Alëa Kiara Loü Cardynal

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

Ma mort ? Je la vois belle et douce. Je serais très vieille et je vivrais dans une grande maison avec toute ma famille depuis longtemps, près de la mer. Ma fille aurait les clefs car elle viendrait me voir souvent et un jour elle entrerait comme à son habitude, mais les rideaux ne seraient pas ouverts et le courrier attendrait sur le paillasson. Elle monterait à l’étage pour me chercher et serais soulagé de me voir me reposer tranquillement. Mais quand elle tirerait les rideaux, elle remarquerait mes lèvres bleuies par la mort. Elle toucherait ma joue et mes mains glaciales et fermerait mes paupières sur mes yeux bleu/vert à jamais.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Je ne sais pas si je pourrais mourir pour quelqu’un ou pour quelque chose. Je pense que j’accepterais de mourir pour que les autres vivent dans un monde meilleur ou pour sauver une personne très proche de moi. Je pense que si je perdais encore quelqu’un, je mourrais juste pour le rejoindre. J’ai déjà perdu tant de gens. D’abord mon frère, puis mon père et enfin bientôt ma mère. Vous savez, ce n’est vraiment pas une chose facile.

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

Hé bien déjà, je chasse et je suis plutôt agile grâce à ma petite taille. Quoi d’autre ? Hum, comme je suis infermière, j’ai une bonne connaissance de la médecine et des plantes ce qui aide dans la vie ! Grace à la chasse, je suis plutôt discrète et je sais poser des pièges. Le pistage et la rapidité sont ma spécialité ainsi que le maniement de l’arbalète. Je me débrouille aussi bien avec quelques petits couteaux.

➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?

(en gros, êtes-vous pour une rébellion ou contre.)
Je n'essaye pas ce stopper cette révolte, mais je suis perplexe. Qui sont ces gens ? Ne vont-il pas nous mener dans une situation pire que celle que l'on vit déjà ? C'est un changement plutôt radical qui, dans un premier temps, m'a fait très peur. Mais j'y ai pensé et repensé, et au final, je pense que si ils arrivent à faire tomber le capitole, la vie serrais bien plus belle.

JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la légende. DU COUP, MON NOM A 26 RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE infirmière ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime mais il y a mieux. JE SUIS DANS LE 7ÈME DISTRICT. AYANT 16 ans JE peux PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

tell us your story.

https://www.youtube.com/watch?v=72S4hOBjfD4&feature=related

« Il faut à présent que je t’écrive ; mais l’encre de ma plume ne veut pas aller plus loin... ? » Écris-je tout en pensant à lui. Lui, celui qui nous a donné la vie. Lui qui nous a offert une vie, quand nous n’étions encore qu’un « un jour peut-être ». En ce soir d’hiver où il aima ma mère et où il lui donna les plus belles heures de sa vie et que les neufs mois suivants, elle nous porta comme une charge. Oui, une charge. Nous c’est mon frère et moi et elle ne voulait pas du tout de nous. Mais heureusement pour nous, un beau jour de printemps, un jour juste après la fête du poisson d’avril, on pouvait entendre des cris retentir dans un des hôpitaux de Panem. En effet, ce jour-là une maman était en train de mettre au monde, ses deux et uniques enfants. Bien sûr vous avez compris qu’un des bébés, c’est moi. Ma mère nous donna naissance un 2 avril 2295, à 14h50. C’est après avoir souffert durant quelques minutes, qu’elle eut l’honneur de voir pour la première fois mon petit visage. Évidemment je n’étais pas très jolie, mais après quelques soins des infirmières j’étais toute propre et habillée. Après ma naissance, je suis rentrée chez moi avec mes deux parents et mon jumeau. Mes parents étaient employés à l’usine, ainsi c’est pourquoi mon niveau de vie, ma classe sociale a toujours été celle des personnes peu aisées. Dès mon plus jeune âge ils m’ont donc appris non seulement à marcher, parler, mais aussi à avoir des valeurs et à ne pas jeter l’argent par la fenêtre. Grandissant dans une atmosphère conviviale avec des parents et un frère très aimant, je vivais une petite vie heureuse. C’est alors vers mes 5 ans que Caleb (mon frère) tomba malade. Quelques mois plus tard, il en décédait. Jusqu’à mes 12 ans, j’ai mené une vie de deuil. Cette année-là, la même année que celle de ma première moisson, c’était à mon père de nous quitter suite à une grave maladie lui aussi. Nous n’étions plus que deux, ma mère et moi. C’est donc à partir de ce moment que je me suis mise à utiliser l’arbalète de mon père et que j’ai commencé à chasser pour nous nourrir ; les tressera me faisait trop peur à l’époque. Ma mère passait ses jours à se plaindre sur son sort, sans jamais penser à moi et fini un jour par tomber en dépression. Le jour de mes 16 ans arrivé, je me suis mise à travailler à l’hôpital du district comme infirmière. Aider les malades, me fessait supporter la mort de mon frère et de mon père tous deux morts de maladie. Des fois, je me dis qu’ils sont bien là-haut. Heureux et tous les deux. Au final, J'ai plus connu la misère qu’autre chose. Je l'ai côtoyée de près, chaque jour, pendant des années. J'ai galéré, j'ai ramé, j'ai perdu mes forces, jusqu'au moment où j'ai failli lâcher prise. Un dicton dit : quand ce que tu portes devient trop lourd et t'empêche d'avancer, lâche-le. Je portais à bout de bras une vie qui, à mes yeux, n'en valait pas la peine. Je n'avais aucune raison de rester, je n'étais ni originale, ni exceptionnelle. Aux yeux de mon entourage, je n'étais qu'une pollution indésirable, différente dans le mauvais sens du terme. J'étais prise au piège dans un monde qui n'était pas le mien. J'ai pleuré, j'ai juré, j'ai promis à Dieu que, lorsque j'arriverai devant lui, on aurait une petite discussion. Pourquoi les autres paressaient heureux et épanouis, alors que moi, je restais refermée sur moi-même sans voir autre chose que mes angoisses ? La vie n'est pas juste. Parfois, la vie prend un tournant déplorable qui peut nous conduire aux pires pensées, aux pires actes. Et heureusement, j'ai eu de la chance. Je n'ai pas eu à franchir ce cap. J'étais si jeune, et j'aurais pu faire une grosse bêtise. Mais il ne faut pas croire que j'ai changé ma façon de penser du jour au lendemain et que j'y suis arrivée seule. Je dirai même que je me suis, en quelque sorte, sauvé la vie. Mais la vie n’est pas finie. J’abandonne ma plume sur mon bureau et déchire ma lettre avant d’en faire une petite boule de papier. Je l’envoie valsée dans la poubelle et me dit : « Au final, je comprends bien pourquoi elle ne voulait pas de nous. Elle ne voulait pas qu’on souffre. »

Tu viens d'être validé(e), mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent.

Pour commencer, pour les vainqueurs et les membres ayant des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Si tu fais partie des potentiels tributs, va inscrire ton personnage dans les registres ici. Il faudra ensuite que tu recenses le métier de ton personnage ici. Si ton personnage est de la famille du maire de son district, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence. Il est tout à fait possible que ton bonhomme soit un rebelle. Nous avons mis en place un registre avec leur hiérarchie. Tu le trouvera ici.
Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici.
N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici.
Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay