frost marcus bledeer

❝ BEAUTY OF THE BEAST ❞

about games and relative.

(merci de répondre aux questions en suivant les indications de lignes. certaines questions sont seulement pour certains personnages, merci de supprimer celle(s) qui ne correspondraient pas au vôtre.)

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

Houlà ! C'est quoi cette question ? J'ai surtout pas envie de mourir alors j'essaie d'y penser le moins possible. Sinon qui va s'occuper des pauvres gosses du District Huit ? Ils pourrait surement se débrouiller mais ils auraient surement plus de mal sans le soutien que je leur apporte. Sinon je me vois plutôt mourir de deux façons. La première, aux Hunger Games, dès les premières minutes du jeux. Et la deuxième, dans mon district, dans très longtemps si possible. A mon âge on n'aime pas trop l'idée de la mort, on préfère la refouler pour ne plus y penser, bien qu'on en sois témoin chaque jour...

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Je me vois plutôt mourir pour les pauvres gosses que je côtoies chaque jour. Si c'est pour eux je le veux bien. Mais je m'assurerais quand même qu'ils puissent se débrouiller pendant un bout de temps. Parce que le travail des fabrique ne paie pas beaucoup et certains sont orphelins. Ils sont toute ma vie, ce pourquoi je me suis battu, ce pourquoi j'ai volé, ce pourquoi j'ai menti. C'est avec eux que j'ai grandit et c'est eux qui m'ont consolés a la mort de ma mère.

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

Dans ma vie à moi, je n'ai vraiment besoin de rien. J'ai de la nourriture plus qu'il n'en faut. Un toit, le chauffage et, en tant que fils du maire, je n'ai même pas besoin de travailler dans les fabriques de vêtements-même si je le fais, par solidarité-. C'est plutôt pour la vie des autres que j'ai développé certains talents en volant tout les commerçants du District Huit. D'abord je suis plutôt discret, on en me remarque pas ou seulement quand je passe a l'action. Je suis très rapide, aussi ça me permet de semer les gens qui courent après moi en vociférant et en brandissant, marteaux, balais et autres ustensiles mauxvais pour ma santé.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Je m'en rappelle parfaitement, c'est arrivé une fois. Ca devait être ma deuxième ou troisième moisson. Je n'avais pas peur pour moi, je savais parfaitement que, par rapport aux pauvres gosses qui sont obligés de prendre des tessera, il n'y avait pratiquement aucune chances que mon nom soit pioché. Et d'ailleurs ce n'est pas mon nom qui a été pioché, mais celui de mon cousin. Le pauvre, il n'avait aucune chance de gagner. Il était très malade, ses os étaient particulièrement fragiles. Il est mort dès le premier jour, lors du bain de sang. Il n'aura pas tenu cinq minutes.

➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ?

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➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?

Je ne sais pas. Si d'un coté le Capitole n'est pas toujours tendre avec nous, il permet quand même de garder une certaine harmonie à Panem. Qui dit que Le Treize sera meilleur que la Capitole ? Je ne pense pas qu'il y en aie un pour rattraper l'autre. Seul le pouvoir les intéresse. Les seules personnes daignent de régner a Panem, se sont les habitants des districts. Ce sont eux qui ont souffert. Eux qui depuis toujours, vécu dans l'injustice du gouvernement. Le Treize dit vouloir nous aider. He bien ou était-t-il ces dernières années ? Il laissait de pauvres gosses se faire tuer chaque année ?

➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ?

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(les résidents du capitole n'ont pas à remplir le paragraphe ci-dessous, merci de le supprimer dans ce cas!) (remplissez le paragraphe en choisissant le champ qui correspond à votre personnage. il vous est bien sûr possible de changer le texte pour que cela colle mieux, mais garder la trame de départ tout de même. message à supprimer quand la fiche est postée.)

JE VIENS D'UN MILIEU FAVORISE, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE A TOUJOURS ETE ABONDANTE. DU COUP, MON NOM A QUATRE . J'EXERCE LE MÉTIER DE VOLEUR, EMPILEUR DE CAISSE, ETUDIANT ET POUR TOUT VOUS DIRE, JE NE ME POSE PLUS DE QUESTIONS SUR CE QUE JE NE DOIS PAS FAIRE. JE SUIS DANS LE numéroÈME DISTRICT. AYANT QUINZE ANS JE PEUX PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET J'APPREHENDE, COMME TOUT LE MONDE. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

tell us your story.

Années d'insouciance.

Frost à son père, maison bourgeoise, District Un.

"-Elle est où maman ?
-Maman set très fatiguée, Frost. Elle doit se reposer.
-Elle viendra me dire bonsoir ?
-Va jouer maintenant.
-Mais je m'ennuie !
-Va jouer je te dis !
-Je veux maman !"

Chute.

Frost, l'oreille collée contre la porte de la chambre de sa mère, un soir d'automne.

"Alors ?"
"Désolé monsieur le maire mais je crains que votre femme ne passe pas la nuit."
"Quoi ?"
Un grand bruit sourd, comme un choc. Du haut de ses cinq ans, Frost entend son père reprendre de plus belle:
" J'ai payé Nehru. Payé pour que ma femme vive."
"On ne peut pas sauver tout le monde."
On ne peut pas sauver tout le monde...La phrase résonna longuement dans la tête de Frost avant d'éclater.
"Frost ? Qu'est ce que tu fais là. Monte tout de suite dans ta chambre."
Mais Frost n'écouta pas Martha et se précipita dans la pièce. Il y avait dans celle-ci deux hommes. L'un était son père, un homme à la mine déconfite et aux cernes marquées, et l'autre l'homme qui venait chaque soir depuis quelques mois s'occuper de sa mère. Frost n'aimait pas cet homme dont la présence lui rappelait l'absence de sa mère. Mais il ne s'occupa de ceux-ci et tomba à genoux près du lit de sa mère et secoua celle-ci de toute la force de ses petits bras.
"Maman ? Maman ? C'est Frost. Réveille toit maman !"
La femme allongée sur le lit entrouvrit légèrement les yeux. Regarda son fils. Elle lui caressa doucement les cheveux en murmurant son nom comme quand il faisait des cauchemars, avant la maladie. Puis, une larme roula sur sa joue et Helena Bledeer s'éteignit.

Envol.

Après la mort de sa mère, Frost s'est enfui avec son père. Enfui dans le District Huit. Enfui loin du monde que sa mère venait de quitter. Dès son arriver sur, place, devant la puanteur et la saleté, il parti en courant. Après avoir errer au hasard en courant il s'affala contre le mur de briques d'un immeubles crasseux et commença à pleurer. Pleurer toute les larmes de son petit corps fourbu.
"T'es tout seul ?"
Frost releva la tête pour apercevoir un garçon d'une dizaine d'année, le visage et les ongles noircis par la crasse qui régnait ici. Derrière lui se tenait, quelque satures enfant à l'air tout aussi pauvres et crasseux.
"Oui."
Car oui, à présent, Frost était plus seul qu'il ne l'avait jamais été.
"Viens avec nous. On va t'apprendre à voler, petit oiseau."
Le garçon lui tendit alors une main couverte de boues et de cicatrices. Frost regarda un moment la main, la serra, et se releva.

Le District Huit peut se vanter d'avoir le taux d'homicides nocturnes le plus élevé. En effet dès le couvre feu, il est conseillé de fermé sa porte à double-tour et de rester chez soi. Entre les Pacificateurs hargneux et les gens avides de défouler leur colère sur quelqu'un il est dur de choisir le pire. Pourtant, dans une des rues jonchées d'ordure de L'Aiguille, le quartier le plus pauvre du district, deux personnes couraient. Le premier était un enfin il ne devait avoir qu'une dizaine d'années. Le deuxième était un pacificateurs dont l'uniforme se confondait à la neige qui tombait. Ce dernier poursuivait le garçon et gagnait du terrain. Soudain le garçon s'arrêta net, face à un mur. Il était de notorité publique que L'Aiguille était un cul-de-sac. Le pacificateur jubilait d'avoir enfin attrapé le petit voleur qu'il poursuivait depuis maintenant plusieurs jour.
"Jette les armes gamin. C'est fini pour toi tu ne peux plus t'enfuir."
Le garçon se retourna une lueur de défit brillant dans ses yeux.
"Tu veux jouer ? Bon, on v..."
Mais le pacificateur coupa net sa phrase, le gamin n'en était plus un. C'était un oiseau. Prêt à l'envol. Un souffle glacé brouilla la vue du pacificateur, le forcant à fermer les yeux. Quand celui ci les rouvris, la ruelle était vide. Sur les toits du District Huit, un garçon courait.