| Sujet: Reed. i used to be someone else Jeu 29 Mar - 12:25 | |
| Andrew Reed O'Connell❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Il suffit d’un seul évènement pour qu’un individu change sa façon d’être, de penser ou d'agir. Plus l’évènement est mineur, moins il aura d’incidence. Mais il est écrit que pour certains individus seulement, se produit un évènement majeur qui créée un déséquilibre entre tout ce qui façonne l’âme et l’identité. Une tragédie, un accident, le hasard, peu importe le nom que vous lui donnez, car cet instant t marque un tournant irréversible dans la vie de ces individus.
Je m’appelle Reed O’Connell et j’ai dix-neuf ans. J’en avais quinze quand j’ai compris que je ne serais plus jamais le même. La soixante-douzième édition des jeux de la faim, c’est ce qui a fait de moi ce que je suis. Des milliers de garçons dans le district onze et il fallait que ça tombe sur moi. Les souvenirs de cet enfer me hantent encore. Je n’ai jamais voulu ça. Mais j'avais une promesse à tenir. Je devais rester en vie. Pour elle. Je l'aime. Non je l'aimais. Les jours sans, mes crises de violence atteignent leur paroxysme et ces saletés d’hallucinations ne me lâchent plus. J'arrête pas de revoir ce gosse agonisant par terre tel un animal mourant. Ce n’était pas le premier que j’avais tué, non. Il y en avait eu d’autres avant lui. Mais lui, c’était différent. Il devait avoir douze ans, peut-être treize. Il ne m'a pas laissé le choix. Il m'a attaqué par derrière. Je devais vivre. Je l’ai martelé de coups jusqu’à ce que mort s’en suive. J’ai frappé si fort et avec une telle violence que mes phalanges se sont brisées. Et je jure l'avoir entendu me remercier dans son dernier souffle. Je devais tenir ma promesse.
Quand j’avais son âge, j’étais doux et attentionné, un petit agneau complétement inoffensif. C’est vrai qu’il m’arrivait de m’emporter à cause de mon tempérament colérique -plus souvent même que je ne voudrais bien l'admettre, mais jamais je n'aurais laissé la rage m'envahir au point de tuer un enfant à mains nues. J’ai pété les plombs. Dans l'arène, on pète tous les plombs. C’est le plus fort qui survit. Et la seule façon de survivre en enfer est d'être le dernier debout, de te battre jusqu’à ton dernier souffle, quitte à tuer. Mettez des personnes sans histoires, qui n'ont jamais goûté à la violence de près ou de loin dans une cage et obligez-les à s’affronter pour leur survie. Ils ne seront rien de plus que des animaux sauvages sans aucune capacité cognitive. La mort vous ronge le cerveau. Et souille à jamais votre âme.
Je n’ai pourtant pas la gueule du métier. Je veux dire par là que n’ai pas la tête d’un tueur, d'un démon sorti tout droit de l'enfer. Non, j’ai une bouille d’ange qui transpire l'innocence. C'est ce que je veux bien croire en tout cas. Mes traits se sont durcis depuis les jeux. Le sourire que j'arborais tout le temps a depuis longtemps disparu pour ne laisser place qu'à un rictus amère. Je sais que je ne suis plus le même. J'ai été soigné dans le district 13 après tout ce qui s’est passé, j’ai été traité par des médecins qualifiés et compétents qui m'ont aidé à ne pas sombrer dans la folie, mais ça n'a pas suffi à me guérir complétement. Les soins que l'on m'a prodigué ne servait qu'un seul but : faire de moi un super soldat de la rébellion, sans pitié et sans peur. L'idée ne me déplait pas. Ils vont payer pour ce qu’ils m’ont fait. Ils vont hurler de terreur quand ils comprendront que la dernière chose qu'ils verront avant de quitter ce monde est mon visage maculé du sang des leurs. Ils vont voir ce qu'un gosse dont l’innocence a été volé est capable de faire. Ils ne savent pas à quel point la bête qu’ils ont relâché est dangereuse et sanguinaire. Oui, c’est tout ce que je suis à présent, une machine à tuer avec une infime part d’humanité. Un monstre d'amertume, de sarcasme et de désespoir. Un homme lunatique, susceptible d’être doux et sensible lorsqu'il se retrouve enfin et capable du pire dans ses accès de folie.
Mais... Alex ? Non, pas elle, elle a gagné. Mais je peux encore... Non, c'est fini.
about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? Ma mort ? Je ne l'ai jamais réellement imaginé. Je me suis toujours dit que c'était le genre de choses qui arrivait sans que l'on s'y attende de toute façon. Pourtant, je ne cesse de la revivre dans mes cauchemars. La dernière fois que je suis mort, je suis tombé à genoux après avoir lâché mes armes, demandant pardon à Alex de ne pas avoir tenu ma promesse, avant qu'une lance ne me traverse le torse. J'étais fatigué de me battre pour survivre, fatigué de prendre des vies sans aucune raison et incapable de gagner si c'était pour me retrouver seul devant des dizaines de cadavres gisant devant moi. Si je devais mourir maintenant, j'aimerais le faire en prenant la vie de ceux qui m'ont ôté la mienne et celle d'Alex. J'ai pris bien trop de vies innocentes pour avoir droit à une mort naturelle. Traversé de part en part par une épée, une balle tirée à mi-distance se logeant dans mon crâne, peu importe, tant que je me suis assuré d'entraîner le plus de monde possible dans ma chute. Une fin glorieuse et honorable pour quelqu'un qui a vécu une vie misérable. Triste ironie du sort.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Ne vous imaginez pas que je sois prêt à mourir pour la liberté et tout le tralala de série B. Je n'ai pas rejoins la rébellion pour leurs idéaux de liberté dans un monde meilleur. Je dois avant tout assouvir ma soif de vengeance, je dois reprendre ce qui m'est dû à ceux qui ont tout pris aux gens que j'aime. Et j'ai une promesse à tenir. Alex doit savoir que je suis toujours là, que pour elle je vendrais mon âme au diable. Je dois lui demander pardon de ne pas avoir tenu ma promesse. Je dois lui dire combien je suis désolé et je dois l'aider à surmonter les épreuves qu'elle a enduré. Si je dois mourir pour ça, soit.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ? Je sais être très persuasif quand je veux. Oui, ma gueule d'ange m'aide beaucoup lorsqu'il s'agit de persuader quelqu'un. Ce n'est toutefois pas mon seul atout. Les armes à feu, c'est mon rayon. Je les connais par cœur et plus important encore, je ne rate jamais ma cible. Ça et mon don unique pour le pistage font de moi quelqu'un de très dangereux, mais aussi un redoutable chasseur. La chasse est l'un de mes passe-temps favoris -et le seul d'ailleurs, puisqu'il s'agit à peu près de la seule chose pour laquelle je sois vraiment imbattable.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? Peut-être des personnes que je connaissais de vue. Je n'avais pas beaucoup d'amis avant d'être embarqué et à ma connaissance, seule Alexiane a participé aux jeux. Pour l'instant, elle est encore en vie mais qui sait comment les choses peuvent tourner. En tout cas, s'il y en a eu d'autres, elle est la seule à s'en être sorti. Ah, j'oubliais. Mon oncle aussi y a participé dans sa jeunesse. Cela fait un paquet d'années maintenant. Il n'y a pas survécu. C'est mon père qui me racontait cette histoire. Il disait que son frère s'était porté volontaire pour nourrir la famille mais qu'au final sa mort n'avait fait qu'empirer les choses pour eux. Mes grands-parents se sont suicidés. J'imagine que mes parents ont du faire la même chose quand ils m'ont vu mourir à la télé. J'aurais aimé leur dire que j'étais toujours là, mais ici, il est impensable d'avoir des communications avec l'extérieur. Et puis, je n'étais pas en état. Encore des vies brisés par le Capitole.
➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ? La vie dans ce coin est toujours meilleur que la vie de là d'où je viens. Certes, ce n'est pas non plus le luxe total et je n'ai pas plus de liberté que si j'étais resté là où j'étais, mais le confinement et la surveillance vingt-quatre heures sur vingt-quatre sont compréhensibles dans la mesure où tout investissement se doit d'être surveillé. S'ils vous rafistolent, vous entrainent pendant tout ce temps, veillent à ce que vous ne sombriez pas dans la folie, c'est pas pour que vous alliez foutre en l'air votre vie dans le district onze à travailler d'arrache-pied pour avoir un repas par jour. Au moins ici je mange à ma faim, je m'entraîne chaque jour, je suis soigné et reconnu à ma juste valeur, dans le seul but de détruire le gouvernement qui nous oblige à nous entretuer depuis des décennies. Pour l'instant, je saurais m'en contenter.
JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la légende. DU COUP, MON NOM A déjà été tiré au sort. J'EXERCE LE MÉTIER DE soldat pour la rébellion ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'm'en cogne sec. JE SUIS DANS LE treizième ÈME DISTRICT. AYANT 19 ans J' ai déjà PARTICIPE AUX HUNGER GAMES ET je me suis déjà entraîné. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story. « Ferme ta gueule ! » Une voix caverneuse résonna étrangement dans à mes oreilles, me tirant d'une profonde léthargie. « Cesses de geindre ! » La voix avait encore parlé. Il fallait que je me réveille. J'ouvris les yeux lentement. Il leur fallut une bonne dizaine de secondes pour s'habituer à la lumière éclatante des lieux. Quand je repris enfin connaissance, je remarquais que j'étais assis par terre, pieds et poings liés, dans une pièce qui m'était totalement étrangère. Autour de moi, il n'y avait que des murs maculés de blancs et dépourvus de fenêtre. Un projecteur fixé au plafond projetait une lumière aveuglante, m'empêchant de distinguer la silhouette qui se tenait débout devant moi. Il faisait froid dans la pièce, très froid. « Ah tu l'as enfin fermé. J'en avais marre de t'entendre brailler. » De quoi parlait-il ? Et puis qui était-il ? Était-ce un homme ou une femme ? Les questions se bousculaient dans ma tête tandis que mes mains commençaient à s'agiter dans mon dos pour se défaire des liens qui entouraient solidement mes poignets. Peine perdue, la corde était bien trop serrée. « Qu'est-ce que je fous ici ? Qui êtes-vous ?! Et que me voulez-vous ?! Montrez-vous ou je jure de vous faire sauter la cervelle si je réussis à me détacher ! » Un rire guttural retentit. J'avais essayé de parler d'une voix assurée, mais je sentais bien que je commençais à perdre mon calme. Où est-ce que j'étais ? Comment avais-je atterri ici ? J'étais assailli par les questions et les réponses tardaient à venir. « Inutile de t'agiter mon garçon, conserve tes forces pour ce qui va venir. Tu ne peux te défaire de tes liens. Laisses toi aller petit, n'aie pas peur. Tu vas bientôt mourir dans d'atroces souffrances. » La voix résonna une dernière fois puis la silhouette quitta la pièce. Mourir ? Souffrances ? Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, mais je me remis à me débattre de plus belle, essayant de toutes mes forces de desserrer mes liens. Rien. Plus je faisais d'efforts pour m'en défaire, plus la corde semblait se resserrer autour de mes poignets. « HEY ! REVENEZ ! DE QUOI VOUS PARL... » Avant d'avoir eu le temps de finir ma phrase, je fus happé par les ténèbres. Le sol froid se déroba sous mes fesses et la chute me parut longue et pénible. Au bout de quelques secondes, mon épaule heurta violemment le sol et m'arracha un cri de douleur. La terreur qui m'envahissait rendait chacune de mes respirations difficiles et lorsque j'ouvris enfin les yeux, je n'étais plus dans cette pièce aux murs crasseux, mais dans une forêt où régnait un silence étrange. Pesant. L'air était lourd et l'atmosphère qui régnait ici peser de tout son poids sur mes épaules. C'était bien trop calme pour être normal. Je me mis tant bien que mal debout en m'aidant d'un tronc d'arbre et de mon épaule encore valide avant de jeter un coup d’œil aux alentours. Cet endroit m'était étrangement familier. Et m'horrifiait. « Merde, ça fait un mal de chien... » Mon épaule était très douloureuse. Elle était peut-être déboitée. Il fallait que je me débarrasse de mes liens et que je parte le plus vite d'ici. Mais je n'y arrivais toujours pas, encore moins avec mon épaule qui devenait de plus en plus douloureuse à chacun de mes mouvements. Je regardai attentivement autour de moi ce qui pourrait m'être utile pour me débarrasser de ces cordes et après avoir fait quelques pas, je découvris un petit objet tranchant sur le sol. C'était un clou. Délicatement, je m'accroupis et le récupéra tant bien que mal de ma main valide. « Bon, ça devrait faire l'affaire. » Parler à voix haute m'aidait à rester concentré sur ma tâche et à ne pas laisser mon esprit sombrer dans la peur. Je devais garder mon calme si je voulais découvrir ce qu'il m'arrivait. Mais à peine avais-je entamé la corde, qu'un hurlement retentit au loin, suivi d'un silence inquiétant. Je décidai d'accélérer la cadence pour m'en aller le plus vite possible et après avoir réussi à me défaire des liens qui entouraient mes poignets, un nouveau hurlement déchira le mutisme ambiant. « Il faut que je parte d'ici. » La panique et l'excitation commençait à m'envahir, je ne devais pas mourir ici. Non. J'avais encore des choses à faire. Je me débarrassais des liens à mes pieds et une fois ma motricité retrouvée, je me mis à courir comme un dératé à l'opposé des hurlements. Puis quelque chose m'arrêta net. Quelqu'un devait sûrement avoir besoin d'aide. Je ramassais un gros bout de bois semblable à une batte de baseball, puis me remis à courir en sens inverse. Mais avant d'avoir fait deux pas, trois ombres sortirent des ténèbres et se jetèrent sur moi. Ils me plaquèrent au sol puis se relevèrent aussitôt, avec l'agilité d'un félin. C'était des enfants. Ils me regardaient fixement. Leurs visages ne trahissaient aucune émotion. Ils semblaient... morts. Morts de l'intérieur. Soudain l'un d'eux s'avança vers moi et leva son épée au ciel. Merde, ils veulent me tuer. Cette pensée eu à peine le temps de traverser mon esprit que je roulais sur le côté pour reprendre mon bâton et le brisais sur les rotules du gamin. Il mit un genou à terre, puis se releva avec la même expression de mort sur le visage. Et soudain, je compris où j'étais. Tout m'apparut plus clair. J'étais revenu dans l'arène et ces gosses devaient me tuer pour survivre. Ils devaient me tuer pour terminer le travail. J'étais là où tout avait commencé. J'étais là où j'avais refusé de survivre. A quoi bon survivre de toute façon ? La peur me paralysait. « Souviens toi, Reed, tu m'as promis. » C'était... C'était qui ? Je ne comprenais plus rien. Je faisais toujours face aux enfants, deux d'entre eux portaient des masques, des masques de chair qu'ils avaient prélevés sur les visages de leurs victimes. Je n'arrivais pas à y croire, comment j'avais fait pour me retrouver encore une fois dans cet enfer. « Tu as dit que tu te battrais jusqu'à ton dernier souffle... Tu m'as promis, souviens toi... Tu dois le faire. » Cette voix... Elle m'était familière. Ces mots aussi m'étaient familiers. Mais avant que j'ai pu réfléchir à quoique ce soit d'autre, l'un des enfants se jeta sur moi et planta sa lame dans mon bras. Je poussais un nouveau hurlement de douleur « BON SANG DE MERDE ! QU'EST-CE QUE VOUS ME VOULEZ ?! » La rage qui m'envahit instantanément n'avait d'égale que la terreur qui engourdissait mon corps quelques instants auparavant. Je sentais l'adrénaline et la rage monter en moi. Ma vue se troublait. Du sang. Je voulais du sang. Je vais vous tuer et je vais savourer chaque goutte de sang que je ferais couler de vos corps.
« Non... Non, non, non, NON ! »
Reed était debout, le regard plongé dans le vide. Il tenait dans ses bras le corps d'une jeune enfant qu'il venait de massacrer sans aucune pitié. A quelques mètres de lui gisait le corps du petit garçon qui l'avait planté à l'aide de son couteau. Il lui manquait deux bras. Un peu plus loin, l'autre enfant était sectionné en deux au niveau du bassin. Andrew Reed O'Connell n'était pas un assassin sanguinaire, mais ses accès de folie étaient meurtriers. Des larmes coulaient sur ses joues tandis qu'il serrait de plus en plus fort le corps de la jeune fille. Puis un cri terrifiant fendit l'air, faisant s'envoler une nuée de corbeaux à quelques kilomètres de là. La fille dans ses bras était Alexiana Hawthorne.
reality is here.
Alae, dix-neuf ans, j'habite en France, mais je suis pas français xD Pour l'instant je n'ai lu que le premier livre, je m'attaque aux autres le plus vite possible ! Le forum est très agréable, l'accueil chaleureux, pour le moment je suis comblé xD
FEATURING Garett Hedlund © Jackspirit
Dernière édition par A. Reed O'Connell le Jeu 29 Mar - 19:20, édité 20 fois |
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Kathleen S. Harper △ correspondances : 11512 △ points : 1 △ multicomptes : ◭ silver & asha △ à Panem depuis le : 21/05/2011 △ humeur : ◭ lasse. △ âge du personnage : ◭ vingt-quatre ans.
| Sujet: Re: Reed. i used to be someone else Jeu 29 Mar - 12:28 | |
| bienvenue bon courage pour ta fiche nous faudra un lien, parce que district 13 powa |
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Alexiane R. Hawthorne △ correspondances : 11154 △ points : 75 △ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory) △ à Panem depuis le : 08/05/2011 △ humeur : indifférente △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : mentor
| Sujet: Re: Reed. i used to be someone else Jeu 29 Mar - 13:22 | |
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Thybalt M. Homens △ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011 △ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
| Sujet: Re: Reed. i used to be someone else Jeu 29 Mar - 14:50 | |
| Ce scénario Garrett Bienvenue sur MJ anyway Bon courage pour ta fiche |
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Clay L. Kennedy-Fawkes △ correspondances : 617 △ points : 0 △ à Panem depuis le : 03/02/2012 △ humeur : Combattif △ âge du personnage : 29 ans.
| Sujet: Re: Reed. i used to be someone else Jeu 29 Mar - 14:53 | |
| Bienvenuuuuuuuuuue sur MJ bon courage pour ta fichette ! |
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