elle voudrait revenir en arrière, protéger Saad et éviter ce drame. Parce qu’elle reste persuadée, Fleur, que tout cela est de sa faute. Parce qu’elle se rappelle encore des rebelles, de leur arrivée soudaine alors que Saad et elle venaient à peine de se séparer dans les plaines, pour rentrer au district. Elle se souvient encore, de cette arme sortie de nulle part. De ce tir qui avait fait s’envoler des dizaines d’oiseaux. Elle avait couru, Fleur. Dans l’espoir vain de sauver Saad. Mais il était déjà parti, loin d’elle, loin de Wyoming. Loin de cet uniforme qu’elle détestait tant. Alors Fleur, elle reste debout dans cette chambre. Cette chambre dans laquelle elle s’est réfugiée, effrayée. Parce qu’elle avait refusé de rejoindre les rebelles, parce qu’elle n’avait pas compris pourquoi ils avaient tué Saad avant de lui demander de venir. Comme si… Comme si elle aurait pu faire cela. Alors Fleur, elle les avait insultés. Pour les menacer après de dévoiler tout ce qu’elle savait au Capitole. Parce qu’elle avait mal, Fleur. Si mal qu’elle aurait voulu les tuer aussi. Mais maintenant, elle était là. Debout dans le noir, terrorisé à l’idée que les rebelles puissent revenir. Parce qu’elle n’avait plus personne sur qui compter. Ni sur le Capitole, ni sur les rebelles. Alors elle avait trouvé refuge. Ici. Chez Wyoming. Elle avait besoin d’elle, maintenant plus que jamais. Mais pour l’instant, elle est seule. Seule avec ses pensées qui ne cessent de la tourmenter.

Une main qui se pose sur son bras et déjà Fleur se sent tirée de son sommeil. Un sommeil qu’elle cherche depuis des heures déjà et qui, enfin, semblait dénué de rêves en tout genre. Alors elle lutte, la brune, dans l’espoir fou de se rendormir. Avant qu’on ne la secoue un peu plus brusquement et qu’elle ouvre les yeux, hagarde. Méfiante, elle repousse brusquement ce bras qu’elle ne reconnaît pourtant pas, à peine réveillée. « C’est moi, t’inquiètes pas. » Alors elle fronce les sourcils avant de reconnaître Wyoming dans la pénombre puis son corps s’apaise. Parce qu’elle n’est plus seule, maintenant. Fleur se retourne pour faire face à la jeune blonde et elle soupire, incapable de savoir quoi lui dire. Parce que cela faisait des semaines que Wyoming était partie au Capitole, des semaines qui avaient paru parfois longues pour Fleur. Et il y avait tant à dire… Trop sûrement. « Qu’est-ce que tu fais dans mon lit ? » Elle le sait, qu’il faut lui dire. Qu’attendre ne fera que prolonger encore un peu plus l’obligatoire douleur. Mais elle reste là, enfermée dans son silence. Les mots se font et se défont dans son esprit. Elle voudrait lui dire, comment ils ont tué Saad. Comment ils lui ont demandé de venir avant de la menacer. Mais tout se mélange. Jusqu’à ce qu’elle s’agite un peu dans le lit, se redressant avant de fixer la porte. Elle attend, peut-être que quelqu’un ne vienne les tuer. Mais rien ne vient. Alors elle finit par reporter son regard sur Wyoming et de lâcher, sans grand sens. « Saad. Ils… Ils l’ont tué. Là-bas. Comme ça. Et il avait rien fait. Ils vont revenir ! Faut… Faut… » Faut qu’on s’en aille, qu’on se sauve. Qu’on prenne nos affaires et partir ailleurs, loin d’ici. Mais où ? Elle n’en sait rien, Fleur. Alors elle plonge son regard perdue dans celui de la jeune blonde. Elle se rend bien compte qu’elle n’a pas l’air tout compris. Mais Fleur, elle a mal. Pourtant, elle semble se calmer avant de reprendre un peu plus doucement. « Les rebelles l’ont tué, dans les plaines. Il y a trois jours. Ils voulaient que j’aille au Treize… J’ai pas pu, ils l’ont tué ! » Et déjà, l’idée même de se rappeler ce moment la met en colère. Autant qu’il lui fait mal. Fleur, elle qui avait toujours voulu se montrer si forte, se retrouver dans une vague d’émotions qu’elle ne comprenait pas et dans laquelle Wyoming allait probablement s’enfoncer également… « Ils veulent l'enterrer ici, dans son uniforme... » Et elle ne sait plus, Fleur, si ça la dégoute ou non.

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MessageSujet: Re: FLEUR + Now it's just you and me   FLEUR + Now it's just you and me Icon_minitimeJeu 23 Oct - 17:42

now it's just you and me
fleur & wyo
LJ’essaie d’écouter ce que Fleur balbutie pour me faire comprendre la situation, mais je reste bloquée. Bloquée sur ces cinq mots. Si simples et si dénués de sens lorsqu’ils sont prononcés séparément, mais si durs, si lourds, si insupportables quand on les met bout à bout. Saad. Ils l’ont tué. J’essaie réellement de me focaliser sur les sons qui continuent de sortir d’entre les lèvres tremblantes de la jeune brune. Mais je n’y arrive pas. Les cinq mots se répètent, encore, et encore, jusqu’à ce que j’ai presque l’impression de ne plus pouvoir entendre quelque chose d’autre. Comme si j’étais condamnée à les écouter jusqu’à ce que moi aussi, on me tue. J’aimerais les oublier, faire comme si je n’avais rien entendu, me convaincre que rien de ce qu’elle vient de me dire n’est vrai. En vain. Ils sont là, ces mots, et ils ne partiront jamais. Ils l’ont tué. Qui ça, « ils » ? Je glisse du bord du lit, me retrouve assise par terre, sur la moquette de ma chambre. Je devrais avoir mal, un tout petit peu, mais je ne ressens rien. Rien d’autre que le pincement au cœur, celui qui était arrivé à l’instant où Yorell était mort, ce pincement qui se resserrait.

Saad était mort.

Mon meilleur ami, mon premier amour, celui dont je pensais qu’il avait fait les mauvais choix mais qui en fait, tout comme moi, ne pensait qu’à se protéger.

Il était mort.

Parti, à jamais.

Les rebelles. Ils l’ont tué. Dans les plaines, me dit Fleur. Les plaines, celles là-même où on se retrouvait tout le temps, où Fleur et lui se retrouvaient tout le temps. Les plaines du Huit, c’est comme le point de ralliement de tous ceux qui, encore plus que les autres, détestent leur vie. Ils marchent dans l’herbe, seuls ou pas, et de cette façon ils s’éloignent un peu de la vie horrible du District, de l’air pollué des usines, de l’atmosphère oppressante de la grand-place. C’est pourtant là qu’ils l’ont tué. Là où je l’avais vu heureux. Il y était tombé. Des images inventées par mon cerveau surgirent alors, et j’ai senti mes yeux s’embuer de larmes qui menaçaient de tomber à tout moment. J’avais déjà trop pleuré.  Tout ce que Fleur disait m’échappait, même si je parvins à attraper quelques mots lors de leur vol au-dessus de nos têtes. Ils voulaient que j’aille au Treize.  Ils vont l’enterre dans son uniforme. Cette dernière phrase m’arracha un rire nerveux, jaune. Son uniforme qui lui allait si bien et si mal en même temps. Avec Fleur, on le détestait, ce putain d’uniforme. Et on allait devoir le regarder s’enfoncer avec lui sous la Terre, et écouter les louanges que ses collègues chanteront, et essayer de ne pas crier au District, à Panem tout entier, que Saad Peppermint n’était un qu’un sale traître qui voulait juste sauver sa peau, et qu’on l’aimait fort, très fort.

Les rebelles. Les seuls en qui j’avais encore confiance. Ceux en qui je croyais. Ceux que, encore hier, je pensais devoir rejoindre. Ils l’ont tué.

Je lève mes yeux bleus dans ceux de Fleur, qui sont posés sur mon visage. J’ai l’impression qu’il n’existe plus rien d’autre que nous et cette pièce. Que le District dans lequel on a grandi, que l’usine dans laquelle on a souffert, que les plaines dans lesquelles on a couru, que le Capitole où Yorell et tant d’autres sont morts, que tout ça était parti. Que Fleur et moi, on allait devoir rester le restant de nos jours dans cette pièce à pleurer, et à se souvenir. Se souvenir de quand nos vies étaient encore un petit peu supportables.

Je me suis rendue compte que je n’avais encore rien dit depuis qu’elle s’était tue. Et que de toute façon, je ne trouvais rien à répondre à ça. Saad était mort. Yorell était mort. A quoi bon continuer de parler, s’ils n’étaient plus là pour m’écouter ? J’ai baissé la tête pour la poser sur mon genou, et j’ai heurté la main de Fleur. Alors j’ai réalisé qu’elle était toujours là, elle, et que moi aussi, j’étais toujours là. J’ai levé les yeux encore une fois, me suis redressée tant bien que mal, sans faire attention à mon dos douloureux et à mon cœur ratatiné, me suis rassise sur le lit et l’ai prise dans mes bras.

« J’les laisserais pas t’emmener. Eh, Fleur, tu m’entends ? S’ils viennent te chercher, j’leur dirais d’aller se faire foutre et de te laisser avec moi. Ok ? J’espère que tu m’as bien comprise. Tu pars pas. Tant que je suis là, tu pars pas. »

Et je ne sais plus, moi, si j’ai encore envie d’être là ou pas.
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