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Sujet: SAMWELL ▲ i say you kill your heroes and fly Mar 3 Déc - 3:29
Samwell Baccus Sonstead
❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞
La frénésie avant la cervelle. Les muscles avant le crâne. Je suis assis sur une montagne de contradictions. Les coups fusent avant que les pensées naissent. Aspirant à m'engourdir les songes pour ne plus souffrir de ce mal de l'âme qui me fend littéralement le coeur, seuls les gestes importent et les douleurs vibrantes peuvent bien daigner s'assoupir un brin. Mon esprit point tranquille m'en serait plus que reconnaissant. Me déboîter les phalanges pour éclater ces gueules grotesques que je ne tolère plus, voilà ma véritable raison d'être. Réputé pour être un grand et redoutable bagarreur, ce n'est certainement pas pour mes idéaux orthodoxes que les bons vivants daignent venir me voir. Solitaire, d'aspect imposante et effrayante, de toute évidence, rare seront ceux qui se risqueront à venir m'adresser la parole. Gorille des temps modernes... homme des cavernes, qui ne quitte qu'à de très rare occasion sa grotte, j'ai énormément de la difficulté à me confondre au sein de cette foule burlesque et versatile qui dérive indifféremment devant moi. Tête malgré tout bien haute, je me fonds dans le coeur de cette dernière en assumant pleinement et sincèrement l'étrange personnage que je puisse être. Mes tirades sarcastiques, trop franches, trop vraies, ont tendance à en irriter plus d'un. Je n'ai pas la langue dans ma poche. Je regarde, je vois, je comprends, j'assimile et je dévoile tout haut ce que les autres pensent tout bas. Qualité qui, à maintes reprises, m'a salement mis dans de beaux draps. Lorsque j'ai plus d'un verre de whisky dans le nez, j'ai comme qui dirait la gâchette très légère et très facile. Je parle souvent au travers de mon chapeau et ensuite j'en récolte admirablement bien les conséquences. Ingrat, puéril, impolis, hautain, désagréable, limite misanthrope, me côtoyé, ça vous sera aussi joyeux que de marcher dans de la bouse de vache. Et l'ennui avec la merde, c'est qu'une fois encastrée sous votre semelle de chaussure, il est plus que très difficile de s'en répartir. Je parle trop et à la fois si peu. Paradoxal. Terrible caricature, mes poings et ma grande gueule sont les atouts les plus flagrants de ma marginale personnalité plus que très colorée. Gros nounours mal léché qui pourtant se voit être un véritable petit coeur d'artichaut. Un jour, je peux t'envoyer sur les fleurs. Le surlendemain je peux venir te sauver les miches. Si t'as cette allure qui fait pitié et mal au coeur, d'instinct, tu attises ma sympathie. Franchement, les gens me craignent plus qu'ils ne peuvent véritablement me détester. Au petit matin, je ne suis pas un gros ogre avide de chair humaine qui mange des doigts de pied pour le petit-déjeuner. Je ne suis encore moins le titan balourd qui broie des échines avec l'aisance qui donne à croire que l'os n'est qu'un cure-dent. Si toi et moi en sommes arrivés là, c'est parce que tu l'as obstinément cherché et je me suis arrangé pour que tu le retrouves assez vite. Tu peux pas. Test. Je bats les frêles armatures humaines avec l'énergie effarante de ce cuisinier dévoué qui veut attendrir son beefteack. Si tu ne veux pas te ramasser recroquevillé comme un sushi, tu as intérêt à ne pas me décevoir et ou léser les gens que j'aime.
Bref. Je m'appelle Samwell Baccus Sonstead. Je suis né un voulu et certain vingt-huit novembre 2285, j'ai donc acquis vingt-sept balais. Né dans le District Neuf, terre qui m'a vu grandir et dépérir dans le relent de mes déboires. J'ai de petits boulots honnêtes qui paient bien et m'aident à survivre. Chasseur, bûcherons, parfois pêcheur et tantôt charpentier. Bien que mes grosses paluches paraissent maladroites et agrestes, je dois avouer que je possède tout de même un certain savoir-faire à l'égard de tout ce qui est manuel et extrêmement physique. On m'embauche partout et nulle part. Je suis le courant et surtout l'argent. Ça fait mon petit bonheur et celui des autres. C'est la parfaite harmonie alors hauts les coeurs, hin !? Par-delà l'emploi honnête, les rumeurs racontent que, dans l'ombre, j'apporte une aide, plutôt salutaire, régulière, aux Rebelles. Ce qui est vrai. Je ne le nie pas, mais je ne le cris pas non plus sur tous les toits. Aillant ces fichus Pacificateurs qui me collent les basques, je suis comme qui dirait assez tranquille... en surface tout du moins, car comme le petit canard qui vogue sur le flot, en-dessous de l'eau, moi, mes grandes cannes rament à vive allure pour ne pas couler. J'aide les Rebelles, je donne le droit d'Asile à ceux qui le réclament et je broie les nez de ceux qui le méritent.... Ce qui veut dire à peu près tout le monde... sauf les Rebelles. Héhéhé...hé ! Bien que très solitaire, lorsque je me lie d'amitié avec quelqu'un, hélas, pour toi, dans ma tête, cette relation, c'est pour la vie. Ma confiance ne se donne pas, mais elle se gagne. Mon respect ne se livre pas, mais il se mérite. Ces frontières passées, tu entres dans mes bonnes grâces. Loyal, honnête, fidèle comme un Berger Allemand, râleur comme chihuahua, à la mine aussi grognonne qu'un bulldog et gonflé à bloc comme Danois, crois-moi, m’avoir au bout de ta laisse, tu ne le regretteras pas ! Ah, ouais, vous ne le saviez peut-être pas, mais en-dessous de mon charisme aussi chaleureux qu'un radiateur en panne, je possède un excellent sens de l'humour. Mes petites blagues moches peuvent, au début, avoir l'effet d'un pétard mouillé, mais lorsque vous apprenez à me connaître, vous vous rendrez rapidement compte que vous adorez me détester. Si je semble si aisément bien vivre avec mes défauts loufoques et caricaturaux... il va s'en dire que je possède néanmoins une petite gêne... un riquiqui-tout-mini complexe que j'essaie au mieux de tenir mort et secret. Je vous le dis ici, parce que nous sommes entre nous, en toute intimité (aherm), maiiiiiiiiissss... je ne suis pas un homme très cultivé et éduqué. Les bancs d'écoles, les études, tout ça, ce n'était pas mon truc et maintenant j'en récolte le dû. Je ne sais pas lire et écrire. Je suis un... euh... mmmm.... Comment vous appelez ça, vous, déjà ? Un illet-truc ? Analpha-machin ? Bref. Si tu ne veux pas embrasser le bitume à pleine bouche, essaie de ne pas trop souvent ouvrir cette parenthèse, veux-tu ?
about games and relative.
(choisissez au moins cinq questions qui sont les plus pertinentes pour la présentation de votre personnage, et supprimez les autres ainsi que le spoiler. répondez en un minimum de cinq lignes.)
➺ COMMENT VOIS-TU TA MORT ?
Qu'elle soit violente, soudaine, douce, longue, pénible, salvatrice, royalement, je m'en contrefous. Je suis un frêle équilibriste qui tangue sinistrement sur le fil ténu de la Vie. Similaire à un funambule, j'avance et j'oscille sur la corde raide qu'est ainsi devenue ma misérable existence. Mal assuré, les jambes, façonnées tel du papier mâché, mon équilibre devient de plus en plus fragile et je tangue alors sur le fil ténu de la Vie. Artiste de la funèbre parade que je livre, tel un ivre acrobate, je suis un déséquilibre. Ballet mortuaire où mon corps lourd et fatigué peine de plus en plus à résister à l'appelle du vide. Frivolité du néant vaste et noir, éreinté, mais à la fois résolu, je danse sur l'Hymne du Chaos. Alors que j'affronte les ténèbres de ce creux abysse, un jour viendra où la corde cèdera. Un jour viendra où mon monde s'écroulera. Je l'attends patiemment, pansant au mieux que je ne le peux les maux de cet univers qui se meure et qui se désespère en ces pourpres cicatrices qui n'ont de cesse labouré cette terre souillée par le sang des innocents et tant d'âmes brisées.
Il ne faut pas s'y m'éprendre. Bien que j'aille l'amertume de la Mort bien creux enfoncé dans la gorge, ce poignard acéré n'est point en faveur de m'égorger. J'aime la Vie. J'aime MA vie. Seulement, je sais, qu'un jour ou l'autre, celle-ci se diluera dans la rigidité de l'Éternité. Et peu importe la manière dont cela se produira, je n'espère qu'une seule chose ; m'éteindre avec un grand sourire de gamin d'accroché sur les lèvres. Jusqu'à mon dernier souffle, j'assumerai ma dérision.
➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ?
Ouais, bien sûr. En famille, tous pâmés au salon, bol de popcorn (imaginaire) entre les pattes, nous regardons avec amour et dévotion cette boucherie cinglante et barbare. Je ne vis que pour ça et à chaque année je me réjouis de voir ces pauvres enfants se massacrer, se briser et complètement s'anéantir pour une cause aussi abjecte que l'asservissement d'une Dictature corrompue, narcissique et immorale. Les Jeux de la Faim. C'est tellement glamour, je m'y prends solide le pied à chaque fois. Lorsque je vois ces gamins s'entretuer, lorsque le coup de canon annonce la fin de l'un de ces guerriers, limite hystérique, je me roule en boule sur le sol, convulse de rire et m'en tape joyeusement les cuisses !
Rassurez-moi, s'il vous plait, dans mes paroles, vous avez saisie le sarcasme, l'ironie et la noire répulsion face à cette question plus qu'aberrante ?
➺ QUE PENSES-TU DE LA REVOLTE ECHOUEE ET DES REBELLES ?
Échec ? Un échec ?! Comment est-ce que nous pouvons appeler cela un échec alors que la guerre, tout juste officiellement déclarée, repose encore sur le seuil de la pénitence ? Une simple bataille. Nos tyrans imbu de leurs propres petites personnes n'ont remportés qu'une simple et première bataille. Prélude sur le sombre futur qui nous guette sournoisement. Certes, ce fût un désastre, un carnage, mais pour le sacrifice de ces âmes révoltées, d'assaut les Rebelles chargeront à nouveau. Ils seront plus forts, plus nombreux, plus confiants, avides d'espérance, mieux entraînés également, aillant grandement et salutairement appris de leurs déboires. Nos tyrans ont beau jubiler de ce calvaire, haut perchés dans leur tour d'ivoire et de verre, la frénésie de leurs ennemis les font frémir d'angoisse. Depuis le District Neuf, je parviens presque à entendre leurs frêles rotules être violemment secouées par ces élans d'anxiété qui les tiraillent. C'est une partie remise. Ils le savent.
Depuis toujours, les Rebelles, en eux, je voue et consacre une confiance aveugle qui s'est modelée, au fil du temps, en un profond et indéniable respect. Avec eux, je lutterai... pour la liberté... pour le rêve... pour vivre... tout simplement.
➺ QUE PENSES-TU DES VAINQUEURS DES JEUX ?
Démunis du moindre lambeau d'espoir et de chaleur. Marqués par la vilenie et l'infâme réalité qui leur rappellent quels sont leurs rôles à orchestrer dans ce bas-monde. Abandonnés au chagrin. Égarés en les courants sinueux et labyrinthiques de leurs songes hantés par ces sinistres et noirs souvenirs. Les gens ne la voient pas. Le gens de la perçoivent point. L'anneau. L'anneau de la folie invisible qui s'enroule autour de ces cous si frêles, étranglant les fragiles vertèbres jusqu'à que l'air se meure sur ces lèvres et que l'asphyxie les enveloppe dans le fourreau de la démence. La sensation de mourir entre les mailles sulfureuses de cette chaîne les manipulant telle une vulgaire poupée de chiffon. Muselés par le funèbre mutisme de leur propre destruction, de leur propre désillusion... cette insanité qui est la leur. Le Désespoir. La Peur. La Douleur. L'Angoisse.
Vainqueurs ? En ces êtres martyrisés, je ne vois qu'un triste et malheureux mirage. Ils ne peuvent pas être des vainqueurs... par en ces circonstances et ces monstruosités. Ils sont des survivants. Jour après jour, ils luttent pour se guérir et ne pas faillir à ce cauchemar. Ils luttent pour survivre. Comme nous tous.
➺ COMMENT TE SENS-TU QUAND LE TEMPS DE LA MOISSON ARRIVE ?
Je me sens... vide... misérable... impuissant... insignifiant... nostalgique... morose... J'ai la rage au coeur et la peur au ventre. Tourment et tempête dans le creux de mon estomac, cette douleur me semble lointaine, comme si elle écrouait le corps de quelqu'un d'autre. Le vide que je perçois dans le creux de mes entrailles est pourtant bien là. Une plaie béante, à jamais empourprée, que l'on asperge de sel à chaque fichues années. Fantôme d'un passé longuement et toujours regretté. J'ai l'impression de revivre une peine qui ne s'apaise jamais. La Moisson... la loterie... ma pauvre soeur... paix à ton âme... puisse le repos éternel apaiser cette vie que tu as abandonnée, car ton existence tout entière ne s'embaumait que de ce désastreux relent d'angoisse. Un jour, peut-être, je parviendrais à accepter ton suicide. Pour l'heure, j'en suis incapable. À chaque fichue année, ton visage tourmenté rôde et flotte dans mon esprit. Tu es toujours là. Je sens ta présence. Servile victime que tu as été lors de ton vivant, la Moisson t'a arrachée à moi. Tu avais tellement peur que ton nom soit pigé dans les entrailles de cette foutue bulle de verre...
Boire jusqu'à n'en plus rien voir. Boire jusqu'à n'en plus rien percevoir.
L'alcool allège mes moeurs. Et à chaque année, en ton honneur, ma pauvre soeur, je trinque en ta louange. Tu me manques tellement...
JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la légende. DU COUP, MON NOM A peu de RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE bûcherons et de chasseur. allant selon les heures, surtout les labeurs, surtout pour tuer le temps. En fait, je sais faire à peu près tout et n’importe quoi. Tant que mon gagne pain repose sur des travaux physiques et manuels, je suis cet homme à tout faire. Je vogue là où l’argent me quémande. Mais la traque et le bois sont mes indispensables professions. ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime. JE SUIS DANS LE 9ÈME DISTRICT. AYANT vingt-sept ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story.
no hope for you and me
Tell me, how did this come to be ?
My heart is beating in a different way. Been gone such a long time and I feel the same. My heart is beating in a different way. Been gone such a long time. Will you miss me? When there's nothing to see? Tell me, how did this come to be? And now there's no hope for you and me.
- Panem, 2302. -
Reposant sur ce parterre fangeux et glacé, les omoplates adossées contre l’écorce rugueuse de ce grand arbre qui te tient assistance, imperturbable, tu observes la pureté du paysage. Tu as quitté les torrents tumultueux du District Neuf, te délaissant de ces rues usuellement achalandées pour aller te perdre au cœur de cette nature ombrageuse qui, à tes yeux, a toujours été ton sanctuaire. Assis aux pieds de cette vieille souche à moitié engloutie dans les entrailles de la terre frigorifiée par l’austérité de l’arrière-saison qui s’installe prématurément sur l’État, tu sondes, rêveusement, l’horizon embrasé qui se présente sereinement à ton regard. Tes grands yeux céruléens se perdent dans le contraste de la ligne embrunie qui se déploie énigmatiquement à perte de vue devant toi. Tu es encagé dans cette alcôve de pierre et de bois, alors que le reste du monde dégingandé semble paisiblement s’incliner à ta révérence. Tu divague ici depuis plusieurs minutes, voire même un quart d’heure. Tu vois le soleil déchoir lentement en arrière des innombrables montagnes, laissant nuancer des plaques d’ombres éphémères aux reflets moirés sur le sommet de ces géants colossaux. Franges disproportionnées qui se disputent en silence le droit de flamboyer une dernière fois durant le jour déclinant tandis que plus loin derrière, la riche frondaison oxydés se farde doucement pour enfin s’évanouir dans la nébulosité de la nuit. C’est la valse habituelle des ténèbres naissantes ! Spectacle que tu te plaisais autrefois de regarder depuis cette vigie que tu t’es improvisé.
Des mois se sont écoulés. Sept ans ont passés. Les semaines se sont égrainées dans les filets de l'espace-temps. Des longues et pénibles semaines où ta solitude est devenue ta plus fidèle alliée... ta meilleure amie. Cette présence intangible, cette force étonnante, qui t'aide à confronter avec peine le vide qui s'est sournoisement installé dans l'incohérence de ton mode de vie minablement chaotique et déjanté. 2555 jours, pour 354 semaines et 84 mois de nostalgie et d'isolement absolu. Durant 2555 jours, sa présence n'a jamais été qu'un souvenir. Un songe. Un triste et sombre songe. Un relent de nostalgie, pour un soupire de contrariété, un dégluti amer dans ta gorge obstruée par un noeud de plus en plus dense et oppressant. Une absence engendrant morosité et folie. Une absence beaucoup trop pressentie au sein d'un vide déjà beaucoup trop accaparant. Tu t'accroches à cette présence invisible, comme tu recherches vainement à t'accrocher à un vieux rêve illustre que tu vois s'effriter dans le torrent paisible d'une tempête encore endormie, mais qui se réveille peu à peu de sa torpeur... pétrifiant dans son givre glacial, toutes ces parties de ton être disloqué que tu ne cesses d'amputer avec cette barbarie cinglante et inhumaine. Tu es l'auteur de ta propre misère. Tu le sais, mais tu sembles si peu t'en tracasser.
Gamin, tu l'as adorée comme un Mesquin. Adolescent, tu l'as méprisée comme un Révolté. Jeune homme, tu as appris à l'aimer comme un Frère. Ta soeur te manque. Elle a indemnisé ta fureur. Elle a immortalisé ta frayeur. Elle a embourbé ta fadeur. Mais elle a ameuté ta froideur. Son empreinte a gagné demeure et engloutie ton coeur dans les plus infâmes torpeurs. Elle n'est jamais que chimère. Elle n'est jamais qu'éphémère. Elle n'est jamais que poussière. Elle n'est jamais que prière. Un murmure qui ne sait jamais se taire. Un murmure qui n'est jamais englouti sous la terre. Une rumeur accroissant ta peur. Une rumeur accroissant tes moeurs. Boire jusqu'à n'en plus rien voir. Boire jusqu'à n'en plus rien percevoir. Ivre de supplice. Ivre de ton plus redoutable vice. Ivre du bien. Ivre d'un rien. Vie de débauche. Vie où tu te lèves inlassablement du pied gauche. Rien ne te suffit. Rien ne te satisfait. Comment profiter ? Comment apprécier ? Comment estimer ? Tant de questions, trop réponses. Boire jusqu'à n'en plus rien voir. Boire jusqu'à n'en plus rien percevoir. Gamin, tu l'as adorée comme un Mesquin. Adolescent, tu l'as méprisée comme un Révolté. Jeune homme, tu as appris à l'aimer comme un frère. Des mois se sont écoulés. Un an a passé. Les semaines se sont égrainées dans les filets de l'espace-temps. Des longues et pénibles semaines où ta solitude est devenue ta plus fidèle alliée... ta meilleure amie. Cette présence intangible, cette force étonnante, qui t'aide à confronter avec peine le vide qui s'est sournoisement installé dans l'incohérence de ton mode de vie minablement chaotique et déjanté. 2555 jours, pour 354 semaines et 84 mois de nostalgie et d'isolement absolu. Durant 2555 jours, sa présence n'a jamais été qu'un souvenir. Et ta soeur te manque...
« Promets-moi, Sam. Promets le moi. Prends soin de moi. Prends soin de mon corps. Au moment venu, je ne saurai plus où il traîne. »
Tu les laisses se réveiller. Doucement. Atrocement. Tu les laisses lentement se réveiller. Ces douleurs vibrantes qui harponnent ton coeur comme une cible. Ton pauvre coeur qui se voit noircie par tant d'ecchymoses et de cicatrices. Ici, ta fêlure, tu n'as pas besoin de la cacher. Ces douleurs vibrantes, tu n'as pas besoin de les camoufler. Si creux engloutis dans cette dense et riche forêt, ton sanctuaire, ce masque, tu peux le retirer de ton visage. Exprime quelque chose. Laisse les lézardes sournoises se creuser peu à peu sur le satin de ta peau et affaisser tes traits de fer. Exprime quelque chose, Sam. Tu es fini, terminé, brisé et détruit. Pour une seule fois, Sam, laisse la noblesse de ta tragédie lentement s'écouler sur le marbre de ta figure si austère, mais évidemment si moqueuse. Tu n'as rien à craindre ou plutôt tu n'as personne qui doit te craindre. Pas ici. Pas dans cette forêt. Pas au sommet de cette gigantesque montagne. À part toi, là-haut, il n'y aucune âme qui y erre. Pour une seule fois, Sam, ferme les yeux et perçois. Ressens ce vide, mais ne l'engourdis pas avec ton tord-boyaux sacralisé. Tu dois accepter et faire ton deuil. Tu dois la libérer. Pleurs. Souffres. Hurle. Déchire la chair de tes jointures en allant démolir tout sur ton passage. T'as pas besoin de gueule à casser pour ça. Tu n'as pas besoin de t'irriter. Ta tristesse, elle seule, peut parvenir si facilement à démolir ces barrages que tu as pris une année de malheur à construire. Tu lui as promis. Voilà sept ans, déjà, que cette promesse est maintenue et tu la retiens... mais elle doit s'en aller... elle doit s'envoler. Laisse-la partir. Ne la rend pas martyr de ton délire. Libère là. Tu lui as promis. Le temps est venu. Il est temps de lui dire au revoir. Il est temps de mettre définitivement fin à son désespoir.
Abandon que tu ne supportes pas. Disparue sans explications. Arrachée à toi sans avoir le temps de lui dire au revoir. Et ce vide que tu ne comprends pas. Dans ton crâne, il n'y a que cette promesse qui se répercute contre les parois. « Promets-moi, Sam. Promets le moi. Prends soin de moi. Prends soin de mon corps. Au moment venu, je ne saurai plus où il traîne. »
Péniblement, lourdement, tu te redresses, tes jambes sont aussi molles que des spaghettis et alors que tu te lèves, un bruit mat et cristallin remonte lentement dans le silence mortuaire. Tes yeux, embrumés et écarlates d'ivresse, dérivent lentement vers la source, du coin de l'oeil, tu vois la bouteille de whisky qui roule avec négligence sur le sol terreux et cahoteux. Ce même sol terreux et cahoteux que tu sens tanguer sous tes pieds. Tu es saoul. Le liquide ambré égratigne ta gorge obstruée depuis plusieurs minutes. L'alcool commence à engourdir tes sens, dans tes veines, c'est comme si un magma incandescent se déverse et cette chaleur artificielle enveloppe ton être dans un étrange fourreau. Manteau de charme contre lequel tu as pris habitude à aller t'y emmitoufler... pour fuir une réalité que tu n'arrives toujours pas à croire... à comprendre. La douleur, ça fait tellement mal. Tu as beau y être acclimaté, tu n'arrives pas à la cerner. C'est un mal qui écroue le corps de quelqu'un d'autre. Une partie de toi qui s'en est allée en même temps qu'Elle. Une souffrance lointaine qui pourtant persiste à torturer ton être. Tu ne peux pas éviter de souffrir. Personne ne le peut. Et l'alcool n'est qu'un minable baume à cette vile blessure. Sam, tu as toujours été là pour soutenir le monde et en retour le monde te soutient. Ce soir, pourquoi déraper ? Parce que à l'usure de feindre ce sourire mesquin, t'as fini par en avoir mal aux lèvres et aux joues ? À l'usure de leurrer un bonheur artificiel, il t'a échappé ? En essayant de fuir, tu t'es perdu. Tu t'es perdu dans un endroit où, tu sais, personne ne pourra jamais te retrouver. De la souffrance, tu n'as plus rien à apprendre. C'est pourquoi tu cherches à la fuir. Ce soir, c'est plutôt la mort que tu jalouses maladivement. Errant dans la forêt tel le si jeune vagabond que tu es, tu la confrontes. Tu jalouses la mort, car c'est maintenant elle qui est capable de l'Apercevoir. Tes bras de fer bien repliés à l'effigie d'une croix contre ton torse massif, derrière cette étreinte persévéré, tu recèles, contre ta poitrine, contre ton coeur, un secret. Une promesse. Elle est précieusement bien dissimulée entre les pans usés de ta veste en cuir, malhabilement, tu marches au travers les roches et les racines qui éventrent la terre. Tes pas sont lourds, traînassant, tu titubes plus que tu ne peux marcher, l'alcool te rendant marionnette de sa malice. Les yeux rivés sur l'horizon, sur ce merveilleux coucher de soleil, tu te rapproches lentement de la lisière de la montagne et fais bientôt face au vide. Un pied calé sur une pierre, tu te penches au-dessus de ces limbes et observes les immenses et vastes forêts qui s'étalent comme une mer fardée par les couleurs chaudes de l'automne. S'était sa saison préférée. Elle adorait voir tous ces arbres lentement se dégarnir de ces feuilles rouges et oranges tapissant la terre. Toi, tu as toujours adoré l'hiver. Tu aimais la glace et elle adorait le feu. Tu aimais la vie et elle louangeait la renaissance. C'est l'hiver dans ton coeur mais c'est l'automne dans le sien. Deux contrastes. Les saisons au beau meurtrir, refroidir et réchauffer cette planète, rien ne change. Rien ne changera. Tu souris. Un triste sourire qui s'efface presque aussitôt. La vue de ces falaises escarpées, de ces immenses forêts, te rappelle, d'instinct, le rôle que tu dois orchestrer ci-haut et malgré toi... tu bouges. Tu décrispes lentement les bras, extirpant le vase de ta veste en cuir et tes mains trapues retenant désormais l'urne sombre et métallique. Tu retiens entre tes mains les vestiges de Freya. Ta soeur. Jeune et belle Freya qui, autrefois, s'amusait à te dire tant de choses incongrues que tu ne comprenais pas. Tu étais trop jeune et naïf à cette époque. Et ta soeur t'a doucement bien ouvert les yeux. Malheureuse et triste Fraya qui savait et voyait tant de choses. Fraya qui plaisantait sur sa mort et sur cette quête de la liberté. Elle qui te disait que vous étiez nés de poussières et envolerez en poussières, au temps venu. Elle voyait ses cendres être portés par le vent, valsant dans le vide, sans jamais s'arrêter, pour qu'enfin elle puisse s'envoler. Elle qui se voyait en particules poudreuses, morcelées par l'univers, visitant le monde, dépassant les frontières, là-haut, dans les cieux. Elle disait être partout et nulle part à la fois. Libre. Tout simplement libre. Ailleurs. Elle voulait reposer dans les rivières, dans la terre, dans les arbres et dans les airs. Désormais, lorsque tu observes la Nature, c'est le visage de Freya que tu vois apparaître en mémoire. Doucement, tu avances sur le rocher, tu es au bord du précipice denté par les saillants récifs, seuls quelques centimètres te séparent du vide, mais tu le défit sans peur et crainte. Tu lèves le vase devant toi, au niveau de ta poitrine, geste anodin qui pourtant te fend littéralement l'âme. Tu l'as déjà perdu une fois et ce soir tu as l'impression de la perdre de nouveau.
Tu soulèves le couvercle et tends l'urne au bout de tes bras, au-dessus du vide. Les quelques premières poussières s'envolent craintivement, comme si la brise elle-même se refuse à elles. Constat dérisoire qui ne manque pas de te faire légèrement sourciller. Dans le tréfonds de ton être ravagé, une partie de toi hurle de refermer le vase, de le rabattre contre ton coeur et de rebrousser chemin... de retourner dans ton District et de remettre l'urne précieuse sur ta table de chevet. Son origine. Sa place initiale. Près de toi. Là où jamais tu n'oublieras. L'endroit où les vestiges de ton propre sang et ta propre chair errent depuis voilà sept ans. Ta soeur est prisonnière dans ce vase depuis sept ans, Sam. Servile victime lors de son vivant. Esclave d'une Peur qui aura finalement eu raison d'elle. Embellis sa mémoire. Tu sais ses volontés. Sa vie a été incomprise et gâchée. N'entache pas son repos et son âme. Libère là. Accepte ses volontés. Accepte ton deuil. Ton coeur et ton crâne sont en conflit. Tétanisé vers le précipice, c'est la force de la Nature elle-même qui allège ton esprit taraudé entre ta peur et ta peine. Le vent se lève et le tourbillon de cendre s'extirpe alors frileusement de ce minuscule tombeau mortuaire. Dans une beauté quasi déconcertante, tu vois les particules valser paisiblement dans l'air, esquissant des spirales gracieuses et mystiques. Devant tes yeux émerveillés, l'arabesque mystérieuse de poussières t'offre durant quelques instants ses prouesses, étalant son écriture énigmatique dans la brise agitée qui l'aspire presque aussitôt et l'accompagne vers l'horizon oxydé. Vers le firmament orangé et pourpre. Par-delà les falaises, si haute au-dessus des éminences, elle s'envole... elle plane dans l'horizon, danse vers l'astre de feu incandescent qui lutte en silence son droit de faire briller ses rayons rutilants dans les cieux, avant qu'il ne soit englouti dans la terre. C'est comme si le soleil lui-même s'entête à ne pas vouloir tirer sa révérence, brillant au loin par-delà ces frontières, flamboyant pour une dernière fois, pour être le phare céleste qui guide et éclaire le chemin qu'est en train de se calfeutrer ta soeur dans le ciel cramoisie et de plus en plus sombre. Bouger dans l'espace, mais pas dans le temps. Les vestiges de ta soeur dansent, valsent au loin, magnétisés par ce lambeau d'espoir et de chaleur. Le soleil plonge lentement derrière les monts, les cieux se ternissent et s'assombrissent. Dans une beauté quasi déconcertante, tu vois les particules valser paisiblement dans l'air, esquissant des spirales gracieuses et mystiques. Devant tes yeux émerveillés, l'arabesque mystérieuse de cendres t'offre durant quelques instants ses prouesses, étalant son écriture énigmatique dans le vent, pour aller se perdre et disparaître dans la pureté du paysage.
Ce sont les derniers mots d'adieux de Freya. Ta soeur. Elle n'avait que dix-sept ans. Elle ne connaissait de la vie que l'horreur, la peur, le désespoir et la mort. Maux qui à jamais ne sont parvenus à trouver baume. Plaies empourprées qui ne se sont jamais cicatrisées. Toi, tu étais trop jeune pour comprendre. Tu voyais en la vie tant d'espoir et de possibilité. Tu étais naïf et pur. Tu étais un enfant. Tu ne pouvais savoir ce qui allait arriver. Tu l'as vue s'enrouler cette corde autour de son cou, collier mortuaire lui écrasant les vertèbres... et avant que ses pieds dénudés se déracinent de cette chaise en bois, elle t'a murmuré ces phrases. « Promets-moi, Sam. Promets le moi. Prends soin de moi. Prends soin de mon corps. Au moment venu, je ne saurai plus où il traîne. »
Tu voyais en la vie tant d'espoir et de possibilité. Tu étais naïf et pur. Tu étais un enfant. Mais la barbarie et la cruauté de ce monde ont commencé à lacérer ton coeur et à engloutir ton être vers les ténèbres. En de longs hoquets d'étouffement, elle s'est éteinte, là, sous tes yeux, son corps inerte ballotant mollement dans le vide. Tu pensais que s'était une blague. Mais les sanglots meurtris de ta mère retentissant en trombe dans la chambre t'ont fait comprendre que ça en n'était pas une. Ta soeur s'en est allée. Tu t'es perdu. Écroué dans les maillons de cette chaîne servile qui s'enroule autour de tes membres et te manient comme un patin. L'univers lui-même te semble n'être qu'une gueule à jamais rassasiée. Un gouffre sans fond qui a toujours soif. Aspirant des âmes fêlées pour alléger ces envies bestiales et fauves. Le Capitole, les dirigeants de Panem, ils ne sont que des crocs acérés et saillants que tu parviens à entrevoir par-delà cette gueule sinistre et sépulcral qui s'étend à perte de vue devant tes yeux qui commencent à peine à voir le monde tel que ta soeur le voyait, jadis : Les griffes dans la viande, les crocs affutés enfoncés dans la chair. Le démon grogne... hurle avec appétit et mangent vos carcasses avec voracité. Ce soir, tu la libères. Tu la délivres de cette gueule monstrueuse et la regardes s'envoler.
Les gens la disaient folle. La gens la croyaient dépressive. Ils avaient peut-être raison. Tu n'en sais rien et tu ne veux pas savoir. Des larmes pures et cristallines perlent et dansent sur le tes cilles, dans le coin de tes yeux... tes yeux qui se camouflent avec hâte derrière tes paupières qui embrassent lourdement l'obscurité. Les larmes meurent dans tes yeux. Pleurer... tu en es plus capable. Le vent se réveil et souffle à tes oreilles. C'est la mélodie du temps qui passe et trépasse.
Gamin, tu l'as adorée comme un Mesquin. Adolescent, tu l'as méprisée comme un Révolté. Jeune homme, tu as appris à l'aimer comme un Frère. Et comme un frère vas apprendre à l'aimer comme un homme. Tu as dix-sept ans. Tu ne connais de la vie que l'horreur, la peur, le désespoir et la mort. Tes grands yeux océans sont désormais devenus que deux abîmes éprouvés dans les ténèbres, qui bientôt aspireront toutes tes larmes. Tu projettes ce regard plein de résolution et de colère sur ce monde qui te tourmente et te gruge. Tu oses lancer ce regard... sur ce chaos... fruit de la désespérance. Univers qui n'est rien et à la fois tout. Monde engendré de chimère et néant. Un mensonge.
Tu as mal. Mal au coeur. Mal au crâne. Mal à la peau. Mal à l'âme. Mal de vivre en un monde si vain. Tes mains se replient à l'effigie de poings dangereusement contractés. Tu ne te sens pas bien. Durant un temps, tu ne vas pas aller mieux. Mais tu vas vivres. Tu vas survivre. Tu vas grandir. Tu vas survivre pour vivre. Et enfin... peut-être... tu seras libre. Libre de pleurer. Libre de crier. Libre de changer les choses. Libre de museler cette gueule monstrueuse !
Tu t'appelles Samwell Baccus Sonstead, ce nom, très bientôt, il sera craint et prononcé au travers de tant de lèvres, tant de souffles et tant de murmures.
De cendres et de poussières, ta soeur s'est envolée. De cendres et de poussières, Freya est ainsi donc devenue. Et sans plus t'attarder, tu pivotes lentement sur les talons, laisse s'enfuir derrière-toi, ce relent amer de nostalgie.
- On se retrouvera bientôt, Freya. Je t'aime.
La guerre est officiellement déclarée !
reality is here.
No sh*t, Sherlock! Je ne m’appelle effectivement pas Gertrude et bien sûr je suis encore très loin de posséder ma petite carte du club des centenaires… CE QUI EST UNE VRAIE TRISTESSE PARCE QUE J’AI TOUJOURS SOUHAITÉ JOUER AU SCRABBLE EN FANSANT TOUBIONLLER MON DENTIER DANS LA BOUCHE ! J’aime dire des choses qui ne servent à rien et troubler tout le monde en racontant mes conneries. Perspicaces comme vous l’êtes, je parierai ma chemise que vous avez deviné que je suis une jeune femme à la courte toison qui n’est malheureusement pas fait d’or… D’AILLEURS ÇA AUSSI C’EST UNE TRAGÉDIE PARCE QUE RAIPONCE ROCK LE STRING DE SA MÉMÉ ! Mmmm. Quoi dire d’autre ? j’ai une vraie peur bleue des grenouilles, j’ai la manie d’enfiler des chaussettes qui ne sont pas de la même paire, je suis accro à la caféine, j’aime les hummingbirds… car… You give me the hummingbird heartbeat. Spread my wings and make me fly ♫ (Ceci était le passage où je commanditais le succès de la miss Perry et ne vous en faites pas cette parenthèse s’arrête juste… ICI !) J’ai connus le forum grâce à une amie qui m’a influencée à rappliquer mon popotin dans les alentours… Il y a de cela plusieurs années, j’ai lu l’époustouflante tribologie de HG et l’univers m’a GRANDEMENT envoûtée et conquise. J’ai regardé les deux premiers volets au grand écran et ma fascination pour ce monde à la fois si dramatique mais captivant ne s’est qu’amplifié que davantage. Befouille, en reluquant les rubriques de MJ, je suis tombée sur ce scénario DE LA MORT QUI TUE et j’ai pas résisté très longtemps avant de m’inscrire. J’espère d’ailleurs combler les attentes de la belle Gold. Je suis d’ailleurs ouverte à toute éventualité en ce qui concerne mon intégration parmi vous. Je sais qu’un autre membre s’est inscrit avant moi et je comprendrais parfaitement que les priorités lui soient remises. Mmmm. Je ne sais pas quoi dire d’autre sur moi ? Je suis Québécoise… mes dents de sagesse me font souffrir, il est présentement 21h17 du soir, je suis assise sur une charmante petite chaise à roulette qui en fait ne roule presque plus, puisque trop usée hahaha. Je peux m’arrêter de jacasser ou vous en voulez encore ? Bon… puisque c’est moi qui clapote, j’vais dire que je m’arrête ICI ! Mais que je vous aime tous… lui, elle, il, vous, tu et même nous ! Banzai et bien hâte de RP avec vous !
PS tout à fait inutile : sur la toile, bien que très discrète, les gens me reconnaissent sous le pseudo de Disturbed
Dernière édition par Samwell Sonstead le Sam 7 Déc - 7:27, édité 43 fois
Invité
Sujet: Re: SAMWELL ▲ i say you kill your heroes and fly Mar 3 Déc - 3:44
Ta présentation MDRRRRR
Yeah t'es de mon peuple, québécoise aussi BREF, superbe choix de scéna, j'aime comment t'écris et Chris DKJJHKDLJFS Bonne chance pour ta fiche et bienvenue parmi nous
Invité
Sujet: Re: SAMWELL ▲ i say you kill your heroes and fly Mar 3 Déc - 3:53
ALFJNALFNALMALKNFALKNFA:WKDMAWM!!!!!!
Tu as un esprit faible, tu as craqué sous la pression, mouahaha
JE SUIS RAVIE QUE TU AIS CRAQUÉ À LA TENTATION, MA CHOUPETTAAA!! Et le choix de scénario te va comme un gant, il est juste parfait Je suis impatiente de lire ta fiche, je vais la dévorer comme je dévore tous tes textes Et je suis certaine que tu te plairas dans cette douce folie qu'est MJ, c'est une drogue, que dis-je un vice
I LOVE YOU
Kathleen S. Harper
△ correspondances : 11512 △ points : 1 △ multicomptes : ◭ silver & asha △ à Panem depuis le : 21/05/2011△ humeur : ◭ lasse. △ âge du personnage : ◭ vingt-quatre ans.
Merci beaucoup tout le monde pour les petits mots de bienvenue. Je suis d'ailleurs vraiment très ravie de voir que ma présentation personnelle vous amuse et vous dilate la rate.
Ever ; HELL YEAH ! UNE QUÉBÉCOISE ! Ensemble, on ira se bouffer une bonne poutine et une queue de castor... ET ENSUITE ON DANSERA SUR UN PETIT RIGAUDON ! Aherm.... Ouaip... Brefouille. Merci beaucoup pour les compliments donnés sur mon style d'écriture. C'est très gentil et cela me fait l'un de ces petits velours !
Julian ; TU DEVRAIS AVOIR HONTE DE M'EMMENER COMME ÇA SUR LE SEUIL DU VICE ! Mais j'aime tellement ben ça lorsque tu influences de mon esprit tout faible qui craque aussi facilement qu'un string entre les fesses d'une potelée. I LOUVE YA MOUA AUSSI !! Oh ma gad, j'ai tellement hâte qu'on se fasse un RP de grosbras avec nos deux blondasses. Pendant que tu reluques ma fichette, moi je reluque la tienne et là j'ai ces paroles de chanson qui flottent dans ma tête : With these hungry eyes. One look at you and I can't disguise. I've got hungry eyes. I feel the magic between you and I... /coup de pelle./ Bref, merci, like really and literally, de m'avoir rapatriée ici. Tu es magique !
Kaltheen ; NON MAIS TON AVATAR EST TROP BEAU ! /orgasme./ Héhéhé... hé. Bah oué, l'amie, c'est la légendaire Maumaude-euh. Elle m'a dit que de jolies et gentilles choses à votre égard. Lorsque je suis arrivée sur votre forum, j'ai très vite remarqué que ces paroles étaient vraies. Le forum est vraiment trop magnifique, les gens ont l'air tous géniaux et sympathiques et puis MJ à la base est une vraie petite perle. Pour toussa, j'avoue être un brin intimidée et agréablement bien impressionnée mais bon, hin, c'est dans le bon sens du terme. ET JE VOUS FAIS UNE FLEUR POUR CETTE RÉUSSITE ! Je vous lève mon chapeau (melon) et vous dit un gros bravo ! :kathleen:
Kalixte ; Tu veux m'adopter, diiiiiiiiiissss ? Je veux bien qu'on se partage l'idéal masculin à nous deux xD. M'enfin... MERCCCIIIIIIIIIIIIIIIIII !!! Et au plaisir de te croiser dans un futur plus que proche !
Swain et Ambre ; merci beaucoup pour vos petits mots ! Vous êtes si gentils ! Ça sera avec un sincère et franc plaisir de vous retrouver partout ailleurs sur le fo' pour... qui sait... se tenir compagnie lors d'un RP et ou même pour se dégoter des liens de la mouerté qui décapent tout !
Aherm. Je ne voulais pas citer tout le monde pour ne pas écrire un pavé... Il y a cette petite voix dans ma tête qui me hurle un moqueur : RATÉÉÉÉÉ !!! (Damn... et c'est tout juste là que je réalise que j'entends des voix dans ma tête. C'dingue ! :kathleen: ) Brefouille. Je me tais et me hâte directement à l'achèvement de cette fichette. Merci encore à vous tous pour l'accueille et à la belle revoyure, très chers !
Invité
Sujet: Re: SAMWELL ▲ i say you kill your heroes and fly Mar 3 Déc - 21:00
Ta signature, ton vava, ton prénom... j'en suis fan *-*
Sois le bienvenu parmi les fous et bon courage pour ta fiche (a)
Thybalt M. Homens
△ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011△ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
Sujet: Re: SAMWELL ▲ i say you kill your heroes and fly Mer 4 Déc - 15:41
Je viens de me bidonner devant ta présentation Je te remercie pour ce quart d'heure de rire
Et sinon, bienvenue sur MJ surtout Avec un avatars si seksy en plus Bon courage pour la fin de ta fiche
Invité
Sujet: Re: SAMWELL ▲ i say you kill your heroes and fly Mer 4 Déc - 15:50
Oh bah voui, je t'adopte quand tu veux Ah bah si on doit se le partager, je prends le Lundi, le Mercredi, Le Vendredi et la moitié du Dimanche. ça te va ?
Alexiane R. Hawthorne
△ correspondances : 11154 △ points : 75 △ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory) △ à Panem depuis le : 08/05/2011△ humeur : indifférente △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : mentor
can you save me? statut: célibataire, coeur occupé par un revenant relationships:
Sujet: Re: SAMWELL ▲ i say you kill your heroes and fly Mer 4 Déc - 21:58
Toi je t'aime déjà :face:Ta présentation m'a achevée Bienvenue parmi nous et bonne chance pour la suite de ta fiche
Invité
Sujet: Re: SAMWELL ▲ i say you kill your heroes and fly Sam 7 Déc - 0:29
À vous voir tous vous marrer devant ma présentation personnelle, je ne sais pas pourquoi, je me prends solide le pied. Ça me fait rire de vous faire rire. Roooohhh, c'est ti pô meugnon, ça ? Hauts les coeurs ! ekrdkghdfjhgbdfjhgbhjerbjhbdjhgbdf Diiiiiiiiiiiihhhhhh !!!! klghdfjgbdjhfbghjd Ça me fait penser que je devrais peut-être mettre un warning d'infarctus au-dessus de ce paragraphe héhéhéhéhéhéhéhé ! En tous les cas, je crois qu'on m'a emmené exactement là où je devrais être ! Parmi les fous tous plein de bonheur et d'amour. M'enfin, au risque de me répéter, vraiment, vos messages me font vraiment plaisir. Merci beaucoup d'avoir pris le temps de passer par ici pour me souhaiter la bienvenue. En tant que petite nouvelle, ce clin d'oeil, ça fait vraiment chaud au coeur ! Je vous aimes déjà moua aussi ! /snif./
J'ai vraiment très hâte de RP avec vous et de trouver tout plein de liens !!!!
OH ! et avant que je l'oublie, je vais aller dans le topic approprié pour affirmer que j'ai terminé la rédaction de ma fichette xD.
/J'y cours. J'y trotte. J'y plane !!!/
PS pour Kalixte ; on parlera de l'horaire du partage de l'idéal masculin parce que le vendredi, moi de même en personne, j'aurais besoin de lui. Il va falloir négocier un truc Ôô (mais tu peux m'adopter maintenant sans problème !!! OWI ! OWI ! )
Ambre L. Galeoni
△ correspondances : 852 △ points : 0 △ multicomptes : tris fanshawe (d2) △ à Panem depuis le : 24/08/2013△ âge du personnage : 18 y.o
Sujet: Re: SAMWELL ▲ i say you kill your heroes and fly Sam 7 Déc - 9:51
Citation :
On se retrouvera bientôt, Freya. Je t'aime.
Je me suis sentie super concernée tout à coup
Alexiane R. Hawthorne
△ correspondances : 11154 △ points : 75 △ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory) △ à Panem depuis le : 08/05/2011△ humeur : indifférente △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : mentor
can you save me? statut: célibataire, coeur occupé par un revenant relationships:
Sujet: Re: SAMWELL ▲ i say you kill your heroes and fly Sam 7 Déc - 17:02
Cette fiche elle est magnifique, j'aime ta façon d'écrire, et merci pour la découverte de cette chanson de The XX que je ne connaissais pas (et qui m'a fait versé ma petite larme en lisant ) Je te validerais dès que Gold sera passée donner son accord
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Sujet: Re: SAMWELL ▲ i say you kill your heroes and fly