Elliot Jezabel Zvain-Hartley

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

Stupéfiante, le genre de mort dont tout le monde se souviens et qui reste graver dans les mémoires des générations. Elliot à pour conviction de mourir en homme et non comme une machine, mais ça il lui faudra surpasser les risques de perdre ce pourquoi il a été créé. Le jeune homme se voit mourir assez souvent, ses rêves sont peuplés de suicides et de missions kamikazes dans lesquelles il se ferait tuer à la moindre occasion, boum, triste fin de la triste de vie d'Elliot le chien de garde, le robot. Il n'est pas coutume d'attendre la mort comme une vieille amie et de ne pas en savoir peur, mais Elliot sait qu'il ne lui reste plus que cette issue pour enfin devenir un homme libre et digne, quelques fois, il aimerait mourir tellement ça fait mal.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Il n'y à absolument rien qui justifiera la mort d'Elliot à ses propres yeux, cependant il n'en est pas de même pour le gouvernement du D13 et pour ses parents adoptifs. Ceux qui lui donne des ordres et lui enfonce du venin dans le cerveau, ces gens là voudraient qu'Elliot meurt pour leur propre conviction, pour ce qu'il croit être juste, mais la mort d'un homme justifie-t-elle d'en faire un esclave ? Le jeune homme voudrait ne pas avoir à mourir avant de s'être battît sa propre personnalité, mais cela est impossible tant qu'il vivra sous le joug de ceux qui l'on crée.

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

Vous voulez vraiment savoir la réponse à cette question ? Car après tout il n'y à qu'à plonger votre regard dans celui du jeune homme pour découvrir ses forces, et en connaissant la nature de sa "préparation" il vous est bien aise de savoir que rien ne peut arrêter une machine de guerre conçu pour détruire. Elliot est un jeune homme agile, il sait comment de sortir de toutes les situations, comment prendre les chemins les plus étroit et les rues les plus fines pour se tirer d'un trépas. Doté d'une discrétion hors norme il lui est facile de tuer sans même que son ennemie se rende compte de sa présence, rapide et efficace il finit ses missions avant même que les autres n'est eut le temps de descendre de l’hovercraft. Elliot sait manier toutes les armes existantes à ce jour, bien qu'il ait toujours eu une préférence pour les couteaux, plus rapide à dégainer, plus lent pour faire souffrir.

➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ?

À l'étroit, voilà tout ce que peut vous dire Elliot sur son ressentiment dans les D13. Il n'a connu que ça tout au long de sa vie, son enfance est peuplé de souvenirs qui se glissent entre ces murs de poussières, son adolescence est passé aussi vite qu'un train devant un district, bref, Elliot n'a pas vu le temps passé au-delà des injections et des entraînements que lui ont administrés ses parents. Il voudrais pouvoir s'enfuir, ne plus avoir à subir le venin dans son cerveau, pouvoir respirer un autre air que celui des sous-terrains poussiéreux, c'est pourquoi chaque missions à l'extérieur est pour lui un cadeau.


JE VIENS D'UN MILIEU favorisé compte tenu du métier de mes "parents"AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE à toujours été répartie de manière équitable mais je n'en ait jamais manqué. DU COUP, MON NOM N'A aucune chance d'être tiré. J'EXERCE LE MÉTIER DE soldat/garder et exécuteur pour le D13 ET POUR TOUT VOUS DIRE, JEn'aime pas ça du tout. JE SUIS DANS LE 13ÈME DISTRICT. AYANT 25 ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET je me fiche éperdument de la prochaine moisson.. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

reality is here.

tell us your story.

D'aussi loin que ma mémoire me permet de me souvenir, la terre qui m'a vue naître n'était pas un endroit où les enfants possèdes la meilleure des enfances, cette terre est abrupte, couverte de poussière de mort et froide comme les pires glaciers que l'on peut trouver à Panem. C'est ce que mes parents m'ont toujours dit quant à mon district natal, après ils ont simplement arrêté d'en parler devant moi. Je m'appelle Elliot et je n'ai pas de souvenirs d'enfance. Ces sous-terrains que l'on croit morts, dont tout le monde parle comme un vieux souvenirs dans la mémoire d'un homme fou, c'est là que j'ai toujours vécu, c'est là que ma vie à véritablement commencée. Je ne me souviens de rien concernant mon arrivée dans le treize, ils ont pris soin d'éliminer tout ça de mes pensées et de mes souvenirs de peur que je ne sois effrayé par le pourquoi du comment. L'on dit que je suis l'enfant qui n'aurait pas dût naître, que tout ce que j'apporte n'est que destruction et malheur et qu'on ferait mieux de m'attacher ou de me noyer. Je les entends parler les gens, ils se questionnent sur ma naissance, sur ce que je suis réellement. Pourquoi deux scientifiques renommés dans le D13 aurait voulu d'un enfant ? Ils ont déjà du mal à s'occuper d'eux-même. Mes parents, Finéas et Artide Zvain-Hartley, viennent tout deux du D06 et on était réquisitionnés par le treize, parce que leur savoir dans la matière scientifique n'a pas de prix, à ce qu'on dit chez nous. Je sais pertinemment qu'ils ne sont pas mes parents, ils me l'ont tout de suite avoué et après tout je n'y vois pas grande différence, si mes vrais parents avaient voulu de moi ils m'aurait garder au lieu de m'abandonner à même la terre du district. Tous les jours j'ai le droit au même entrainement, courir, sauter, lancer des couteaux sur des mannequins de coton, me battre contre des hommes faisant deux fois ma taille, tous les jours je ressors avec les même égratignures sur les bras, les jambes et le dos, tous les jours mes parents me répètent que je ne suis qu'un bon à rien. Je ne suis pas un combattant et je sais à peine me défendre, pourtant l'on pourrait croire que tout le monde s'attend à me voir renaître comme un phœnix, ces oiseaux de feu capable de renaître de leur cendre, je ne suis qu'un enfant de onze ans, il faudrait qu'ils commencent à s'en rendre compte. Je m'appelle Elliot et, tel le phœnix, j'ai rejailli de mes cendres.

Flash-Back :

Les sangles encercles mes bras et mes jambes, je peux sentir le contact du cuir qui m'empêche de me relever et de voir ce qui se prépare autours de moi. Mes paupières sont lourdes, comme si on les avaient scotchés à ma peau pour ne pas que j'ouvre les yeux. Je suis groggy, abattu comme après un coup de masse reçu en pleine tête, je voudrais pouvoir crier mais aucun son ne sort de ma bouche et la panique commence à me prendre soudainement. Où suis-je ? Que faire ? Quelles sont ces voix que j'entends au loin ? De quoi parle t-elles ? « Il deviendra plus fort que les dieux eux-mêmes, il sera la fierté du district ! Et plus personne ne viendra dire que notre travail ne sert à rien Artide ! Personne ! » La voix de mon père résonne dans mes oreilles, je pourrai la reconnaître entre mille, mais que fait-il là ? Est-ce lui qui m'a ainsi attaché comme un animal que l'on voudrait dépecer ? « Ce venin de guêpe géante ne pourra que le renforcer, il va devenir un géant parmi les fourmis ! » Je ne comprends plus rien, ma tête est en feu et je peux sentir mon cœur battre dans mes tempes. J'essaye d'ouvrir un œil, qui se referme aussitôt devant la lourdeur des mes paupières. Mes bras cherchent à se défaire des sangles de cuir qui me tiennent impassible face à ce châtiment dont j'ignore tout, aucun son de ne sort d'entre mes lèvres, rien, rien à part de la peur et cette effroyable intuition qui me dit que je ne sortirais pas d'ici vivant. « Tiens toi tranquille Elliot, tu nous remerciera plus tard de ce qu'on à fait pour toi mon fils. » Sans que je ne m'y attente un cri effroyable s'échappe de mes lèvres alors que je sens ma tête transpercée par une aiguille froide, la douleur est si forte que j'aurai sans doute préféré pour mourir à cet instant plutôt que devoir subir cette torture encore et encore. La première injection m'a fait tombé dans le coma, les suivantes me feront tomber dans las dépendance.

Fin.





Formaté, endurci, construit, créé, tous ces mots désignent à la perfection comment je ne suis devenu moi-même, cet homme froid, arrogant et presque muet, ne parlant qu'à des occasions bien spéciales. Tout à été effacés, mes souvenirs, mes impressions, mes sentiments. Je suis un homme sans nom, sans passé et sans avenir. Je n'ai plus rien pour moi si ce n'est le goût métallique du venin courant en moi à chaque instants, faisant de moi ce que je suis aujourd'hui. Il s'est infiltré dans ma mémoire, dans mes organes, ma peau, mon sang, je peux le sentir battre en moi à chaque fois que mon cœur expédie un peu plus de sang. Je suis devenu l'homme à abattre, la terreur des pacificateurs de chaque districts, ils me surnomment « la bête » sans savoir que ce surnom me va mieux que mon propre prénom. Elliot, le monstre de Frankestein, la bête créée de toute pièces, du début à la fin, passant le reste de son existence à ne plus réfléchir, à combattre, à éliminer, à tuer. Ils m'envoient dans toutes les missions importantes, toutes celles qui se finiront par une tuerie ou un bain de sang. Pourquoi moi ? Parce que le venin ne m'a pas seulement brisé, il m'a aussi renforcé et endurci, si bien que je suis maintenant l'un des meilleurs soldats du D13, voir même le meilleur. Je me bâts, je brise des cous et des doigts sans le moindre scrupules, je repart aussi vite que je suis arrivé pour une énième injection dans mes méninges. Ils veulent de moi que je sois capable de tuer de la manière la plus discrète possible, sans scrupules, sans remords et sans questions. Je suis formaté pour ça, détruire, tuer aussi bien des adultes que des enfants quand cela est nécessaire. Je n'éprouve rien, ni sentiments, ni fatigue ni faim, un robot ne mange pas, ne dors pas et n'a pas de cœur. Mes parents sont les seuls à savoir s'occuper de moi, à savoir comment faire pour ne pas que mon cerveau ne brûle dans l'attaque du venin. Chaque jours, inlassablement et sans aucune fatigue, je m'entraîne au combat, faisant de nombreux blessés dans les rangs du D13. L'on dit de moi que je ne suis plus humain, que ce que mes parents m'ont fait à détruit toute onces d'humanité en moi et que je ne réagit plus que sous les ordres des hauts gradés des sous-terrains. Je suis hors de contrôle. Je m'appelle Elliot, et je suis votre pire cauchemar.

Flash-back.

J'arpente les sous-terrains, mes parents se tenant de chaque côtés de moi, mon cerveau embrumé par la dernière injection de venin. Je sais où nous allons, je sais ce que je suis censé faire pendant le reste de ma pathétique existence. « Il est encore plus parfait que je ne l'espérais Finéas ! » Ma mère à ce ton désinvolte, comme une enfant qui recevrai sa première poupée en cadeau, mon père lui à les traits détendus, plus fin que jamais, si bien que l'on dirait qu'il à rajeunit de vingt ans d'un seul coup. Nos pas nous mènent tout droit devant le bureau de la présidente, qui me considère comme un chien de garde, une monstruosité qui ne lui sert qu'à tuer ses ennemies sans se faire remarquer, un quasimodo des temps modernes. « Soldat B-675-324. Elliot Zvain-Hartley. Elle vous attends dans son bureau, seul. » me hurle un soldat aussi grand que moi, portant une combinaison noire et un fusil sur l'épaule. Ici je ne suis rien, je ne suis pas un gradé et tous les autres soldats me traite comme le derniers des monstres. Ils sont jaloux, de tout ce que j'ai fait pour ce district, de tout ces gens que j'ai tué de mes mains alors qu'ils n'ont même pas le droit de sortir ramasser des champignons, cette pensée me fait sourire intérieurement, du moins ce que je vois comme un sourire. « Vous vouliez me voir madame. » Le bureau est assez grand, plus grand que toutes les dortoirs des sous-terrains. « Elliot … Je vous ai déjà dit que vous m'êtes d'une grande utilité ? Après tout vous faîtes bien votre travail, sans bavures et sans échec. » Je sers les poings devant ses mots, ma tête commençant à me brûler, le venin se dissipant dans mon organisme. « Non madame. » C'est comme une vilaine migraine qui vous attaque par surprises, je commence à sentir me cœur battre dans ma poitrine, chose qui ne devrait pas arriver sous l'emprise du venin. « Si vous arrêtiez d'envoyer mes soldats à l'infirmerie pendant les entrainements je serais sans doute plus enclin à vous le dire. » Elle se retourne lentement et ma tête est toujours autant en feu, si bien que je dois me contrôler pour ne pas crier. « Je vais ce qu'on me demande madame. » Mon ton n'est pas aussi froid que d'habitude et ma voix se trouve être tremblante, chose que la présidente remarque tout de suite, l'expression de son visage devient plus inquiète et je ne peux empêcher la sueur de couler sur mon front. « Vous vous sentez bien Elliot ? » Sa voix me parvient avec du retard et mon corps se mets à trembler, ce sont les premiers signe du manque de venin dans mon organisme. « J'ai besoin de plus d'injections madame. » Je tente de rester calme devant elle, afin de ne pas avoir à la tuer dans un coup de colère et de manque je ne peux pas contrôler. Mes jambes sans fébriles, il m'est presque impossible de rester debout une seconde de plus, si bien que je m'effondre dans le large bureau, ma tête cognant contre le sol froid.

Fin.

Merci à tous pour cet accueil plus que chaleureux
Je vous réserver mes meilleurs lien.

( Que du beau monde sur ce forum )