impressions des équipes

Le défilé a eu lieu, et pour ne pas perdre de temps dans la suite des évènements, nous préférons que vous postiez un rp résumant les impressions de vos personnages. Faites court, long, comme vous voulez, mais privilégiez les autres rps qui arriveront très très rapidement.

J'étais assis avec les mentors, je surveillais Azrael, du coin de l'oeil. On avait jamais beaucoup parlé tout les deux, et la décision de s'occuper chacun d'un tribut s'était imposée d'elle même. Il prenait Titus, et moi Hazel. Aucun problème. En fait, ça m'arrangeait. Je l'aimais bien cette petite, même si de toute évidence, d'entre les deux, Titus était le plus apte à s'en sortir vivant. Je n'avais pas trop parlé avec leurs stylistes, trop occupé ailleurs, et j’appréhendais un peu. En quoi ces psychopathes allaient ils encore les habiller ? Rah. S'il y'avait bien une chose que je ne pouvais pas supporter pendant les Jeux, c'était les costumes. Tous affreux, ridiculement pathétiques. Putain, avec un peu de chance ils ressembleraient à quelque chose. Pour une fois. C'est vrai que je gardais un souvenir plutôt terrible de ma propre parade. Des vêtements qui grattent, des paillettes qui collent et qui refuse de partir. Sans rire, j'adore, vraiment. Bordel. Défilé de mode au Capitole, youpi !

Et là ils apparaissent, tous. J'avale une gorgé d'un cocktail non alcoolisé au goût douteux avant de reposer le verre sur une petite tablette. J'essaie mentalement d'organiser ma soirée, une fille peut être ? Valkyrie sans doute.
Une grimace de dégoût se dessine sur mes lèvres en voyant mes deux deux tributs. Je n'arrive pas bien à comprendre ce que leurs stylistes ont voulu faire passer à travers eux, et sincèrement, ça crains. Ce qui me révulse le plus, c'est d'entendre les cris de tout ces gens, acclamant ce pitoyable travail. Allez manger vos morts, bande de nouille ! Ce n'est pas comme ça qu'ils vont s'attirer des sponsors. Et sans sponsors, c'est la mort assurée.

Les autres défilent, les tributs du Dix sont les plus chanceux. Bordel. Avec un district aussi riche que le Deux, on aurait tout de même pu penser que nos stylistes feraient un travail correct, non ? Lorsque ça s'arrête enfin, et que le président Snow s'arrête de parler, je me lève en vitesse et disparaît dans les coulisses pour récupérer Hazel. J'ai encore beaucoup à lui dire.
HJ : désoulé, ci un peu nul je savais pas trop quoi dire

Tu es assis dans l’alcôve des gradins réservée aux mentors, la tête entre les mains. Tu espères que cette année les costumes ne seront pas trop ridicules. Le comble serait d’atteindre le district douze... Après tout c’est vrai que les stylistes seraient bien capables d’avoir déguisé les tributs en cheminots... Stupides comme ils sont, tellement clichés... Fidèle à tes traditions de les humilier, tu t’es habillé avec soin : T-Shirt et jean. De toute façon le gouvernement te trouve trop indifférent et antipathique pour te soupçonner de faire partie de cette rébellion qui les gêne. Autour de toi les gens discutent, les verres tintent, les serviteurs s’agitent avec leurs plateaux chargés d’alcool et autre boissons. Tu refuses la coupe de champagne que te tend une muette. Tu n’aimes pas le champagne. Et tu ne bois pas en public de toute façon. Tu ne ressens même pas de compassion pour la muette. Cela t’est égal. Elle n’est pas la première que tu vois et certainement pas la dernière. Fallait pas qu’elle se fasse prendre.

Mais soudain l’hymne du Capitole retentit et une clameur s’élève de la foule bariolée : le premier char a fait son entrée. Ceux du un sont comme d’habitude des objets de luxe à eux tout seuls. Ceux du deux sont... Immondes mais ont le mérite d’avoir de beaux chevaux. Le trois n’est pas trop mal. Les tridents du quatre ne sont pas très originaux mais ils sont finement ouvragés. Le cinq n’est pas très impressionnant. Le six... Mon Dieu le six ! Tu te redresses immédiatement, subjugué. Il est d’une originalité folle, pour une fois on peut dire que Thalia s’est surpassée. Tu te saisis d’un miroir grossissant et observes le visage de Gemma. Sa coiffure est si haute que tu te demandes comment elle fait pour ne pas tomber et son maquillage doré couvre sa peau, la faisant ressembler à un être venu d’une dimension supérieure. Mais sa robe... Des trains roulent sur sa surface, utilisant des fermetures éclairs en guise de rails. Tu remarques bien vite que ces trains ouvrent lesdites fermetures, dévoilant de nouvelles parties de tissu qui allongent la robe peu à peu. C’est... D’une ingéniosité folle, tu es bien obligé de le reconnaître. Un modèle un peu similaire est porté par Fenugreek qui a pour une fois l’air tout à fait convenable. Toi qui avait peur qu’elle ne puisse rien faire pour lui...

A trop les regarder tu n’as pas fait attention ni au district sept, ni au huit, ni au neuf mais le dix attire à nouveau ton attention. Katell que tu reconnais avec un pincement au coeur, est coiffée en suivant la forme de cornes de taureau d’où pendent de longs fils d’or. Le bustier de sa robe qui laisse apparaître une torsade de sa peau, est en fourrure bouclée et à partir de la taille elle est d’une étoffe immaculée qui lui colle aux hanches pour s’évaser vers le bas. Une broche en pique les plis et des espèces de fumerolles pourpres s’agitent sur le tissu, atteignant à leur plus haut point les genoux. Elle aussi est époustouflante.

Mais déjà les chars atteignent le ‘‘Colisée’’ et se rangent en ordre. Tu te rendors pour le discours du président Snow qui n’est que d’un intérêt très limité.

On m'a donné une dose de morphine. Alléluia. Je suis doux comme un agneau, avec les crocs d'un loup en plus. Mon costard me gratte, j'ai trop chaud, les lumières ne sont pas dirigées vers moi : bref, aucun intérêt. J'aurais dû rester à la résidence, à siroter un putain de gin plutôt que de regarder le défilé des tributs. Mais je dois avouer que c'est un spectacle marrant. Le district Un me fait hurler de rire - mon dieu, la gueule de la tribut, c'était à la fois vomitif et jouissif. J'ai jamais vu une concurrente du Un aussi moche. Autant je me suis bien marré quand c'était le tour du Un, autant je dois avouer que je me suis senti pas terriblement bien quand c'est le Deux qui est arrivé. D'abord, j'ai rien compris. Ils étaient tout gris, limite blanc "je-vais-te-gerber-dessus". J'ai mis un moment à comprendre le pourquoi du comment. Peinturluturés, ils étaient sans doute censés représenter le marbre, vu que le district Deux s'occupe de l'extraction de pierres et tout le toutim. On aurait dit qu'Hazel était en train de chier dans son froc, mais Titus avait l'air bien. Quand j'ai entendu le public scander son nom, je me suis dit qu'il avait toujours une chance. Le coup du fouet, ça m'a fait rire. On m'avait pas autorisé à voir leurs costumes avant, sans doute parce que niveau confiance, je frise le zéro. Chapeau bas aux stylistes.

Les autres districts ? C'était vomitif. A pleurer de rire. Dans la tribune des mentors et des équipes de préparation, j'étais le seul qui pouffait de rire en voyant les tributs. Comment ont fait les autres pour pas mourir de rire ? Entre le district Six et ses trains-trains débiles, le Neuf et son tournesol et l'élégance du Douze, y'avait de quoi se pisser dessus.

Après avoir subi un voyage bien long en compagnie de la toute nouvelle équipe du Onze, nous arrivâmes enfin au Capitole. Les deux jeunes tributs étaient passés entre les mains expertes des stylistes, et l'heure du grand défilé était arrivé. Je pris place dans les gradins du Grand Cirque pour sûrement l'un de mes moments préférés des jeux. L'hymne commença à retenir dès l'entrée du premier char, le district un. Comme d'habitude ils étaient représentatifs de leurs spécialités, tout comme les districts suivants. Un petit rire s'échappa tout de même lorsque je vis les deux du Neuf, très mignons dans leurs habits champêtres, mais heureusement pour eux, la plupart des habitants étaient plus ridicules lors de ce spectacle. J'attendis donc le passage d'Ezea et Viha en vêtements. Certes je les avais déjà vu avant, mais le rendu sur les chars, avec la musique, les lumières et les acclamations rendaient le tout parfois plus beaux, ou plus grotesques. Pour mes petits chéris du Onze, le résultat final était assez convaincant. Malheureusement, il y avait ceux du Six qui se faisaient remarquer avec leurs vêtements très ingénieux, ou même les districts Trois et Cinq qui arboraient des couleurs luisantes sur leurs costumes. Bref, il n'y avait rien d'extraordinaire cette année, quelques bonnes idées, parfois trop prétentieuses et qui attireraient des ennuis aux tributs comme le Quatre qui se prenait pour les meilleurs, mais c'était peut-être mieux comme cela. Déjà, ils n'étaient pas nus comme des vers, et c'étaient l'une des premières dans ce défilé. Je me souvenais d'une année, le district Douze recouvert de charbon, ou encore le Sept avec seulement quelques feuilles et branchages.

Je regardai alors les autres membres de mon équipe qui ne semblaient pas plus emballés que ça, mais bon ce n'était pas non plus l'horreur. Ezea et Viha ne s'étaient pas ridiculisés, loin de là, et notre travail les rendrait irrésistible pour les interviews. Ce n'était pas gagné, mais ça ne coûtait rien d'essayer au moins. On peut faire des miracles avec certaines notions de politesse, d'élégance et de charme. Espérons au moins que leur mentor nommé Phoenix ne leur donne pas son côté répugnant et péremptoire, et que le fait d'avoir la toute dernière gagnante des jeux dans l'équipe serve à nous mettre en avant.

Assise dans les gradins, j'attends avec impatience l'arrivée du char du district six. Je cherche du regard Richard, que je trouve grâce à sa tenue. Il est bien le seul à ne pas faire le moindre effort, et je lui envie cette attitude. Je lui adresse un léger signe de main, avant de reporter mon attention sur la parade. Je suis plus que curieuse de découvrir les merveilles que Thalia a faites cette année. J'adore le défilé du Grand Cirque et je ne m'en cache pas. C'est probablement le meilleur moment de la préparation des tributs au Capitole. Je ne participe pas aux entraînements, et les séances de conseils des tributs sont ... longs et ennuyants bien qu'obligatoire. Bien que n'étant pas d'accord avec les idées politiques du Capitole, j'appréciais ce défilé pour plusieurs raisons. Cela nous permettait, aux mentors, de découvrir les réactions des citoyens du Capitole en découvrant nos tributs. Cela permettait de deviner si trouver des sponsors allaient être tâche facile ou non. Et je devais admettre que j'adorais les costumes préparés chaque année. En réalité, la plupart était absolument immonde, mais cela était plutôt drôle. Parfois, il y avait de bonnes surprises et certains se détachaient du lot. Comme nos tributs du six. Lorsque ce fut enfin leur tour - je n'avais prêté qu'une petite attention aux précédents districts, aucun n'étant éblouissant pour l'instant - je fus subjuguée par leurs allures. Ils sont éblouissants. Sérieusement, ils sont parfaits. Gemma est magnifique avec son maquillage, et même Fenugreek n'est pas si mal. Les deux costumes ont été soigneusement étudiés pour représenter la spécialité du district six tout en étant originaux afin de marquer les esprits. Et ça marche. Ces trains qui s'échappent des cheveux des tributs pour envelopper la robe sont hallucinants. Les applaudissements des citoyens prouvent que Gemma et Fenugreek ont fait leurs effets. J'applaudis à mon tour, me levant de mon siège, sautillant sur place. Je n'ai pas besoin de me forcer face à un tel engouement, ils sont réellement parfaits. Les carrières ont été éclipsées par deux misérables tributs du six, district qui est toujours sous-estimé. Mais cette année, c'est la bonne. C'est sûr. Ils se font une place de choix face aux sponsors. Ils ont réussi leur coup. Je les regarde s'éloigner avec un pincement au coeur, et me concentre sur le reste des districts qui doivent encore passer. Le district sept est plutôt pas mal. Je retiens un rire à l'arrivée du neuf. C'est ... original. Je suis sûre que si le garçon est vêtu ainsi dans l'arène, il fera fuir tous ses adversaires. Quant à la fille vêtue de tournesol ... on se croirait dans une pub pour un engrais. Le district dix arrive, et je dois admettre qu'ils sont également impressionnants. Décidément, cette année ce ne sont pas les carrières les stars, mais bel et bien les petits districts insignifiants. Le onze et le douze sont d'un ennui mortel, et je préfère chercher du regard nos deux tributs qui sont déjà loin devant. Je reste pour le discours du Président Snow que j'ai déjà entendu des milliers de fois, mais je feinte un intérêt nouveau à chaque fois. Dès que ce dernier s'est terminé, je m'éclipse le plus vite possible pour aller féliciter nos deux tributs.

L’engouement de la part des citoyens du Capitole pour le Défilé me dégoûtait. Quel plaisir pouvait-on prendre à voir ces jeunes gens se pavaner à l’aube de leur mort ? C’était répugnant. Ces gens me répugnaient, cette atmosphère, ces lumières, ce défilé, tout me rendait folle. Je n’avais qu’une seule envie, me barrer d’ici le plus vite possible. Malheureusement, ma présence était indispensable pour la simple et bonne raison que j’étais la dernière gagnante en date. C’était donc tout naturel que je sois présente pour … me préparer à passer le relai. Bon sang, j’avais hâte. J’espérais que les Jeux se déroulent le plus vite possible, que le Capitole se découvre un nouveau jouet et me foute la paix. J’aspirais seulement à retrouver ma petite vie tranquille au district onze, loin de ses extravagances et de ces abrutis. Hope s’était occupée de ma tenue pour assister au défilé. Elle répétait sans-cesse que je ne pouvais pas me montrer tant que je ne serais pas parfaite. J’avais passé des heures à essayer des robes toutes plus excentriques les unes que les autres, et Hope m’en avait choisi une … épouvantable. Elle était plutôt jolie, mais j’étouffais à l’intérieur. Impossible de respirer. Alors dès qu’elle avait quitté la pièce pour s’occuper de Viha et d’Ezea, j’avais enfilé une tenue plus simple, provoquant l’agacement de Hope lorsque qu’elle m’avait recroisé plus tard. Je m’étais installée à la première place libre que je trouvais. Je regardai les tribunes afin d’y découvre un visage familier. Je ne reconnus que Delysia, et il n’y avait aucun Phoenix en vue, ce qui n’était pas plus mal. L’hymne de Panem retentit, et je regardais sans grand intérêt les tributs défiler. Je me fichais pas mal de leur tenue, à vrai dire j’avais simplement envie de voir leur visage. Et … la plupart semblait imbuvables, je devais bien l’avouer. Entre les districts de carrières qui se prenaient déjà pour les grandes stars et qui se voyaient vainqueur, les plus pauvres qui semblaient soudainement s’illuminer grâce à un costume stupide (sérieusement des trains qui font tchoutchou, c’est pour des gamins de cinq ans, pas pour un défilé au Capitole), et ceux qui avaient simplement un visage qui ne me revenait pas, comme celui du six ou celui du un, cette année les Jeux n’allaient pas être gâtés. Dire qu’une de ces tronches de cakes allaient revenir. Il fallait vraiment que ce soit Ezea ou Viha qui revienne en vie. Même cette dernière, aussi insupportable soit-elle semblait plus appréciable que celle du quatre ou que la probable sociopathe du un. Le char du onze arriva enfin, et ce fut bien les seuls pour lesquels je me levais et applaudissais. Très sincèrement, Hope m’avait habitué à mieux, mais ils avaient fait leur petite impression. De plus, leur petit jeu sur le char semblait plaire au public qui scandait leurs noms. C’était un bon point. Même si le public hurlait à chaque char, il semblait bien que ces deux-là étaient bien partis pour décrocher des sponsors. J’écoutais d’une oreille le discours du Président Snow, n’ayant qu’une hâte, partir d’ici le plus vite possible.

Je vois le premier district ouvrir la marche, toujours autant acclamés par les foules. C'est dingue, ou peut-être pas tant que ça. Il faut dire que le Un a toujours été le district se rapprochant le plus de ce que les habitants du Capitole aiment : le luxe, ce qui brille, les bijoux, et j'en passe. Ils sont assez riches pour notre estime, voilà tout. Mes tributs ne sont pas stressées, heureusement pour moi. Imaginez un peu que j'aie à séchez les larmes d'une ado pisseuse, alors que je suis entrain de la recouvrir de peinture grisâtre. Ô oui, ce que j'aimais leur costume et pour cause : ils n'en portaient pas. Cette année était placée sur le ton de la Nature, à mon sens, du naturellement beau. C'est pourquoi exposer leur corps avait été une évidence pour moi. Bon, il ne fallait pas abuser non plus, les envoyer totalement nus dans le Grand Cirque m'aurait bien fait marrer, mais je m'en serais mordu les doigts par la suite. C'est le premier district que je vise, pas une place éternelle dans l'équipe du Deux, même si je dois avouer que leur mentor est carrément canon, et que le tribut masculin aussi. Barrés, mais bien foutus. Même la tribut féminine avait quelque chose de mignon cette année, pas vraiment classe, mais je lui trouvait un truc. Un truc qu'elle pourrait développer si jamais elle gagnait ce tournoi et qu'elle venait vivre au Capitole. Sauf que pas de bol, il y a Titus. Dire que je soutiens cette brute épaisse serait peu, vraiment.

« Et ... voilà ! » fis-je pour le laisser bouger à sa guise. C'est vrai qu'il avait un corps bien sculpté, ce garçon ; un corps que j'aurais aimé visiter avec plaisir. Puis je souris à l'idée d'apercevoir Drake plus tard dans la soirée, à l'idée de le voir me serrer la main pour mon boulot, à l'idée de le voir sans sa potiche. Quiiiii se trouve juste à ma gauche, entrain de finir les ajustements pour ses péquenauds du Trois. Comme si ces gamins auraient une chance. Leur costume est à la hauteur de leur temps de survie dans l'arène : nul. Je la regarde et lui adresse le sourire le plus commercial qu'il m'ait été possible de lui donner. Pimbêche de mes deux, tu ne le mérites même pas. Titus gagnera cette édition des Hunger Games, comme je gagnerai la place de future épouse de Drake. Voilà.

Je vois les deux tributs du Deux monter sur leur chariot, sur ces beaux chevaux noirs, à leur effigie : majestueux. Si les autres ne voient que l'aspect terne de ces costumes, je préfère en garder leur profondeur. Leur nudité dans ce jeu, masqué par une fine couche de peinture : ce qui masque la peur des Carrières. Bref, ce sont les meilleurs des péquenauds des districts. Ils sont acclamés, Titus l'est plus qu'Hazel, bien qu'elle gagne tout de même quelques applaudissements. Un peu de magie avant de se faire étriper, ça les calmera.

Le temps de monter dans les tribunes, je rate quelques chars mais arrive pour les beaux costumes du Huit. Je dois reconnaître que j'aime ce style, tout à fait huitien. Inimitable. Puis le Neuf, et ces tributs délurés : je les adore déjà ces abrutis, surtout le petit Skann. Un comique qui en fera déstresser plus d'un, ce qui n'est pas plus mal ! La robe de la fiche du Dix est somptueuse, cela colle bien avec leur thème. Bref, une jolie parade même si ça manquait un peu de chair à mon goût.