Zorah Eleonara Candria

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

(merci de répondre aux questions en suivant les indications de lignes. certaines questions sont seulement pour certains personnages, merci de supprimer celle(s) qui ne correspondraient pas au vôtre.)

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

Ma mort. Je l'ai déjà vu, une fois, je l'ai oubliée. On me l'a rappelé et c'est affreux. Je suis morte une fois, assassiné par des jets de pierres. Qui? Je ne sais pas, mais on m'a tué ce jour-là. Je ne veux pas recroiser la mort, enfin pas tout de suite. Pourtant, si cela arrive, j'espère que ce sera en combattant, en combattant mes idées, mon idéologie, ma vie, mon district, celui qui m'a aidé, celui qui me permet de vivre, le 13. Je me vois mourir en combattant pour eux. Peut-être que cette fois-ci ce sera vraiment la fin. Une mort rapide, pas trop lente, pas trop douloureuse. J'aimerais mourir comme ça.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Elle. Je ne sais pas qui elle est, mais je pourrai mourir pour elle. Je la vois souvent dans mes rêves, c'est bizzare de ne pas savoir qui elle est, même si je m'en doute. Chaque fois que je la vois, chaque fois que je l'entends, je le sais au plus profond de moi que je pourrai mourir pour elle, pour la protéger. Par la suite, pour le district 13. Je serais éternellement reconnaissante envers eux. Ils m'ont recueilli, m'ont soigné pendant huit longues années, ont veillés sur moi... Aujourd'hui, c'est ma seule famille, mon seul pilier moral. Pour chacun d'entre eux, je mourrais. Finalement, pour mon idéologie : la liberté. L'être humain est né libre. Il doit le rester. Il doit mourir libre. Nous sommes opprimés depuis trop longtemps, beaucoup trop. Le seul moyen de s'en sortir à présent c'est la violence. Est-ce la meilleure solution? Non. Mais nous devons le faire. C'est notre seul moyen vers la liberté. Si nous atteignons notre but, le prix du sang versé n'aura plus d'importance.

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

Mes seins. Je suis sérieuse. J’en suis sûre qu’un jour dans ma vie je m’en suis servi pour arriver à mes fins. Ils sont trop… bref passons la rigolade. Je dirais ma force. Je me souviens qu’enfant je faisais beaucoup de lutte, j’adorais ça. C’était un de mes passe-temps favoris. C’est ma partie dans l’entrainement au district 13. Lutter c’est ma vie je pourrai dire. J’étais très bonne à la course aussi, parmi les meilleures je dirais. Le sport est une de mes grandes passions.
Par la suite ma détermination. Si je ne l’étais pas, je serais surement une épave qui se plainerait tout le temps du fait qu’elle ne se souvient de rien. Je dois être courageuse pour retrouver ma mémoire, je dois être déterminée et forte. Il faut que je le sois, sinon qu’est-ce que j’aurais au final.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Je ne crois pas. Au fond j’en sais rien. J’ai oublié. Je ne crois pas que mon mari y a participé. J’ai demandé au gens du district 13 si des gens avec comme nom Candria ou Boydell avait participé aux récentes éditions des jeux. Ils m’ont répondus par la négative. Alors je peux m’estimer chanceuse. Ils sont peut-être vivants…ou pas.

➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ?

Ma vie est différente, oui différente et bizarre. Plus les jours avancent, plus j'en apprends sur des nouvelles technologies, sur les évènements marquants des dernières années, sur les derniers jeux. Depuis mon réveil, j'ai l'impression d'être un enfant, un enfant qui observe tout avec curiosité. Je suis avide d'apprendre. Parfois j'ai l'impression qu'on me considère comme un bébé, d'autres fois avec admiration. Au fond, on m'observe beaucoup, on chuchote à mon passage, on me regarde d'un air compatissant. J'ai l'impression qu'ils ont pitié de moi. Peut-être parce que je ne m'en souviens plus de rien et que je fais comme si de rien n'était.



JE VIENS D'UN MILIEU favorisé selon mes souvenirs..., AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE n’était pas un problème. Mais, maintenant que je vis au DISTRICT 13 je me nourris suffisamment. Mon enfant par contre je ne sais pas DU COUP, SON NOM A 6 chances d'être tiré au sort, J'EXERCE LE MÉTIER DE LAVEUSE ET POUR TOUT VOUS DIRE, j’aime bien JE SUIS DANS LE 13ÈME DISTRICT. AYANT 38 ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende la prochaine moisson, car mon enfant risque d’être pris lors des prochains jeux. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

reality is here.

tell us your story.

Dirty Mind

Savez-vous ce que ça fait, ce que ça fait de se faire tuer par la personne qui nous a juré de nous aimer pour l'éternité. Savez-vous ce que ça fait ? Non, vous ne le savez pas, vous ne savez rien, rien du tout, rien de moi. Vous ne voyez qu'une façade, la façade de la pauvre femme qui a oublié, mais je suis là moi, sa mémoire oubliée, sa mémoire cachée est encore là, je t'attends, je t'attends Ydris, je t'attends et je te jure le jour où je te retrouverai je te ferais souffrir comme tu l'as fait avec moi.

C'était au mois de novembre, le 29 novembre. Je venais à peine d'être une rebelle... une rebelle. Pourquoi, pourquoi? Parce que je voulais te protéger, je voulais te protéger de ces jeux, de ces jeux immondes. Je ne voulais pas que tu partes, je voulais que tu restes avec moi et ton papa. Je voulais que tu vives, que je te voie grandir, te voir heureuse. Mais pour ça il fallait que je fasse quelque chose. Et puis comme ça, un soir je l'ai rencontrée, Lean Kingston.Elle a été un point tournant dans mes choix. Grâce à elle j'étais devenue une rebelle. Tout ça dans le but de te protéger. Mais certaines personnes n'étaient pas d'accord. Certaines personnes ne voulaient pas m'écouter.


Cette journée du 29 novembre s'était passée normalement. J'avais accompli mes tâches ménagères et Enora m'avait aidé allégrement. Elle n'avait même pas quatre ans. Elle était adorable, c'était mon ange, mon petit bonheur. Il était 15 heures lorsqu'on a sonné à ma porte. Je suis allée pensant que se devait être Lean ou une autre de mes amies. J'avais tort.


"Nous voulons parler à madame Candria" dit un pacificateur. Il m'avait découvert, c'était pas possible, j'avais été discrète, comme une souris. On m'avait dénoncé, c'était pas vrai, c'était pas vrai. Lentement je répondis:
"C'est moi."
"Zorah Eleonara Candria vous êtes en état d'arrestation pour complot envers le Capitole et Panem. "Dit-il en me prenant par le bras.


-Quoi!!! Non ! C'est impossible! Non, lâchez-moi mais qu'est-ce que vous faites, lâchez-moi bandes de salauds" criais-je.

Je me débattais, il ne pouvait pas m'embarquer sans ma fille. Elle ne pouvait pas rester seule dans la maison. Non. Il fallait qu'elle vienne. Puis soudain, mes prières furent exaucés. Enora était apparue dans le vestibule, son nounours à la main. D'une petite voix inquiète

"Maman, pourquoi tu cries fo...fort. Tu t'en vas? Tu me laisses toute seule?Mais tu m'avais dit, tu m'avais dit que j'étais trop pitite pour restée toute seule. Tu vas pas me laisser hein maman?"

Tu étais là, avec ta peluche dans les bras. Tes yeux brillaient. Tu t’inquiétais. Tu savais que quelque chose ne tournait pas rond. Tu étais si fragile, trop fragile. Je lançai un regard au pacificateur. Il me relâcha.

"Il n’y a rien Enora, maman criait parce qu’elle était surprise. Tu vois ce gentil pacificateur, c’est un très vieil ami. Il va nous emmener sur la grande place. Viens là mon trésor chuchotais-je."

Il fallait que je sois forte. Juste pour toi. Juste pour toi mon petit bonheur.

***

Seize heures. La grande place était noire de monde. Un brouhaha régnait. J'étais au centre, à la vue de tous accompagné d'autres personnes. Certains pleuraient, d'autre étaient impassible, d'autres encore se rongeaient les ongles. Moi je veillais sur ma fille, j'espérai qu'Ydris arriverai ainsi que Lean.


"Maman pourquoi... pourquoi est-ce qu'on est au centre?


-Je ne sais pas Nono, ta maman aimerait bien savoir, elle aimerait bien.


-On va bientôt rentrer à la maison. Hein maman?


-..."

J'aurais voulu rentrer à la maison ma belle, j'aurais voulu te voir grandir, te voir rire, te voir vire ta première peine d'amour, de pouvoir te consoler, de pouvoir te câliner encore et encore. Mais je ne pourrai pas. Je ne pourrai plus. Je me penchai vers elle. Je pris son visage entre mes doigts et je le caressais du bout des doigts.

« Enora, tu es la plus forte de tous, je crois en toi ... Mon enfant ... reste courageuse. »

Courage. Un pacificateur s'approcha d'un micro liste à la main. Un par un il nous nomma, il nomma nos crimes puis notre sentence. J'étais la dernière

-... Et Zorah Eleanora Candria, 26 ans, accusé de complot et de Haute trahison envers Panem sera pendue demain aux petites lueurs du matin.


Des murmures d'indignation se firent entendre. On ne voulait pas que je parte. C'était injuste. Des amies m'appelaient. Moi je n'avais que des yeux pour toi. Pour toi mon amour. Tu venais à peine d'arriver. Tu avais tout entendu. Lentement très lentement j'ai tendu mes bras vers toi, pour qu'ensemble nous mourions. Nous allions mourir ensemble. Je le croyais bêtement. Trop.

C'est pourquoi je n'ai pas vu le premier coup arriver. Un coup, deux coups, trois coups. Un silence de mort régnait sur la place. Seul le bruit de la roche sur mon visage l'interrompait. Mon visage, j'avais vraiment mal, trop mal, je souffrais le martyr. Pourtant, sans trop le savoir pourquoi, après chacun de tes coups j'avais ce sentiment que tu t'arrêterai. Même si je savais aussi bien que toi que ce ne serais pas le cas. Pourquoi tu me faisais ça? Tu ne m'aimais donc pas ? Tous ces mots, toutes ces années s'envolaient à chacun de tes coups. Salopard. J'ai cru en toi. J'ai cru... J'ai cru que nous deux c'était ensemble pour toujours. J'y ai cru bêtement. Je te détestais, au fond tu ne voulais que te protéger. Tu J'étais tombée, du sang dégoulinait sur mon visage, je voyais rouge, mais je pouvais discerner ton visage. Lentement, je pris ta main pour l'arrêter.


"Ydris... je ... je t'aime. Mais... tu peux... vraiment allé te faire foutre."

C’était un 29 novembre. Ce jour-là j’étais supposé vivre encore un peu, pour mourir le lendemain, pendue par ces fichus pacificateurs. J’aurais pu mourir dans la dignité, avec fierté, mais tu en as décidé autrement. J’étais couchée, là, sur ce maudit terrain en gravier et tu me massacrais le visage sous ces yeux, les yeux de ma fille chérie. J’aurais dû mourir demain, mais tu as décidé le mieux pour moi. Pour toi plutôt. Je te hais Ydris.

Noir.


12 ans plus tard Réveil


Du sang, mes nuits sont remplies de sang, du sang, rouge sang, le goût du sang, le sang, mes nuits sont rouges, du sang, beaucoup de sang, Ydris salopard.


-Salopard.


Qu'est-ce qu'elle a dit? Elle a vraiment parlé?? Vite, va chercher le médecin.


Quelques heures plus tard...


Un oeil, arrrrrrrgh, trop blanc, trop lumineux. Je le referme rapidement. Puis j'ouvre les deux yeux. Ça me brûle la rétine, c'est trop blanc. Enfin, réveil toi bordel! J'ouvre mes yeux à nouveau. Mes yeux sont remplis d'eau. Je regarde autour de moi, je suis dans un lit d'hôpital. Mes bras sont reliés à des seringues où je ne sais pas trop quoi. Je regarde autour de moi et je ne vois que des médecins? Que m'est-il arrivé? Pourquoi ma mère n'est pas là? Mais ou suis-je bordel? Et pourquoi j'ai une putain de bague à mon doigt?


-Mademoiselle? Mademoiselle, je me présente je suis le médecin Russo. Vous venez de vous réveiller d'un long coma.

Pardon? D'un coma, peut-on arriver à mon accident? Et puis pourquoi il ne m'appelle pas par mon prénom l'imbécile?


-En effet, on a tenté de vous assassiner à coup de roches.


-Pardon? Dis-je d'une voix extrêmement faible.


-Oui, vous m'avez bien entendu vous avez été assassiné par coup de roche. Enfin on a tenté de vous assassiner. Bref, vu que vous vous réveillez de votre coma, nous allons devoir procéder à quelques petits exercices pour déterminer les dommages collatéraux que vous avez subis suite à cet incident. Bien sûr, ceci n'arrivera pas dès aujourd'hui. Vous venez à peine de vous réveiller.


Non, je viens à peine de me réveiller et vous m'annoncer premièrement qu'on a tenté de m'assassiner que j'ai été dans un coma et je dois passer des petits tests très bientôt. Mais où est votre manière de gérer l'était de choc bandes d'imbéciles?


-Si vous avez besoinde quoique ce soit, nos deux charmantes infirmières seront là pour vous tenir compagnie.


Je pose mon regard sur les deux personnes pas trop loin de moi. Pafait, elles ont l'air aussi jeune que moi. Le médecin tarde à partir. Je ne dirai rien à cet imbécile.Je le fixe. Il part. Je me retourne vers mes deux anges gardiens et je les bombarde de questions, comment s'appelle-t-elle, leur âge, le comment du pourquoi je suis arrivée ici, où est-ce qu'on est?

-Au district 13.

-Attendez? QUOI!!! Le district 13. C’est une mauvaise blague il est censé être mort, kaput, explosé… vous êtes pas sérieuses?!?


Et non, j'étais bien au district 13 et après plusieurs explications du comment du pourquoi de blablabla, je commençai petit à petit à assembler les bouts de puzzle. Les jours s'accumulent je reprends un peu de poids. Chaque fois que je me réveille j'ai toujours l'impression de ressortir du coma, état vaporeux , sentiment de ne rien ressentir, d'être soule quoi. Je ne sais vraiment pas ce qui m'est arrivé et j'appréhende ce foutu test.

Finalement, le fameux jour est arrivée.

-Bonjour mademoiselle êtes vous prête pour le test?

-Bonjour Docteur Russo et oui je crois que je suis prête.

-Eh bien allons-y.

***

Ce fut le test le plus long de ma vie. On a tout révisé, des math au français à l'histoire de Panem aux sciences, de la grammaire à l'écriture, des noms des couleurs au nom des objets. Pause et ça recommence. Jusqu'à date, tout semble bien aller, selon le Dr Russo je n'aurai pas oublié grand-chose. Finalement vient le moment le plus important, le qui je suis.

"-Mademoiselle, comment vous appelez vous.

-Zorah Eleonara Boydell m'sieur.

-Boydell ..., ce ne serait pas par hasard Candria?"

Candria. À ce nom mon coeur sursaute.


-Non, c'est... C'est Boydell. Ma mère s'appelle Keniya Gervay et mon père Wayne Boydell. Je ... j'en suis sûre, mon nom et bien Boydell.

-Pourtant, nous avons retrouvé ça sur vous à votre arrivée.

Il me tend un tissu taché de sang. Il y est écrit Zorah Eleonara Candria. Mon coeur sursaute à nouveau, je m'agite. Il note quelque chose dans son petit cahier avant de reprendre.

-Zorah, de quel district venez-vous.

-Du ... du district 2. Le district des carrières.

-Bien et quel âge avez-vous.

-18 ans.

Des murmures de surprise se font entendre.

-Bah quoi j'ai eu 18 ans l'an passé au mois de mai, le 25. Je vais en avoir 19 bientôt.

Ils me regardent tous avec des yeux ronds.

-J'en suis sûre. Je m'appelle Zorah Eleanora Boydell, j'ai 18 ans, je vivais au district 2. Vous... , j'ai vraiment 18 ans n'est-ce pas?

-Zorah, en quelle année nous sommes, me demande le docteur Russo d'une voix grave.

-En 2291.

-Zorah... Nous ne sommes pas en 2291, nous sommes en 2311.

Le monde s'effondrait autour de moi.

***

Je me réveillais à nouveau.

-Zorah, Zorah... Vous venez de faire un léger malaise. Comment vous sentez-vous?

-Comment est-ce que je me sens? Comment est-ce que je me sens?!? Bordel! Vous voulez vraiment savoir comment je me sens. Vous venez de m'annoncer que j'ai 38 ans.Vous venez de m'annoncer que j'ai oublié une majorité de ma vie, que tout ce que j'avais construit est partie en morceaux tout ça à cause de vulgaire cailloux. Tout ce que je sais c'est que je me nomme Zorah Eleanora Boydell Candria, que j'ai 38 ans et que j'étais soi-disant passant mariée, à ces mots je retirai ma bague pour leur montrer, mariée! Je ne sais même pas si j'ai des enfants, je ne sais pas s'ils croient que je suis morte. MAIS POURQUOI PUTAIN!POURQUOI!


-Mademoiselle Candria je ...


-SORTEZ! SORTEZ TOUS D'ICI! JE VEUX RIEN SAVOIR, J'VEUX QU'ON ME LAISSE SEULE!


-Mademoiselle...


-NE ME TOUCHEZ PAS, NE ME TOUCHEZ PAS. Je me levai, bouscula les gens et sortie de la salle.


Je courrai à en perdre haleine. C'était pas vrai, c'était pas vrai. Pourquoi moi? Pourquoi est-ce que ça m'arrivait. Je passais devant une vitre de salle. Je m'arrêtai devant mon reflet. Lentement je touchai mon visage. Je n'avais pas la face de quelqu'un de 18 ans, mais plutôt celle d'une personne dans la trentaine. Une longue cicatrice partait de mon front jusqu'à mon oreille. Mes cheveux roux pendouillaient tristement.


-C'est pas possible...

Spoiler:

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Envy Z. Ducani-Hayne a écrit:

Hope
La femme du sesky poupa rouge
Bonne chance pour ta fiche et... Ginger FTW

J. Phoenix Lewis a écrit:

UNE NYMPHOMAAAAAAAAAAAANE
Bienvenue parmi nous

Enora L. Candria a écrit:

MA MAMAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN

Spoiler:

Merci de tenter le coup sur ce scénario
Bonne chance pour ta fiche maman Hopou et re-bienvenue

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