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 to turn it all around or throw it all away → raven&milla

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Raven H. Abernathy
DISTRICT 13
Raven H. Abernathy
△ correspondances : 2104
△ points : 1
△ multicomptes : thybalt, gwendal, eurydice (denahi)
△ à Panem depuis le : 22/01/2012
△ humeur : la mort de Coin, dont les idées commençaient à lui déplaire, a donné un nouvel élan à son implication dans la lutte contre le Capitole
△ âge du personnage : trente-six ans
△ occupation : lieutenant-colonel dans l'armée du 13 (chef de section, tireur d'élite) ~ membre du conseil de décision post-Coin


can you save me?
statut: veuf & père célibataire
relationships:


to turn it all around or throw it all away → raven&milla - Page 2 Vide
MessageSujet: Re: to turn it all around or throw it all away → raven&milla   to turn it all around or throw it all away → raven&milla - Page 2 Icon_minitimeMer 23 Jan - 22:26

Lorsque j'avais ramené la jeune femme jusqu'à ce district qui était le mien je n'avais jamais douté un seul instant qu'elle puisse s'y sentir en sécurité, impression renforcée par le fait que c'était elle-même qui nous avait appelé à l'aide et qu'elle ne l'aurait pas fait si elle n'avait pas voulu revenir ici. Parce qu'au fond c'était toujours ainsi que j'avais vu le district treize, comme un refuge pour ceux que le Capitole avait tant opprimé qu'ils n'avaient plus d'autre endroit où aller, comme un toit à tous ceux qui ne savaient plus vraiment où était chez eux. Mais j'avais bien conscience que cette impression était subjective, et que mon jugement était obscurci par le fait que j'avais moi-même toujours vécu ici, et que ce que certains considéraient comme des souterrains froids et impersonnels avait pour moi la chaleur et les caractéristiques d'un réel chez-soi. Je me rendais bien compte que jamais Ludmilla ne pourrait se sentir chez elle ici, que peut-être même jamais elle ne regarderai ces murs avec autre chose que de la méfiance, à l'égard de ceux qui l'empêchaient de sortir depuis trois jours, de ceux par qui l'année qu'elle venait de vivre était arrivée ; Coin qui n'acceptait jamais de risquer la vie d'autres soldats pour récupérer les morts ou les disparus, moi qui en l'ayant cru morte avait fait cesser les recherches que j'avais moi-même entreprises à son enlèvement, les médecins qui par leur comportement lui donnait l'impression d'être ici en criminelle alors qu'il n'en était rien … du moins pas à mes yeux. Et elle n'était sans doute pas dupe, elle devait bien savoir que si j'étais ici à cet instant ce n'était pas uniquement parce que je m'étais inquiété pour elle, ou parce que je me sentais coupable, même si les deux choses étaient entièrement vraies ; Non, j'étais aussi ici parce que depuis les récents événements survenus contre notre district Coin se faisait plus méfiante concernant les étrangers et voyant le mal et la trahison partout ou presque, et que quitte à ce que Ludmilla doive subir toute une série de questions visant à voir si elle était devenue une menace ou non j'avais préféré qu'elle soit confrontée à moi plutôt qu'à un étranger. Parce qu'il y avait une barrière entre elle et les inconnus du treize qu'elle n'avait plus avec moi ; Elle savait que j'étais un homme de parole, elle le savait parce que c'était un des traits de mon caractère qui faisait ma réputation en tant que soldat de cette armée. Et elle savait aussi que je me refuserais le droit de lui mentir ou de tenter de la manipuler de quelque manière que ce soit, parce que j'avais déjà une dette envers elle après ce qui s'était passé, et que je ne ferais rien de nature à alourdir cette dette que je ne pensais déjà pas pouvoir rembourser un jour. Car comment compenser le fait que par la faute de mes erreurs d'estimation et de décision elle avait vécu une année en enfer ?

Pourtant mes question sil avait bien fallut les poser, car si ce n'était pas moi ce serait un autre, et que bien que m'y prenant de piètre manière j'avais la volonté de rendre à la jeune femme les choses un peu moins difficiles. Et j'avais essayé, j'avais véritablement tenté de me contenter de ses paroles et de me persuader que je n'avais pas besoin de faire le moindre commentaire, ou de demander le moindre détail supplémentaire … Mais l'évocation d'Hunter Blackbird-Crowle avait tout changé. Je ne pensais d'ordinaire pas que les gens puissent être profondément bon ou profondément mauvais, je comprenais ceux qui à cette révolte préféraient la neutralité, et j'étais aussi de ceux qui pensait que les gens pouvaient réussir à changer s'ils s'en donnaient véritablement les moyens. Mais ce type était comme l'exception qui confirmait la règle, le concernant je ne pouvais pas accepter l'idée qu'il puisse y avoir une seule part de bon en lui, que ce type puisse être autre chose que le mal incarné, que la personne par la faute de qui la femme que j'aimais ne serait plus jamais la même après ce qu'il lui avait fait. Et à cause de cela je n'arrivais pas à accepter ce que me disait Ludmilla comme étant la vérité, comme étant une vérité tout du moins, au point de chercher n'importe quelle explication au fait qu'elle se trompe ou qu'elle ne réalise pas le sens ou la portée de ses paroles, quand en réalité je savais qu'il n'en était rien. « Peut-être parce que je préfère me raccrocher à ce qui me semble bon. » m'avait-elle simplement répondu en guise de justification, me laissant perplexe quant au sens à donner à cette réponse. Elle me donnait l'impression de s'être moins méfié du pacificateur lorsqu'elle était avec lui qu'elle ne se méfiait aujourd'hui entre les murs du treizième district et face à moi, comme si le fait de douter m'avait fait directement passer au rang d'ennemi à ses yeux. Mais n'aurait-elle pas douté à ma place ? N'avait-elle à ce point pas conscience que le simple fait de défendre un pacificateur, et encore plus ce pacificateur là, ne pouvait que la desservir en fin de compte ? Je voulais croire dur comme fer que ses convictions n'avaient pas changé, que même ce qu'elle avait vécu durant l'année venant de s'écouler ne pourrait que renforcer sa haine envers Snow, le Capitole et ses méthodes … Mais c'était plus fort que moi, dans un coin de ma tête subsistait maintenant ce petit Et si ? qui me forçait à vouloir en apprendre plus, à poser des questions et à affirmer des choses qu'elle trouvait sans doute dérangeantes. Cet homme était cruel, d'une telle cruauté que je ne parvenais pas à envisager qu'il puisse y avoir d'autres traits sous son masque, et à cause de cela je refusais d'admettre ce qu'elle disait autant qu'elle refusait de le faire avec mes paroles … nous étions dans une impasse, et je craignais que finalement sa révélation ne nous condamnent à ce qu'il en soit toujours ainsi. Si tenté qu'elle m'ait à un moment ou un autre fait confiance ce n'était désormais plus le cas.

    « Qui me dit que toi t'essaies pas de m'embobiner ? » avait-elle vociféré malgré une agressivité qui commençait à faiblir ; La fatigue ou la lassitude sans doute mais je doutais qu'elle soit moins en colère que la seconde précédente. Et si elle l'était c'était ma faute c'était peut-être aussi parce qu'elle était coincée ici et qu'elle n'en avait aucune envie mais c'était aussi à cause de ce que j'avais dit. « Quel intérêt j'aurais à le faire ? » avais-je simplement répondu. La réponse à cette question moi je la connaissais : aucun. Je n'aurais aucun intérêt à tenter de mener la jeune femme, Ici au district treize nous n'avions pas besoin de dire ce genre de choses à propos des pacificateurs pour convaincre les gens de les détester ici les pacificateurs étaient presque aussi méprisés que le Capitole, ses habitants et son dirigeant. « J'essaye juste de te faire comprendre que … » Lâchant un nouveau soupir, il avait fait une pause dans sa phrase avant de reprendre « Je veux juste pas qu'il t'arrive encore un truc d'accord ? Tu peux pas faire confiance à ce genre de type … pas avec tout ce qui se passe en ce moment … » Parce que même si elle disait vrai, même si le fait qu'il l'ait aidé sans contre partie ou idée précise derrière la tête et même si pour l'instant elle pouvait se contenter de garder cela pour elle ou de le laisser dans un coin de sa tête, un jour peut-être tout cela se retournerait-il contre elle. Il était déjà certain que si la chose arrivait jusqu'aux oreilles de Coin elle pourrait décider de faire enfermer Ludmilla juste par précaution.

Parce que si moi j'en étais arrivé à douter, moi qui aurait préféré ne pas le faire et avait regretté certaines de mes paroles au moment même où elles étaient sorties de ma bouche, qu'en serait-il de la Présidente qui parfois donnait l'impression de ne faire confiance à personne et de douter même de ses soldats les plus proches ; Depuis cette attaque chimique elle semblait presque persuadée que chaque messe basse était un complot contre elle, chaque incartade un manquement volontaire à son autorité. Plus les jours et les semaines passaient pourtant et plus le fait de servir dans son armée devenait la possibilité d'un aller simple vers la mort, chose à laquelle nous nous étions tous préparés et pour laquelle nous vivions tous depuis toujours pour certains, mais doucement les langues se déliaient et les attaques de rebelles ne souhaitant pas se joindre à nos troupes de plus en plus nous faisait réfléchir. Ils accusaient Coin de n'être en quête que d'un pouvoir personnel, et de laisser à ses soldats le sale boulot au même titre que Snow le faisait avec ses pacificateurs. Snow, Coin, Coin, Snow, à les entendre l'un ne valait pas l'autre et dans ces moments où il m'arrivait non pas de douter de la cause pour laquelle je me défendais mais des motivations de notre dirigeante il me suffisait de me souvenir de ces accusations pour chasser les doutes de mon esprit. Coin se battait pour récupérer ce que Snow nous avait pris, elle haïssait le dirigeant du Capitole sans doute autant que les familles de ces innocents qu'on envoyait à la mort chaque année, et d'ailleurs elle haïssait cette barbarie dont Snow faisait un cirque macabre. Coin était la seule qui puisse rassembler l'ensemble des habitants de nos souterrains, la seule ayant les épaules pour endosser ce rôle, et pour cette raison nous n'avions pas le droit de remettre en cause sa façon de réagir aux récentes attaques subies ici … Et pourtant. Pourtant au fond de moi ce doute ne disparaissait pas, pas depuis que la Présidente avait songé abandonner Miléna et Aiden à leur sort voilà quelques mois, et encore mois maintenant que je réalisais ce qui attendrait sans doute Ludmilla si d'autres apprenaient ce que je venais d'apprendre. Je ne savais pas si j'aurais les épaules pour garder ce genre de chose pour moi, mais je savais que je n'aurais pas les épaules pour vivre avec le fait de voir la jeune femme enfermée à nouveau comme une criminelle après ce qu'elle avait vécu, en partie par ma faute.

Mais c'était prendre de tellement de risques, c'était ignorer tellement de nos lois que j'avais comme besoin de garanties pour me prouver que je ne faisais pas une bêtise, que la décision qui lentement faisait sa place dans mon esprit ne deviendrait pas par la suite quelque chose que je regretterais, ou une erreur que peut-être je devrais payer ; Je ne désobéissais jamais. Peut-être l'aurais-je fait s'il n'y avait pas eut d'autres manière d'aller chercher Miléna, sans doute, mais je n'avais pas eut besoin de le faire et pour cette raison je n'avais jamais désobéi à un seul ordre depuis mon incorporation dans l'armée douze ans plus tôt. Pas une seule fois, et si en quittant cette pièce je décidais de taire tout ce que je venais d'entendre ce serait la première fois … Alors j'avais besoin de ces garanties, besoin de l'entendre me dire de vive voix que je n'avais pas à craindre un retournement de situation, que ce type n'avait pas miné ses convictions ou entaché sa volonté à voir la dictature de Snow s'écrouler.

    « Tu voulais des preuves … » avait-elle finalement lâché comme si elle avait deviné mes pensées. Saisissant ses cheveux pour dégager sa nuque elle avait découvert devant mes yeux les stigmates de la maltraitance subie durant des mois ; Des marques sur lesquelles le temps avait œuvré, mais qui probablement jamais ne disparaîtraient. « Ça. » puis elle avait continué, ses mains aux ongles arrachés, son corps maigre et abîmé, ses traits tirés … Toutes ces marques qui rappelaient que si pendant un an nous l'avions cru morte elle ne l'était pas, et était au contraire encore assez envie pour subir privations et tortures. Si tenté que je ne me sois pas encore senti coupable avant, c'était de toute façon maintenant chose faite. « Hunter représente à lui seul l'ensemble de ces individus qui m'ont infligé tout ça. » Alors qu'elle me fixait à nouveau dans les yeux j'avais eut envie de baisser les miens, de fixer le sol d'un air penaud ; Mais usant de toute la volonté que je parvenais à rassembler, je ne l'avais pas quittée des yeux. « Et tout ça me pousse à encore plus me battre contre la persécution perpétuelle. » La persécution perpétuelle. C'était une bien jolie formule, pour des actes aussi barbares que ceux commis par les sbires du Président Snow.

Si j'avais été face à quelqu'un d'autre, si un m'avait chargé d'interroger – parce que c'était ce que c'était au fond, inutile de se voiler la face et peu importait que ce ne soit pas la seule raison qui m'ait poussé à venir - quelqu'un que je ne connaissais pas et que je n'aurais jamais vu avant, sans doute y'aurait-il eut ce doute au fond de moi, cette impression que ces paroles sonnaient comme trop belles pour être vraies, qu'elle n'étaient que le reflet de ce que je voulais entendre. Mais pourtant l'idée ne m'avait ici même pas effleuré l'esprit … peut-être parce que j'avais tellement envie d'y croire que je ne voulais pas laisser quoi que ce soit, pas même mon inconscient, remettre en cause ce que j'avais espéré entendre en posant mes questions. Peut-être était-ce simplement que je ne voulais pas croire que je ne pouvais pas faire confiance à la jeune femme, malgré tout, et parce qu'après ce qui s'était passé durant l'année devant de s'écouler, s'il y en avait un qui devait ramer pour regagner la confiance de l'autre c'était plutôt moi. Et voilà comment, presque sans réfléchir et sans savoir non plus si je le regretterai ou non – mais j'espérais que non – j'avais promis. Promis de ne rien dire, promis de garder pour moi le secret de la jeune femme, promis de ne pas la vouer à devenir un objet de méfiance au sein de nos souterrains et aux yeux de la présidente. J'avais promis, et l'expression de soulagement que sembla alors arborer la jeune femme tandis qu'elle murmurait un « Merci. » que je n'aurais pas été en droit d'espérer de ma propre initiative.

    « Tu ne le regretteras pas. » m'avait-elle finalement assuré avec à nouveau un peu plus d'aplomb. Si j'allais le regretter ou non, ce n'était pas une donnée que nous étions elle ou moi en mesure de savoir, car après tout personne ne savait de quoi serait fait le jour suivant. Mais j'avais fait un choix, j'avais décidé que pour la première fois de ma vie mon instinct me paraissait plus sûr que les lois imposées par la Présidente, et si j'étais en droit de craindre quelles pourraient en être les conséquences je restais persuadé en mon fort intérieur que j'avais pris la bonne décision. Pour Ludmilla, pour moi, pour ma conscience. Et c'était sans doute tout ce qui importait. Déglutissant, j'avais fait un pas sur le côté et passé ma main sur ma nuque « On devrait bientôt te laisser sortir d'ici, demain sans doute. » du moins j'espérais que mon rapport, aussi vide et faux risquait-il d'être, suffirait à sortir la jeune femme de cet endroit qui, à dire vrai, me mettait mal à l'aise même en ayant vécu toute ma vie sous terre. « En attendant, promet moi d'être docile avec les infirmières. Crois-moi, tu te faciliteras les choses si elles cessent d'avoir peur que tu leur sautes à la gorge. » J'avais terminé ma phrase d'un air amusé, tentative désespérée pour détendre un peu l’atmosphère. Et puis, elle savait aussi bien que moi qu'il n'y avait qu'en feignant de pouvoir se tenir tranquille qu'on accepterait de laisser sortir. Je ne saurais dire si je l'avais vu acquiescé d'un signe de tête ou bien si ce n'était à encore que quelque chose que j'avais eut envie de voir, mais quoi qu'il en soit elle avait fini par s'éloigner de la porte, me laissant à nouveau la possibilité de quitter la pièce. Posant une main sur la poignée, j'avais hésité un instant, puis m'étais une dernière fois tourné vers elle « Quand tu seras à nouveau dehors, si tu as besoin d'un truc … enfin, je serais là. Si tu veux. »

Sans doute parce que je craignais la réponse qu'elle pourrait me donner, et que je n'avais pas envie de l'entendre me dire que j'avais fait assez de dégâts dans sa vie sans qu'elle ne prenne le risque d'aggraver la chose, j'avais quitté la pièce sans attendre sa réponse, refermant derrière moi la porte avec autant de douceur que possible, et espérant repartir sans que le moindre médecin ou la moindre infirmière ne puisse me poser la moindre question. Dès que je m'étais trouvé hors de la pièce je m'étais répété que je devais oublier tout ce que je venais d'entendre, ou du moins faire semblant … Je pouvais faire semblant, aisément, mais pas avec tout le monde. Je pouvais faire semblant avec mes hommes, avec ma hiérarchie, avec les gens que je côtoyais à longueur de journée, mais je ne pourrais jamais faire semblant avec moi-même. Et avec Miléna. Je n'étais pas certain de pouvoir faire semblant avec Miléna, surtout pas concernant Hunter. Au moment où je passais la porte marquant l'entrée de l'aile médicale, le regard mauvais d'Hunter durant le cauchemar qui m'avait tiré du lit ce matin là me revint en mémoire, et tandis qu'un frisson me parcourait l'échine j'avais accéléré le pas pour m'éloigner de cet endroit.

fin du sujet.
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