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❝ hands held high into the sky so blue. ❞ ⧩ LOORIAN.
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Sujet: ❝ hands held high into the sky so blue. ❞ ⧩ LOORIAN. Ven 7 Déc - 19:29
❝ sitting in the dark, i can't forget. ❞
The blank pages of my diary, that I haven't touched since you left me, the closed blinds in my home. See no light or day, dust gathers on my stereo, 'cause I can't bare to hear the radio. The piano sits in a shaded space, with a picture of your face. I'm scared to face another day, coz' the fear in me just won't go away. In an instance, you were gone, and now I'm scared.
D’un geste tout naturel, la soldate se laissa tomber au sol, dos contre le mur. Ses cheveux voletèrent tout autour d’elle, tandis qu’elle s’affaissait contre la paroi. Son regard se perdit quelques instants sur le mur en face d’elle, tandis que ses genoux repliés se détendaient lentement, lui permettant d’allonger ses jambes fines sur le sol. Un courant d’air vint la faire frissonner, mais elle ne bougea pas, se contentant de fixer les briques en face d’elle. Son esprit était loin. Loin de cette usine, loin de toute cette cacophonie de la guerre. Elle était ailleurs. Transportée par des sentiments qui n’avaient rien de sereins, rien d’agréables. Biggs était mort. Il était mort. Lorsque Loop avait appris ça, elle avait accouru sans en avoir l’air. Déjà bouffée par la culpabilité. Elle avait promis au p’tiot qu’elle garderait un œil sur lui. Et elle avait échoué. Bien sûr. Il l’avait souvent regardée avec ces grands yeux typiques, ceux du gosse rêveur. Il n’avait jamais rien eu à envier à personne. En grandissant, il aurait mûri, aurait pris de la carrure. Et alors personne, Loop y comprit, n’aurait osé s’opposer à lui parmi leur petit groupe. Oui mais voilà. Biggs ne grandirait jamais. Biggs n’aurait plus la chance de devenir mature, ni musclé, ni grand. Ni fort. Il ne la protègerait jamais, comme il avait pu plusieurs fois lui promettre lorsqu’elle avait tordu le cou d’un Pacificateur trop imprudent qui avait essayé d’éliminer le petit bonhomme. Au final, Loop n’avait pas été si proche que cela de Biggs. Elle considérait qu’elle avait été distante, comme avec tout le monde. Mais au final, ne s’était-elle pas attachée à cette petite bouille à cet ado fier de la rébellion, et de ce qu’il était ? Elle lui avait sauvé plusieurs fois la mise, sans jamais rien lui demander sur lui, sans jamais lui dire rien sur elle. Ils n’avaient jamais parlé, ou presque. Sauf pour les fois où il lui avait collé les basques jusqu’à ce qu’ils soient en sécurité. Et les fois où, autour d’un feu avec les autres, ils avaient échangé des propos en communauté. Elle ne connaissait pas bien Biggs. Mais elle le connaissait. C’était un frère d’arme. Et aujourd’hui, il était tombé. À seize piges, il était mort. Pas pire que tous ces tributs que le Capitole envoyait à la mort, me direz-vous. Peut-être. Mais Biggs n’avait pas été tiré au sort. Il avait choisi d’aller au combat. Il aurait dû rester à sa place. Rester au Treize. Grandir encore un peu. Et revenir ensuite. Oui. Il aurait dû. Mais il ne l’avait pas fait. Il avait voulu se battre. Comme eux tous. Et il était mort.
Doucement, la jolie blonde ferma les yeux, expirant lentement, de manière contrôlée, alors que sa poitrine tremblait légèrement, agitée par un ridicule sanglot. D’un geste las, et souvent répété, elle alla chercher son arme, coincée dans sa ceinture, à moitié entre son dos et le mur. Son arme, qui la gênait. Elle la sortit de sa tenue, la posant par terre à côté d’elle. Contre sa jambe, prête à être saisie en urgence si le besoin s’en faisait sentir. Pourtant, elle n’espérait pas qu’on aurait besoin d’elle. Elle était prête à se faire porter disparue pour avoir un peu la paix. Selon le souhait de Larry, elle était allée déranger Dorian, l’informant qu’il avait quelque chose à lui dire. Elle n’avait pas ajouté grand chose. Il découvrirait sur place. Et puis, il avait sa copine. L’autre jolie brune, adorable, aux grands yeux bleus. L’air un peu suicidaire sur les bords, mais bon, chacun son délire hein. Elle était magnifique, la dénommée Gold. Et si Dorian pouvait être heureux avec elle… Tant mieux. En tout cas, elle avait décidé de ne pas s’attarder. Elle avait laissé son binôme aller voir Larry, et était partie comme une ombre, de son côté. Se réfugier dans un coin. Un petit coin tranquille qu’elle avait découvert, il y avait peu de temps. Un coin paisible, où les gens ne venaient quasiment jamais. Il fallait dire que ce n’était pas un coin très spacieux. Mais bon. Elle s’en fichait. Elle n’avait pas prévu d’y faire une fête. Juste de se retrouver seule et de s’aérer la tête. De pouvoir penser en paix.
Lentement, ses épaules s’affaissèrent, tandis qu’elle gardait les yeux fermés, ramenant ses cheveux en arrière à l’aide de ses deux mains, passant ses paumes sur son visage au passage, comme si elle avait voulu gommer une quelconque trace de fatigue, ou de chagrin. Elle avait la gorge nouée. Et une sale envie de pleurer. Mais elle n’avait pas envie de se mettre à pleurer. Pas maintenant. Un rien aurait certes pu la faire basculer dans le chagrin, mais elle avait tenu jusque là. Durant l’accomplissement des quelques tâches de dernière minute qu’on lui avait confiées, elle n’avait pas pleuré. Alors ce n’était pas maintenant qu’elle allait s’effondrer. Gardant les yeux fermés, Loop se mit à jouer avec le bout de ses cheveux d’une main. Tortillant la pauvre petite mèche dans tous les sens, se distrayant comme elle le pouvait. Son autre main alla se poser sur la crosse de son arme. Cette arme dont elle détestait tant se servir, mais qui était nécessaire à sa survie. Elle avait deux armes. Celle-ci était de loin la plus lourde, la moins précise, mais celle qui à bout portant était sûre de toucher sa cible et de la pulvériser. Une arme de bourrin. Et la manière de combattre de Loop avait beau avoir tout du chat plutôt que du bourrin, cette arme était sa préférée. Doucement, ses doigts fins et sensibles caressèrent le tissu qu’elle avait enroulé autour de la crosse. Des petites bandelettes, qui lui permettaient d’avoir une prise constante sur son arme, de la sentir dans sa main, qu’elle ne glisse pas à n’importe quel prétexte de son poing, alors qu’elle a besoin de s’en servir. Les ongles de la soldate grattèrent lentement un petit bout des bandelettes, tandis qu’elle gardait les yeux fermés, essayant de se débarrasser de l’image de Biggs, étendu sur ce putain de lit, les yeux fermés, le teint blafard. Mort. Chasser ses images. Il fallait qu’elle les chasse. Selon son désir, les images disparurent. Pour laisser place au visage de Henry, lui annonçant que Biggs était mort. Le visage d’Henry s’effaça. Et Loop vit Devon passer en coup de vent devant elle, annonçant à la volée que Tommy était tombé. Puis le visage de Chris, au-dessus de son lit d’hôpital, lui rabâchant avec un chagrin inconsolable que Tommy n’était plus de ce monde. Tommy. Biggs. Biggs. Tommy. Biggs. Au fond, trop peu de choses les différenciaient. Ils lui donneraient tous deux des cauchemars. Ils étaient morts. En combattant pour le Treize. La seule différence était que Loop n’avait pas imaginé un instant sa vie sans Tommy avant sa mort. Alors que Biggs… Elle avait eu beau être surprise par sa mort, elle ne s’était rien figuré du tout. Et elle connaissait Tommy. Pas Biggs. Mais les deux étaient morts. Ça ne changeait rien du tout.
Lentement, Loop ouvrit les paupières, se tournant vers les bruits de pas qui approchaient. Elle savait que ce n’était pas un gêneur. Elle avait bien une idée de qui cela pouvait être. Mais bien vite, elle l’écarta. Dorian avait mieux à faire que de venir la voir. Avec un peu de chance, il avait enfin emballé sa belle brune. Elle referma les yeux. Avec un peu de chance… Ouais, de la chance. Pour lui. Elle était belle. Il avait de la chance. Elle déglutit lentement, espérant que les pas feraient demi-tour. Mais non. Ils s’approchaient. Encore et toujours plus. Finalement, elle soupira, les jambes toujours tendues, les doigts toujours posés sur son arme. Sa seconde main tomba lentement au sol, tandis qu’elle rouvrait les yeux, posant son regard sur le jeune homme qui la regardait. Qui l’avait trouvée. Comme d’habitude.
« Qu’est-ce que tu fais là ? Je pensais que tu allais rester avec elle. » Il allait très bien voir de qui elle parlait. Pas la moindre once de jalousie ne transparaissait dans la voix de la jolie blonde. Pourquoi aurait-elle était jalouse, hein ? « Tu peux retourner avec elle, t’en fais pas. J’vais bien. »
Mensonge. Qui, cette fois-ci, ne se voulait pas du tout convaincant. Et qui ne l’était pas. Avec un peu de chance, Dorian n’insisterait pas. Avec un peu de chance, il partirait. Mais en réalité, ce semblant de bobard n’était rien de plus qu’un appel au secours. Reste. Tiens-moi compagnie. Ne me laisse pas toute seule. Non, ça ne va pas.
Mais ça, jamais Loop ne l’aurait avoué à voix haute. Sous la torture, peut-être que si, on n’en sait rien. Mais aussi loin que ses souvenirs remontent, jamais son binôme ne l’avait torturée pour lui tirer les vers du nez.
musique : duffy — i'm scared.
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Sujet: Re: ❝ hands held high into the sky so blue. ❞ ⧩ LOORIAN. Ven 11 Jan - 18:54
hands held high into the sky so blue.
❝ LOOP & DORIAN ❞
Il souffla dans ses mains, frigorifié, tentant de les réchauffer en vain tant l'hiver qui approchait à grands pas s'annonçait rude. Il n'était pas tard mais la nuit était tombée depuis un moment, plongeant les environs dans un silence de mort à la fois reposant et angoissant. Seule la lune illuminait le ciel d'un bleu presque noir et éclairait sa route. Pressant le pas pour s'enfoncer un peu plus dans les bois, quelques branchages humides craquant sous ses bottes, il suivait un chemin de terre sinueux dont il ne voyait pas le bout. Cet exode qu'il croyait "salutaire" s'était mué au fil de ses errances en un véritable supplice mental. Il ne faisait que ressasser cette scène, tel un vieux disque rayé : l'overcraft planant au dessus d'eux comme une ombre menaçante, l'explosion, le brouillard, la poussière qui brûle les poumons et transforme chaque respiration en supplice brûlant. Il aurait tellement voulu pouvoir revenir en arrière et empêcher tout ça. Faire qu'ils ne se soient pas retrouvés là. Peut-être que Biggs ne serait pas mort ce soir s'ils avaient fait plus attention... s'il avait vu à temps le vaisseau ennemi. "Si", il pouvait encore en trouver des dizaines, des centaines de réalités où Biggs serait toujours là avec sa bouille d'ado pré-pubère et ses manières de gosse qui a grandit trop vite. Mais il était mort. Et il eu beau se répéter sans cesse que ça n'était pas sa faute, il n'arriva pas à s'en convaincre.
Il avait laissé Gold après l'entrainement. Elle était repartit vers le campement et de son côté il avait vagabondé là où ses pas l'emmenaient. Il avait déambulé un moment, suffisamment longtemps pour que les lumières faiblardes du dispensaire disparaissent. Et quand eurent totalement disparu, il ralentit le pas pour s'arrêter enfin, conscient qu'il commençait à s'éloigner un peu trop. Au moins personne ne viendrait l'emmerder ici. Car il préférait de loin rester seuls dans ces moments là plutôt que de devoir assister aux condoléances et aux regards compatissants de tout un chacun; les mêmes auxquelles il avait eu droit à la morte de Constance, à la disparition de Delilah, à celle de nombreux de ses équipiers. Soyons honnêtes, tous ces mots plein de bonnes intentions ne faisaient rien, ils n'amoindrissaient pas la colère et la frustration. Au contraire cela n faisait que le rendre plus furieux encore et il l'était déjà bien assez à son goût. La guerre, les morts, la fatigue il en avait assez; il aurait dû tout arrêter avant que tout ça ne dégénère, quand il n'était encore qu'un rescapé des jeux de la faim. Il aurait dû rester simple civil au 13 et garder une vie simple là bas. La seule chose qu'il avait gagné dans ce désir de vengeance contre le capitole, c'était des regrets, un tas de regrets. L'idée de ne pas faire marche arrière, de laisser tout ça derrière lui, l'effleura un instant; mais sa raison le rappela bien vite à l'ordre; il ne pouvait pas. D'abord parce qu'il n'était pas lâche au point de fuir et parce qu'il n'avait de toute façon nulle part où aller. Retourner au District 2 les mains dans les poches et reprendre sa vie là où il l'avait laissée était impossible, ce Dorian là était mort aux jeux. Il devait sa vie au 13 à présent, aux personnes qui étaient entrés dans sa vie depuis; Hedenn, Larry, Loop... Loop... il n'avait même pas eu le temps de la voir tant elle s'était rapidement éclipsée tout à l'heure. C'est elle qu'il aurait dû chercher en premier, avant Gold, avant la solitude. Comme un con il l'avait laissée partir toute seule. "Et merde" souffla-t-il, passant une main sur son visage fatigué avant de rebrousser chemin.
Sans surprise, elle avait comme lui cherché la solitude et sa cachette n'avait pas été simple à trouver. Ils n'étaient au fond pas aussi différents que ce que les apparences laissaient croire; pas étonnant lorsque l'on a été confrontés aux mêmes épreuves par le passé. Loop avait perdu Tommy, son ancien coéquipier, celui qu'elle n'arrivait pas à oublier tout comme il ne pouvait tirer un trait sur Constance. Ils étaient tous deux victimes de la mort brutale d'un être cher, celle qui ne laisse pas place aux au revoir, celle qui prend par surprise, celle qui avait emporté Biggs aujourd'hui. Chaque nouvelle mort ne faisait que raviver l'amertume qu'ils tentaient vainement d'étouffer.
Elle était là, assise un peu plus loin, déjà en alerte la main sur son arme, ayant sans doute entendu ses pas de loin. Elle était douée pour se faufiler sans le moindre bruit, lui pas, c'est la raison pour laquelle ils allaient si bien ensembles. Il la regarda un instant avant de s'approcher enfin, un léger sourire aux lèvres qui ne tarda pourtant pas à s'effacer. La voix de la jeune femme fut la première à briser le silence alors qu'il arriva à sa hauteur. Haussant un sourcil, surpris, il la contempla un instant. Outch, elle n'avait pas vraiment l'air ravie de le voir. Pas qu'il aurait imaginé qu'elle lui saute au cou mais bon. Était-elle en colère ? possible, il n'en savait rien en réalité. Peut-être était-elle simplement morose, sans doute pensait-elle à Tommy. "Je me doutais bien que t'allais rester toute seule alors je suis passé pour voir comment tu allais... 'fin voilà..." marmonna-t-il en se frottant la nuque d'une main, penaud, ne réalisant qu'ensuite la bêtise de sa remarque et par ma même occasion qu'il était un peu idiot de venir l'importuner. "Tu peux retourner avec elle, t’en fais pas. J’vais bien", il soupire. D'accord, visiblement quelque chose clochait. Pourquoi tant d'insistance ? avait-elle vraiment envie qu'il la laisse plantée là toute seule pour retrouver Gold ? très franchement il en doutait et la jeune femme elle même ne semblait pas convaincu par ses propres mots. C'était bien un truc de filles ça, affirmer tout haut l'inverse de ce qu'elles pensent tout bas: typiquement le genre de chose dont il ne comprenait rien. Visiblement, "elle" alias Gold était un genre de sujet tabou qu'elle semblait pressée d'aborder. Sans répondre, il la scruta un instant, cherchant à comprendre, puis vint s'asseoir prêt d'elle, déposant son arme sur le sol. "Si tu veux parler de Gold, elle n'a pas spécialement besoin de moi pour l'instant". Dit-il calmement; se retenant d'ajouter "contrairement à toi" car il savait Loop assez orgueilleuse pour prendre ça comme une insulte. Plantant ses yeux dans ceux de la jeune femme, il la dévisagea un moment avant de laisser tomber cette tentative d'analyse totalement vaine. "J'avais envie de te voir toi." dit-il d'une voix posée, fixant le mur face à eux. "C'est quoi le problème, t'es fâchée ?" aucune idée, mais si elle n'avait pas envie de le voir - quoi que son attitude générale lui fasse penser le contraire - il préférait de loin qu'elle le lui dise clairement plutôt que de chercher des prétextes absurdes. "… Ou jalouse ?" souffla-t-il d'un air railleur, un grand sourire sur les lèvres et le regard plein d'ironie, avant de rire un peu pour lui signifier qu'il plaisantait. Loop n'était pas ce genre de fille, pas vraiment "sentimentale", en tout cas selon lui. En réalité il ne pouvait que spéculer car Loop restait pour lui un véritable mystère même après trois années. Déjà qu'il n'était pas naturellement doué pour décoder les femmes, celle ci était un vrai challenge. A vrai dire, il n'en savait pas beaucoup plus sur elle qu'à leur première rencontre dans les sous-terrains du 13. Pourtant c'était sans doute avec elle qu'il passait le plus de temps même si les derniers mois qu'il avait passés à suivre Hedenn les avaient quelque peu éloignés. Depuis ils n'avaient pas vraiment eu le temps de se voir. Lui manquait-elle ? oh que oui. Mais il se garderait bien de lui dire. "De toute façon j'ai pas vraiment envie de rester tout seul alors tu vas devoir te contenter de ma compagnie, que tu le veuilles ou non." fouillant dans la poche intérieure de sa veste, il sortit une petite gourde de ce qu'il croyait être de l'eau jusqu'à ce qu'il la porte à ses lèvres, toussant sous la surprise. Merde alors, c'était quoi ça, du whisky ? Bon dieu mais qu'est-ce que ça foutait là ?
❝ hands held high into the sky so blue. ❞ ⧩ LOORIAN.