innocence zelda ducani-hayne

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

Je la vois violente et douloureuse... En général, quand on pense à quelque chose, ça ne se réalise jamais, donc bon, si je me dis que je me ferais tuer sauvagement au détour d'une ruelle, peut-être que je finirais finalement par mourir de vieillesse, dans un lit douillé, entouré par des dizaines de petits enfants et autant d'ex-mari affligé par ma disparition. Qui sait. Non mais sincèrement, je n'y pense pas, on meurt tous un jour, alors que ce soit démembré par un rat ou assommé par une porte, ça ne change pas la finalité de la chose à savoir ; La mort. Alors autant penser à ce qu'on va faire là, tout de suite… Et justement, j'ai une envie de fraise au rhum tout d'un coup...

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Pour mes enfants... Je suppose que c'est normal, c'est dans les gênes de protéger sa progéniture, sinon où irez notre monde hein? Je pense donc que ça ne me dérangerait pas tant que ça de mourir pour eux... Surement aussi pour un homme, pour mon prince charmant... Ou simplement pour le type avec qui je couche actuellement, ce qui est un peu la même chose, j'aime à considérer chacune de mes conquêtes comme étant le prince charmant de ma petite vie tranquille, donc me sacrifier pour "l'amour de mon existence", pourquoi pas... Enfin, le mieux ce serait qu'à cette question, quelqu'un ait répondu "Je mourrais pour Zelda", ça m'éviterais du coup de me sacrifier inutilement et j'avoue que ça m'arrangerais assez ... Note à moi-même ; engager un assistant prêt à mourir pour ma personne.

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

La persuasion est surement mon talent le plus précieux, bien qu'il ne soit pas le seul. Je sais parler avec éloquence, manipuler les esprits à ma guise et en faire des esprits doux et maniable, c'est d'ailleurs ce qui m'a permis de grimper si rapidement les échelons en plus du fait d'être terriblement belle et attirante évidemment. Je sais manier beaucoup d'armes mais à mes yeux, savoir parler, utiliser les bons mots et garder son sang froid face à ses ennemies, c'est parfois plus utile que l'épée la plus aiguisé qui soit... Après tout, la plupart des guerres se termine par des discussions pacifistes et c'est dans ses moment-là qu'on a besoin de gens comme moi, oui, je suis indispensable à la guerre, je suis indispensable au monde, je suis l'éloquence et la grâce, je ne vis que pour manipuler les autres, je ne suis que concentration et... Ho, tient, Hungerpolitain vient de sortir son numéro spécial du moins de mars ... Quoi? Comment ça je ne suis pas si concentré que ça?...

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Ben... Moi? Plusieurs membres de ma fratrie ont aussi participés aux jeux. Oui, ma génération n'est pas très chanceuse en ce qui concerne les Hunger Games, j'ai cinq frères et sœurs actuellement, à la base, j'en avais quand même neuf, donc je vous laisse imaginer combien ont eut la malchance de voir leur prénom tiré aux sorts, parfois même pendant les mêmes Hunger Games. Moi, je l'ai été pendant le 61éme HG... J'avais dix-sept ans à l'époque, et je dois admettre que j'ai brillé par ma performance et mon assurance... Sans oublier que l'autre tribut du district 2 était mon frère, et comme ce n'était pas la première fois que ma famille se retrouvait dans ce genre de situation, ça a fait une espèce de buzz pendant les jeux de l'époque. On nous as appelé la famille Hunger Games, celle ayant eut le plus de participants aux jeux depuis leur début, et fatalement, celle ayant eut le plus de victoire... Mon père a gagné les 32éme HG, lui aussi il était face un membre de sa famille à l'époque. Bref, pour les Ducani-Hayne, les Hunger Games sont une espèce de fatalité qu'on ne craint plus vraiment.

➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?

Ma foi, sans rébellion on s’ennuierait un peu, alors je ne suis pas particulièrement contre, je dirais même que plus ils se battent, plus j'ai de boulot, alors qu'ils continuent, ça ne me gêne pas. Cela dit, ça ne me dit rien de les rejoindre, je suis très bien là où je suis et même si je n'aime pas tous les aspects de notre monde, je préfère vivre avec que tenter vainement de changer les choses... En somme, je suis les ordres et je tente de mater la rébellion qui s'installe et ce, sans aucun regret.


JE VIENS D'UN MILIEU favorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est abondante et j'en profite. DU COUP, MON NOM A peu de chance d'être tiré au sort, je n'ai plus l'âge! . J'EXERCE LE MÉTIER DE Peecekeepers ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime ça, vraiment. JE SUIS DANS LE 2ÈME DISTRICT. AYANT 28 ans JE ne peux plus et de toute façon j'ai déjà PARTICIPÉ AUX HUNGER GAMES. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

tell us your story.

« Narcisse Zander Ducani-Hayne ! » Ce nom avait raisonné à travers cette grande place autour de laquelle tout les enfants de douze à dix-huit ans s‘étaient rassemblés, mais c’est surtout dans l’esprit de la famille Ducani-Hayne que ce pseudonyme faisait écho. Un frère, un fils, un cousin, Zander était tout ça à la fois et ce pour énormément de personne, entouré par beaucoup, plus que la majorité des gens tout district confondu… Oui, cette famille était connus pour être une des plus nombreuses, certains voyaient ça comme de la folie, car plus on a d’enfants, plus on a des chances de les voir sélectionner pour les jeux, d’autres, saluaient cette distinction comme du courage. Pour eux, ce n’était ni l’un ni l’autre. Quoi qu’il en soit, c’était officiel, en cette année faste pour les D-H, Zander allait devoir risquer sa vie pour un jeu qui perdait davantage de sens au fil des années, mais au moins, il avait eut la chance de s’entrainer depuis son enfance, contrairement aux « gagnants » des autres districts. Alors certes, il n’avait que quatorze ans, mais il serait sans nul doute l’un des favoris. Toute la famille jeta un œil compatissant à l’élu du jour, Zelda en fit de même, croisant son regard avec un sourire malicieux, pas moqueur, juste naturelle, elle lui offrit d’ailleurs un clin d’œil, déjà à cette époque elle était loin d’être morose et ennuyeuse peu importe les situations et son petit frère le savait bien, si elle ne l’avait pas été à cet instant, il aurait certainement paniqué. Une Zelda sans malice c’est un peu une autoroute sans hérissons écrasés, ça n’a pas de sens. Oui je sais, saluons mes métaphores extraordinairement idiote qui plombe l'ambiance solennelle du texte. Bref, le pire était passé pour cette famille, ils se préparaient déjà à dire au revoir à ce membre de leur famille, n’écoutant qu’à moitié la seconde sélection, qui concernait cette fois les filles. Tout les membres de leur clan chuchotait les uns avec les autres, réfléchissant à ce qu’ils allaient lui dire, aux conseils qu’ils allaient lui donner, la jeune adolescente qu’était Innocence, elle, en faisant de même, la tête dans les nuages elle se demandait ce qu’elle pourrait lui offrir avant son départ, tradition familiale oblige… « Innocence Zelda…… Ducani-Hayne… » Même le représentant du district ,dont l’office était de piocher les prénoms de ses pauvres gamins, n’en revenait pas, il avait d’ailleurs hésité avant de continuer de lire ce petit bout de papier lourds de sens pour de nombreuse personnes. Les Ducani-Hayne, eux, n’avait pas tout de suite comprit ce qui se passait, ce n'est que quand les regards se posèrent sur Zelda et le reste de la famille que tout le monde comprit. Un frère et une sœur tiré au sors… C’était rare… C’était impossible et statistiquement improbable, plus encore quand on savait que l’année d’avant, la même situation c’était produite et aucun n’était revenue… Zelda posa son regard sur son cadet, ce dernier lui donna le même sourire et le même clin d’œil qu’elle, quelques minutes auparavant, ce qui lui arracha un petit rire, sous les yeux ébahis des spectateurs…

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« Donnez moi de la couleur, je veux pas porter du noir! Je veux du multicolore! Du rouge, du vert menthe glacial, du rose, du jaune, bref, appelez moi Raimbow à partir de maintenant! » Elle voulait de la couleur, elle voulait qu’on ne l’oublie pas de si tôt et elle le faisait savoir avec éloquence et autorité. Zelda avait fait forte impression au capitole dès son arrivé pour les jeux, tout comme son frère. Deux années consécutives avec le même schéma familiale pour le même district, c’est rare, surtout venant d’une famille qui avait comme paternel un ancien vainqueurs aujourd'hui devenue un Peecekeepers réputé. Les sponsors s’arrachaient les deux Ducani-Hayne et ils en profitaient au maximum… S’entrainer avant de se retrouver dans « l’arène » ? Hors de question, Zelda et Zander préféraient largement se prélasser, profiter de leurs dernières heures, rire et discuter, car même si on les considérait comme les favoris, les chiffres n’étaient pas franchement de leur côté. « Qu’est-ce que ça fait de se dire qu’on va peut-être tuer son propre petit-frère? » Cette question, elle revenait sans cesse depuis le début de tout ça, par des inconnus, par d’autres tributs ou plus simplement par des « journalistes ». Zelda répondait sans cesse la même chose. « C’est la vie…» ni plus, ni moins. Résigné? Non, simplement réaliste. Le jeu était ainsi fait, qu’elle le veuille ou non, jouer les révolutionnaire pour tenter de changer les choses, ça ne servirait à rien, comme si trois jours étaient suffisants pour refaire le monde.... Son frère, lui, semblait tout aussi pragmatique, même si, tout deux étaient très différents. Leur parent ne leur avait donné qu’un seul conseil important « Ne lâchez rien » et ce depuis qu’ils étaient enfant, alors chacun des deux savait ce qui les attendait et ce qu'ils devaient faire. Les Hunger Games allaient commencer, lors du décompte des soixante secondes Zander croisa le regard de sa sœur, chacun offrant à l’autre le même sourire et le même clin d’œil que lors du tirage au sors, le monde capta cette image, l’image d’une sœur et d’un frère toujours aussi complice malgré la situation et la possible finalité de tout ça ; Un fratricide. Les premières heures furent éprouvantes mais aucun des deux ne se croisa, chacun bataillant de son côté au grands damne du capitole qui ne voulait qu’une chose, une rencontre mémorable entre ses membres d’une même fratrie. Leur vœux fut exaucé après un certains temps, alors que l’un à l’autre avait survécus à plusieurs ennemies, éreinté par leur combat mais en vie. Chaque fin de journée Zelda observait le ciel pour connaitre les tributs morts et à chaque fois, elle ne pouvait s’empêcher d’être tiraillé par la joie et la déception de ne pas y voir son frère, encore plus la veille leur rencontre, sentant que bientôt elle ne pourrait plus l'éviter… Une lance pour Zelda, deux lames fines et petites pour Zander, un regard échangé, alors que chacun était en sang, la respiration haletante…

Zander ; « On y est apparemment… »
Zelda ; « Tu as toujours été très perspicace… » L’humour, même dans les pires moments, c’est tout ce qui lui restait.
Zander ; « J’ai prit ma décision à l’instant où ton nom à été tiré au sors… »
Zelda ; « Moi aussi… »

Le combat commença. Entrainé depuis leur enfance pour ça, chacun savait se défendre, chacun connaissait les faiblesses et les atouts de l’autre, chacun était prêt à faire ce qu'il devait faire, c’est tout ça qui donna au final un combat mémorable et puissant. Cependant, il ne pouvait en rester qu’un… Et Zelda ne s’attendait pas à être celle qui survivrait. Elle avait prit sa décision à ce sujet alors sur le coup, elle ne comprit pas ce qui s’était passé... Ils étaient proche l’un de l’autre, presque collé, au corps à corps, mais même si de l’extérieur on pouvait croire qu’elle l’avait transpercé de sa lance, en réalité, elle en était sur, c’est lui qui aurait dut profiter de cette ouverture qu’elle lui avait offerte pour la tuer. Pourtant, Zander s’écroula au sol, la main sur une plaie béante au milieu de l’abdomen… Une plaie dont elle n’était pas la cause. Il l’avait fait seul… Elle lui avait laissé la chance de prendre le dessus, lui, il l’avait saisit, pas pour l’éliminer, mais pour la laisser gagner. Il ne fallut pas longtemps pour qu’il meure, un sourire aux lèvres. Pas de larmes, pas de hurlement de désespoir, Zelda ne lui prit pas non plus la main pour lui murmurer son amour, non, ça, c’est bon dans les films, mais dans la vrai vie, dans les Hunger Games, on reste debout, digne face à la mort, on observe un frère mourir, un frère satisfait d’avoir sauvé au moins une vie avant de partir…

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Assise derrière un bureau de plus colorés Zelda se devait de faire les besognes réservés aux « hauts gradés » de notre chère milice pacifiste et aimante, oui oui, je parle bien sur des Peecekeepers, on le sait tous, ils ne sont qu’amours, espoir et … Ok, ça sonne faux et personne n’y croit mais fallait bien que j’essaie non? Bref, même si elle n’aimait pas des masses remplir des documents des plus rébarbatifs elle se devait de le faire, ne serait-ce que pour donner l’exemple aux plus jeunes et puis, qu’est-ce que les autres irait raconter si TOUS ses dossiers étaient écrits par son assistant? Non, elle devait au moins faire semblant de temps à autre histoire de sauver les apparences, de faire « comme si ». Soupirant tout en dessinant des bonhommes difformes sur son dossier (oui c’est comme ça qu’elle complète ce genre de documents) la belle se laissa tomber en arrière, faisant trembler ses lèvres telle une enfant bougonne tout en observant son plafond , ce dernier était incrustés de petites lames qui était arrivé ici d'une obscure façon. Elle s’ennuyait, c’était un fait. Zelda aimait donner des ordres, être un haut gradés, cependant, le côté de son job qu’elle aimait le plus c’était belle et bien les missions en extérieur, les interrogatoires et, soyons fous, même la torture, mais franchement, la paperasse… Malheureusement, avec cette « pseudo-révoluçionne » la jeune femme avait de plus en plus de papier à remplir, ce qui l’agaçait fortement… Alors bien sur quand un jeune Peecekeepers arriva dans son bureau pour lui faire part d’une réunion importante, elle s’empressa de le suivre, presque joyeuse, sautillant telle une enfant qui viendrait de découvrir ses cadeaux sous le sapin un matin de noël. Pas très effrayant de prime à bords et pourtant, ele était surement l'une des Peeceekeepers les plus craints... Je sais, c'est de la vantardise mais que voulez vous.

Rapidement elle se retrouva dans une pièce remplis de Pacificateurs, autour d’une table au centre de laquelle se trouvait une espèce de carte géante d’un des districts, lequel, elle n’en savait rien... Elle avait un étrange problème pour se repérer dans l'espace à partir d'une carte, elle était trop instinctive pour ça. Enfin, passons. Apparemment le but de tout ça était de mettre en place une mission en extérieure, tout les membres de notre milice préféré présent à cet instant était concentré, même Zelda, tous observant cette carte en déplaçant des pions représentant leurs hommes. D’ailleurs, la jeune femme décida d’en faire autant, déplaçant l’une de ses étranges figurines avec attention… Ce qui surprit apparemment quelques personnes. « Pardon mais… Que faites-vous? … Vous avez déplacé vos hommes sur… enfin… là c’est la … mer…. » Zelda ne le regarda même pas, continuant de déplacer tout un tas de petits pions au même endroit avec sérieux, un sérieux qu'on retrouve chez les enfants qui s'amuse avec des légos... « Je sais, mais j’aime bien la couleur …. » WTF? C’est surement la petite pensée qui traversa l’esprit de tout ce beau monde, habitué à ses excentricités mais tout de même toujours surprit quand ça se produisait, vous savez, c’est un peu comme un tour de grand huit… On sait ce qui va se passer, on a conscience des sensations qu’on pourrait ressentir, mais même si on en fait tous les jours on ne peut pas s’empêcher d’avoir un haut le cœur et une certaine surprise quand ça se passe. Oui, Innocence était un manège à haut risque. Belle métaphore au passage, je m’en félicite. Bref.

La réunion s’éternisa mais fort heureusement, elle fut plus distrayante que sa corvée de papier, alors elle se laissa faire, mettant en place un plan soi-disant machiavélique mais qui n'avait, à sons sens, aucune chance de marcher, c’est pour cela qu’elle ne comptait pas le suivre… comme d’habitude. « Bichon numéro 1, vous irez directement jusqu’au port et fouillerez chaque embarcations … » Ne soyez pas surpris, elle ne retient pas les noms de ses officiers et les appelles tous Bichons, Loulou ou encore François, peu importe, tant que ça sonnait ridicule. Habitué, ses hommes suivirent ses instructions sans broncher, par contre, les autres haut gradés, qui s’étaient évertués à mettre en place un plan tout autre que le sien ne semblait pas franchement ravis. Discuter avec elle, pour la faire changer d’avis, ce serait inutile, par contre, essayer de la blesser d’une quelconque manière, ça leur semblait d’avantage dans leur corde, c’est pour cela qu’après quelques minutes, l’un des vieux chefs prit la parole, changeant de sujet puisque tout était presque finis.

PEECEKEEPERS ; « A part ça... Beaucoup disent que cette année, ce sera encore une année Ducani-Hayne… Il parait que pas mal de membre de votre famille vont se retrouver en première ligne cette année plus qu’une autre… Si vos parents savaient se contrôler, ça n'arriverait pas...  »
ZELDA ; « C’est fou les efforts que vous faites pour m’énerver… C’est presque attendrissant vous savez… Continuez comme ça et je risque de tomber amoureuse! »
PEECEKEEPERS ; « Vous ne prenez donc rien au sérieux? Tout est un jeu pour vous? »
ZELDA ; « Vous supportez bien les Hunger Games, alors je ne m’en fais pas, vous vous ferez à mon insupportable irrévérence et puis … ! » A cet instant son assistant arriva dans la salle avec une espèce de boite remplis de pâtisserie… Mauvaise pioche pour ce pauvre Chef Peecekeepers qui comptait lui faire encore une fois la morale, maintenant, c'était peine perdu et il le savait. « Hoooo des gâteaux, c’est chou! » Oui, changer de sujet plus vite que son ombre et passer d’une conversation importante à la dégustation de beignet, c’était un peu le quotidien de notre demoiselle… Folle? Non, juste elle... Ce qui revient au même en fait.