Charlie T. Seearden △ correspondances : 181 △ points : 0 △ multicomptes : Reed, Julian & Gold △ à Panem depuis le : 21/09/2013 △ humeur : Troublée. △ âge du personnage : Vingt-sept ans. △ occupation : Pacificatrice, médecin de terrain.
| Sujet: Do whatever you're gonna do... and go to hell. - Charlie. Sam 21 Sep - 19:42 | |
| Charlie Talissa Seearden ❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Le reflet que me renvoie le miroir n’a rien d’agréable, la vision de la silhouette qui me fait face est même difficilement supportable. Je peine à reconnaître la brune de vingt-six ans que j’y aperçois et qui me fixe de ses grands yeux verts, encore humides d’avoir versé trop de larmes. On avait autrefois coutume de m’appeler Charlie. Désormais, on ne me connait plus que sous mon deuxième prénom, Talissa. Renoncer à mon prénom de baptême était pour une moi une façon comme une autre de renier mon passé, ce passé qui ne représente aujourd'hui rien de plus qu’un fardeau trop lourd à porter pour mes frêles épaules, usées par les épreuves et les obstacles que la vie n’a cessé de placer sur mon chemin. Pour oublier la fille que j’ai autrefois été, et ces gens que j’ai un jour aimés. Un cœur en lambeaux, c’est tout ce qu’il me reste de mon ancienne vie. Ma mère m’a dit un jour que la peine que je ressentais s’amenuiserait au fil des ans, s’étiolerait au gré du temps. C’est faux. La douleur ne s’atténue pas, elle est toujours aussi vive.
J’ai vu le jour dans une famille pauvre, comme tant d’autres au District 11. La vie y était rude et épuisante, et il ne se passait pas un seul jour sans qu’un de nos voisins ne succombe à la famine dans l’indifférence générale. Nous manquions de beaucoup de choses, mais certainement pas d’amour. Malgré tout, je ne peux pas dire que j’ai connu une enfance heureuse. Bien au contraire. J’y ai vécu quinze années horribles, à travailler dans les champs de l’aube à la tombée de la nuit, me tuant à la tâche, avant de fuir pour le District 13, promesse d’une vie meilleure, suite au décès de ma jeune sœur. Elle était mon rayon de soleil, le centre de mon univers et mon monde s’est écroulé sur lui-même quand elle m’a quittée. Elle me manque horriblement, son absence est un supplice de tous les jours, mais je ne peux m’empêcher de songer qu’elle est mieux là où elle est. Cette vie n’était tout simplement pas faite pour elle ; douce et pure comme elle l’était, elle n’aurait jamais supporté la cruauté et l’injustice qui régissent ce monde sans pitié.
La vie au 13 n’était pas plus agréable que dans mon District natal, mais dotée d’une faculté d’adaptation et d’un instinct de survie à toutes épreuves, je me suis rapidement accommodée, jusqu’à y faire mon nid, petit à petit. Jugée trop peu vigoureuse pour rejoindre leur armée, je me suis alors tournée vers une formation de guérisseuse, discipline dans laquelle j’ai rapidement fait mes preuves. Plus qu’une évidence, soigner était pour moi une véritable vocation. J’avais trouvé ma place, mon utilité, j’appartenais enfin à un groupe, et pour la première fois de ma vie, je me sentais protégée, à l’abri de tout danger. Mais hélas, tout ceci n’était pas au goût du Destin qui avait d’autres plans pour moi. Il faut croire que toutes les bonnes choses ont une fin.
A l’aube des mes vingt-et-uns ans, un pacificateur infiltré parmi nous, se sentant acculé, m’a pris en otage pour quitter sans encombre les souterrains du 13. Personne n’a levé le petit doigt pour me venir en aide, personne n’a tenté quoi que ce soit pour me sauver des griffes de mon ravisseur. Ni mes parents… ni même Jorah. Leur indifférence m’a brutalement fait comprendre que je n’avais pas autant d’importance à leurs yeux que je le pensais. Pas plus que je n’en avais pour le 13. Cruelle désillusion. Je n’étais qu’un vulgaire pion dans leur jeu d’échec, facilement remplaçable, qu’ils étaient prêts à sacrifier sans ciller. Car au 13, je ne l'ai compris que plus tard, une vie n’a aucune valeur, seule compte la communauté.
Alors que je pensais qu'il m'abandonnerait - ou me tirerait une balle dans la tête - dès que nous serions à l'air libre, le pacificateur, pour une raison que j'ignore, m'a gardé en otage jusqu'à rejoindre son QG. Dès lors, j’ai été contrainte d’obéir au moindre de leur ordre, de me plier à leur volonté pour ne pas perdre la vie. Mais petit à petit, ils m’ont ouvert les yeux, et m’ont fait comprendre que depuis tout ce temps, je vivais dans l’erreur. La rébellion est une gangrène pour notre société, et il est vital d’y mettre un terme, avant que chaque citoyen en paie le prix. Trop de sang a déjà coulé, trop de larmes ont été versés. Je suis désormais pacificatrice, cantonnée pour le moment dans le District 4, prête à tout mettre en œuvre pour maintenir la paix à Panem. D’un naturel calme et patient, peu favorable à la violence et réfractaire à toute autorité, je n’avais pas vraiment les qualités requises pour ce poste, mais ma discrétion et mon don oratoire, employés à bon escient pour soutirer des informations aux rebelles capturés, sont très appréciés. Aujourd’hui, j’exècre tout ce que le District 13 représente, et je suis encore animée d’une haine féroce à l’égard de ces gens que je considérais comme ma propre famille, et qui ne sont jamais venus me chercher quand j’avais désespérément besoin d’eux. Et croyez-moi, je le leur ferai payer. A n'importe quel prix. about games and relative.
(choisissez au moins cinq questions qui sont les plus pertinentes pour la présentation de votre personnage, et supprimez les autres ainsi que le spoiler. répondez en un minimum de cinq lignes.)
- Spoiler:
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Autrefois, j’aurai pu sacrifier ma vie sans la moindre hésitation si cela pouvait épargner celle de ma jeune sœur. Mais aujourd’hui… il ne me reste plus personne. Plus personne qui ait de l’importance à mes yeux. Ma sœur, mes parents, mes deux frères, Jorah… Toutes ces personnes que j’aimais ne sont désormais plus qu’un vague souvenir, encore bien trop douloureux pour être évoqué, alors je les relègue dans un coin de mon esprit, déterminée à ne plus jamais songer à eux, à tirer un trait sur ce passé qui m’encombre et dont je ne veux plus. Plus personne ne m’attend nulle part, et je n’ai plus à m’inquiéter pour qui que ce soit. La solitude me pèse parfois, mais au fond, peut-être est-ce mieux ainsi. Et je ne mourrais certainement pas pour mes convictions, je n’en ai jamais eu aucune. ➺ QUEL(S) PETIT(S) PLUS T'AIDE(NT) DANS LA VIE (OU LES JEUX) ? Mes talents de guérisseuse s’avèrent toujours très précieux, quelle que soit la situation. J’ai sauvé plusieurs de mes collègues Pacificateurs de la mort, quand ceux-ci étaient tombés sous le feu ennemi. Ma capacité d’analyse et mon sang-froid à toute épreuve m’empêchent de me jeter tête baissée dans la mêlée ; je réfléchis toujours avant d’agir, ce qui m’épargnera, je l’espère, de tomber un jour dans un guet-apens que ces lâches de rebelles nous tendent. Ce qui ne veut pas dire que je suis incapable de bravoure et de courage. Au contraire, je me montre même parfois tête brûlée ; la mort ne m’effraie pas, je n’ai plus rien à perdre ici-bas. Méfiante de nature, je n'accorde pas facilement ma confiance, du moins plus aussi facilement qu'autrefois. Je suis certaine que cela m'évitera bien des désagréments, pas question de me faire avoir encore une fois. Mon calme et ma patience exemplaire m’ont souvent permis d’arracher des aveux aux rebelles quand les coups et la torture n’apportaient aucun résultat. J’ai conscience que ma douceur, ma discrétion et mon dégoût pour la violence tranchent avec le caractère, parfois extrême, des autres Pacificateurs, mais je n’exerce pas ce métier pour me défouler sur de pauvres innocents mais pour le bien de la communauté. En vérité, j’excelle dans un métier qui ne me plait pas particulièrement, mais qui s’avère nécessaire pour maintenir un semblant de paix dans Panem. Mais le poste a également ses avantages : je mange aujourd’hui à ma faim et quel plaisir de ne plus apercevoir mes côtes décharnées lorsque je me regarde dans un miroir. QUE PENSES-TU DE LA REVOLTE ECHOUEE ET DES REBELLES ? A mes yeux, les rebelles sont tous des lâches qui se terrent dans un trou et qui n’osent pas nous affronter de face. Ce sont des vermines que la société doit éradiquer jusqu’au dernier pour espérer rétablir la paix, tant désirée. Ils ne songent pas au bien-être de la population et ne servent que leurs propres intérêts. On ne peut pas se fier à leur parole, et je suis bien placée pour en parler. J’ai commis l’erreur de leur accorder ma confiance et en retour, ils m’ont brutalement planté un poignard dans le dos. Je les déteste de toutes les fibres de mon être, et le fait que ma famille ait adhéré à cette cause ne me fera pas changer d’avis. Leur arrogance m’insupporte ; que croient-ils ? Qu’ils sont capables de changer les règles, de créer un monde meilleur ? Qui dit que la vie ne sera pas plus difficile s’ils s’emparaient du pouvoir ? Pour avoir personnellement vécu parmi eux, je peux vous assurer que ce sont loin d’être des anges qui se battent pour libérer Panem du joug du Capitole, comme ils se plaisent à le faire croire. Menteurs. Lâches. Vermines. Leur rébellion a logiquement échoué; ils ont fait l'erreur de surestimer leurs forces armées. Leur trop-plein de confiance en eux les a mené à leur perte. ➺ AS-TU PRIS PART AUX DERNIERS EVENEMENTS, QUE CE SOIT POUR OU CONTRE LE CAPITOLE ? J'ai bien sûr rempli mes devoirs. J'ai combattu pour la Liberté, et une fois la rébellion matée, j'ai évidemment arrêté les rebelles qui avaient pris part à cette révolte. Ils ont été punis comme ils le méritaient. Alignés contre un mur et une balle dans la tête. Ce n'est pas moi qui ait exécuté la sentence; faire couler le sang est à l'encontre de mes principes de guérisseuse, mais je dois avouer que j'ai assisté à ces mises à mort avec une satisfaction non dissimulée. C'était un grand pas pour le rétablissement de la paix. ➺ QUEL EST TON OPINION SUR LES PACIFICATEURS, LEUR ROLE, LEUR COMPORTEMENT ? Je n'approuve pas leurs méthodes musclées et la violence dont ils font souvent preuve. Selon moi, il ne leur est pas nécessaire d'agir si brutalement pour remplir leur mission. J'ai rejoins leur rang parce que je veux protéger et servir Panem, mais aussi pour régler mes affaires personnelles et assouvir ma vengeance contre le District 13. Mais je ne les juge pas. Peut-être ont-ils traversé des épreuves aussi difficiles que les miennes pour être aujourd'hui à ce point animés par la colère et la haine. Peut-être ont-ils également des raisons d'en vouloir à ce point aux rebelles. Mais rongée par cette rage qui bouillonne en moi, qui dit que je ne basculerais pas du côté obscur de la force et sombrerais petit à petit dans la violence, comme tant d'autres avant moi ?
JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE a longtemps été absente mais est aujourd'hui abondante. DU COUP, MON NOM A zéro RISQUE D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE Pacificatrice ET POUR TOUT VOUS DIRE, JEn'aime pas tellement ça, mais je m'y accomode. JE SUIS DANS LE 4ÈME DISTRICT. AYANT vingt-six ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET le temps où je tremblais en attendant que mon nom soit tiré au sort est loin derrière moi.. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT. tell us your story.
I wish I never knew you, wish I never asked your name.
Elle n’entendait rien d’autre que les battements de son cœur, qui tambourinait frénétiquement dans sa poitrine, si vite, si fort, que c’en était presque douloureux. Elle ne ressentait rien d’autre que cette peur panique, dévorante, déchirante, qui semblait ne faire plus qu’un avec elle-même et qui l’empêchait de réfléchir correctement à la situation. La morsure du métal contre sa tempe lui intimait de se plier docilement aux moindres volontés de son ravisseur. Avance. Tourne. Marche plus vite. Ce n’était pas si difficile, il lui suffisait de poser un pied devant l’autre. Encore. Et encore. Les sanglots coincés dans sa gorge menaçaient de la submerger à chaque instant, mais elle luttait de toutes ses forces pour refouler ses pleurs. Pas question qu’elle verse la moindre larme : son orgueil refusait de donner cette satisfaction à l’homme qui braquait une arme sur sa tête, prêt à lui faire exploser le crâne si on ne le laissait pas quitter les souterrains du 13 sans encombre. Cet homme qui ne lui avait jamais inspiré la moindre confiance et dont, aux vues des circonstances actuelles, elle avait eu raison de se méfier. Cet homme qui, elle le sentait, elle l’avait toujours senti, ne l’avait jamais vraiment porté dans son cœur. Mais bon sang, pourquoi avait-il fallu que ce soit le père de Jorah, son plus proche ami, ici, au District 13 ? Tout aurait été tellement plus facile si… si quoi, Charlie ? Hm, si quoi ? Si tu n’avais pas rencontré Jorah ? Si tu n’étais pas tombée amoureuse de lui ? Si son père n’était pas un putain de Pacificateur, qui tient désormais ta vie entre ses doigts ?
Quelques jours auparavant, Charlie avait tenté de prévenir Jorah à propos des rumeurs inquiétantes qui circulaient au sujet de son père. D’ordinaire, elle n’accordait que peu de crédits aux racontars de bas-étage, mais cette fois-ci, elle devait bien reconnaitre que l’attitude de son père lui paraissait extrêmement suspecte. Mais elle aurait dû tenir sa langue, car non seulement Jorah ne l’avait pas cru, mais en plus, il s’était violemment emporté contre elle, et la lueur de rage qu’elle avait lue dans ses yeux l’avait littéralement terrorisé. Elle, dont la simple présence de Jorah dans les parages lui redonnait le sourire, s’était ce jour-là sentie menacée. En danger. Pour la première fois de sa vie, elle avait eu terriblement peur de lui, de sa nature impulsive et violente et elle s’était depuis évertuée à l’éviter autant que possible. Jusqu’à… Jusqu’à aujourd’hui. Jusqu’à ce qu’un fou furieux, qui n’était autre que son père, la prenne en otage en l’utilisant comme bouclier humain, prouvant ainsi qu’elle avait eu raison d’émettre des doutes à son sujet. Mais à quoi s’attendait-elle ? Pensait-elle que Jorah allait immédiatement prendre son parti et se retourner contre son père, l’homme qui l’avait élevé et qui avait fait de lui le meilleur soldat du District ? C’était ridicule. Il était pourtant évident qu’il défendrait son père. Après tout, rien de plus normal ; c’était son père, et à ce titre, il l’aimait. Mais elle avait cru… Elle avait cru l’espace d’un instant que, peut-être, il l’aimerait assez pour prendre son avis en compte. Il fallait croire qu’elle s’était totalement fourvoyée, et le retour à la réalité était brutal. Peut-être un peu trop. Elle ne représentait rien à ses yeux.
Et alors qu’elle pensait à lui, voilà qu’il se matérialisait en chair et en os dans la foule qui se pressait dans les couloirs, attirée par l’agitation du moment. Pour une fois qu’il se produisait quelque chose d’un tant soit peu intéressant dans ce District… Bon sang, elle qui n’aspirait qu’à vivre tranquillement dans son coin, la voilà propulsée sur le devant de la scène, au centre de toutes les attentions, et elle détestait tous ces regards inquiets, surpris, contrariés ou tout simplement neutres braqués sur elle. Tous sauf un… Jorah. Elle voulut lui crier qu’elle l’aimait et qu’elle voudrait tant qu’il lui pardonne, mais les mots restèrent bloqués dans sa gorge. Mais le jeune homme ne pouvait rester les bras ballants… Il allait inévitablement lui venir en aide, car lui seul saurait trouver les mots pour convaincre son père de la libérer de son étreinte mortelle. Son coeur se gonfla d'espoir. Il allait voler à son secours, comme le prince charmant qu’elle avait toujours vu en lui, même si elle savait pertinemment que ces histoires d’amour éternel et de preux chevalier qui sauvait la princesse avant de l’emporter sur son cheval blanc n’étaient que des idioties qu’on racontait aux enfants pour leur dissimuler la brutalité du monde dans lequel ils grandiraient. Il… Il… Il ne faisait absolument rien. Le dernier regard qu’elle lui lança était éloquent ; il traduisait son incompréhension et sa stupeur face à son manque de réaction. La dernière chance pour lui d’agir lui fila entre les doigts. Déjà, elle avait tourné à l’intersection du couloir, bientôt ils seraient à l’air libre, bientôt, elle saurait quel sort son agresseur lui réservait. La laisserait-il partir, ou lui tirerait-il une balle dans la tête ? Mais pour le moment, ce n’était pas cette question qui la préoccupait le plus. Jorah… Pourquoi ? Profondément blessée par son attitude froide et distante, elle ne put retenir davantage ses larmes. Le garçon qu’elle aimait, celui qui lui avait fait reprendre goût à la vie après le décès de sa sœur, ce garçon-là n’avait absolument rien tenté pour la sauver des griffes de son père. Ne comptait-elle donc pas dans sa vie ? S’était-elle imaginée entre eux des regards complices, des sourires attendris qui n’avaient en réalité jamais existé ? S’était-il servi d’elle ? N’avait-elle été qu’un vulgaire pion dans ses jeux ? Etait-il complice de son père ? Oui, forcément… Charlie sentait qu’elle avait mis le doigt sur la vérité. Elle était persuadée que Jorah savait depuis le début que son père était un pacificateur infiltré ; peut-être même l’aidait-il dans sa tâche. Oui. Oui, seule cette hypothèse expliquait son absence de réaction. Son plus proche ami l’avait tout simplement… trahie. Son père avait tout intérêt à lui tirer une balle dans la tête, car s’il commettait l’erreur de la laisser en vie… Elle le fera payer très cher à Jorah. On ne jouait pas impunément avec son coeur ; il allait bientôt le comprendre.
reality is here.
Salutations distinguées à tous ! C'est Elyas, qui revient vous enquiquiner sous un autre compte ! Entre temps, rien n'a changé, j'ai toujours 22 ans, et je me dirige vers mes 23 (je ne peux malheureusement pas retourner vers mes 21 ans), et j'étudie toujours en fac' de pharmacie, ce qui n'est pas du gâteau, je peux vous l'assurer. Je suis toujours autant fan de HG (team Peeta !) et j'attends le second film avec impatience Au plaisir de vous croiser au cours d'un rp ! FEATURING Lauren Cohan © COPYRIGHT ftumblr
Dernière édition par Charlie T. Seearden le Mar 24 Sep - 21:22, édité 27 fois |
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