| Sujet: TYWIN † As-tu vu les quenouilles ? Mer 1 Jan - 21:43 | |
| Tywin Iyorick Nasuada❝ VOUS LES HOMMES, Z'ÊTES TOUS LES MÊMES ❞ Tywin Nasuada est né il y a bientôt trente ans dans le premier district, avantage géographique qui lui a conféré une vie plus ou moins facile, en comparaison avec d'autres personnes, mais en le laissant tout de même évoluer dans la couche inférieure de la population. À ses seize ans, le jeune homme fut appelé à participer aux jeux en compagnie d'une de ses camarades. Une fois n'est pas coutume, on connait bien la réputation des enfants nés dans les quartiers de ce district et ni l'un ni l'autre des deux participants de cette année ne fut décevant une fois dans l'arène, bien que Ty' ne partait pas en grand favori à la base et s'est montré quasiment invisible à l'écran durant les trois quart de la session. Agissant toujours dans l'ombre de ses adversaires, cette tendance à attendre le bon moment pour prendre de revers ceux qu'il considère comme des ennemis et qui lui a permit de remporter la victoire lors des 64e jeux est encore valable aujourd'hui (groupe winners). D'apparence, le grand blond aux allures athlétiques n'a rien à envier aux autres mâles de la région et même s'il montre des signes évidents de superficialité esthétique au niveau de sa dentition ou de l'attention accordée à sa peau, il n'est de loin pas l'être le plus exubérant qui soit au niveau vestimentaire, puis-ce que de base, il ne s'habille de toute manière pas des masses. Quand à la mentalité... disons que monsieur a bien comprit comment se fondre dans la masse du Capitole où il réside depuis qu'il a gagné les Hunger Games et exerce principalement en tant qu'acteur et mannequin, tout en parvenant quand même à se distinguer parmi la foule afin de ne pas être oublié sur le long terme. Ainsi, on l'aime ou on le déteste pour ses commentaires publiques pro-capitole, on supporte ou non sa tendance à flirter avec tout ce qui bouge et on accepte ou pas son excentricité.
Ne nous leurrons cependant pas, l'impression de coquille vide que Tywin dégage volontairement aux yeux de tout ceux qui ne peuvent pas voir les membres de la capitale en peinture n'a rien à voir avec sa véritable mentalité qui n'est autre que celle d'un jeune homme extrêmement protecteur et prêt à se sacrifier pour d'autres personne, si besoin est. Si vous discutez suffisamment longtemps avec lui, vous comprendrez d'ailleurs que son intelligence est en réalité presque aussi palpable que son corps (-___-' oh, ça... ) et que même s'il ne crache pas sur le fait qu'on se retourne sur son passage, qu'on l'aborde et qu'on gravite autour de lui, c'est une personne extrêmement sensible et loyale envers ses principes de base. about games and relative.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? ma famille, mes amis, mon district... ou une autre bonne cause, c'est à peu près tout. Je n'aurais vraiment pas envie de quitter ce monde comme un membre du Capitole. J'ai bien compris la valeur des vies humaines aux yeux du Président, depuis le temps, mais si la mienne pouvait servir à quelque chose de plus qu'à maintenir mes proches dans une sécurité précaire, je n'hésiterais pas à m'en débarrasser. De toute manière, j'ai déjà les mains tellement sales que je ne mérite sans doute pas un sort meilleur. QUE PENSES-TU DE LA RÉVOLTÉ ÉCHOUÉE ET DES REBELLES ? Je suis en admiration devant ces gens et plus le temps passe, plus je commence à envisager la possibilité de rejoindre le groupe. Malgré le fait que j'ai peur des conséquences que mes actions pourraient provoquer sur tout et n'importe quoi, peur d'apprendre l'assassinat de quelqu'un par ma faute, je suis persuadé que la récente purge n'a pas laissé grand monde en vie de toute manière. Depuis la fin de mes Jeux, cette phobie d'être l'auteur d'un seul meurtre de plus, qu'il soit direct ou indirect, me glace littéralement le sang... mais dans le fond, je ne dois pas être le seul à vivre ainsi, avec la corde au cou. Trop longtemps dans la passivité... ça va bientôt faire quinze ans que ça dure et disons-le, j'ai déjà commencé à chercher autour de moi avec qui me rallier pour me retourner contre le système. ➺ QUE PENSES-TU DES VAINQUEURS DES JEUX ? Je plains tous les nouveaux vainqueurs et je respecte les anciens, même si ça ne se voit pas forcément dans mon attitude. Une fois sortis de l'arène, la vie devient complètement différente pour chacun et chacune d'entre eux et pas dans le meilleur sens du terme... on ne peut pas prendre ça à la légère. J'ai eu beaucoup de chance avec ma situation, mais il ne faut pas se leurrer, presque tous les autres ont vu des personnes auxquelles elles tenaient disparaître de leur vie du jour au lendemain. On vit dans un stress constant et c'est comme si une malédiction avait été collée à notre peau dès lors qu'on gagne, même dans mon district (étonnant, je sais, ça m'a surprit aussi). Je suis désolé pour chaque personne qui est ressortie gagnante des hunger games, sincèrement... et même si la plupart d'entre-eux me détestent pour ce que je laisse voir, soi-disant que je salirais mon image, il y en a quelques un avec qui j'ai pu me rapprocher et qui savent que je ne suis pas la même personne en public et en privé. Malgré ça, je n'ose vraiment m'attacher ou faire confiance à aucun être humain, de peur de le regretter par la suite si l'on venait à l'utiliser pour me faire faire du chantage. Ça m'énerve, tout ça... je calcule trop. ➺ AS-TU PRIS PART AUX DERNIERS ÉVÉNEMENTS, QUE CE SOIT POUR OU CONTRE LE CAPITOLE ? Je n'ai rien fais du tout, si ce n'est d'observer la situation de mon perchoir et je m'en veux beaucoup pour ça. Le nombre de morts me fait froid dans le dos je ne peux pas m'empêcher de me dire que la moitié d'entre-eux sont sans doute des personnes que je connais. J'ai eu un grand moment d'hésitation, lorsqu'il a s'agit de me rallier ou non contre le Capitole, mais au final, j'ai finis par simplement détourner mon regard de ce qui se passait autour de nous. C'est lâche, à votre avis ? Quand je repense aux gamins qui ont été sélectionnés cette année pour les Jeux et que j'ai eu l'occasion de croiser au Capitole, ma conscience me travaille. Le simple fait de me dire qu'ils ont toutes leurs chances de mourir dans l'arène me travaille. Si la révolte avait fonctionné, on n'en serait pas là. Si j'avais fais quelque chose de l'intérieur... peut-être qu'il y aurait eu une différence. Je suis vraiment devenu une raclure, en fait, c'est ça ? Hm... il est grand temps de me bouger. On m'a donné la chance d'être plongé directement à l'intérieur de la vie du Capitole et je commence à croire que ce cadeau que j'ai toujours cru empoisonné possède en réalité une autre signification. Si je le voulais vraiment, peut-être bien que je pourrais gangrener de système de là où je me trouve. Ce n'est pas comme si je l'avais déjà fait lors de mes Hunger Games pour piéger mes adversaires... mon ancienne mentor devait en être parfaitement consciente au moment de venir me rendre visite à l’hôpital pour m'ordonner presque de jouer aux amnésiques. ➺ CROIS-TU AU BONHEUR ? Je crois que le bonheur doit effectivement pouvoir exister quelque part, oui. Tenez, le personnage que je joue au jour le jour est heureux, d'ailleurs! Il se satisfait grandement à suivre le mode de vie qu'on lui propose et jouit d'à peu près tous les privilèges que peut lui apporter le Capitole, alors comment se sentir mal lorsqu'on a droit à tout ceci ? Les résidents du coin ne doivent pas trop mal se porter, à mon avis et dans le fond, je crois que ça doit être ça, la recette du bonheur: ne venez pas d'un district (même du premier. Tiens parlons-en: on a un tas de pro-capitole, là-bas, ce qui rend le sentiment de trahison encore plus grand lorsqu'on comprend que les politiques n'en n'ont pas plus à cirer de nous que des autres), ne soyez pas trop intelligent ou avec une curiosité mal placée, ne réfléchissez pas trop par vous même et n'aspirez pas à trop de liberté. En somme... il faudrait être tout ce que je ne suis pas.
JE VIENS D'UN MILIEU favorisé, mais j'ai longtemps vécu dans les basses strates de mon district, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE reste quelque chose de précieux. DU COUP, MON NOM N'A aucune CHANCE D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER D' acteur, mannequin et mentor de temps à autre ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'raffole pas de ça... enfin... oui, bon, j'aime bien la caméra quand même. JE SUIS DANS LE 1 ER DISTRICT. AYANT 29 ans J' ai déjà PARTICIPE AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende intérieurement la prochaine moisson. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story. Je me sentais comme un puzzle qu'on aurait jeté contre un mur et dont les pièces se seraient complètement dispersées par-terre. Oui, c'était sans doute la meilleur description de l'état de mon corps. Malgré la douleur aiguë et cette ridicule incapacité de bouger depuis que j'avais repris connaissance, j'ouvris tout de même les yeux, essayant de donner sens à ce qui m'arrivait. Blanc. Tout était blanc et le seul bruit qui parvenait à mes oreilles était celui d'un moniteur dont les « bips » répétitifs me provenaient de la droite. Hôpital. C'était terminé, n'est-ce pas ? Tout ça, c'était terminé ? Bon sang. Plus jamais. J'aurais pu me réjouir de la situation, d'être en vie, d'avoir enfin l'occasion de fermer mes paupières sans craindre d'être décapité pendant la nuit, je pensais d'ailleurs que ça devrait se passer ainsi lorsqu'on sortais de l'arène... mais les seules chose auxquelles mon cerveau voulait bien m'autoriser à penser était soit l'Hymne du Capitole, soit mon poing entièrement enfoncé dans les entrailles chaudes de ce garçon qui était sur le point de m'achever, alors que j'étais immobilisé au sol. Il aurait dû gagner... ce petit aurait dû gagner. Si je n'avais pas eu encore autant de force dans mes bras de monstre aux allures d'humain, ça se serait d'ailleurs sans doute passé comme ça.
Avant même de pouvoir tourner la tête pour observer mon environnement, je sentis une main se plaquer sur le bas de mon visage et automatiquement, tous mes sens se mirent en état d'alerte... en vain, évidemment. J'étais complètement assommé par les cachets. « Sh-sh-sht... on n'a pas beaucoup de temps, alors écoute-moi bien ». Je plissais le regard pour voir apparaître le visage de la jeune femme qui m'avait coaché depuis l'annonce de mon nom, à la Moisson annuelle. « Quand on te fera sortir de cette pièce, tu seras fichu, Ty'. Dis au revoir à ta liberté, parce qu'à partir d'aujourd'hui, t'appartiens au Capitole, que tu le veuilles ou non. Tu m'entends ? » J'entendais tout, oui, mais je n'y comprenais cependant pas grand chose. Perplexe, je me contentais donc de cligner de mes grands yeux clairs et attendis sagement la suite. Pas le choix, vous me direz. « Je vais te faire un dernier cadeau parce que je sais que tu es assez intelligent pour encaisser ça, mais il faut que ça reste entre nous coûte que coûte. » Ça y'est, j'avais déjà ce mauvais pressentiment gros comme une maison que j'allais regretter d'avoir tué mon dernier adversaire au lieu de le laisser me couper la gorge, il y a de cela quelques heures. « Quoi qu'il arrive, à partir de maintenant, tu ne te souviens plus de rien. Ni des jeux, ni de moi, ni de quoi que ce soit qui concerne les Hunger Games ou tes proches, compris ? Rien ! C'est une question de survie pour tout ceux que tu aime. » J'entendais dans sa voix qu'elle s'inquiétait pour mon compte comme si j'étais son propre frère, voire son fils. Il y avait de la peur au fond de ses pupilles noires et indescriptibles... une peur que je n'arrivais cependant pas à reconnaître, car la seule que j'aie vraiment ressenti ces dernières semaines était celle de mourir. En sentant la main de ma mentor se retirer de ma bouche, je fis l'effort inhumain de prendre la parole, dans un murmure, même si ma gorge me brûlait comme jamais. « Qu'est-ce qui se passe... ? »
C'était presque comique, ce tabou autour des vainqueurs. Aucun d'entre-eux ne semblait aller bien, mentalement parlant, mais lorsqu'on était soi-même sur le point de mettre sa vie dans les Jeux, on n'y pensait pas. Vous savez quoi ? J'ai eu de la chance d'avoir quelqu'un d'aussi protecteur à mon chevet, ce jour-là. Sans elle, c'est certain, ma famille aurait sans doute été exterminée depuis longtemps pour obtenir des choses de ma part, à commencer par des faveurs physiques. Mes amis. Ma maison... quoi d'autre ? Jouer aux amnésiques avait non seulement servi à mettre hors de danger mes proches ou presque, puis-ce que le fait que je ne les « reconnaisse pas » en tant que tel les rendait inutiles pour le Capitole, mais surtout... et c'est là la partie que le préfère, je me transformais subitement en « un beau visage brisé » aux yeux de tous. Quelle tristesse, que d'émotions ! C'est exactement ce dont les écrans de télévision avaient besoin. En moins de temps qu'il avait fallu pour le dire, le centre politique du pays s'était donc empressé de me mettre la main dessus pour faire de moi ce qu'ils avaient besoin en matière d'image et je me suis ainsi retrouvé avec une caméra au-dessus mon épaule tellement souvent, pour montrer au public de Panem comment le Capitole s'était montré bon vis-à-vis de ma condition psychologique et m'avait aidé à me réinsérer au mieux, que ça m'a forcé à rentrer dans mon personnage jusqu'à le jouer comme si c'était vraiment moi. Je n'ai revu les gens de mon District que peu de fois depuis la fin de mes Hunger Games et je pense que c'est bien mieux ainsi, car face à des visages familiers, face à ma mère ou à ma soeur, j'aurais toutes les peines du monde à ne pas fondre en larmes pour le mal que je leur faisais en mentant de la sorte. Actuellement, ma vie est donc au Capitole pour des raisons plus qu'évidentes. Je leur appartiens, comme tout le monde, d'ailleurs. Enchaîné à mon mensonge comme un prisonnier à son boulet, rendu volontairement superficiel et écervelé pour éviter l'assassinat de mon propre sang, je m'accroche à cet espoir que quelque part, chez moi, des gens puissent vivre plus sereinement.
Pourtant, il n'y a pas une seule nuit qui passe sans que je rêve en boucle de cette plaine qui s'étend devant la fenêtre de ma chambre, de ma vraie chambre, dans ma vraie vie, loin de cette fausse ville pleine de poudre aux yeux. Et puis, depuis la dernière Purge, j'entends des rumeurs qui ne me rassurent pas du tout... comme quoi mes parents seraient malades, que des amis seraient tombés dans la révolte et que plus rien ne serait comme avant. Ça me fait réfléchir et il y a des soirs où je ne parviens plus à m'endormir pour cette unique et bonne raison. Il faut que je vérifie tout ça, il faut que j'en aie le cœur net... et qu'on passe à l'étape suivante: soit le moment où je me réveille de ma somnolence pour enfin commencer à agir.
reality is here.
Bonjouuur! J'm'appelle Nat' aka [K] et je viens se Suisse. J'ai actuellement 22 ans et je le vis bien /paf/, mis à part le début des rhumatisme... J'suis actuellement en cours de lecture des livres et c'est tout naturellement que j'ai commencé par la fin comme à chaque fois que je lis un truc ne m'en voulez pas d'être un hérétique. ET ET ET le forum je le kiffe ! Izzy en header? WOOT WOOT où qu'elle est ? PS: M'en voulez pas si ce personnage est un imbécile ... FEATURING sam claflin © COPYRIGHT frostingpeetaswounds.tumblr
Dernière édition par Tywin I. Nasuada le Dim 5 Jan - 18:20, édité 22 fois |
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Avalon R. Sweenage △ correspondances : 13212 △ points : 2 △ multicomptes : dely, ridley, dahlia △ à Panem depuis le : 23/04/2011 △ humeur : mélancolique △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : garde d'enfants
| Sujet: Re: TYWIN † As-tu vu les quenouilles ? Jeu 2 Jan - 15:33 | |
| Bienvenue sur MJ Pour ta question, ça sera possible une fois le recensement terminé si Meredith n'est pas revenu et que tout colle au niveau des âges Par contre, avec la maintenance un changement de système dans les places libres est prévu parce que certains districts sont trop peuplés en vainqueur par rapport à la logique, alors ce n'est pas sûr que ce soit le district cinq qui se retrouve à être pour l'édition que tu vises. Je ne sais pas si c'est primordial dans ton personnage que ce soit le Cinq, mais de ce que j'ai lu, la fausse amnésie de ton personnage ferait peut-être que ce n'est pas le point le plus important de ton histoire Bref, j'attends ta réponse et si vraiment c'est vital j'essaierai de remodeler les listes déjà prévues si ça ne les bouleverse pas et j'ai oublié, mais je vais te réserver Sam Claflin |
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