filipa casper shakspeare

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

(merci de répondre aux questions en suivant les indications de lignes. certaines questions sont seulement pour certains personnages, merci de supprimer celle(s) qui ne correspondraient pas au vôtre.)

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

Je ne sais pas comment je vois ma mort, j'espère qu'elle ne sera pas lente et douloureuse, j'espère qu'elle sera rapide et efficace et avec un peu de chance, des fois j'espère, mourir vieille et voir Panem être un endroit où il fait bon vivre ou du moins, aussi bon qu'ailleurs. Mais mon espoir est mince et Panem est en train de s'écrouler, alors ma mort, j'imagine, qu'elle arrive à grand pas.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Je me vois mourir pour ce que je pense, pour sauver Panem. Mourir dans la rébellion ne me rendrait pas triste, mais fière. Je veux des enfants et je veux que ceux-ci n’ait pas à vivre ce que moi j’ai vu, je veux un futur plus beau, plus serein pour la prochaine génération. Je ne veux plus que des gens meurt de faim dans les rues et qu’on ce dise que c’est normal, je veux voir la justice triompher et si je me dois de mourir pour que ça arrive et bien soit.

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

Ce qui m’a aidé dans les jeux c’est le fait que personne ne ce souciait de moi, d’une petite fille de 12 ans, qui allait surement mourir de faim dans les premiers jours. Et pourtant, venant du district neuf j’avais déjà commencé à apprendre la chasse, ce qui m’a été bien utile. Tout comme le fait que ma grande sœur était une fan fini des plantes médicinal et comestible, j’aurais pu en apprendre plus et peut-être ça aurait été un peu moins dur, mais mes bases on été assez solides pour que je puisse m’en sortir.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Ma sœur aînée est décédée lors des jeux 57, elle avait seize ans et personne ne mérite le sors d’être tuer par un autre enfant. Elle est décédée à la corne d’abondance, elle qui aurait eue une chance si elle n’avait pas fait le choix de ce lancer dans la gueule du loup, mais la connaissant elle voulait surement mourir dès le premier jour, ne pas être un pion parmi tant d’autre. Sa mort fut courte, une flèche dans le dos une autre dans le cœur. Il y avait quelque chose d’apaisant dans le fait de savoir qu’elle était morte au début, comme si maintenant on avait plus besoin de s’inquiéter pour elle. Et puis, il y eue moi, mais je ne suis pas ma propre proche.

➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ?

n/a

➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?

Le capitol est un régime totalitaire oligarchique et je le déteste. Je hais le capitol pour ce qu’il m’a fait, pour ce qu’il a fait à ma sœur, pour ce qu’il à fait endurer à ma famille et à toutes ses autres familles et aux habitants. La révolte j’en fait partie, le district treize je l’ai vu de mes yeux, je n’y suis pas si souvent, parce qu’on me veut comme mentor, je serai plus utile comme ça et peut-être je réussirai à sauver mes tributs de la barbarie du capitol et de ces dirigeants.

➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ?

n/a


(les résidents du capitole n'ont pas à remplir le paragraphe ci-dessous, merci de le supprimer dans ce cas!) (remplissez le paragraphe en choisissant le champ qui correspond à votre personnage. il vous est bien sûr possible de changer le texte pour que cela colle mieux, mais garder la trame de départ tout de même. message à supprimer quand la fiche est postée.)

JE VIENS D'UN MILIEU favorisé du à ma victoire, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est abondante. DU COUP, MON NOM A aucune d'être tiré au sort. J'EXERCE LE MÉTIER DE pianiste ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime. JE SUIS DANS LE 9ÈME DISTRICT. AYANT 28 ans JE naie déjà PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET ça tient du miracle. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

tell us your story.

On dit que certain famille sont maudite par les hungers games et par le capitol, eh bien la mienne fait surement partie de ces familles. On est trois sœurs dans a famille, Yéléna, Jules et moi. Yéléna a sept ans de plus que moi, tout comme Jules qui en est sa jumelle. Bref, trois petites filles, qui on connu l’horreur. La première fois que j’ai connu l’horreur, j’avais neuf ans et mes sœurs en avaient seize. C’était le jour de la moisson, il faisait un beau soleil et extrêmement chaud et sec. J’étais avec ma mère et mon père, de notre côté, du coté sécuritaire de la moisson si on veut. On fixait Yéléna et Jules avec deux yeux rond, déjà rempli, ou presque de larmes dû au stress de la moisson. Yéléna était celle avec le plus de nom dans le bocal, parce que Jules et elle avait fait un pacte, une seule d’elle prendrait des Tesserae pour laisser la chance à l’autre. Le discours de l’hôtesse, on ne l’entendait pas vraiment on ne s’en souciait pas non plus, ce n’était pas important. On la regarda plonger sa main dans le bocal, sans comprendre surement, que tous les cœurs des jeunes filles s’arrêtaient à mesure qu’elle touchait ou effleurait leur nom, sans même le savoir. « Yéléna Adélaïde Shakspeare » J’arrêtai de respirer, ma mère et mon père aussi, mes deux sœurs ce regardèrent, notre monde s’écroulait au tour de nous et on ne pouvait rien y faire. Deux ans, il ne restait que deux ans et elles s’en seraient sortie, mais le sort ne leur fut pas favorable. Il faut dire Yéléna avait tellement de fois son nom dans le bocal depuis des années que s’en était ridicule qu’elle n’eut pas été piger avant. Tout déboula rapidement par la suite, Yéléna avança vers la scène, Jules derrière elle criait si fort, mais personne ne semblait l’entendre après cinq fois qu’elle eut crié, on l’entendit enfin. « Je me porte volontaire à sa place » Tous les habitants du district ce retournèrent vers Jules, on lui en aurait voulu de ne pas ce porter volontaire à la place de Yéléna, pas parce qu’on l’aime moins, simplement parce que des jumelles c’est pour ça non ? Yéléna et Jules se serrèrent dans leur bras et des pacificateurs durent les séparer. Jules ce sacrifia le première journée des jeux en fonçant directement vers la corne d’abondance, alors qu’elle était maigre comme un pou et qu’elle aurait eue plus de chance en allant ce cacher dans la forêt. Une partie moi était heureuse qu’elle le fasse, elle nous a épargné cette attente, cette angoisse et je pense qu’elle le savait.

Après cette première tragédie dans ma famille, Yéléna me prit sous son aile et madame la fan de plante ce mit à me montrer ce qu’elle savait. Mon père ce mit en charge de on éducation à la chasse, parce que ce n’est jamais de trop pour les jeux. On ne m’entrainait pas pour ça, mais on voulait s’assurer que j’ai un minium de chance de survivre plus qu’une journée. Mes douze sont arrivés trop vite pour tout le monde, Yéléna ne pouvant pu prendre de Tesserae c’est moi qui c’est collé à la tâche. On ce retrouva si vite à la moisson. Mon corps frêle ce mit à trembler quand notre hotesse ouvrit la bouche pour son discours. Je la regardai mettre sa main dans le bol, en priant pour qu’elle ne pige pas mon nom, mais personne ne prendrait ma place à moi, personne. « Filipa Casper Shakspeare » Tout s’écroula au tour de moi, rien ne fonctionnait, je n’avait pas mis mon nom tant de fois dans le bol, j’étais un risque mince et ils m’avaient pigés. Je regardai autour de moi, on me laissa la place pour passer. Je ne sais toujours pas comment j’ai fait pour me rendre jusqu’à la scène, mais j’y suis parvenu. J’avais beau être le genre d’enfant qui brasse comme on le dit si bien, j’étais terrorisée à l’idée de devoir faire face aux jeux. Je me souviens de l’hôtesse, qui semblait, malgré sa provenance du capitole, aussi accablé que tout le district. Personne ne m’applaudit, tous les habitants regardèrent le ciel pendant une minute. On pigea le tribut garçon par la suite Mathéo Malone. Un garçon de dix-sept grand comme un géant, fort comme un bœuf. Allez savoir comment ça ce faisait qu’il semblait avoir si peur alors qu’il avait dix fois plus de chance que moi d’en sortir vivant. Il me faisait tellement peur et pourtant la première chose qu’il a fait rendu sur la scène c’est de me lever et de me mettre sur ses épaules. Un signe de protection si on veut, il n’allait pas me laisser mourir, ou du moins il essaierait de ne pas me laisser mourir. On ce retrouva prit dans ce tourbillon qui amenait les jeux. Tout le monde me prenait en pitié, j’étais la pauvre gamine qui avait été pigée à sa première moisson, ce n’était pas la première fois, mais personne n’aimait vraiment ça et je compris rapidement que je me devais d’utiliser cela à mon avantage. Je ne voulais pas mourir, je me doutais que j’allais y passer, mais je n’allais pas me jeter dans la gueule du loup.

Mes stylistes utilisèrent la carte de l’enfant à merveille, des robes roses qui démontraient bien que je n’avais pas le corps d’une femme. Deux tresses, une de chaque côté et non pas simplement une qui pourrait faire guerrière. Ceasar fut très paternaliste lors de l’entrevue, tous me donnait une chance, une voie à exploiter et je n’allais certainement pas me gêner. À l’entrainement j’ai ciblé des choses que je ne connaissais pas, je ne suis pas allé étaler mon savoir de chasse et de plantes. J’ai appris à manier le couteau et à faire des nœuds. Je reçu un sept, ce qui était bien plus que je n’aurais pu espérer, mais bien sur, j’étais loin d’être une favorite, après nous, j’avais douze ans, j’étais mal nourri et je devais peser 20 kilo mouillé. Le moment des jeux arriva si rapidement. On nous apporta nos vêtements, des pantalons moulants, qui gardaient la chaleur, des souliers robuste et chaud, un chandail fait comme le pantalon et un imper. On annonça les trente seconde et je me mis en place sur la plateforme, je me suis mise à pleurer comme la gamine que j’étais dès que la plateforme ce souleva. Le soleil m’ébloui le visage, je me suis mise à regarder au tour de moi, derrière moi il y avait un grand lac, gelé à certains endroit ce qui confirmait le climat assez froid de l’arène de cette année, mais pas assez froid pour qu’on le meurt tous d’un seul coup, un peu comme au neuf quoi. Il y avait une forêt derrière la corne et c’est là que ce trouvait ma plus grand chance vu que c’était un terrain connu. Mes adversaires semblaient analyser le terrain, un lac, une forêt, une énorme plain qui semblait être à découvert. On nous prévint d’attendre nos dix secondes, le gong sonna le début des jeux et je pris mes jambes à mon coup. Je me suis mise à courir en ligne droite vers la forêt en passant par les objets moins convoités de la corne. Je me suis attrapé un sac à dos plus tôt grand, noir et robuste. Je réussi à prendre un couteau aussi et un sac de couchage, au pire j’allais me retrouver avec deux si j’en avais un dans mon sac. Personne ne semblait faire attention à moi, je n’avais que douze ans, surement qu’ils ce disaient que j’allais mourir de faim dans deux jours. Un tribut s’avança vers moi avec la masse qu’il avait récolté, mais s’effondra sur le sol quelques secondes après. Mathéo l’avait assommé d’un coup de poing sur la tête. Je suis restée figer un instant, un coup de canon retentit et Mat ouvrit la bouche. COURS ! » je ne me le fit pas dire deux fois, je couru vers la forêt et m’y enfonça le plus possible.

Je ne me suis arrêtée que lorsque mon ventre commença à crier famine plus que ce qu’il ne l’avait jamais encore fait. Je n’entendis aucun son autour de moi et je me suis mise à me trouver un endroit pour la nuit. La température avait chutée de façon drastique, mais ce n’était pas inhabituel pour moi. J’ouvris mon sac à dos pour trouver un sac de couchage, un gourde avec de l’eau dedans, de l’iode, deux barre protéiné des fruits sec et frais, un bouillon de poulet, des allumettes et une tente qui ce montait toute seule, décidément, ce fut un bon choix. J’installai ma tente et la camoufla avec plusieurs branche et terre. J’y entrai, je dévorai une barre protéinée et je pris une grande gorgée d’eau. Quelques minutes s’écoulèrent je sortis de ma tente pour voir qui étaient décédés, je n’avais pas entendu les coups de canon, seulement celui du tribut que Mat avait tué. Pourtant dix d’entre eux étaient déjà mort. Les carrières étaient encore en vie, bien entendu, il y avait Mat et moi et quelques autres éparpillés. Je suis allée me coucher, prévoyant trouver une source d’eau le lendemain et chasser un peu, je n’étais pas particulièrement doué, mais avec un peu de chance je me trouverai un lapin. Je fus réveillé par des bruits de pas, je sortie doucement, pour ne pas attiser les soupçons vers moi. Je rangeai mes choses dans mon sac à dos, je le plaçai et me mit à courir. Je bifurquais ici et là, dans l’espoir de m’éloigner le plus possible, mais je les entendais autour de moi, me chasser comme un lièvre. Un couteau siffla sur le côté de mon oreille et se logea dans un arbre. « Alors ma petite, on s’enfui où comme ça ». Deux autres tributs apparurent à mes côtés. Je me mis à regarder partout au tour pour trouver une porte de sortie. « tu ne peux pas te sauver ma jolie ». Je mis ma main dans ma poche et lança un couteau dans le bras droit du tribut devant moi et je me mis à courir. Les quelques secondes où ils ne comprirent pas on réussi à me sauver la peau. Le tribut ne mourut pas de la bien mince blessure que je lui avais affligé, c’était le but. J’avais douze ans, j’étais une gamine, pas une tueuse. Je me distançai suffisamment et je fini par tomber par une plain douce, où le climat semblait totalement différent, il faisait frais et l’eau du lac était claire. Personne ne semblait avoir trouvé cet endroit où les lapins étaient abondants et l’eau était bonne. Je réussi à y rester deux jours sans le moindre problème, puis les lapins devinrent complètement débile. Une surprise des juges surement. Ils me repoussaient vers la forêt. Dès mon entrer dans la forêt je suis tombée sur une tribut, seule aussi, elle me regarda, me toisa du regard et je repartis de l’autre côté, le jeu de l’enfant fonctionnait encore. Je commençais à croire que j’avais peut-être des chances de survivre à cette histoire. Dans la journée, la jeune tribut fut tuée ou elle mourra de faim, je n’en sais rien. Tout ce que je savais c’est qu’il restait les carrières moi et mathéo. Il ce passa trois à quatre jours sans incident majeur et biensur à ce point, on doit mettre du piquant. Un voix s’annonça. « Vous êtes tous et toutes conviées au festin des jeux!... » une arnaque ce festin, mais j’avais si faim la chasse ce faisait dur, j’y était nulle ou encore ils avaient enlever tous les animaux de l’arène et si je n’allais pas au festin j’allais mourir de faim, si j’y allais, j’allais mourir tuer.

Au petit matin, je pris la route vers la corne d’abondance. À la guerre comme à la guerre! Je me suis arrêtée en bordure de la forêt, la table était mise, il y avait tant à manger. Personne ne semblait être arrivée encore et la faim prit le dessus sur moi. Je me suis rendu à corne et je réussi même à manger une cuisse de poulet rôtie en entier avant que les problèmes commencent, les carrières m’on encerclés rapidement, sans que je ne m’en rendre vraiment compte, trop absorber par mon fichu poulet. Ils riaient à pleine bouche devant la petite fille affamée et terrorisée que j’étais, j’allais mourir, mais au moins le ventre plein. Je me décidai à ne pas leur donner d’attention et à continuer de manger. Un peu d’agneau par ci, du bœuf par là et quelques crevettes juste pour ce faire plaisir. Mousse au chocolat et petit gâteau pour le dessert. Ils ce fatiguèrent de mon manège et un tribut m’attrapa par le bras. « On va faire ça vite ma petite! Juste pour toi » J’aurais dû me laisser faire, ça aurait été moins pire, mais je me suis débattu comme une force née. Je reçu un coup de couteau dans le ventre avant que le tribut qui me tenait et ce lui qui m’agressait tombe à genoux. Mathéo, mon sauveur, mon miracle, avait réussi à leur asséner deux flèches bien placées. Il me regarda, ne dit rien, mais clairement, il ce sacrifiait pour moi, je me mis à courir, le sang coulant de mon ventre. Je n’allais pas tenir si longtemps que ça. Je me rendis à la bordure de la forêt et me cacha. Je pleurais de plus belle. Il ne restait que mathéo et trois carrières. Je les voyais s’entre déchirer, Mat avait beau être grand et fort, quelqu’un le tua bien vite à coup d’épée après qu’il n’eut tué qu’un seul d’entre eux. J’étais si proche, ils auraient pu venir me tuer, mais après au tant de jour dans l’arène, ils étaient fatigués comme tout le monde te prirent la solution facile, s’entre tuer. La bagarre fut longue et atroce, je perdais de plus en plus de sang et je voulais que ça finisse. J’avais encore une chance, mince, mais elle était encore là. Je ne sais pas ce qui ce passa exactement, parce que les deux carrières tombèrent à genoux sur le sol en même temps, blanc comme neige. Un coup de canon sonna, un des deux était mort. Je retournai vers la corne, vers le carrière qui m’avais donné un coup de couteau, le gagnant, serait celui qui tiendrait le plus longtemps. J’enlevai toutes les armes prêt de lui et je me suis assise à ses côtés, j’ai mis sa tête sur mes genoux et il m’a regardé incrédule. Il ouvrit la bouche, puis la referma que je ne fis que dire chuuu. « c’est pas grave, c’est pas de ta faute » Je me mit à fredonner une chanson entre mes lèvres, il ferma les yeux et je me suis évanoui quelques secondes après.

Je me suis réveillée dans un hôpital du capitole. Mes parents étaient là, avec ma sœur, c’était étrange. Ils m’ont expliqués que j’avais gagné les jeux, je n’y compris pas grand-chose. Une première dans l’histoire, une tribut qui n’avait tuer personne et qui avait survécu à la chose. La machine ce mit en route, la tournée, les acclamations, les entrevues. Ce que je retenais de mon expérience ? les humains sont cons et je n’ai plus d’enfance. J’ai ensuite grandis avec les caméras, chaque année à chaque moisson, on commentait que j’avais grandi que je devenais une femme absolument sublime. À ma sortie des jeux on m’avait vite trouvé un talent, le piano. Je n’en avais pas touché un avant, mais dès qu’on me mit devant cet instrument j’en tombai amoureuse. À seize ans, le président pensa qu’il était grand tant que je contribue au capitole en me vendant à ses amis, si non, ils allaient tuer ma famille, je mène une si belle vie vous savez. Je suis souvent invitez au capitole pour jouer du piano et c’est la seule raison pour laquelle j’aime m’y rendre. Maintenant rebelle depuis deux ans, je participe à la vie du treize, mais on ne veut pas faire en sorte que je soit identifiée comme rebelle, mes visites y sont donc rare. J’œuvre plus dans mon district ou encore en tant que mentor.