Sobel Ambrine Delares-Lorgan

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

reality is here.

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about games and relative.

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

Vous êtes nécrophile ? C'est quoi cette amour la mort ? Non mais sans déconner, y a pas un lieu où on peut aller sans entendre parler de mort ! Ça serait la phrase qu'aurait sortie Myralis pour répondre à cette question, je la connais par coeur et répondre ceci l'aurait entraîné dans un petit fou rire. Moi rien que de repenser à ma mort et je me demande ce qui arriverait à ma famille. Je ne veux pas mourir ! Mais je ne veux pas continuer à vivre dans ce monde si. Le suicide?Si jamais Myralis se fait piocher pour les jeux je n'hésiterais pas au volontariat. Même si je dois me faire passer pour Myralis, c'est encore mieux ! Mais jamais je n'imaginerais ma mort. Pourquoi penser à des choses si néfaste dans ce bas monde qui ne l'ait déjà assez.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Je pourrais mourir pour n'importe qui dans ce bat monde, mais je n'ai qu'une seul mort donc je ne pourrais sauver les gens. Même si je voudrais en sauver un bon nombre. Les enfants en premier, ce sont nos avenir et nous nous amusons à les tuer. Pourquoi ? Pour le plaisir de personne qui ne feront pas le paradis dans ta vie, mais qui s'amuseront à te créer un enfer. Je trouve tout simplement ça dégoûtant et inhumain ! Mais je ne pourrais rien faire pour changer le monde. Tout ce que je peux dire à ce sujet, c'est que je mourrais pour les personnes dans mon coeur, comme mon père.

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

• La vie tout court : Dans la vie, les plus belles choses arrivent comme les mauvaises. Quand on est souillé comme moi, on a qu'un seul souhait : être heureux en famille et avec tout le monde. Je me suis décidé depuis mes sept ans et mes onze ans à vivre la vie au jour le jour, et à être heureuse de pouvoir admirer la vie, imaginé ce qu'aurait pu me faire le grand-frère d'Adélaïde si j'avais parlé ? Je ne pense pas que sa joie serait sorti comme par magie. Alors, je vis ma vie et j'emmerde ton avis.

• La pêche : Depuis toute petite, papa et moi on allait à la mer pêché des poissons, c'était notre moment à nous. Depuis qu'il n'est plus là, c'est-à-dire cinq ans, la mer ne ressemble plus à nos moment de rire, mais la vie continue et la mer agitera toujours ces vagues avec ces petits poissons, alors je les pêcherais toute ma vie pour nourrir ma famille, comme papa le faisait avec nous. J'apprendrais à mes enfants l'art de la pêche et ils s'amuseront à vivre avec.

• Le harpon : Dans la pêche il faut se servir du harpon, et j'aime beaucoup cette arme. Elle peut être autant encombrante que pratique. Tout est parfait avec. Je m'amuse souvent avec, ça peut paraître bête, mais c'est vrai. Je suis souvent avec et je me sens comme un garde du corps ... Non je ne suis pas folle je vous rassure.

• La force intérieur : C'est con cette expression hein ? Mais oui, la force intérieure. Vous ne savez pas ce qu'on peut faire quand on est en colère, on est triste et l'adrénaline nous fait faire de grandes choses sur le moment. C'est ce que j'appelle la force intérieure, ou la rage de l'homme. Quand quelque chose d'étrange t'arrive tu réagis bizarrement, mais si jamais des choses viendraient chambouler ma vie, alors je me dis que cette force pourrait surgir et que je serais incontrôlable, c'est ce qui me fait peur.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Selon papa une « tata » lointaine y aurait participé, mais je ne pense pas connaître ces personnes. Il y a eu Zoé, une blondinette que j'admirais dans le quatre, mais pour qui j'étais invisible. Il y avait aussi Jessie, le grand-frère d'une certaine Sagitta qui y est allé cette année, pauvre père qui c'est suicidé, cette année les Hunger Games ont dû être dure !

➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?

Euh ...Non je ne pense pas m'y intéresser tout simplement. Je préfère éviter tout un massacre dans ma vie alors la meilleure chose c'est d'attendre. Je vais attendre gentiment comme un toutou et si jamais un des deux touchent aux cheveux de la famille Delares-Lorgan, je l'exécute sur le champs. Donc non, je ne suis pas intéressé.

tell us your story.

❝ Et grince la porte, l'homme rentre saoul dans sa chambre, il fait semblant de dormir, mais l'homme s´en fout, "lève-toi qu´on joue ensemble!", les mains de l´homme courent sur son corps, elle aimerait tant le foutre à terre, le battre, mais son esprit, ses bras sont morts, le souffle chaud de l´ivrogne jusque dans le cou, et l'homme descend la main de l´enfant sur son sexe et l´histoire suit son cours, la fille se sent sale, pénétré jusqu´au mental ... ❞ 

❝ Il me dit tellement de choses. Il me dit que je suis belle, que je serais la princesse de ce pays et que la paie sera dans ce monde. Il me dit tellement de choses, il me laisse tellement de choses et me prend mon coeur. Je ne sais pas pourquoi, peut-être parce que jouer avec des filles de son âge n'est plus son passe-temps préféré. Non il dit que je suis son passe-temps préféré. Mais ce n'est qu'un tissu de mensonge qu'il a préparé pendant plusieurs semaines et qu'il a refourguer à d'autre fille de mon âge pour collectionner la plus grande nature de la femme. La virginité, ne plus être souillé. ❞ 

Partie "Hot" « Tu es magnifique, tu le sais ? » Je regarde cet homme de dix ans de plus que moi, c'est-à-dire dix-sept ans. Je n'ai que sept ans. Sept ans comme Myralis. Celui-ci me fait m'asseoir sur ses genoux, comme si c'était mon père. Il passe sa main frêle dans mes cheveux et me sourit. Je reste immobile et je pose ma tête contre son épaule. « Tu as une tâche sur la lèvre. » Il rigole de son air moqueur pendant que moi j'essaie d'enlever cette petite tâche. Nous sommes seuls sur une plage. Dylan et moi sommes bercés par la mer. Puis il passe sa main dans mes cheveux et approche ses lèvres des miennes. Je ne sais pas quoi faire, et le voici que nos lèvres sont collées et s'embrassent. Sur le moment, je suis heureuse de voir que quelqu'un s'intéresse à moi. « Si tu savais à qu'elle point je t'aime ! » Je souriais, j'étais heureuse de plaire à quelqu'un. Mais je n'avais aucune de ce qu'il allait me prendre. Il m'allonge dans le sable et s'allonge sur moi et m'enlaçant fortement, puis en pénétrant sa langue dans ma bouche. Que puis-je faire d'autre ? Rien. Rien et rien d'autre ! Mais pourquoi, pourquoi ! POURQUOI ?!!! J'aurais dû réagir, mais non, non et non ! Puis il me regarde avec le regard dont toutes les filles craqueraient. Puis il pose son regard sur mon corps et reprend son sourire. Non, je ne pourrais pas réagir, trop tard, l'engin était déjà monté. « Vas-y, endors toi mon petit ange. » Il me regarde et je ferme les yeux. Bip ! Grosse erreur de ma part.

Je ferme un instant les yeux et me voilà en train de rêver d'être une princesse, le rêve des filles de notre âge. Je repense à tout ce qu'on me disait papa. Puis la magie des rêves disparaît et j'ouvre les yeux. Je n'ai plus de culotte et Dylan non plus. Je le regarde et commence à pleurer pendant que celui-ci continue à prendre du plaisir sur moi. « arrête ! Arrête s'il te plaît ! » Je cris, je sanglote, mais je me récolte tout simplement une gifle. « ta gueule et laisse-moi m'amuser encore un peu ! » Je commence à crier de plus en plus fort avant que celui-ci ne me mette la main sur la bouche et m'assomme avec un objet en férail.

Je me réveille nue, toujours près de ce bord de mer, mais seule. Toute seule. Je pleure. Je suis souillé. Il m'a pris l'une des plus grandes choses qui comptait pour moi, ma virginité. Je me relève et remet ce qui me sert d'habit en rentrant à la maison, voyant ma famille joyeuse. Je ne désire qu'une chose, enlever les chaînes éternelles qui viennent de se refermer sur moi.

« Non, ne me touches pas !!! Arrêtes ça !!! » Je donne des coups, mais il n'arrête pas, son obsession sur mon corps continue et la douleur est horrible. Pourquoi me faire ça ? Je n'ai que sept ans ... « Calme toi ... » j'ouvre les yeux et voit le lit trempé avec Myralis inquiète. « Viens on va prendre l'air, mais en silence, il ne faut pas réveiller papa et maman. » Je regarde mon aîné de 35 minutes et me lève en m'appuyant au mur. Mes jambes flanches et celle-ci m'assoit sur ma chaise pendant qu'elle défait les draps et va les mettre dans la corbeille. Elle m'aide à me relever et m'emmène dehors. Tout est noir à part des flammes lumineuses. Elle allume un lambeau et s'écarte un peu des maisons pour m'emmener près de la mince forêt. Celle-ci m'assoit par terre et se pose en face de moi en me prenant les mains. « Respire doucement ... » Je prends ma respiration et expire doucement en fermant les yeux. « Ouvre les yeux. » Je m'exécute. « Raconte-moi ce que tu as ? Tu fais tous les temps des cauchemars en ce moment, ça ne va pas ? » Je la regarde et repense à la scène, de ce qu'il s'est passé. « Oh rien ... Je fais rêves de ... » Je ne dis plus rien et son regard est insistant, puis je croise son regard et commence à fondre en larme. « Viens là. » Elle me tend ses bras et je pars dans un chagrin fou, je ne pourrais rien lui dire, non je n'ai pas le droit. Si je lui dis, je suis fichue. J'ai tellement honte. Comment j'ai pu me laisser avoir par un crétin. « Je veux que tous redeviennent comme avant ... » C'est tout ce que je peux dire. Dans un soupir lasse, ma soeur me ramène à la maison et me borde, pour ne pas que je fasse de cauchemars. Myralis, c'est la meilleure personne que je connaisse.

« Dégage p'tite conne ! » Adélaïde me repousse dans la boue ce qui salit mon petit ensemble blanc. Je me relève et la regarde. « Mon frère m'a dit que tu étais complètement timbré, si je te revois j'te fais ta peau ! » Je ne comprenais pas comment une gamine de sept pouvait parler comme ça. De plus je ne lui avais rien fait ... Je suis couverte de bous et tout le monde me fixe en riant. Myralis arrive derrière moi et me relève. « Oh y a la jumelle qu'est là .. Je me suis trompé de gamine c'est ça ?! » Elle commence à rire et tout le monde la suit. Je commence à pleurer, je ne suis qu'une enfant qui doit subir des choses d'adultes, pourquoi ? Pourquoi moi ?... Je sens alors me faire relever et porter sur les épaules. Je baisse la tête et je vois les yeux bleus de mon prince charmant, de mon sauveur, de mon grand-frère .... Thyäm. Je le regarde me sourire puis son regard va percer celui d'Adélaïde. « Tu retouches à ma soeur et je te jures que ça va mal ce passé pour toi ... » Puis il repart avec ma boue lui glissant sur ses habits et Myralis. Il vient de me donner la meilleure leçon de vie. Tant qu'on aime, il ne faut rien lâcher.

Gemstone K. Jacobs a écrit:

Toi ...