CHICAGO FIRE - 10
MODERN FAMILY - 10
NEW GIRL - 10
GAMES OF THRONE - 11
HAWAII 5-0 - 10
ONCE UPON A TIME - 08
ARROW - 10
SUPERNATURAL - 12
PRETTY LITTLE LIARS - 10
GLEE - 09

II/Les indicateurs économiques alternatifs :
B/ Découvrir un indicateur économique alternatif : Bonheur National Brut.
Cet indicateur est une tentative de définition du niveau de vie en des termes plus psychologiques. Il a été préconisé par le roi du Bhoutan WANGCHUCK en 1972.Il prend en compte le PIB croissance et développement économiques (produit intérieur brut) et l’IDH (indicateur de développement humain). Et prend en compte quatre autres indicateurs :
-croissance et développement économiques
-conservation et promotion de la culture bhoutanaise
-sauvegarde de l'environnement et utilisation durable des ressources
-bonne gouvernance responsable
De part ces critères, le roi a décidé d’instaurer d’autres objectifs comme l’apprentissage de la langue nationale, la sauvegarde de l’environnement et le développement de la culture.
Cet indicateur se base sur quatre variables qui sont :
-l’économique
-l’environnement
-la santé physique
-la santé mentale
-le bien-être au travail
-le bien-être social,
-la santé politique.
De nombreuses limites apparaissent. Le bonheur n'est pas quantifiable et sa mesure ne peut reposer que sur des mesures qualitatives, des indicateurs indirects ou la déclaration, toujours subjective, des personnes interrogées. La fiabilité de ces résultats dépend donc de la manière dont les informations sont collectées et analysées.
Le discours sur le Bonheur national brut est remis en cause par le Premier ministre nommé en juillet 2013, Tshering Tobgay, qui explique que le gouvernement précédent a passé beaucoup plus de temps à en parler qu'à agir, et relève que le pays est confronté à quatre grands défis : l'endettement, la monnaie, le chômage, dont celui des jeunes, et la perception d'une corruption croissante.

II/Les indicateurs économiques alternatifs :
B/ Découvrir un indicateur économique alternatif : Bonheur National Brut.
Cet indicateur est une tentative de définition du niveau de vie en des termes plus psychologiques. Il a été préconisé par le roi du Bhoutan WANGCHUCK en 1972.Il prend en compte le PIB croissance et développement économiques (produit intérieur brut) et l’IDH (indicateur de développement humain). Et prend en compte quatre autres indicateurs :
-croissance et développement économiques
-conservation et promotion de la culture bhoutanaise
-sauvegarde de l'environnement et utilisation durable des ressources
-bonne gouvernance responsable
De part ces critères, le roi a décidé d’instaurer d’autres objectifs comme l’apprentissage de la langue nationale, la sauvegarde de l’environnement et le développement de la culture.
Cet indicateur se base sur quatre variables qui sont :
-l’économique
-l’environnement
-la santé physique
-la santé mentale
-le bien-être au travail
-le bien-être social,
-la santé politique.
De nombreuses limites apparaissent. Le bonheur n'est pas quantifiable et sa mesure ne peut reposer que sur des mesures qualitatives, des indicateurs indirects ou la déclaration, toujours subjective, des personnes interrogées. La fiabilité de ces résultats dépend donc de la manière dont les informations sont collectées et analysées.
Le discours sur le Bonheur national brut est remis en cause par le Premier ministre nommé en juillet 2013, Tshering Tobgay, qui explique que le gouvernement précédent a passé beaucoup plus de temps à en parler qu'à agir, et relève que le pays est confronté à quatre grands défis : l'endettement, la monnaie, le chômage, dont celui des jeunes, et la perception d'une corruption croissante.



Faut croire que j'ai que ça dans mon c/c

ლ(ಠ益ಠლ)

Une note pour les gens de mon âge, les jeunes de ma génération. Ce sont les notes des dernières années dans ce monde de fous. Malgré les gens qui s'attachent à leurs gouts et n'aiment pas ce que vous faites, mais restez fidèles à ce que vous êtes. Accrochons nous à nos rêves, car nous pouvons changer le monde par nos rêves, nous pouvons faire rire les gens, les faire pleurer. Nous pouvons changer leurs idées, leurs esprits. Et en changeant leurs esprits nous pouvons changer le monde.Ce ne sont pas que les hommes politiques et les scientifiques qui peuvent changer le monde, mais aussi les artistes. Ils le font depuis toujours. Il n'y a pas de limite à notre ambition à part celles que nous nous donnons et celles que les autres nous donnent. En bref, je pense que tout est possible à qui rêve, ose, travaille et n'abandonne jamais. Et puisse ce prix en être la preuve la plus rayonnante

PACIFICATEURS
Adonis Nightspri...
Mar 20 Mai - 19:35
Robin D. Bates
5 topics ✤ 461 messages


Wtf

Partager n'était pas un mot commun au langage de Bilàl. Il était étonnamment paradoxal et pourtant tellement compréhensible qu'il ne fusse pas enclin au partage. Dans ce monde où il avait grandit avec moins que le nécessaire, son instinct de survie ne lui avait jamais murmuré de rompre le pain avec son prochain. C'est pour cela qu'il n'avait jamais pu adhérer aux préceptes de pitié et de don de l'Ordre. Ce n'était pas de l'égoïsme, c'était cette propension naturelle à assurer sa pérennité avant celle des autres, il n'y avait rien de plus humain que cela vraiment. Alors lorsque Ellie était entrée dans sa vie, il ne l'avait pas laissée partir, il l'avait gardée auprès de lui à l'abris de toutes les convoitises. Il n'avait eut qu'elle à cette période de sa vie, elle avait été son eau dans un désert de tous les instants, celui-même qui avait finit par assécher son âme. Il aurait pu mourir, mal finir tout du moins, si elle n'avait pas été là. Il aurait sûrement rejoins ces délurés qui croyaient encore que l'égalité était possible, ces idéalistes qu'il envoyaient au gibet à la douzaine. Affaire secrète du gouvernement bien entendu. Il aurait pu mal finir, à la place il avait tué un homme pour en arriver là, Ellie avait tout à voir avec ça. Et si la nécessité n'était plus le qualificatif premier de sa vie, s'il aurait eut maintenant toutes les raisons du monde de la partager ou de la remplacer, il ne l'avait pas fait. Un bâtard au milieu des pur sangs reste un bâtard, avec ses attaches, cette odeur imaginaire et cette lueur dans le regard. Il était si dur de cacher sa nature. Si dur de ne pas céder lorsqu'elle entrait dans son jeu.
"Je le sais c'est tout. Il te respecte trop et respecte trop les traditions de l'Ordre pour avoir déjà oser toucher à ton persona." Et tu te respecte trop, pensa-t-il. Ce n'était pas son genre de s'abandonner au premier venu, il la connaissait sur ce point. Autant qu'elle semblait lui échapper de plus en plus. Il refusa instantanément que la chose fut probable. Il valait mieux pour Sytchev. Son visage se crispa légèrement. Il n'aimait pas se voir réfuter sa possession, n'aimait pas la voir lui glisser si aisément entre les doigts à l'aide de quelques phrases toutes faites. Trisha ne changerait jamais rien non, c'est Ellie qu'il avait fixée derrière le prêtre lorsque celui-ci déblatérait son discours. C'est à elle qu'il avait sourit avant d'embrasser sa femme dans la nuque de la même manière qu'il le lui réservait pendant leur adolescence ensemble. Il adhérait à l'idée de lui appartenir, après tout elle le lui avait égoïstement fait promettre avant son mariage, avait craché sur ses vœux avant même qu'ils ne soient prononcés. Ellie capable de partager ? Un mensonge tellement gros qu'il en aurait rit. Il resta immobile lorsqu'elle s'approcha, ne s'apprêtant même pas à riposter s'il lui venait l'idée de reprendre son du dans sa poche. Elle s'éloigna cependant et Bilàl sortir de nouveau le petit objet en métal. Faire un détour par Cerberus Hall c'était marcher en eaux troubles et il le savait. Les méandres sombres des souvenirs de leur vie perdue mais aussi voir les rampants au final pas si éloignés de ce qu'ils furent. Il fit un pas, la contournant encore pour replacer à contrecœur l'élément clé sur son persona. Il refit lentement le laçage sans un mot, à la perfection. Il n'avait pas l'intention de la laisser risquer de vagabonder ainsi si elle comptait faire d'abord un détour par l'endroit le plus pourrit du dôme. Il n'oublia pas sa provocation pour autant. Il glissa sa main sur la sienne, l'attrapant pour l'attirer contre ses lèvres. Sa bouche se déposa au creux de son poignet avec douceur avant de laisser une marque violacée sur sa peau. "Je t'ai déjà clamée et réclamée. Je ne partage pas." Il la relâcha. Il eu le réconfort de se dire qu'au moins quelques personnes pourraient remarquer la trace sur son poignet lorsqu'elle prêterait serment les mains jointes à celles du prêcheur.
Il lui adressa un sourire de biais avant de lui tourner le dos pour redescendre sur la rue. Il l'attendait au croisement mais ne lui tendit cette fois plus son bras pour la guider. Ici, le moindre geste lui semblait trop familier pour rester supportable. Cerberus Hall était à la fois familier et distant. Le quartier le plus insalubre du dôme, le plus grand aussi, niché au pied des grandes portes, celles qui avec l'hiver venant, on scellerait d'une large soudure. Ici plus qu'ailleurs les aménagements brillaient par leur absence. Le pavement bétonné qui constituait la base de la structure avait laissé place à de la terre battue. En guise de portes à certaines habitations, de simples franges de ferrailles suspendues comme des guirlandes d'ordures identitaires. Une tradition des immigrés les plus anciens, ceux qui sont trop incapables pour être des citoyens mais trop utiles pour être mis dehors. La mère de Bilàl s'était tuée à la tâche sans jamais obtenir la nationalité, elle avait tout fait dans les règles pourtant. Il avait fallut attendre que son fils les brises pour que le nom de Milošević soit enfin ajouté à la liste des gens importants. Ici la clameur était plus importante que partout ailleurs, simplement parce que la majorité de la population se répartissait dans une densité insuffisante pour que tout un chacun obtienne le droit à un espace vital. La foule les ignoraient, parfois quelques badauds le reconnaissait, pour les mauvaises raisons cependant. Le trou dans lequel il avait grandit le haïssait. Parce qu'il avait choisit la voie des oppresseurs, celle des tâches ingrates mais indispensables. Les plus pauvres au contraire, reconnaissaient en Ellie la voie de la merci et du pardon. Il effleura l'arme à sa ceinture, lui jetant des regards en arrière par moments. Il n'avait pas peur pour lui, il était capable de se défendre et ne se déplaçait pas avec un garde du corps comme la plupart des magistrats. Il avait peur pour elle, pour ce que cela pouvait risquer en ces temps troubles qu'elle fut associée à lui dans les quartiers populaires. Ils savaient l'un comme l'autre pourquoi ils étaient venu ici, pour se persuader qu'il y avait encore à espérer, revoir leur endroit secret et se mentir encore comme ils le faisaient parfois. Il s'arrêta, s'apprêtant à lui lancer une autre réplique lorsque quelque chose le frappa violemment au visage. L'objet explosa sur le coup et se répandit, l'aveuglant un instant sur le coup. Son premier réflexe fut de chercher à l'aveuglette le poignet d'Ellie d'une main et son arme de l'autre. Il ne trouva que son arme. Il porta une main à son visage, découvrant le liquide visqueux et nauséabond du bout des doigts. Il avait entendu les mots hurlés en russe à travers la foule "Mort aux chiens, mort aux Olympiens." Mais la rapidité de l'attaque l'avait figé. Il essuya d'un revers de manche le sang puant sur son visage, au travers du rouge, son expression s'était horriblement durcie, ses yeux bleu imitant le reflet du métal. Rouge, la couleur interdite, celle de la fraternité pourpre. Il serra les dents, échappant une insulte dans sa langue maternelle. Il ne valait mieux pas se demander d'où venait ce sang. Au mieux des quelques poulets que l'on avait volés la semaine passée à l'élevage de Middas à l'Arcadie, au pire l'un de ces imbéciles s'était saigné pour le bien de la fraternité. Et il saurait trouver de quel bras, de qu'elle entaille était venue ce sang. Il releva le regard vers Ellie. "On dirait que nous ne sommes pas les seuls à clamer ce que nous ne pouvons avoir." Sa voix était froide, froide comme le sang qui gouttait de son menton sur le col de son costume impeccable, son déguisement parfait.

Elle lui sourit sans que la joie n'atteigne ses yeux. Il ne la connaissait pas assez encore pour connaître la nuance. Ce n'était pas un sourire forcé pourtant, alors, ce n'était pas vraiment un mensonge n'est-ce pas ?
Elle ne s'était pas changé, le sang ayant séché sur sa robe, laissant des taches sombres sur le tissu vert. Il n'avait pas posé de questions. Pas de questions non plus sur les yeux rougies qu'elle lui avait présenté, ni sur son retard. Il était trop poli pour cela. Bilàl avait raison sur ce point. 
Il lui aurait son financement. Il était heureux pour elle vraiment, une certaine fierté dans le regard lorsqu'il parlait du projet. " Le projet " comme si il ne s'agissait pas de celui d'Ellie, comme si lui aussi y avait son rôle à jouer. Et Ellie aimait peut-être l'idée, de son soutient, de son sourire enthousiaste. Elle le remercia, parce que sans lui rien n'aurait été possible. Il lui offrit du thé pour l'occasion, et Ellie n'avait jamais eut l'occasion d'en boire. Elle ne le lui dit pas. Et vraiment, ce n'était que de l'eau avec des plantes dedans. Elle se demanda si Bilàl y avait déjà goûté. Si il y avait apprécié ce luxe rare. Elle fini sa tasse même si le breuvage lui brûla la langue. Il était flatteur, jamais sans en faire trop pourtant. Il louait son intelligence, n'avait jamais un mot déplacé vis à vis de ses croyances. Il était pieu, fidèle, et 93%. Et il faisait peur à Bilàl. 
" Je sais que cela est présomptueux de ma part ... " Même si il lui faisait la cours depuis des mois maintenant, même si ils n'étaient pas à leur premier baiser échangé, même s'il pouvait légitimement le demander, il amena le sujet avec tact. " ... Me feriez vous l'honneur de me laisser vous accompagner à la cérémonie samedi ? " Et elle lui aurait dit oui. Si elle n'avait pas tant cherché à trouver une excuse pour lui dire non. " J'ai promis à Bilàl Milošević qu'il l'accompagnerait il y très longtemps. " Et si il fut surpris, il eut la décence de le cacher. " Oui, j'ai ouïe dire que vous étiez amis depuis longtemps. " Et elle aurait presque rit du ridicule de la situation. " Oui, nous étions amis c'est vrai. De très bons amis il y a très longtemps. Juste des amis. " Et qui essayait elle de convaincre ? " J'espère a mon tour que vous ne me trouverez pas présomptueuse Evan mais voudriez vous m'accompagner à quelque chose de moins informel ? Les boutons de roses du jardin est devraient éclore ce soir et j'aimerais vraiment y assister. " Elle tendit les mains au dessus du bureau et les posa à plat sur les siennes avec un sourire. " Peut être pourriez vous ensuite me raccompagner à mes quartiers ? " Il accepta avec enthousiasme. Peut-être avait il compris que c'était là la confirmation qu'il voulait. Il déposa un baiser chaste sur ses lèvres sur le Pas de la porte de son bureau lorsqu'il la raccompagna. Et elle ne se défila pas. Même si le je t'aime de Bilàl flottait encore contre ses lèvres. Sur ces mots elle construirait autre chose, sur le terreau de ce qu'elle avait perdu. Elle pria pour Bilàl, et elle pria pour elle. Elle lui fit cependant transmettre un message. " Iom issua, A samedi. " sur une tablette de cire. Qu'il en fasse ce qu'il voulait.



Fuckin Ellie :kathleen:
Bilàl te le feras payer.