La télévision, qu'elle mauvaise invention comme tout les jeux de la faim. À quoi sa allait servir dans la vie à part faire plaisir à des fous sadiques qui regardaient cette émission. Pour tout vous dire je suis pas la plus grande fan. Je ne suis qu'une blondinette au visage soyez par la tristesse de cette émission. J'ai vue ma mère mourir à la naissance d'un ange, ma soeur. Mon père faire une overdoose d'alcool lors de la moisson. Ma soeur, mon ange, ma vie c'est envoler en allant aux jeux de la faim. Je n'avais plus aucune raison de vivre à part pour voir le capitole tombée dans les amçons des rebelles. Pourquoi de telle chose ce produiser dans ma vie, pourquoi ?! Les larmes coullait sur mon visage et mes yeux bleux. Je frappais tout les murs de cette maison, me roullait par terre et me tirer les cheveux de douleurs en gémissant. Oui comme si un "BOUM" où plutôt une explosion était en moi. Je devenais vide, triste et encore plus énervée. Chaque minute, chaque seconde qui découller dans ma vie me rendais de plus en plus dingue.

Je me suis réveiller, dans une forêt plutôt sombre, l'homme qui m'avait servie le café dans un petit bar encore ouvert tard le soir était partie et je me rapellais de son nom; Bertholdi.
Prenant ma réspiration, je posa mes mains sur ma poitrine. Puis je repartis dans une crise d'angoisse, de larme et de tristesse. La douleur traversée tout mon âme, mon être...
Pourquoi je devais autant soufrir, la perte d'un être chère ?J'y était habituée ! Le manque de nourrite ?Depuis ma naissance je vis avec ! Toujours et toujours des problèmes !
Le vent traversée mon visage et faisait vollée mes bouclettes blondes.

J'entendis une brindille se casser et un garçon de mon âge- j'avais 15 ans- plutôt pas mal habiller, costard et cravatte sortie, se balader dans la forêt en explorant. Il me regarda et je le vis tout de suite poser ses yeux sur moi. Mes yeux eux, était sur ces habits et il avait en grand air du capitole. Je ne pus m'en empêcher et comme une folle je me jeta sur lui. Assise à califourchon, je commencer à lui donner plein de gros coup de point sur le visage jusqu'à faire saigner ses lèvres, mes yeux coullait encore plus de larme, je ne pouvais m'en empêcher et j'était trop triste, trop colèrique et trop folle pour lui paraître gentille, douce et fragile. Oui je devenais totalement folle et incontrolable. Le garçon lutait un peu mais ne quitter pas ces yeux de moi ce qui le rendais pathétique à mon égard.

"Sale morveux, toi qui ne connaît pas la souffrance, retourne dans les jupons de ta mère, si il y a pas déjà quelqu'un !"

J'avais arrêtée de le frapper et je m'accrochais à sa chemise, à son costume en le serrant fort, peut-être que j'avais besoin d'amour, de personne pour rester à mes côtés ...

La mort, quelque chose qui emporter des personnes chères à notre coeur pour les transformée en étoiles selon ma mère. Mais pourquoi des personnes chères et pas les gens que l'on déteste ?Mon père lui penser que la mort était le dernier cycle de la vie, la période ou les personnes devaient quitter le monde des vivants pour aller voir les gens sans âmes. De versions bien différente les unes et les autres mais pour moi la mort était le capitole. Quand on née à Panem, on est tous condamnée par la mort mais ce sont pour différente raison ...
Nous sommes condamnées à mourir de faim ou de soif. Nous sommes peut être condamnées à mourir d'une maladie, mais nous adolescents des districts sommes condamnés au jeux de la faim. Nous sommes des bêtes de cirque et sa je le savais depuis bien longtemps !

Sortant de mes penser je rester accrocher à ce garçon inconnue que je détestais tant, pourquoi ?En tout cas j'avais le sentiment qu'il allait me faire souffrir, qu'il aller me torturer, qu'il aller me hanter l'esprit. Il me regarda le regard vie et ébahit, je flippa un peu. Comment on pouvais pas ce défendre comme une folle comme moi le frappait, il était bizarre et cela m'intriguer fort. Il se releva doucement, me laissant par terre, j'avais l'air d'une chienne, une fille de rien du tout, une pauvre paysanne comparée à un homme riche du capitole. Il me souria et me parla .

"Ca va ?"

Comme si sa aller aller. Je le regarda avec de la haine et de la colère entièrement remplie.

"-Oui ta vue sur mon visage je suis remplis de joie que j'en ceuille des roses !!"

J'y était peut-être aller trop fort, mais il fallait me montrer forte !

"-Et puis d'ailleurs, tes qui ?"

Je devais prendre de l'avance sur mon "adversaire" .

Je me suis toujours demandées qu'elle était la raison de jeux de la faim, pourquoi avoir crée ceci ?Pour rendre des gens fous heureux de tuer des personnes ?C'était vraiment bête de faire cela, car tout ce qu'a gagner le capitole c'est un pays en colère, fou et qui meurt d'envie de dévaster. Ils gâchent des vies chaque année, rien que pour le plaisir, mais que va devenir le monde ci cela continue comme sa ?Je n'en sais rien, mais en tout cas je sais que je suis déjà "morte" de l'interrieur, rien qu'une petite seconde devant la télé, un geste et hop là ta le barratain de la folie qui viens te toucher. Je ne voulais pas finir comme ces fous qu'on voie parfois à la télé pour amuser le publique ... Moi je suis une fille qui c'est ce contrôler. Enfin pas en ce moment je dois l'avouer ...
Le garçon m'attrapa la main pour me relevée, rien que l'idée de le pousser dans la flaque de bout me passa dans son esprit, mais je devais me contrôler et je le savais. Je le regarda puis tourna le regard jusqu'au moment ou il m'avoua son vrai visage .

"Je suis Kyle, Kyle Esperanzza."

Je mis du temps à me calmer intérrieurement. Espenranzza était le juge aillant condamnée ma soeur à la mort, celui-ci avait annoncée sa mort avec une telle joie. Je le regarda et lui donna tout de suite un gros coups de point dans le pif, il en saigner même. Encore une connerie du genre et je lui pétée les côtes. Je baissa ma tête quand il me demanda qui j'étais. Puis avec une inspiration je releva ma tête le regard le plus noirs possible, le plus dure et le plus haineux qu'il existe sur cette terre.

"Alice, Alice Jonhson, la grande soeur de celle que ton père était tellement joyeux de citée la mort !!"

Les points serrées ma poitrine bouger au rythme des batements de mon coeurs et on pouvais donc dire que sa aller vite. Je voulais qu'il culpabilise, je voulais arracher à son père la personne la plus chère au monde. Je voulais le tuer ...

Je n'imaginait pas que Kyle pouvait être aussi sur de lui. Rien que de le regardée, sa me donner l'envie de le frapper. Ses cheveux bruns ébouriffés. Le regard trop perçant et lumineux. Tous sa faisait battre la chamade dans mon coeur, je ne savais pas quoi faire. Est ce que j'allais devenir folle comme toutes ses personnes aillant perdue des gens, en prison avec des criminelles qui se sont vengées de la mort d'un être chère. Ou encore à me noyer dans l'alcool ou faire du oh la oh la pour les hommes ... Tous ce que je savais c'est que je ne me laisserais pas manipuler aussi facilement par la folie ou toutes les choses super bizarre. Quand je regarda le sang couler, Kyle recommença à parler. Mon point ne lui avait pas calmer les nerrones. Et puis ma main à moi, les doigts, me faisait mal, surement parce que son nez était trop dure.

"Désolé."

Tous ce qu'il me trouver à dire, "désolé", pff c'était pathétique, je continuer de le fixer serrant toujours les points, il enleva tout de suite sa veste qui laisser paraître son haut, une chemise blanche droite, enlevant sa cravate il la jeta par terre. Je le regarder faire jusqu'à qu'il recule un peu et commence à reparler.

"Tu vas encore me frapper, ou ?"

Je ne voyais pas ma tête mais je parie que j'avais la bouche grande ouverte. Il faisait un sourire en coin ce qui lui donner un air de dragueur mais en même temps charmant. C'est sur que son sourire était envoutant mais je devais faire face. M'avançant sur lui je lui tourna une gifle.

"Crétin !"

C'était le seul mot qui m'était venue à l'esprit je ne sais même pas pourquoi !

Je ne me suis jamais aussi sentis ridicule, aussi méchante, et aussi peste. Je ne veux pas que l'on me déteste, mais je ne veux pas donner l'impression d'une fille faible. Je me suis comporter d'une façon immature et cela étais vraiment bête. Je paris que Kyle va aller voir son père, me dénoncer et qu'une escorte du Capitole allait venir me tuer sur la grande place. Je culpabiliser. Regardant le garçon partir je me détestais encore plus. Le voir saigner, et en plus je lui avais casser le nez ! Je n'étais qu'un monstre et sa j'en étais sur. Baissant ma tête je ne me lamenter que sur moi même et ne devais en vouloir qu'a moi. J'aurais du prendre la place de ma soeur si je n'avais pas eu cette grippe. J'aurais due la sauver des griffes de la mort mais je ne l'ai pas fait. Je releva la tête et de loin on pouvait distinguer la tête de Kyle. Quand tout à coups je remarqua des herbes à côtés. En ce moment je me suis comporter comme une faible, et je veut devenir forte ! Heureusement que je n'avais pas vendue le livre de plante de ma mère qui me sers toujours lors des travailles aux champs. Je les examinas; c'était les bonnes pour arrêtez une émoringie. Je les arrachats et cria à Kyle.

"Attend !!"

Je courra pour le rejoindre, bien sur je tomba sans le faire exprès, à cause d'une ronce qui planta ses épines dans mes genoux nue, oui vive les shorts ! Me ramassant sur Kyle il était sur qu'il pensait que j'allais encore le frapper ou que c'était mon habitude de sauter sur les gens. Prenant ma respiration je commença mon "discours" .

"- Excuse moi, tu as due me prendre pour une folle et je t'avoue que j'aurais fait pareille que toi. Mais je m'excuse, j'ignore si tu as déjà ressentie ce sentiment que tu déteste tout le monde et que l'on te torture ... Enfin bref ! Je m'excuse de mon comportement, et pour ton nez et ta bouche, mais sil te plait, laisse moi arrangée sa."

Je lui demanda de s'assoir, et je me mis à côté de lui. Son nez était bien plus important, posant doucement et délicatement ma main sur ses joues pour regardez ou cela était enfler, je remarquée ces yeux, ils avaient une grande lueurs à tombée debout.

Manipulant avec soins la plantes je regardas alors le résultat, sa devais amortir la douleur mais cela ne suffirais pas et il devrait s'en remettre au moins avant au moins 6 mois, même avec la chirurgie de Panem ça ne fera rien. Constatent ses cheveux bruns en pagaille sa me faisait penser à ceux de ma petite soeur, brun foncée, en pétard et le sourire souvent narquois et en coin. Cela me faisait souvent rire mais comment un gars père de celui qui a pour moi tuer ma soeur pourrait tant lui ressembler, c'est impossible qu'il ais le même caractère et je n'ose même pas y penser. Si cela arriver je savais ce qui allait ce passer. J'allais m'attacher à lui, ne plus vouloir le quitter et rester tout le temps avec lui, hors je ne suis qu'une paysanne pauvre et lui un capitolien fortuné. Je baissa mes mains, je posa l'une sur ma jambe et l'autre sur les douces feuilles du matin. Je tremblotais de douleur. Mais je ne pouvais pas y croire, cette homme avait réussi à me faire culpabilisez et surtout à me vider de la haine que j'avais envers tout le monde, je lui devais plein de chose. Il posa sa main sur la mienne, celle étant posée sur l'herbe et plongea son regard dans le miens, je dois avouer que j'étais mal à l'aise, on ne m'avait jamais fait sa à vrai dire. La situation était stressante et je sentais mes joues rougir et mes yeux briller. Pourquoi cette réaction, je n'ai jamais ressentis sa et j'étais vraiment mal à l'aise.
Puis son merci était déstabilisant, je voulais parler mais je n'arriver même pas à ouvrir la bouche, puis en tremblotant je lui proposa :

"Tu n'est pas tout a fait guérie, je n'habite pas loin alors ... Sa te dis de venir chez moi, ne t'inquiète pas je n'en ai pas pour longtemps, dès que j'aurais finie tu purra repartir regarder d'autre fille...

Les trois dernier mots résonner dans ma tête, j'étais jalouse ?Non et puis je paris que je ne suis qu'un "attraction" et qu'il va vite ce lasser de moi.

Je crois que je détester cette homme. Sa beauté et surtout son air manipulateur. Je savais que je ne devais pas faire confiance au homme capitolien. Je me rappelle une fois petite, je rêvais d'un "prince charmant" qui changerais le règlement des jeux. Pourtant mon père m'avait prévenue que le prince charmant n'existait pas et je l'ai crus. Il m'avait prévenue que les hommes était des baratineurs, des personnes mesquines qui allait profiter de moi. Je le savais bien en regardant Kyle mais son regard m'envouter.

"Il n'y a pour le moment que toi que j'ai envie de regarder..."

Mon coeur battait et je sentais la rougeur venir se coller sur mes joues. Du baratin, j'en était sur mais son regard m'envouter et je ne pouvais plus bouger. Déposant ensuite un baiser sur ma joue et passant ses longs doigts entre les miens, je ne pouvais plus bouger, j'avais envie de pleurer car j'avais trahis mon père sur ses paroles pour les hommes.

"...Tu me montres le chemin ?"

Il s'était penchée pour me susserais ces mots à l'oreille. J'allais exploser je le sentais. Regardant Kyle, je me suis relevée en essayant de me tenir droite mais le sang sur mon genoux coulée. M'accrochant à un bâton je commença à avancer.

"Oui, nous ne sommes pas loin, si tu veut au loin une petite chamière isolée vers la fin des bois c'est là."

Je ne voulais pas montrer ma faiblesse au niveau de ma jambe mais il était sure que je souffrais.