| Sujet: DUNCAN . rip beloved brother Mer 4 Avr - 19:07 | |
| Duncan Landon Albright❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Méthodique, méticuleux et intraitable, voici les seuls véritables traits de caractères et qualités de Duncan Landon Albright. C'est une véritable machine inquisitrice, douée d'une intelligence et d'un sens de la stratégie à nulle autre pareille. A plus de trente ans, il est un homme calme, posé, réfléchi ce qui lui permet bien souvent de s'en sortir haut-la-main en de nombreuses circonstances. Il a ce que l'on pourrait appeler le "feeling", sensitif au point de parvenir à percevoir si les gens lui inspirent confiance ou non. Il est également très doué dans le domaine de l'espionnage et de la traque, à croire qu'il pourrait sentir le danger à plusieurs mètres à la ronde. C'est un très bon chasseur, le genre d'animal qui ne s'arrête qu'une fois sa proie trouvée.
Mais il n'est guère dans les habitudes de Duncan d'être impitoyable : il laisse cela aux bêtes fauves et aux ahuris. Né dans le district neuf avec la misère et la faim pour seuls compagnons, il sait que la vie ne fait de cadeau à personne et encore moins aux habitants des districts. Il a un certain sens des valeurs et de l'honneur qui le pousse à demeurer dans ses retranchements d'homme civilisé et humain. Il pense toujours qu'une justice bien faite est une justice équitable et qu'elle ne peut être rendue non par un seul homme mais par toute une congrégation d'élus. Oui, Duncan croit en la réalisation d'une société solide et bien organisée. S'il devait se reconnaître en un quelconque qualificatif de ce genre, il serait rapidement amené à penser qu'il symbolise le poing de la Justice et rien d'autre -une Justice les yeux bandés, glaive et balance à la main.
Aussi ne vous étonnez pas de le trouver tantôt magnanime, tantôt dur comme le fer puisque cette croyance est mue dans tout ce qu'il entreprend, comme un véritable fanatisme, sa bannière, son fer de lance sur lequel il se repose en toute occasion. Froid, distant, il peut passer pour quelqu'un d'éminemment austère. Il est comme un livre fermé, gardant caché ses secrets bien au fond de lui -une habitude qu'il a prise depuis qu’il a rejoint les pacificateurs et dont il ne parvient plus à se défaire. Il refuse que quiconque vienne percer les barrières du monde qu'il protège. Il n’a que trop peu de souvenirs de son enfance et les préserve jalousement, de peur de les voir s’envoler un jour et disparaître à jamais...
Intransigeant, il applique ses jugements avec une équité aveugle et une certaine précision. Il a, certes, tout d'un gentleman et d'un homme comme il faut, mais il pioche également dans les travers les moins plaisants des hommes du Monde ; parfois un brin arrogant, sûr de lui, cynique au possible. Il n'en demeure pas moins quelqu'un de plaisant, exquis et raffiné, très à cheval sur les règles de bonne conduite en société. N'est pas Albright qui veut...
Pourtant, il n'a guère de réelle considération envers ceux qui l'entourent -ou s’il en a eu un jour, n’en a plus maintenant- songeant que son propre univers pourrait se porter bien mieux s'ils n'étaient pas là. De nature solitaire, il ne comprend guère l'importance qu'il peut y avoir dans le fait de sauver des vies ; pour lui tout est un éternel renouvellement et la chair devient engrais pour les générations futures. Il n'a donc que peu de notion du sacrifice à proprement parler ni des vies humaines que de telles idées peuvent engager du moment que le résultat est là. Il ne pense pas nécessairement au profit et n'est pas égoïste à ce point. Si Duncan lutte, c'est aussi pour une société meilleure... Un idéal qu’il voit s’éloigner au fil des années. Fin observateur, il a vite compris ce qui se tramait dans le district treize qu'il a habité pendant douze ans. A choisir un tyran pour un autre, il a préféré rejoindre celui qui agissait dans le cadre de la loi.
Ainsi n'a-t-il pas une vie sociale des plus mouvementées. Il a certes quelques amis mais ne recherche en rien la compagnie. Si ce n’est celle des femmes. Il trouve dans leur bras un certain réconfort qu’il sait inaccessible d’une quelconque autre façon. Véritable séducteur, il est un homme charismatique dont le goût pour les belles créatures n'est plus à discuter. Nul n'est indifférent à son charme envoûtant. Pourtant, il n'a toujours pas trouvé chaussure à son pied. Il se refuse catégoriquement le droit de s'impliquer plus que de raison dans ses relations et pose des limites trop marquées qui ne laissent aucune chance de pénétrer son monde. Il ne veut en aucun cas baisser sa garde plus que de raison et offrir sa confiance à qui pourrait le poignarder dans le dos dès que l'occasion se présenterait.
Malgré ce qu'il refuse de croire, Duncan n’en demeure pas moins un Homme, capable d’erreurs et de jugements erronés. Sa colère et sa vengeance lorsqu'il s'est senti blessé ou offensé n'ont pas d'autres égales que celles de Zeus foudroyant la terre. Il peut être serein et doux mais il faut se méfier de ses ardeurs... Il souffre depuis longtemps de la perte de ses parents, assassinés sauvagement sous ses yeux. Evènement tragique dont il ne garde que peu de souvenirs, mais auquel il parvient à faire face à avec plus d'aisance aujourd’hui.
about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? Duncan relativise beaucoup de choses et la mort en fait partie. Il ne la craint pas et ne s’est jamais demandé comment il quitterait ce monde. Tout le monde meurt un jour où l’autre, la question n’est pas de savoir comment, mais quand. Il n’en demeure pas moins que Duncan sait pertinemment que certaines options sont à exclure ; mourir de vieillesse par exemple. Il mène une vie bien trop dangereuse pour cela. Le monde dans lequel il vit est bien trop dangereux, souillé par la mort et la violence. Quitte à mourir un jour, il espère simplement que ce ne sera pas un stupide accident ou une saleté de maladie quelconque qui aura raison de lui. Il mérite une mort bien plus honorable que… ça.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Certains, notamment les rebelles, diraient qu’ils sont prêts à mourir pour la liberté, d’autres pour empêcher cela et encore d’autres pour accomplir leur vengeance. Certains pourraient mourir pour des parents, des frères, des sœurs, des amis, une femme, un homme. Duncan lui ne se voit pas mourir pour servir une fin égoïste. Il ne croit pas en la liberté telle que la voit la présidente Coin et ses parents lui ont été enlevés bien trop tôt pour qu’il puisse se sacrifier pour eux. Il se bat pour un idéal qu’il sait inaccessible, il croit en la réalisation d’une véritable société, solide et bien organisée. Et si pour ça il devait mourir, alors il serait peut-être prêt à l’accepter.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ? Duncan a grandi dans le district neuf. S’il n’y a vécu qu’une petite partie de sa vie, il n’empêche que la première chose qu’on a essayé de lui enseigner avant même de savoir marcher correctement fut la chasse. Art qu’il a mit un point d’honneur à maîtriser. Car oui, la chasse est un art. Mais chasser le gibier n’a jamais été qu'une distraction pour lui. Non, ce qu’il sait faire avant tout et ce dont quoi il excelle, c’est la chasse à l’homme. L'esprit d'un fuyard qui se terre n'a aucun secret pour lui. Ses années passées au district neuf et son entraînement militaire rigoureux font de lui un homme redoutable et dangereux, habile de ses mains et de son esprit. Le pistage et la survie sont les bases de son apprentissage, tout comme le camouflage, et les maîtrise donc parfaitement. Intelligent et charismatique, il sait aussi user de diplomatie et de persuasion lorsque la situation s'y prête.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? D’aussi loin que remontent ses souvenir, la seule personne qu'il ait réellement connu et aimé à avoir participé aux jeux fut Sergeï Weiser -brillant vainqueur de la cinquante-quatrième édition. A l’époque, Duncan avait onze ans seulement et ne se souvient que trop peu de ce qui s’est passé. En effet, ses parents furent assassinés avant le retour de Sergeï et il fut traîné au district treize sans même un regard en arrière. Là-bas aussi il avait rencontré des gens qui avaient participé aux jeux et qui en étaient ressortis vivants par la petite porte, mais aucune de ces personnes ne peut se targuer d’être l’un de ses proches. Plus maintenant en tout cas.
➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ? Duncan n’a jamais cru au baratin de Coin. La liberté ne se forge pas par la volonté d’une seule personne, la liberté se construit par la volonté de milliers, de millions de personnes qui se soulèvent comme une seule entité. Panem n’est que le théâtre d’un triste spectacle qui dure depuis bien trop longtemps, une lutte sans pitié qui a coûté des millions de vies pour assouvir la soif de pouvoir de deux tyrans. Quitte à choisir entre les deux, il avait préféré quitter Coin et son district treize pour rejoindre Snow dont les agissements étaient moins empreints d’hypocrisie et de mensonges. Certes, les méthodes du Capitole étaient radicales et barbares -et Dieu seul sait à quel point Duncan ne pouvait cautionner tous les meurtres et les viols commis par les pacificateurs au nom de la loi- mais, elles avaient le mérite de maintenir un ordre précaire nécessaire à l’accomplissement de toute société.
JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tenait bien plus de la légende jusqu'à ce que je sois récupéré par le district treize. DU COUP, MON NOM N'A aucune chance d'être tiré au sort puisque j'ai quitté mon district à l'âge de douze ans. J'EXERCE LE MÉTIER DE pacificateur depuis que j'ai quitté le district treize ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'applique la loi sans me soucier du reste. JE SUIS DANS LE 4 ÈME DISTRICT AYANT trente ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'attends la prochaine moisson avec indifférence. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story. « Monsieur. Vous m’avez fait demandé ? » Duncan se tenait droit comme un piquet devant son supérieur. Gérald Atkinson était un homme d’âge mûr, probablement la soixantaine, très propre sur lui. Il portait un costume sombre élégant et chic et la montre qu’il arborait fièrement à son poignet gauche ne laissait planer aucun doute sur ses origines. « Oui Albright. Je vous en prie, installez-vous. » Duncan s’exécuta et prit place dans le siège qui faisait face à l’imposant bureau en acajou du Capitolien. Il songea que tout était fait dans la pièce pour que quiconque rendant visite à Atkinson se sente aussi insignifiant que la dernière des merdes. En fait, Duncan ne comprenait pas ce qui l’avait amené ici. De façon générale, il était très discret, méthodique, il agissait dans l’ombre et ne laissait aucune trace de son passage. Il appliquait la loi et exécutait les ordres telle une machine, sans se préoccuper d’éventuelles retombées néfastes sur sa propre personne. Un exemple de discipline et de professionnalisme. Pourtant, il y avait certaines tâches qu’il rechignait à accomplir, mais il ne désirait aucunement attirer l’attention sur lui, alors il faisait ce qu'il avait à faire. Il savait pertinemment que tous l’attendaient au tournant, en particulier le gouvernement et à sa tête, Snow. En effet, cela faisait six ans qu’il était au service des pacificateurs et il n’avait toujours pas révélé les secrets du district treize. S’il le faisait, il savait que l’attaque consécutive qui s’en suivrait causerait bien trop de dommages aux rebelles, qui avaient des chances de ne jamais s’en relever. Mais ce n’était pas tant ça qui le dérangeait. Non, ce qui le torturait vraiment au plus profond de son âme, c’était de savoir qu’en révélant toutes les informations sensibles en sa possession, Raven et sa famille en pâtiraient inévitablement. Et ça, il ne pouvait s’y résoudre. Celui-ci avait été comme un frère pour lui, il avait toujours été là dans les pires instants e sa vie. Ils avaient partagé tellement de choses ensemble, vécus tellement de bons moments, qu’il ne pouvait se résoudre à le mettre en danger ainsi.
« J’ai entendu dire que vous aviez brillamment rempli votre dernière mission, Albright. » C’était vrai. Duncan avait été chargé de traquer un déserteur, un ancien pacificateur qui avait choisi la fuite plutôt que son devoir et de le tuer. Il l’avait retrouvé au bout d’une journée, terré dans le district trois et lui avait collé une balle entre les deux yeux. « Vous faites du bon boulot, Albright. Ca fait un moment que je vous surveille et je dois dire que je suis très impressionné. Vous n’avez jamais failli à votre devoir. A vrai dire, vous faites partis de nos meilleurs éléments. J’irais même jusqu’à dire que vous êtes le meilleur dans votre domaine, Albright. Pour un ancien rebelle ayant résidé tout ce temps au district treize, je dois dire que je suis surpris. Agréablement surpris. » Duncan avait gardé le silence tout au long des paroles lourdes de sens de son supérieur. Il n’était pas dupe. Il n’avait pas été convoqué dans ce bureau pour se voir tresser des lauriers et recevoir des compliments sur un travail qu’il effectuait quotidiennement. S’il était là, c’est qu’on attendait quelque chose de lui. Et il était assez intelligent pour comprendre qu’était enfin venu le moment où il n’aurait plus le choix : se mettre à table et tout balancer concernant le district treize ou quitter ce monde par la plus petite des sorties. Malgré tout, il ne laissa rien transparaître des pensées qui se succédaient à vive allure dans sa tête. Aussi demeura-t-il de marbre, neutre, stoïque. Il se contenta de jauger son interlocuteur comme il savait si bien le faire, préparant déjà un plan de sortie pour s’extirper de ce pétrin. « Excusez-moi monsieur, mais avec tout le respect que je vous dois, je ne pense pas que je sois ici pour ça. » Cette voix glaçante comme le givre qu'il avait... à croire que l'air était resté en suspend dès qu'il avait ouvert la bouche, glaçant la moindre particule de vie tout autour de vieil homme. Il se rengorgea, quitta son regard, croisa les mains méthodiquement sur la table comme un professeur face à son élève et redressa vers son supérieur un regard inquisiteur qu'il ne devait sûrement pas connaître. Rares étaient les pacificateurs à se permettre ce genre de fantaisies. « Je vois que vous n’êtes pas né de la dernière pluie Albright et que je ne me suis pas trompé sur votre compte. Tant mieux ! » Les lèvres du vieil homme s’étirèrent en un vil sourire. Duncan resta muet, un regard surpris -sut tant est que la surprise puisse se voir sur un visage de marbre- en direction de son supérieur, subissant de plein fouet ce retournement de situation qu’il n’avait en aucun cas envisagé. « Si vous êtes ici Albright, c’est parce que j’ai une proposition à vous faire. » Atkinson marqua une courte pause, puis reprit. « Nous manquons de personnel compétent en ce moment. Et je dois dire que vos états de service sont des plus impressionnants. J’ai donc pas mal réfléchi et j’ai pensé que peut-être vous seriez intéressé par de nouvelles responsabilités. » Duncan ouvrit la bouche puis la referma sans qu’aucun son n’en sorte. Pour résumer la situation, il venait d’être promu au grade de capitaine. Il ne savait pas quoi penser de cela. Lui qui désirait rester dans l’ombre, c’était raté. Mais il ne pouvait refuser sans éveiller de soupçons. Tandis qu’il réfléchissait à une solution pour s’extirper de ce nouveau traquenard, le Capitolien vint l'extirper e ses songes.
« Cependant, une mission dans votre dossier me laisse perplexe. » Le sourire qui s'était dessiné sur le visage de son supérieur quelques minutes auparavant avait complètement disparu pour laisser place à une rictus à peine forcé. « Si j’ai bien compris, un rebelle aurait réussi à échapper à votre vigilance et à s’enfuir du lieu où il était captif sans aucun problème. » Il marqua un temps d'arrêt durant lequel il feuilleta quelques pages, puis reprit avec autant d'aisance. « Pourtant, vous avez suivi un entrainement militaire rigoureux et je n’ai aucun doute sur vos capacités à évaluer une situation dangereuse lorsqu'elle se présente et à en tirer profit. Comment expliquez-vous donc qu’il ait pu échapper à votre vigilance, s’emparer de votre arme, vous blesser grièvement à la main droite puis s’enfuir par le chemin le moins gardé ? » A ces paroles, le visage de Duncan s’assombrit. Cet Atkinson n'était décidément pas le premier venu. « Sauf votre respect monsieur, je connaissais cet homme et je peux vous dire qu’il s’agissait sans aucun doute du meilleur élément à la disposition du district treize. Je suis flatté de l’importance que vous accordez à mes capacités mais si j’avais été en mesure d’empêcher son évasion d’une quelconque manière, je peux vous garantir que cela aurait été fait. » C’était un mensonge. Mais Duncan savait se montrer persuasif. Il laissa sa phrase retomber, aussi pesante qu'une chape de plomb dans l'air ambiant, pour ensuite s'adonner à l'observation de ce vieil homme. Manifestement la maîtrise de soi ainsi que la résistance devaient faire partie de son quotidien puisqu'il maîtrisait ces arts déstabilisant à merveille. Et il avait beau le fixer droit dans les yeux, il ne paraissait pas vaciller d'un poil ni cligner d'un cil. Impressionnant. Vraiment. Oui, impressionnant ce caractère façonné à coups de poing, cette rigueur de chaque instant, cette force intérieure qu'il lui avait été transmise si bien représentée par le regard dur qu'il lui tendait. Et ce reflet d'âme dans ses iris bleutés qui ne laissait entrevoir qu'une très grande détermination à ne point céder au discours mielleux qu'il lui tendait... réellement fascinant. « Si vous attendez de moi que je vous dise que j’ai eu pitié de cet homme, sachez que ce n’est aucunement le cas. Il est celui qui s’est servi de ma haine envers les assassins de mes parents pour me manipuler. Mais si vous désirez vraiment un élément qui puisse tirer vers le haut vos forces de l'ordre, je suis votre homme. » Le vieil homme plongea ses yeux électriques dans ceux de Duncan, essayant d'y déceler le doute que sa voix ne trahissait pas. Mais après un long moment de silence durant lequel les deux hommes se toisèrent du regard, Atkinson finit par se détourner du jeune homme et sortit quelque chose d'un tiroir. Une sorte d'insigne. « Félicitations soldat, vous venez d'être promu au rang de capitaine ! »
reality is here.
Devinez
FEATURING Jonathan Rhys Meyers© COPYRIGHT morrigan
Dernière édition par Duncan L. Albright le Sam 7 Avr - 4:53, édité 34 fois |
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Raven H. Abernathy △ correspondances : 2104 △ points : 1 △ multicomptes : thybalt, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/01/2012 △ humeur : la mort de Coin, dont les idées commençaient à lui déplaire, a donné un nouvel élan à son implication dans la lutte contre le Capitole △ âge du personnage : trente-six ans △ occupation : lieutenant-colonel dans l'armée du 13 (chef de section, tireur d'élite) ~ membre du conseil de décision post-Coin
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