penny maryelou blatherwick

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

A vrai dire je la vois tout le temps. De toutes les façons, chacune différentes. Renversée par un tracteur, assassiné dans une ruelle sombre ou transpercé par un couteau de cuisine mal placé. C'est chez moi une obsession. La mort. Je n'en dort pas la nuit, j'en cauchemarde pendant mes doux moment dans les bras de Morphée. J'en crains toute la journée. Même quand j'essaie de ne pas y penser, un carrefour dangereux ou un objet tranchant me le rappelle gentiment.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Pour ma sœur. Pour ce petit bout de femme qui me rappelle tant ma mère, qui représente ma vie à présent. Je serai même prête à refaire les jeux pour elle, plutôt que d'assister, impuissante, à sa mort. Sans pouvoir lui envoyer le moindre parachute argenté faute de moyens. Sa serai la pire des tortures. Et cette torture pourrait devenir réalité si le Capitole apprenait que cette fillette comptait autant pour moi.

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

Surement, et c'est ma plus grande qualité, mon agilité. Ma facilité à grimper, et à me déplacer d'arbre en arbre, sans jamais faillir. Je m'exerce à cette haute voltige depuis mon plus en âge en vérité, c'est comme une seconde nature chez moi. Et c'est ce qui m'a sauvé durant les jeux. Mais je suis aussi d'une discrétion impressionnante, tout en restant très rapide. Je sais aussi parfaitement reconnaitre les baie et feuilles comestibles.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Heureusement pour moi, personne de ma famille. Mais je me rappelle de cette fille. Elle était à mon école, elle n'avait qu'un an de plus que moi. C'était une bonne amie, et je l'apréciait à l'époque. Quand son nom fut tiré, elle avait seulement douze ans. Elle a été assassinée le premier jour, dans le bain de sang. Depuis le jour de sa mort, j'ai toujours eu une peur bleue des jeux. Alors qu'elle horreur quand je fut tiré au sort deux ans plus tard. Je suis devenue hystérique. Littéralement. A cause du souvenir de cette pauvre enfant, tuée alors qu'elle essayait de fuire.

➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?

Oui, je trouve le régime du Capitole affreux. Les jeux sont inutiles et barbare, tout juste bon à amuser les moutons du Capitole. Si l'occasion se présentait, peut être participerais-je à une rébellion. Seulement si cela n'a pas d'impact sur les gens qui compte pour moi, et plus particulièrement pour ma sœur; Je ne veux pas qu'on me l'enlève. Mais c'est d'une autre côté ce qui me motive dans cette rébellion ; sauver ma soeur des Jeux de la faim.



JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la légende. DU COUP, MON NOM AVAIT 5 chances d'être tiré, à seulement 13 ans. J'EXERCE LE MÉTIER DE mentor ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'e n'aime pas voir ces enfants mourrir. JE SUIS DANS LE ÈME DISTRICT. AYANT 30 J' aie déjà PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende la prochaine moisson avec impatience. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

tell us your story.

Je marchai d'un bon pas, traversant les uns après les autres les petits hameaux du district onze. A cette période de l'année, tout les habitants se devait d'être aux vergers à cette heure-ci. C'est pourquoi j'arrivais vite à ma destination. Encore deux ou trois pattés de maisons, et ce serait bon. Je regardai les vieilles bicoques autour de moi. Elles se ressemblaient toutes ; la même façade en bois, les mêmes petits escaliers sur la devanture, le même état de délabrement. Pour les nouveaux venus, il était facile de se perdre. Personnellement je ne rencontrais pas ce problème. J'aurais put terminer le chemin les yeux fermés s'il le fallait. Je tournai à gauche, puis effectuai encore quelque mètre. Je m’arrêtai devant une maison. Ma maison. Celle où j'habitais il y a dix-sept ans de ça. Avant le village des vainqueurs, avant les jeux. Je fermai les yeux en grimpant chacune des marches de l'entrée. Je poussai la porte, puis, rouvrant les yeux, lassai les souvenirs resurgir. Elle n'avait pas changé. Dix-sept années plus tard, rien n'avait bougé ici. C'était comme si le temps s'était arrêté, que rien de tout ça ne s'était passé. Je sentis les larmes me monter aux yeux, mais fermai mes paupières avant qu’elles aient put s'en échapper. J'inspirai doucement, en m'asseyant sur la petite chaise du salon. Je n'étais pas revenue ici depuis ma victoire. Ni depuis la mystérieuse mort de mes parents l'année dernière. Pourtant, et même si la dernière fois où j'avais entrevue la petite fenêtre qui donnait sur les vergers je n'avais que treize, je me sentait ici chez moi. Posant ma tête sur la table en bois bancale, j’essayai de faire comme si rien de s'était passé, comme si j'étais la petite fille joyeuse que j'avais l'habitude d'être avant les Jeux de la Faim. Mais trop d’événements ont chamboulé ma vie depuis ce temps là. La dépression de ma mère, qui ne s'est remise de mon départ puis de ma victoire, qu'avec l'aide de l’alcool. L'absence de mon père, qui passait ses journées et parfois ses nuits, a déambulé dans les vergers pour éviter la folie familiale. Mais surtout, et c'est l'élément déclencheur de tout ce chahut, les Hunger Games. Depuis ma victoire, une des plus surprenante de l’histoire des jeux soit dit en passant, personne ne me regarde de la même façon. Il faut dire que même avec mes efforts pour paraître normale, je ne tiens pas longtemps la route. En même quelqu'un de normal n'éclate pas de rire, sans raison, toutes les cinq minutes. Elle ne grimpe pas n'ont plus en haut d'un arbre, y restant des jours, des nuits, refusant d’en descendre de peur qu'un tribut l'attaque dès qu'elle posera le par terre. Et enfin, une personne usant de toute sa lucidité ne fait pas des cauchemars chaque nuit, se réveillant, tremblante et transpirante. Je ne suis décidément pas une personne normale, malgré toute ma bonne volonté. Et pourtant, depuis que mes parents sont parti, c'est moi qui suis en charge de ma plus jeune sœur, qui représente la seule raison pour laquelle je ne met pas fin à mes jours. Mais qui sait, le Capitole pourrait bien me prendre cela aussi, après m'avoir volé ma vie. Les larmes coulaient à présent sans répit sur mes joues. Énervée contre moi-même et contre le Capitole, je quittai en courant la vieille maisonnette de mon passé, claquant la porte derrière moi, enfermant à l'intérieur les quelques souvenirs des mes jours heureux.

HAN ZOOOOEY *out*
Mais Zooey sans Joseph c'est moche JE VEUX UN LIEN. D'ailleurs j'ai déjà une idée, et si tu l'aimes ce serait trop bien *-*
Bref, bienvenue hein & bon courage pour ta fiche. <3