J'avais tournée toute la nuit dans mon lit, les bruits des hiboux résonnait dans la grange à côté de ma chambre. Les ronflements, de mon frère, et de mon père se joignait au bruits, et j'avais l'impression d'entendre les murmures de se jour, où j'ai vu ma soeur mourir. J'ai regardé l'heure. 2h30. Un soupire se joignis à mon geste lorsque je m'assied dans mon lit, que je partageais, avec un poisson en peluche offert par le district 8, le district qui avait tué ma jumelle. Comme quoi, certaine personne on un coeur. J'ai regardé ma chambre durant une douzaine de minutes, elle était vraiment simple, sans couleur, les murs étaient gris, et j'avais simplement un cadre d'un dessin que j'avais dessiner, qui devait représenter la mer. Une photo, et puis des mots griffé avec de la pierre. Et puis, sur le sol, il y avait un parquet froid. Quand j'y posa mes pieds nus au alentour des 4h du matin, j'avais regarder ma chambre plus longtemps que je le pensais, j'avais surtout regarder ce dessin. Quand j'ai pris une robe, dans lequel je devrai travaillé vers 9h, je me suis regarder dans les miroirs. Un jour, mon père m'avait dis : « Si tu te met un jour à parlé seule dans ton miroir, ça n'étonnera personne. » Mon père dois me détesté, lui n'avait pas eu le courage de prendre la place de son frère cadet. C'était le Maire qui m'en avait parlé, je l'avait découvert dans des vieux dossier, et j'en avait voulu sur fort à mon père, que je lui avait cracher au visage des mots qui dépassais mes pensés. Quoi que réaliste, mais une seule phrase ma marquer : « Joy à eu le courage, pour ceux qu'elle aime de ce battre, de ce faire honneur. ce ne serai même pas étonnant, que mère t'ai trompé, et à engendrer deux jumelles, avec un autre homme. » Mon père avait levé sa main sur moi ce jour là. Mais rien ne m'avait fait aussi mal, que la fois où j'étais tombé dans le lac, et que j'avais voulu me laissé me noyé. Il faisait sombre dans les rues, mon dessin roulé à la main, je voulait dire au revoir comme il le fallait à ma soeur. Mais, quand j'arriva au près du lac, je ne peut aller plus loin, et eu l'obligation de me cacher derrière un arbre. Elle, qui était si jolie, était entrain de tailler son arme. J'étais jalouse. De ne pas savoir me débrouillé comme elle, de ne pas avoir pu voir ma soeur avant les jeux, de la serré dans mes bras. J'ai à peine bougé, qu'une branche à craqué, et que la femme se sois levé. « Qui est là ? » fit elle agiter, debout, la main tayader. Je m'avança, mais pour tout dire, je l'ignora. « Désolé. » Je lui passa à côté, et je me suis assise au bord de l'eau, à genou, mon dessin en main.

Au fond, que pouvais-je bien faire dans le district, à par joué la petite secrétaire déprimer et refermé sur elle depuis la perte de sa soeur jumelle. En y pensant, je pourrais. Mais, je crois que sa servirait pas à grand chose. Les jeux avait passé, et bientôt encore un autre, et je devrais me faire à l'idée que j'étais seule, et avec comme seule compagnie mes pensés, ma conscience, ma culpabilité. « Elle ne t'as jamais oubliée tu sais ?? Elle parlait toujours de toi ta soeur … Elle m'as même demander de te remettre quelques chose … je suis désoler pour la façon d'ont j'ai réagie tout à l'heure , je suis juste encore un peu nerveuse et agressive à cause des jeux … » Ma soeur et moi, étions les meilleures amies du mondes, nous nous connaissions comme notre poche. Certes nous étions le jour et la nuit. J'aimais la solitude, le calme, et elle aimais, la foule , la musique. J'aimais pêcher, et elle aimait se posé sur le sable, se dandiner devant les garçons, et les faire baver. Joy n'avait aucune chance de revenir au jeu, elle était bien trop faible, bien trop fragile. J'étais plus forte qu'elle, je l'étais. Je le serai toujours. « Vous savez ce qui me manque le plus ? » commençai-je, en jouant avec quelques grain de sable du bout des doigts, dessinant une sorte de cercle. « C'est, le matin quand elle se lève, elle venait réveillé mon frère, et mon père pour que je dormes encore un peu, sans leur horrible ronflement. » J'esquisse un petit sourire, rien de bien fameux, de très joyeux. Juste l'idée de cette magnifique pensée. « Ma soeur prenait toujours soin des autres avant d'elle même. Tous le contraire de moi. Elle à eu le courage de prendre ma place. Alors que j'aurai été plus forte, que j'aurai put gagner, vous remplacez. Vous aimeriez je penses. » Je n'ajouta rien à se sujet, après tous je ne connaissait pas la dernière gagnante des jeux. Peut être aurai-je cette chance,peut être pas. « Que m'a t'elle laissé ? » Cette idée, qu'elle m'ai laissé un présent, me glaça le sang. Voilà quelque mois qu'elle n'était plus, et je n'avait rien reçu. Sauf, cette peluche du district 8.

L'enveloppe que je tenait maintenant dans mes mains, était un peu froissé, c'est normal, cela fait tous de même 4 ans. J'hésitais à l'ouvrir, à découvrir les écrits de ma soeur avant qu'elle se retrouve au milieu de l'arène. L'enveloppe était soigneusement collé, et elle n'avait pas été ouverte. Délicatement, je venu décollé le morceau de papier, pour en apprécier peut être les écris. Ma Joyce, je suis dans un train, il ne bouge pas beaucoup, mais je n'ai pas l'impression d'avoir quitté le district. Tous est si moderne, c'est étonnant. Tu aimerais beaucoup le paysage qu'offre le voyage. Ne m'en veux pas d'avoir pris ta place. Mais, tu as tant de chance de réussir dans la vie. Ne sois jamais triste, et pour rien au monde ne laisse pas Jules te réveiller avec ses ronflements quand il aura notre âge. Joy n'étais pas une écrivaine très talentueuse, elle aimait plutôt lire, et parler. Il détestait écrire, celle qui avait tenu un journal, c'était moi. Et encore, je n'avait écris que quelques pages. Elle à dut arrêter d'écrire, car l'encre de sa plume à changé de couleur, et est devenu plus vif. Le capitole est impressionnant, beaucoup plus que le district. Ses habitants son habillé très bizarrement, certains on même la couleur de peau, comme le couché de soleil sur la plage. Ils sont tous adorables avec moi, les styliste m'habille bizarrement, tu as du le voir à la télévision. « Tous ces préparatifs, pour l'emmener à l’abattoir. Comment ça se passe là bas, quand les tributs sont mort.. qu'est-ce qu'ils font des corps ? »

Revoir revenir une tribut. Comme si j'étais Joy. Je devrais refuser, et pourtant je meurs d'envie d'accepter, de devenir une fille aussi forte qu'elle. Certes je n'avais plus la chance d'être tirer au sort, mais nous avions entendu parler de la rébellion qui s’installait dans certains district. Si Jules n'était pas là, je serai partis dans le treize certainement. « D'accord. » Je me releva sur mes deux longue et bronzé, jambes. Tournant mon regard vers elle. C'était la première fois que je la regardais totalement. La lettre, je l'avait mis à l'eau. Au risque que quelqu'un la trouve, et n'apprécie qu'elle me dises ce qui se passe au Capitol. « Je n'ai beau pas être Joy, j'ai son physique. Et si vous avez envie de retrouvé une tribut, comme vivante, et bien ok. Mais je ne serai pas Joy. Je ne dis pas oui à tous, je suis bornée, et vous risquez d'être souler certaine fois de mes commentaires. » J'étais ce qu'ont appelais de la crasse. Mes cheveux volait un peu au souffle du vent, au large on pouvais apercevoir le soleil se lever doucement. « Je penses qu'ont pourrai s'entendre sur plus d'une chose. »

je regarda la brune avec intensité « Tant mieux, car je ne suis pas une enseignante facile ... ont devraient bien s'entendre toi et moi ... nous allons commencer par l'utilisation des armes. Tient attrape-ça !! » J'attrapa l'arc à mes pieds. Elle sauta dans tous les sens, elle m'impressionnait tout de fois, cette vitesse, et cette agilité. Peut être, que je deviendrai comme elle, non je deviendrai comme elle. J'en suis certaine. « Dans peu de temps tu pourras faire ça , pour le moment , nous allons commencer par apprendre à tirer une flèche du carquois et à l'encocher de la bonne façon » Je tira sur la corde en enfourchant une flèche. Je la tira, elle passe juste à côté de la femme, Amelya. Elle frôla ses cheveux, ça devait lui avoir fait un peu de vent. « Vous croyez vraiment, que je ne me suis jamais entraîner ? » Je marcha vers elle, étonnement, je n'étais pas une vrai secrétaire, toujours bien sage. Je m'étais entraîner plein de fois pour les jeux. « Je ne suis pas une débutante. »