 |  Sujet: Noah Powell - Lorsque le double jeu est une affaire quotidienne.  Lun 21 Oct - 21:32 | |
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Noah Powell❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Qui suis-je ? Ça, c'est une question que bon nombre d'individus de Panem doivent se poser. « Qui est réellement Noah Powell ? De quel côté est-il ? Sommes-nous sûrs qu'il travaille vraiment pour le compte des pacificateurs et non pour celui des rebelles ? » Ça me fait marrer. J'aime faire tourner les gens en bourrique et les manipuler, mais à trop jouer avec le feu, on finit par se brûler paraît-il. Mais une chose est sûre, je me donnerai corps et âme pour les rebelles, pour mener à bien ma mission quoi qu'il arrive. Évidemment vous vous attendez à ce que je vous dise que j'exerce un métier lambda, celui commun à mon district peut-être ? Il n'en est rien, car je suis en réalité pacificateur dans le quatre depuis deux ans. Ne prenez pas cet air là, vous ne connaissais pas encore mon histoire, patience. En tout cas, je peux vous assurer que je dois être de loin la personne la plus maligne et la plus discrète du district, sans ça, je serais probablement déjà mort. Comme vous l'aurez sans doute deviné, j'ai ma part de mystère, mais je suis surtout très déterminé, combattif, et j'ai tendance à apporter une grande importance aux tâches qui me sont confiées, je m'applique vraiment vous voyez, car j'aime quand le travail est bien fait. Je suppose qu'aux vues du passé que je traîne derrière moi et qui est loin d'être enterré, je peux être considéré comme quelqu'un de revanchard et de très rancunier. A cause de celui-ci, je suis devenu insensible, autoritaire, colérique même, en fait une partie de moi a changé, je ne suis plus vraiment celui que j'étais avant. Mais bon, ne vous méprenez pas, je ne suis pas non plus un monstre au cœur de pierre, je suis même plutôt amusant et j'ai un énorme sens de l'humour. Vous me direz aussi, lorsque l'on doit inspirer la terreur tous les jours, mieux vaut avoir sa part de rigolade, on deviendrait vite cinglé sinon, ou peut-être un vrai pacificateur... Moi, je suis plutôt calme, enfin, dans ma façon d'être enfin.. Vous voyez ? Contrairement à certains quoi ! Bref. J'aime être seul. Ca me permet de faire le point avec moi-même, même si ça n'est pas souvent que je peux l'être. Sauf la nuit, mais je suis insomniaque et ça n'est pas toujours facile. Il y a une chose que je fais constamment, un toc si vous voulez. Un jour, après le drame, j'ai trouvé une balle de neuf millimètres sur le sol à l'extérieur. Je ne sais pas pourquoi je l'ai ramassé, et je me suis dit que si je la gardais avec moi, il ne m'arriverait plus aucun malheur et que je serai couvert par la réussite. Ce qu'on peut être bête parfois. Toujours est-il que j'ai cette balle constamment sur moi, je la fais glisser entre mon pouce et mon index sans arrêt dans ma poche de droite. A part ces deux choses-là, je n'ai pas vraiment de très grosses manies, sauf le fait de mentir au quotidien, mais ça c'est devenu tellement évident que je ne le compte plus comme telle. Bon, venons-en à mon physique, allons à l'essentiel. Je ne suis pas très grand, seulement un mètre soixante-dix, mais contrairement à ce que l'on pourrait croire je suis plutôt bien bâtis et j'ai une belle gueule si vous voulez mon avis, car je m'en fous de celui des autres. Je pense que je n'ai rien de plus à ajouter à ce sujet, vous avez qu'à ouvrir les yeux et vous verrez par vous-mêmes. about games and relative.
➺ COMMENT VOIS-TU TA MORT ? Ma mort ? Ma mort... Je la vois sombre, lente et extrêmement douloureuse. Je finirai sûrement par me faire prendre. On peut duper plusieurs personnes pendant plusieurs années, mais il y a bien un moment où la vérité finie par éclater au grand jour. Et puis, je sais que certains ont des doutes sur moi et mes intentions, on m'observe attentivement, on me fait une confiance aveugle, et au seul faux pas, c'est l'interrogatoire. On me traîne dans une cave, un endroit humide et qui sent le moisi, on m'attache, on me torture, on veut me faire cracher le morceau, je résiste, je ne lâche rien, on me bât, car on sait qu'on ne tirera rien de moi, alors je finis par mourir d'épuisement, de faim, de soif... Voilà comment je la vois ma mort. La mort de quelqu'un qui se sera battu pour la cause des rebelles jusqu'à sa mort.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? La réponse à cette question paraît évidente. La plupart des habitants de Panem vous répondraient qu'ils seraient près à mourir pour aider leur famille à avoir de la nourriture, pour leurs parents, pour ne pas voir le nom d'un être cher tiré au sort et partir pour les jeux, pour assurer une longue et belle vie à leur famille et pour bien d'autres choses encore. Les choix se tourneraient presque toujours autour de la famille, des jeux... Moi il n'en est rien, je n'ai plus de famille. Mes parents sont morts, je crois. Moi, je pourrais mourir pour les rebelles, pour voir le Capitole et sa dictature abattue, pour voir le président torturé sur la grande place et se vider de son sang devant tout le monde, les yeux grands ouverts et remplis de peur sentant sa fin plus proche que jamais. Voilà, ce pour quoi je pourrai mourir.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? C'est triste à dire, mais oui, oui j'en ai un qui a participé aux jeux, un seul. C'était mon petit frère, Harrison. Pourquoi je parle de lui à l'imparfait ? Parce qu'il est mort durant les 70th Hunger Games alors qu'il n'était âgé que de treize ans. C'était en 2304, il y a huit ans et je m'en souviens comme si c'était hier. Son nom n'était pourtant marqué que deux fois dans une urne où bon nombre de noms devaient être inscrits jusqu'à douze fois, voir plus encore. Comment est-ce que ça a pu tomber sur celui-ci ? Sur le sien ? Depuis ce jour, je me suis dit que ces urnes étaient truquées, j'en suis certains, ça n'est pas possible autrement. C'était mon frère, le seul que j'avais, mon petit frère à moi et il est mort... Et il a emporté une petite partie de moi avec lui.
➺ QUE PENSES-TU DES VAINQUEURS DES JEUX ? Les vainqueurs ? Pour moi, tuer des innocents pour sauver sa peau alors que tout Panem les regarde n'est pas une victoire. Je suppose que ces gens-là doivent en avoir gros sur la conscience et qu'ils doivent en faire des cauchemars la nuit. Je ne peux pas me mettre à leur place, je n'arrive pas à m'imaginer vainqueur d'un jeu aussi terrible que les Hunger Games. Et dire qu'il y en a qui sont entraînés depuis leur plus jeunes âges pour se porter volontaire. Ces tributs-là méritent d'être tués dans les jeux dès le premier quart d'heure, comme la moitié des tributs de l'arène. Malheureusement, se sont souvent eux les « vainqueurs » des Hunger Games. Même s'ils ne sont pas tous à mettre dans le même lot, je méprise ces gens-là.
➺ CROIS-TU AU BONHEUR ? Qu'est-ce que le bonheur ? Comment peut-on croire en quelque chose que l'on n'est pas sûr d'avoir déjà ressenti ? Parfois je me demande comment était la vie avant, il y a plusieurs centaines d'années, est-ce qu'elle était semblable à celle que l'on vit aujourd'hui, était-elle meilleure, pire ? Connaissaient-ils le bonheur eux ? On ne pourra jamais le savoir. Comment définir le bonheur ? Je suppose que c'est un sentiment utopique et l'on ne pourra sans doute jamais atteindre. Mieux vaut ne pas se faire d'illusions et croire en quelque chose que l'on ne pourra jamais avoir.
JE VIENS D'UN MILIEU PLUS OU MOINS FAVORISÉ, ÇA DÉPEND LES POINTS DE VUE, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE EST ASSEZ PRÉSENTE. DU COUP, MON NOM A AUCUN RISQUE D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE PACIFICATEUR ET POUR TOUT VOUS DIRE JE SUIS INFILTRÉ POUR LES REBELLES DU 13, JE DONNERAI CORPS ET ÂME POUR MENER A BIEN MA MISSION. JE SUIS DANS LE 4ÈME DISTRICT. AYANT 24 ANS JE NE PEUX PLUS PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET C'EST PEUT-ÊTRE MIEUX AINSI.
tell us your story. Désolé, mon histoire est un peu longue et si je ne la mettais pas en spoiler ça faisait un poste de 3 000km...  - Spoiler:
Chapitre Premier – L’enfance correcte. Je suis né un vingt-huit mai il y a vingt-quatre ans de cela dans le district quatre. Trois ans plus tard, c'était à mon petit frère Harrison de voir le jour. Nous n'avons pas eu une enfance très difficile, car mes parents étant pêcheurs, nous avons toujours pu manger à notre faim, ou du moins, nous n'avons jamais connu les crampes à l'estomac que certains tributs peuvent connaître dans leur district. J'ai très vite appris à me servir des instruments nécessaires à la pêche et j'y ai vite pris goût. Le métier de pêcheur n'est pas le plus désagréable, pas comme celui de mineur par exemple, je ne supporterai pas d'être plongé dans la pénombre durant une grande partie de ma vie. Enfin bref tout ça pour vous dire que ça me plaisait bien la pêche même si c'était pour nourrir les habitants du Capitole. A cette époque, je n'étais pas en âge de comprendre ce que cela impliquait, ce que cela nous rabaissait à faire. Mes parents qui étaient Pro-Capitole et qui ne se cachaient pas pour le crier haut et fort, avait essayé de nous inculquer à moi et mon frère cette idéologie dès notre plus jeune en nous faisant du bourrage de crâne, « Le Président Snow est une personne extrêmement respectable, nous nous devons de l'écouter sans broncher, sinon on se ferait virer de la maison par les hommes en blanc dehors. Vous ne voulez pas que l'on vive comme des misérables hein les enfants ? » ou encore « Les Hunger Games ont été instaurés par notre seule unique faute à nous autres habitants des districts, nous devons payer pour avoir voulu nous soulever contre le Capitole. ». A dire vrai, cela ne me disait pas grand-chose, je ne m'en souciais pas trop à quinze ans, mais quand j'y repense maintenant, ces paroles me donnent la gerbe. Des amis j'en avais, mais on évitait de trop me parler en connaissant l'idéologie de mes parents. Sauf peut-être quelques-uns ayant des parents qui partageaient la même. De toute manière je me fichais d'avoir des amis ou non, tant que j'avais mon frère c'est ce qui comptait. Il était la personne qui m'étais la plus chère, j'étais son aîné et je me devais de le protéger et de lui venir en aide lorsqu'il était en danger. C'était un jeune garçon très fragile vous savez, fébrile, qui tombait facilement malade et qui avait besoin qu'on le protège plus que quiconque. Évidemment, mes parents ne partageaient pas le même avis, pour eux j'étais néfaste à la bonne évolution de mon frère, j'en faisais un faible, un minable qui ne pouvait pas se défendre tout seul. Malheureusement je ne pouvais pas m'empêcher de trop le couver, et j'en ai payé le prix fort.Chapitre Deux – « Harrison Powell » Le jour de la moisson de 2304, nous nous sommes préparés pour aller sur la place mon frère et moi. C'était la deuxième année que mon frère pouvait être appelé et moi la cinquième, nous n'avions jamais eu à échanger de tessera contre nos noms, alors cela restreignait nos « chances » ne participer aux jeux. Je n'avais jamais eu peur d'être appelé, car je ne m'étais jamais imaginé dans l'arène. Mais ce jour-là j'eus un terrible pressentiment, de ceux qui vous font battre le coeur plus rapidement qu'à son habitude. Lorsque l'homme est arrivé sur la place et a tiré au sort le papier de la boule en verre des tributs homme mon coeur s'est serré et j'ai fait un malaise. Vous savez dans ce genre de cas, on s'en fiche un peu qu'une ou deux personnes fassent des malaises, car ça n'était pas la première fois que cela arrivait, il y a juste des pacificateurs qui débarquent et vous éloignent. Évidemment si c'est vous qui êtes appelés, ça ne vous exclu pas de la participation. Lorsque j'ai repris connaissance j'étais chez moi, allongé sur mon lit, ma mère en train de pleurer. Je n'ai pas compris tout de suite, puis j'ai cherché mon frère, encore et encore je ne le trouvais pas et c'est là que mon père est venu m'éclairer « Ton frère est parti Noah, il ne reviendra pas. »Chapitre Trois – La Fuite.
Le visionnage des jeux a été plus qu'insupportable, c'est comme ça que j'ai compris ce que ressentait les familles des tributs envoyés dans l'arène. Mon frère aura survécu en tout et pour tout trois jours dans l'arène avant de se faire tuer par un tribut carrière du un. Je m'en veux encore d'avoir été aussi faible, car sans ce malaise, je me serais porté volontaire pour lui et il est mort maintenant et je ne peux plus rien y changer. Peut-être que mes parents avez raisons, peut-être que je l'avais trop protégé et que sans moi il aurait survécu plus longtemps... Les mois qui ont suivi ont été très dur pour moi, je n'arrêtais pas de me prendre la tête avec mes parents jusqu'à ce que ça soit la fois de trop. La fois où ils m'ont dit que mon frère était mort pour le capitole, parce que le sort en avait voulu ainsi et parce qu'il devait lui aussi payer pour la rébellion de nos ancêtres. Comment peut-on dire ça de son enfant décédé à des jeux aussi barbare et immorale que les Hunger Games ? La nuit qui suivait, je suis parti baluchon sur l'épaule et je n'ai plus jamais reparlé ni revu mes parents. Je ne savais pas où aller, mais je voulais à tout pris partir du quatre. Dans la soirée, j'ai rencontré une vieille femme qui m'a reconnu et qui m'a dit que j'étais le petit fils d'un dénommé Edouard Powell. Je n'ai jamais connu mes grands-parents, on ne m'a jamais parlé d'eux, je pensais qu'ils étaient tous morts. La femme, qui s'appelait Romilda, me raconta alors ce que l'on m'avait toujours caché. Elle me fit part d'une rébellion dans le treize que je croyais rasé. Mon grand-père -le père de mon père- qui était encore vivant en faisait partie et vivait là-bas. Pour une raison qui m'était encore inconnu, mon père n'avait pas voulu suivre le sien dans sa rébellion contre le Capitole. C'est sans doute pour cela qu'il ne nous avait jamais parlé de son père à mon frère et moi. J'ai alors expliqué à Romilda que je voulais à tout prix rejoindre le treize et rencontrer mon grand-père afin de me rallier à la cause des rebelles. Elle qui était rebelle de surcroit m'affirma qu'elle entretenait une très bonne relation avec lui et qu'elle pouvait me donner les indications nécessaires pour parvenir jusqu'au treize. C'est alors ce qu'elle fit. Avant de partir elle me donna son unique photo de mon grand-père afin que la reconnaissance soit plus facile.Chapitre Quatre – L’arrivée au District 13. J'ai dû mettre trois jours à rejoindre le treize. Une fois là-bas ça n'a pas été très difficile de retrouver mon grand-père, mon père lui ressemblait beaucoup. Apparemment, c'était quelqu'un de respecté au treize, sûrement par rapport à son âge. Après avoir rattrapé le temps perdu, il m'a présenté à plusieurs de ses amis rebelles. Je lui ai ensuite expliqué que je voulais vraiment faire partie « des leurs », mais il m'expliqua que pour cela je devais leur prouver qu'ils pouvaient me faire confiance. J'ai passé deux ans à faire chaque petite mission qu'on me demandait de faire jusqu'au jour où quelque chose a fait qu'ils m'ont accordé leur confiance. Ça nous arrivait de devoir accueillir les nouveaux arrivaient au treize, souvent des personnes venant des districts pauvres tel que le dix ou encore le douze. Notre devoir était de les aider à se repérer dans les souterrains, car nous savions que ça n'était pas facile au début étant passé par là. Évidemment, leurs noms étaient répertoriés, et nous devions nous assurer qu'ils étaient tous présents, jusqu'au jour où un homme manquait à l'appel. Il venait du district sept et voulait se dédier à la rébellion plutôt que de pourrir dans son district, mais il y avait quelque chose avec ce type qui clochait, je ne pouvais pas dire quoi, mais je le sentais, alors je me suis porté volontaire pour le chercher. Évidemment le premier endroit où je me suis rendue fut la chambre de cet homme, ne le trouvant pas j'ai voulu m'en aller, mais une petite chose brillante qui dépassait de sous son oreiller m'a retenu. Lorsque je me suis approché pour saisir l'objet doré, j'ai pu constater que c'était une broche, mais pas une petite broche peu coûteuse que l'on peut trouver au sept. Lorsque je l'ai retourné, j'y ai vu le sceau du Capitole et ainsi, tout est devenu clair, c'était un infiltré venu de là-bas. Le type n'a pas vraiment eu de chance sur ce coup, car il a rappliqué et a voulu me faire du mal. Malheureusement pour lui, j'avais plusieurs heures d'entraînement derrière moi, ça n'a pas été très difficile de le maitriser. Après quoi je l'ai dénoncé et j'ai reçu la reconnaissance des rebelles qui m'ont donné pour mission de moi-même m'infiltrer chez les pacificateurs. Au moins l'homme aura servi à leur apporter une idée.Chapitre Final – Le nouveau Pacificateur Comme tous pacificateurs, ma formation a duré deux années. Autant vous dire que ça n'a pas toujours été du gâteau, ces gens-là ne rient pas pour ce qui est des entraînements. Durant ces deux ans, j'ai essayé de me faire chaque jour plus petit afin de ne pas trop me faire remarquer par les autres, d'autant plus que je haïssais ces personnes, alors ça n'était pas très difficile de ne pas se créer d'affinités avec elles. Bon c'est vrai qu'il y avait deux ou trois nanas pas mal dans le deux... Bah quoi ? Je suis un mec je vous rappelle. Bref, une fois ma formation terminée, je me suis retrouvé de nouveau dans le quatre. Plutôt amusant non ? C'est là que j'ai fait la rencontre de Joao Theron, un de mes collègues pacificateurs avec qui j'entretiens une relation copain-copain depuis deux ans maintenant. Je pense que ce gars est beaucoup plus attaché à moi que l'inverse. Enfin vous voyez, il se confie un peu trop à moi, plus qu'à un simple ami à mon goût. Au moins, il me sert de couverture, il ne me rend que plus crédible pour les autres pacificateurs. Merci Joao.
reality is here.
Bien le bonsoir à vous tous ! En réalité je m’appelle Morgane, mon pseudo est Mog24, j’ai 17 ans et je passe mon bac littéraire à la fin de l’année. Sinon, je viens de France, j’habite une ville à 15min de Paris-Est en train et c’est bien comme ça. Si j’ai lu le livre ? Oui j’ai lu les trois et… JE LES AIME AAAAAH ! Si je pouvais me marier avec, je le ferai haha. Sinon, comme je l’ai dis dans la partie questions des invités, le forum est plus qu’à la hauteur de mes attentes, c’est une véritable tuerie, une bombe, de la dynamite, juste ouah ! Un grand merci aux fondatrice de ce bijou. En plus vous avez l’air plutôt sympathique, en tout cas, j'ai bien été accueillie dans la partie invité haha. Rien de plus à ajouter à part que j’ai hâte de vous rejoindre !  FEATURING celebrity © COPYRIGHT frostingpeetaswounds.tumblr
Dernière édition par Noah Powell le Lun 28 Oct - 14:36, édité 28 fois |
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