| Sujet: Audrey Lloyd ► You say you want a revolution Ven 13 Déc - 19:50 | |
| Audrey Lloyd❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Je m'appelle Audrey Lloyd. Audrey, vient du mot "noble" et du mot "puissance". C'est amusant, je ne vois pas en quoi j'ai l'air noble dans mon costume de minier. Je viens du district 12, le district le plus pauvre, celui où même les plus riches crèvent de faim. Tout le monde sait que je suis une rebelle. Ils m'ont déjà tous vu au moins une fois prendre des coups de la part d'un pacificateur. Je suis bien obligée de piocher pour gagner ma vie, je ne sais rien faire d'autre. Et pourtant, mon bras gauche a été amputé à cause d'une maladie, il ne me reste qu'un minuscule moignon inutile pendant à mon épaule. Cependant n'allez pas croire que je suis faible. Ce n'est pas mon genre. Je suis bien plus forte que tous ces crétins du Capitole réunis. Oui, je les déteste. Je déteste les gens. Je n'aime pas les endroits où il y a trop de monde, je m'y sens mal. Je pense qu'une bonne majorité de l'espèce humaine est pourrie. Je pense que les gens sont presque tous de merveilleux hypocrites et je pense que personne n'ose dire ce qu'il pense : à cause des gens... Je pense que personne ne montre son vrai visage. Je pense qu'ils passent leur temps à être sous leur meilleur jour lorsque ça les arrange. Parce que c'est dans leur intérêt, ça les amuse de faire les singes. Ne pas montrer un seul défaut ni un seul vice. Ça serait bien trop choquant d'être imparfait. Alors ils font les bons, les généreux, les gentils, les bobos du capitole. Mais dès que l'on sort de leurs intérêts, si soudain, il n'y a plus aucune utilité à babouiner gentiment et bien c'est fini. Ils ne sont plus parfaits, ils sont tout ce qu'il y a de plus laid et de plus détestable. Tout ce qui compte c'est eux, eux, eux. Et ce que pensent les autres d'eux. C'est un enfer... Ils singent et écrasent la différence, écrasent ce qui ne leur sert pas. Le traînent plus bas que terre, au fond et tentent de se hisser au sommet. Ils veulent être les plus admirés et peu importe l'image qu'ils doivent avoir ni même le degré de dégradation qu'ils doivent subir. Peu importe si cela est contraire à leur éthique, on ne regarde qu'eux. Je sais que ça peu ressembler à un message de haine profonde. Mais ce n'est pas de la haine, c'est de la détresse. La détresse de quelqu'un qui ne se sent pas libre, la détresse de quelqu'un qui ne comprend pas les gens, la détresse de quelqu'un de déçu, et c'est aussi de la souffrance.
about games and relative.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Pour mes idées. Je pourrais me battre, jusqu'au bout, peu importe ce qui arrivera par la suite. Je serai là et je serai forte. Vous ne savez pas a quel point je hais ces gens. Ceux du Capitole et tous les idiots qui les suivent. Ils ne se rendent pas compte de ce qui se produit : de la violence qui règne dans ce monde. Ils sont aveugles, éblouis par la terreur. Ma vie n'a pas de valeur, personne ne m'attend. Cependant elle a un sens, un but et c'est ce a quoi elle est dédiée. La rébellion.
QUE PENSES-TU DE LA REVOLTE ECHOUEE ET DES REBELLES ? Elle nous a appris comment être plus fort. Nous avons trouvé une énième solution pour rester dans ce régime dictatorial. Mais nous n'avons pas échoué. Nous avons grandi, nous avons appris de nos erreurs et à présent, nous savons, un peu mieux comment faire. Nous avons certes été punis par le Capitole, mais ils ne savent pas que la seule chose qui ne peut être détruite en nous c'est l'espoir. Car pour cela il faudrait réussir à détruire nos âmes, ils faudrait détruire notre esprit et cela est impossible. Il est impossible d'enlever à quelqu'un sa raison d'être et sa raison d'avancer. Alors non, la révolte n'a pas échouée. Elle nous a rendu plus fort et elle prépare la prochaine...
➺ COMMENT QUALIFIERAIS-TU TA VIE DANS TON DISTRICT ? EN ES-TU SATISFAIT ? Infernal. Un mot, un seul, mais il est puissant. Il évoque toutes les horreurs que je peux voir dans mon district, toute la souffrance qui y règne. Je déteste cet endroit. Et mon but, c'est d'y mettre le bordel. Les pacificateurs me connaissent bien, mais ils ne se sont jamais encore décidé à m'abattre. On pourrait croire que je suis une tête brûlée, mais non. Le gouvernement a juste besoin d'être un peu secoué. On devrait jouer aux chaises musicales et les perdants devraient tous venir ici. Vivre comme moi je vis. Et peut-être qu'en suite ils se délecteront moins de notre misère.
➺ QUEL EST TON OPINION SUR LES PACIFICATEURS, LEUR ROLE, LEUR COMPORTEMENT ? Les pacificateurs ? Ces monstres qu'on engage pour calmer les foules ? Ceux qui nous fouettent sur la place publique ? Ces types en combinaisons ne sont que les sous-fifres des dirigeants. Ils tentent de maintenir le calme dans les districts et d'écraser les rebellions : par la violence. Ils donnent des exemples, ils pensent nous soumettre et ils pensent que nous avons peur d'eux. Ce n'est pas mon cas. A mes yeux ils ne sont rien, de simples petits pions, qui font bien ce qu'on leur demande sans réfléchir à quoi que ce soit. Des toutous du capitole. Ils pensent qu'ils voient tout, que nous sommes a leurs genoux. Mais ce n'est pas vrai. Nous sommes plus fort qu'eux. Nous sommes plus fort qu'eux car nous savons pour quoi nous nous battons. Ce sont tous des hypocrites doublés d'imbéciles... Tous ou presque.
➺ CROIS-TU AU BONHEUR ? Oui. Je garde espoir. Espoir que tout s'arrange et que ce gouvernement de pourris saute. L'espoir que la population ouvre les yeux et refuse enfin cette dictature. L'espoir qu'un jour on arrête de prendre nos enfants, qu'on cesse d'en faire de la chaire à canon. L'espoir que ces sauvages soient tous punis. L'espoir de redevenir libre. Je sais que c'est possible. Si on s'y met ensemble, si on commence à dire non. Et un jour viendra, où, la barbarie sera punie, où, nous serons tous égaux, où, il ne sera plus interdit de rêver et où, nous pourrons être heureux.
JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la légende. DU COUP, MON NOM AVAITbeaucoup trop,de RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE mineur ET POUR TOUT VOUS DIRE, JE n'aime pas ça. JE SUIS DANS LE 12ÈME DISTRICT. AYANT 29 ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende la prochaine moisson . ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story.
Un nouveau jour. Ici ils se ressemblent tous. Il suffit de se lever à l'aube, d'aller travailler toute la journée et de rentrer à la maison pour dormir. C'est une vie affreuse. Les habitants de ce district ne savent pas ce qu'est la liberté et pourtant, ils en rêvent tous. En particulier Audrey. Elle est une jeune femme de 26 ans, atypique, ici tout le monde sait qui elle est. Ils ne l'admirent pas et certains même la méprisent, mais ils la connaissent. Ils la voient, souvent, qui rentre de la mine, le visage plein de suie. C'est la seule femme qui travaille là bas. Ils se demandent souvent, comment elle fait, avec son bras amputé. C'est bien simple, elle n'a pas le choix. Elle est obligée de travailler pour survivre. Et puis, il faut avouer que quelque part, ça lui plait, elle est trop fière pour l'admettre mais en faisant cela elle prouve qu'elle n'est pas si invalide et que les femmes sont aussi fortes que les hommes, aussi capables et pas simplement bonnes à faire le ménage.
Cependant, aujourd'hui c'est sur la place publique qu'ils la voient. Ce n'est pas la première fois. Elle y est attachée. Une menotte de fer à son poignet droit et une autre, trop serrée, grignote ses chaires en haut de son moignon. Elle attend sa sentence, ici, torse nu dans la neige. Un pacificateur se tient derrière elle, un fouet à la main. Son visage est impassible, elle n'a pas peur. La foule s'est agglutinée, ils attendent tous avec un intérêt malsain sa punition. Sa punition pour avoir osé dire non, pour ne pas avoir baissé le yeux. Elle respire, calmement. Celui là n'a pas l'air d'être un rigolo. Elle ne se souvient même pas combien de coups lui ont été promis. Sans prévenir, le fouet vint claquer contre la peau de dos. Elle grimace. Ça fait mal. Une sensation de brûlure s'étend et court sur son dos. Sa peau passe rapidement de laiteuse à écarlate. Les habitants regardent le châtiment, presque impressionnés, elle ne pleure pas. Elle grimace, son visage se crispe et forme d'horribles rictus. Mais aucune larme coule, à aucun moment. Sa peau craque, des plaies se créent. Ce n'est pas grave... Elle est forte... Ils ne peuvent rien contre elle. Le sang perle, goute, parcours son corps, glisse le long de ses bras, de ses seins et s'écrase dans la neige. Elle ne compte pas les coups. Mais elle les ressent, pleins de haines, toujours un peu plus violents, sadiques. Un voile noir commence à recouvrir le paysage... Et là, le néant.
Lorsqu'elle se réveille, elle est encore attachée. Les menottes ont rongées sa peau et son dos est en feu. Elle a froid. Un type est à côté d'elle, elle ne le connaît pas. Ils semble inquiet, c'est étrange. Personne ne devrait être inquiet pour elle. Elle tente se relever doucement mais vacille. Il la rattrape. Bordel, ça fait mal. Un petit cris lui échappe. Il la garde dans ses bras. Elle se débat. Son dos frotte contre ses vêtements, ce plastique... Ça lui fait mal. Attendez, plastique ? Elle se redresse d'elle même, toujours assise dans la neige, ligotée, et s'éloigne le plus possible de lui. Un pacificateur. Qu'est-ce qu'un dingue comme lui fait là ? A côté d'elle ? Elle le regarde avec haine. Il se rapproche, elle lui crache dessus. Il essuie sont plastron et se rapproche encore. Pourquoi ? Elle grogne, on dirait un animal. Il n'aura jamais peur d'elle, elle est attachée. Il n'est qu'à quelques centimètres. Elle est prête. Prête à se défendre. A sa plus grande surprise il va ouvrir ses menottes. Son moignon retombe, ça fait mal. De la chaire est arrachée, restée collée au fer par le gel et le sang. Il en va de même pour l'autre poignet. Une fois libérée, elle tente de se relever pour s'enfuir, mais tombe une nouvelle fois. Il la rattrape, encore. Elle crie. Ses plaies. Il la soutient et la relève. Elle est frigorifiée. Sa peau est bleue, ses seins tendus et le sang ne circule plus dans ses pieds.
"Je te ramène." "-Je n'ai pas besoin de toi." dit-elle en tentant de se dégager. "-Ce n'était pas moi... Si j'avais voulu te tuer, j'aurais pu le faire depuis longtemps."
Elle se débat, encore, un peu plus. Mais c'est inutile, elle est trop faible.
Un doux feu de cheminé illumine la petite pièce. Audrey s'est résignée, presque dans le coma. L'homme a fait chauffer de l'eau, et il nettoie son dos. Elle est vraiment dans un piteux état. Elle trésaille à chaque mouvement. Ça n'a jamais été aussi douloureux. Il tente pourtant d'être le plus délicat possible. Elle ne comprend pas, qu'est-ce que lui veut ce type ? Ce pacificateur. Il eut finalement terminé au bout d'une heure. Ce fut long, très long, trop long. Audrey est toujours assise face au feu, impossible à réchauffer. Et lui, il là, à la fixer. Elle ne comprend pas. Définitivement pas. De plus, elle déteste être dans cette position, cette position de faible. Ils n'ont rien à se dire. Il sait probablement qui elle est et elle à présent, elle pense avoir compris. Un pacificateur rebelle. Comment pouvait-il..? Le Capitole ne les surveillait pas ? Ou bien..? C'était tout bonnement improbable. Sa tête lui fait mal, tout ce chaud et tout ce froid... Et ce type. Elle se retourne un instant vers lui.
"-Qu'est-ce que tu me veux ?"
Il s'avance, doucement. Il avait enlevé son costume se barbare et avait enfilé un pantalon et un tee-shirt. Elle, est toujours seins nus. De toutes façons, elle ne peut pas porter de tissus... Ça faisait bien trop mal. Il s’accroupit face à elle et rapproche son visage, doucement. Elle le repousse. Ou du moins elle tente. Elle n'a pas de force mais le pousse. Il est bien plus costaud qu'elle. Il finit pas l'embrasser. C'était doux. Pour une raison qui lui est parfaitement inconnue elle se laisse faire, entièrement... Pour une fois, elle arrêtait de grogner. Elle sent son bras passer sur sa taille. Aïe. Tant pis. Elle pose sa main sur sa joue et descend le long de son cou... pour une fois que quelque chose pouvait l'apaiser.
Elle ne comptait pour personne et c'est toujours le cas. Elle ne veut pas être faible... il est inutile de s'attacher. Peut-être que c'est ambiguë, mais aujourd’hui, elle a trouvé un allié.
reality is here.
Bonjours à toutes et à tous, je suis Erio et j'ai 17 ans. Cela fait longtemps que je n'ai plus fait de RP mais votre forum m'a vraiment décidé à reprendre. J'adore écrire, c'est vraiment une passion pour moi. L'ambiance ici a l'air vraiment sympa et j'espère pouvoir reprendre plaisir à RP ! (Et oui, j'ai été "dégoutée" par des forums où le but était de poster le plus de lignes possibles, même si c'était de la daube et par des partenaires qui ne faisaient pas avancer le RP .w.). Désolée si le niveau de ma fiche n'est pas terrible, ça fait vraiment longtemps que je n'ai pas écrit et il faut que ça revienne, malheureusement c'est pas forcément évident. J'espère pouvoir tout de même développer un personnage intéressant et prendre du plaisir. Merci à tous et à bientôt sur le forum !
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Avalon R. Sweenage △ correspondances : 13212 △ points : 2 △ multicomptes : dely, ridley, dahlia △ à Panem depuis le : 23/04/2011 △ humeur : mélancolique △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : garde d'enfants
| Sujet: Re: Audrey Lloyd ► You say you want a revolution Sam 14 Déc - 14:19 | |
| Bienvenue sur MJ Ta fiche est très bien, ne t'inquiète pas Je la valide Tu viens d'être validé(e), mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent. Pour commencer, pour les vainqueurs et les membres ayant des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Si tu fais partie des potentiels tributs, va inscrire ton personnage dans les registres ici. Il faudra ensuite que tu recenses le métier de ton personnage ici. Si ton personnage est de la famille du maire de son district, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence. Il est tout à fait possible que ton bonhomme soit un rebelle. Nous avons mis en place un registre avec leur hiérarchie. Tu le trouvera ici. Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici. N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici. Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay
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