melisandre renly rowblade

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

AVANT SON AMNÉSIE :

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

Tout sauf banale. Je la vois surtout douloureuse, ou rapide. Mais surtout pendant que je défends les valeurs des rebelles et de tout ceux qui ont sacrifié leur vie, ainsi que leurs enfants pour satisfaire les habitants du Capitol. J'aimerais croire que cette rébellion restera marquée dans les mémoires comme le soulèvement qui a mis fin à ce règne, et qui prouvera que le peuple est toujours plus puissant que n'importe quelle personne assoiffée de pouvoir et de souffrance.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Je me vois mourir pour la cause qui me tiens le plus à cœur : la chute du Capitol. Je ne m'imagine pas mourir sans me battre, ou encore vivre vieux. Je sais dans quoi je me suis engagé, comme tous les rebelles qui nous ont rejoint, qui ont rejoint le Treize ect. Je veux faire la fierté de mon père, qui s'est battu avant moi, et pour tout le peuple de Panem qui croule sous le poids de cette dictature. Il y a aussi pour ma petite sœur Posy, que j'ai toujours protégé malgré son caractère, mais il y a aussi Atala, mon amour, celle qui a toujours été à mes côtés.

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE ?

Je suis doué dans le lancer de couteaux, que ce soit des couteaux, ou d'autres armes aiguisées, j'ai d'ailleurs enseigner cette art à mon entourage. Il y a aussi, la pêche, reflet de mon district natal, le quatre. Pêcher, fabriquer des filets, des hameçons, à fait parti de ma vie pendant un bon bout de temps, avant la rébellion.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Je connaissais de vue, ceux qui sont partis pour les jeux, mais ce n'était pas vraiment des proches. Heureusement, je n'aurais pas supporter qu'Atala ou même Posy aient été envoyés là-bas. J'apporte tout mon soutient aux personnes ayant perdu les personnes qui leur sont chères, en me lançant corps et âmes dans la rébellion pour leurs rendre une vie plus paisible. Du moins, nous rendre la vie plus paisible.

➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?

Alors qu'elle a fait passer le message, j'étais enfermé dans la prison du quatre. Mais j'avais déjà pris parti dans la révolte, succédant à mon paternel qui a été co-chef des rebelles du district quatre avant moi. Il m'a passé le flambeau à sa mort, on va dire. Et moi, j'ai passé le flambeau à ma petite sœur, Posy ainsi qu'à ma fiancé, Atala. Coin a fini par venir me chercher ou du moins, elle a ordonné qu'on vienne me sortir de ma prison, et du coup j'ai fini par atterrir dans les sous-terrains du treize.

AUJOURD'HUI :

➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ?

Je m'y sens à l’étroit, j'aimerais pouvoir en sortir, voir le soleil, sentir l'air et le vent sur mon visage. Mais cela m'es interdit, j'ai un emploi du temps imprimé sur mon bras, un emploi du temps de malade, avec des séances de psychanalyse et d'autres trucs, où on essaie de me faire revenir mon ancienne vie dans mon cerveau. Sans trop de résultat pour le moment, il paraît que j'étais un bon soldat et bon leader, j'ai du perdre ces capacités en même temps que mes souvenirs.




JE VIENS D'UN MILIEU moyen, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est suffisante à la maison. DU COUP, MON NOM A aucune chance d'être tiré au sort. J'EXERCE LE MÉTIER DE chef des rebelles ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime cela. JE SUIS DANS LE treizièmeÈME DISTRICT. AYANT vingt-six ans. JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET je suis déjà dégouté, et effrayé par la prochaine moisson. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

reality is here.

Spoiler:

tell us your story.

Les contes de fées ne révèlent pas aux enfants que les dragons existent, les enfants le savent déjà. Les contes de fées révèlent aux enfants qu'on peut tuer ces dragons. - G.K. Chesterton. "C'est un garçon", murmura ma mère, à l'adresse de mon paternel. Il revenait de sa journée de travail au magasin, et ma mère avait accouchée seule à la maison. Et nous l'attendions tout les deux, moi pleurant à plein poumons. J'étais encore bien trop petit pour voir et comprendre, ce que ressentais mon père à ce moment-là. Pourtant, il versa quelques larmes de joie avant de venir étreindre ma mère et déposer un baiser sur mon front. Mes parents s'aimaient, passionnément. J'étais le premier de la famille et cinq ans après arriva ma petite sœur Posy. Blonde comme les blés, alors j'étais brun. Chacun de nous avez le droit à une partie de nos parents. Parents qui étaient actifs dans le mouvement rebelles contre le Capitol. Je suivais mon père partout où je le pouvais durant mon enfance, fier d'être son fils, de le voir parler avec conviction sur ses actes. Je l'aidais quand je pouvais dans son petit magasin de pêche apprenant les ficelles du métier, protégeant ma petite sœur de son caractère déjà bien trempé. Nous avons toujours vécu paisiblement, jouant et nous chamaillant comme le font tout les enfants. Quoi que paisiblement est un bien grand mot, avec tous les pacificateurs, et les moissons chaque année. Au fur et à mesure, j'ai vu les familles déchirées, j'ai compris le combat de mes parents. J'ai appris à détester les pacificateurs, le capitol, les moissons chaque année. J'ai eu peur pour ma petite sœur, un nombre incalculable de fois, alors que le tirage au sort avait lieu. Et comme si la vie n'était pas assez détestable, il a fallu que l'on nous arrache nos parents. J'avais dix-huit ans. C'était l'effervescence près du lac, je suivais le mouvement. Et arrivait alors près du point d'eau où deux corps gisaient. Les pacificateurs étaient entrain de les repêcher. "Il paraît qu'ils se sont noyés.", entendis-je chuchoter à côté de moi. Je fronçais les sourcils, la plupart des gens savaient nagés ici. J'eus un haut-le-coeur en découvrant les visages des victimes. Mes parents, inanimés, sans vie. "LAISSEZ-MOI PASSER !!", tonnais-je aux personnes qui se tenaient à mes côtés, avançant sans l'autorisation des pacificateurs. Je me retenais de pleurer, je devais être fort. "Ils se sont noyés", m'annonça un pacificateur hargneux. Je lui lançais un regard noir. "Vous vous moquez de moi, ce sont des nageurs hors pairs !", rétorquais-je sur le même ton. "Un accident est vite arrivé.". Je serais les poings, ne cherchant pas plus la bagarre. Je risquais des ennuis, je m'agenouillais prés des cadavres de mes parents, leur fermant les yeux. Il allait falloir le dire à Posy. Il allait falloir les enterrer. Et la moisson allait arriver bientôt, j'avais de grande chance d'être tiré au sort. Il faudrait que je sois fort. Pour Posy, pour eux. Après l'enterrement succinct de mes parents, je tenais les épaules de ma sœur, pour ne pas m'effondrer. Une personne que je ne connaissais pas s'approcha de nous, les traits tirés et l'air grave. "Vos parents ne se sont pas noyés. C'était des personnes généreuses et bonnes.", déclara t-il. Je fronçais les sourcils, ne comprenant pas. "Pardon ?", demandais-je. "Ils ont sauvés ma vie face aux pacificateurs, et ils en ont payés le prix. Je suis désolé.", dit-il doucement, avant de quitter les lieux. C'est à partir de ce jour, que j'ai repris les traces et le combat de mon père. Je suis devenu le chef des rebelles du quatre.

Ce qui se trouve derrière ou devant nous, n'a que peu d'importance. Comparé à se que nous avons en nous... Ralph Waldo Emerson

C'est aussi à la même période que je la rencontre. Atala. Ou du moins, que j'apprends à la connaître. Je l'avais toujours croisée chez son père, qui était le médecin du district, sans vraiment la voir. Je regardais, mais je ne voyais pas. "Toutes mes condoléances pour tes parents, c'était des gens bien.", entendis-je dans mon dos. Je me retournais et levais le nez de mon inventaire. J'avais repris en même temps que la tête des rebelles, le petit magasin de pêche de mon père. J'eus un maigre sourire, en plantant mon regard dans le sien. "Merci.", je lui réponds faiblement. Je ne trouve rien à dire de plus, j'en avais reçu pas mal de condoléances, mais cela ne me rendrait jamais mes parents. Alors que je m'apprêtais à reprendre mon travail, je sentis une main sur mon bras. Je fixais un moment, la main de la jeune brune. Personne ne m'avait témoigner de geste comme celui. Mis à part Posy, qui partageait ma peine. "Je sais que c'est dur, mais ... si tu as besoin de parler. Tu peux compter sur moi.", dit-elle doucement, avant de serrer mon bras et quitter le magasin, mon regard continuant de la suivre jusqu'à qu'elle disparaisse de mon champs de vision. Je n'avais pas voulu l'admettre au début, mais j'ai eu besoin d'elle. De lui parler. De parler à quelqu'un d'autre que ma petite sœur. Elle a fini par entrer dans ma vie, pour y rester. Trop impliqué dans la rébellion, je n'avais même pas remarquer qu'elle se frayait un chemin dans mon cœur. Ma meilleure amie, ma confidente, celle à qui je pouvais tout dire et qui avait une place sans précédent après la disparition de mes parents. Ce n'est qu'un an plus tard que je découvre, que je couve un autre sentiment que de l'amitié et de l'attachement. Non bien plus, de l'amour. Moi qui n'avait rien connu de tel jusqu'à présent. Pour mener des rebelles, il n'y avait aucun soucis. Poser mes lèvres sur les siennes, c'était autre chose. J'ai trouver le courage de le faire. Je ne l'ai jamais regretté, elle m'a comblé de bonheur, m'a soutenue dans mes entreprises avec les rebelles. Tout comme m'a mère l'avait fait avec mon père. "Lily ?", interrogeais-je, doucement. "Oui ?", répondit-elle. Je tripotais la bague de ma mère dans ma poche, j'appréhendais de lui demander. Ce n'étais qu'une modeste bague, mais d'une grande signification pour moi. Je pris une de ses mains dans la sienne. Et m'agenouillais. "Voudrais-tu me faire l'honneur de devenir ma femme ?", bredouillais-je en souriant. Je la vis, non pas hésiter, mais réaliser ce que je venais de lui demander. "Oui ! oui ! oui !", me répondit-elle. Et je me relevais pour la serrer dans mes bras, le sourire aux lèvres, enfin quelque chose de bien dans cette vie. Si j'avais su que trois plus tard, je perdrais tout ... "Arrêtez-le.", entendis-je crier derrière moi. Je me retournais et vis trois pacificateurs, me pointer du doigt. "En quel honneur ?", demandais-je, étonné. Chacun me saisi un bras, m'entrainant à leur suite en dehors de mon magasin. Je jetais un regard à Posy et à Atala pour qu'elles ne tentent rien. "Vous êtes en état d'arrestation pour rébellion.", asséna t-il, durement me trainant dehors. C'était la dernière fois, que je les voyais. Du moins, que je me souvenais d'elles.

Qu'est-ce d'autre que la vie des mortels, qu'une vaste comédie, dans laquelle diverses acteurs travestis de divers costumes et masques, déambulent jouant chacun leur rôle jusqu'à ce que le grand ordonnateur les chasse de la scène.

J'ai voulu mourir de nombreuses fois. Je l'ai souhaiter tellement fort. Mais ce n'est jamais arrivé. Ils ont continué à me faire subir leur colère. La colère du Capitol. Je me disais parfois que j'avais parfois une chance de revoir celles que j'aimais, que je voulais protéger, mais que j'avais entrainé dans cette galère. Mes parents n'avaient pas eu cette chance. J'ai regretter, j’espérais qu'elles allaient bien. Mais souvent mes pensées n'avaient pas grande cohérence. Tantôt transporter quelque part ailleurs que le quatre, un sac sur la tête ou revenu sur ma terre natale. J'avais fini par perdre le fils des événements. Je n'étais plus que l'ombre d'un ancien combattant, pourtant je ne cédais pas à la barbarie de leurs tortures. Je ne dis rien sur ce que je sais de la rébellion. Pourtant, j'aurais pu croire que j'étais en vacances avant l'annonce de Coin. Parce qu'après, ils se sont lâchés. Ils s'en étaient tenus au fouet et autres trucs classiques dans l'art de la torture jusqu'à maintenant. Depuis l'annonce, j'ai eu le droit au guêpes tueuses et leur venin hallucinogène, aux électrochocs groupés à la noyade. Transformé mon élément naturel, en un ennemi est tellement facile. Surtout pour le Capitol. Je l'ai hais encore plus fort, je me suis battu. Je ne sais pas pendant combien de temps. "Il est là !", entendis-je avant de voir la porte de ma prison explosé contre un mur. Je reste dans mon coin, je ne bouges pas, je n'ai plus de force, cela fait des jours que je n'ai rien manger. Je vois des soldats débarqués et m'empoigner pour me sortir de là. Je vois enfin la lumière du jour, je plisse les yeux. Je suis dans un autre monde et me laisse guider par les hommes à mes côtés. J’atterris quelque part, on me dit le district treize, je ne me rappelle plus ce que c'est. Je ne comprends pas ce qui m'arrive, ce que je fais ici, pourquoi j'étais emprisonné. Nous descendons dans les souterrains, c'est la cohue, nous arrivons dans une salle. Quelques secondes plus tard, une jeune femme brune passe la porte. C'est elle, pour qui mon cœur bat. Atala. "Lily ?", je l'appelle, en repoussant les hommes qui me retiennent. Mais je ne fais que quelques pas avant de m'effondrer, faible. Pourtant, je la sens m'agripper, me secouer, hurler mon prénom et m'embrasser. Je m'accroche au son de sa voix, mais je me sens partir. "Mel ! MEL ! Reste avec moi ! Mel, s'il te plaît !", hurle t-elle à mes oreilles. Je sens la souffrance dans sa voix, je voudrais la rassurer, mais je ne peux pas. Mes paupières sont lourdes, et je sombre.

J'ouvris les yeux, la lumière blanche m'aveugla. Je clignais des paupières. Quelques secondes après quelqu'un est à mes côtés. Je ne le connais pas, je ne connais pas cet endroit, je me sens pris au piège. Je fronce les sourcils. "Où suis-je ?", je demande. L'homme me regarde et me sourit d'un air rassurant. "Au district treize, Mr Rowblade.", me répond-il. Je garde les sourcils froncés. "Où ?", répétais-je. De quoi me parle t-il ? Qu'est le district treize ? Il hausse les sourcils avant de disparaitre derrière une porte. Je hurle la même question, mais je me sens partir une nouvelle fois, mes paupières se ferment. Je me réveille une nouvelle fois, et la porte s'ouvre de nouveau. Cette fois, c'est une jeune femme brune qui arrive. Elle a un sourire radieux, je crois qu'elle est heureuse de me voir, mais je ne sais pas pourquoi. "Mel ! J'ai eu si peur ...", dit-elle doucement, avant de passer une main sur ma joue. Je l'interroge du regard. Je me sens mal, nauséeux, pourquoi semble t-elle me connaître, tenir à moi alors qu'elle n'ai qu'une inconnue à mes yeux. J'avale ma salive, mal à l'aise. "Excusez-moi, on se connait ?", je lui demande. Elle perds son sourire, et perds son éclat. Sa main quitte ma peau. Apparemment, j'ai confirmé les craintes des médecins, j'ai perdu la mémoire. Je suis amnésique. La jeune femme, Atala, n'est plus si contente de me voir à présent, nos séances sont dures. Pour elle, je pense, plus que pour moi. Bien que je sois désorienté et que j'ai l'impression d'être ailleurs. J'ai une impression de vide, de ne plus être à ma place. Car oui, Atala est censé être ma fiancé. Il y a aussi cette jeune femme blonde Posy, qui prétends être ma sœur. Je les aies toutes deux blessées en ne les reconnaissant pas. Cela fait deux mois, deux mois qu'on cherche à me faire retrouver ma vie d'avant. Un mois, qu'Atala n'est plus dans le treize car elle a une mission. Je suis seul, bien que Posy passe le plus clair de son temps à me lâcher des souvenirs qui sont censés m'appartenir.

Les médecins croit au retour de mes souvenirs. Ils disent que je dois écrire pour essayer de les faire revenir, en plus de leur thérapie. Mais cela ne sert à rien. Je ne me souviens de rien. D'avoir aimer, de m'être battu ... Plus rien, comme si j'étais un nouveau né. Je regrette parfois que les gens qui m'ont emprisonné ne m'aie pas tué, cela aurait été mieux que d'être prisonnier de ma tête.
Mélisandre R. Rowblade.

Jaden A. Gottingen a écrit:

YEAAAH
Ils étaient seksy tout le deux