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there is a light that never goes out ◢ pv kathleen
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Sujet: there is a light that never goes out ◢ pv kathleen Jeu 22 Déc - 23:35
Je baissai les yeux sur mon poignet. Mon emploi du temps m'indique que je devais être en cuisine, pour préparer le repas du soir. Depuis que je portais mon bracelet marqué "instable", mes tâche de la journée étaient toutes plus ridicules les unes que les autres. Cuisine, lessive, étiquetage, il essayait de me tenir occupée sans me faire reprendre entièrement le travail. Bien sur j'ignorai royalement mes corvées, passant le trois quarts de mon temps au centre de commandement, le reste à déambuler dans les couloirs du treize. Cela faisait trois jours que je n'avais pas fermé l'oeil, passant dans ma cabine uniquement pour me changer et me doucher. A vrai dire, la dernière fois que je m'étais endormis, c'était recroquevillé dans un coin du réfectoire. Plus personne ne venait me déranger maintenant. Aux début, certain de mes hommes ou même de simples habitants du treize essayaient de me remonter le moral, en me disant que les choses allaient s'arranger. Mais ils avaient bien vite abandonné, devant mes hurlements et mes coups de griffes. Plus personne n'osais m'adresser la parole à présent, et ma réputation avait volé en éclats. Bien que ma réputation soit pour le moment le dernier de mes soucis. J'étais pour le moment assise en boule au fond d'un couloir. Je dus me concentrer pour me rappeler comment j'avais atterri ici. Oh, oui. La sortie de Mel. Ce dernier étant entièrement guérit, j'avais quitté en courant le centre de commandement après qu'on m'ait appris que les médecins le laissaient quitter l'hôpital demain matin. Je fermai les yeux le plus fort possible, autant pour chasser tous les souvenirs que les larmes. J'essuyai du revers de la main celle qui coulait le long de ma joue, puis me relevai. J'avais besoin de prendre l'air. Je pris soin d'éviter les chemins trop fréquentés. Après mes déambulations quotidiennes, je connaissais par coeur ces souterrains, et les endroits avec plus ou moins de passage. Je passai par ma cabine pour attraper ma veste, puis ressortis presque aussitôt. Puis je courus presque jusqu'à la sortie. Les gardes, qui me connaissaient bien puisqu'il s'agissait de soldat du quatre, me laissèrent passer sans soucis. Je grimpai le dernier escalier, poussai la porte, et débouchai parmi les ruines du treize. Je plissai les yeux à cause du soleil. Même s'il était voilé par une fine couche de nuages, je n'avais plus vraiment l'habitude de sortir sous la lumière naturelle que le moindre rayon agressai ma vue. Je respirai à grand trait l'air frai, m'extasiant devant l'odeur boisé si différente de l'air conditionné des souterrains. Je m'avançai vers l'ancien hôtel de ville. Les ruines étaient semblables à celles que l'on montrait depuis toujours sur les écrans du Capitole, à la différence qu'on avait installé plusieurs antennes de communication à son sommet. Au pied du bâtiment, j'aperçus une silhouette, recroquevillée sur les restes d'une ancienne colonne. Même si je ne l'avais que rarement vue, je reconnue Kathleen, la rescapée des derniers Jeux de la Faim. Même si je n'étais pas d'humeur très loquace, je décidai de m'avancer vers la jeune femme, qui avait été si gentille avec moi à l'hôpital. Je m'approchai d'elle sans bruit, puis m'assit dans la même position à ses côtés. Une fois installée, je cherchai du regard ce que Kathleen fixait si intéressement. Il n'y avait rien de spécial, seulement d'autres ruines. Après quelques minutes je décidai de rompre le silence.« Hey. »
Kathleen S. Harper
△ correspondances : 11512 △ points : 1 △ multicomptes : ◭ silver & asha △ à Panem depuis le : 21/05/2011△ humeur : ◭ lasse. △ âge du personnage : ◭ vingt-quatre ans.
Sujet: Re: there is a light that never goes out ◢ pv kathleen Mer 28 Déc - 12:57
« Les jours se suivaient et se ressemblaient. J'étais prisonnière entre ces murs de béton, condamnée à y passer le restant de mes jours. Enfin, jusqu'à ce que je sois en état de contrôler mes humeurs, et que je sois jugée apte à apporter mon aide. Peut-être que si je faisais des efforts, je pourrai guérir plus vite, mais je n'étais pas sûre d'en avoir envie. Pas que ma condition actuelle me plaisait, mais au moins, je n'avais pas à faire en sorte de me battre. Je ne voulais plus me battre. Si les rebelles devaient gagner, ils gagneraient. Si au contraire ils devaient perdre, ils perdraient. Et ça ne serait pas ma pitoyable et inutile participation qui ferait pencher la balance d'un côté ou d'un autre. Maintenant, j'appréhendai ce que nous allions devenir. Les autres survivantes et moi. Une fois qu'on serait comme neuves. Des soldats ? Des outils de propagande ? Des curiosités scientifiques ? Aucun de ces projets d'avenir ne m'intéressais vraiment. Mais en même temps, je ne pouvais les regarder faire sans apporter mon aide. Ce n'était pas dans ma nature d'attendre sans rien faire. Je ne savais pas quoi faire... J'avais déjà assez donné de ma personne. J'avais tout perdu à cause du Capitole. Maintenant, on m'offrait une occasion de me venger. Pourtant, j'étais trop têtue pour accepter tant que... Tant que quoi ? Je ne savais même pas ce que j'attendais pour essayer d'aller mieux. Parce que j'avais peur ? Ou un truc du genre ? Merde j'en savais foutrement rien. J'avais besoin de prendre l'air. Même si ce n'était que l'espace de quelques minutes, ça me ferait le plus grand bien. Je jetais un œil à ce soldat qui m'accompagnait partout. Quand c'était pas Miléna, c'était lui la plupart du temps. Il avait l'air jeune. Pas beaucoup plus âgé que moi en tout cas. Je ne pensais pas voir autant de jeunes à peine entrés dans l'âge adulte devenir des soldats. Si je n'avais pas été dans cet état de santé, je serai sans aucun doute devenue l'un d'entre eux. J'avais beau avoir un emploi du temps à respecter, je m'en fichais un peu. S'il n'avait pas été aussi moche sur mon avant-bras, ça aurait pu passer pour de la déco. Mais il fallait avouer que c'était un peu disgracieux quand même. Je soupirais, en me dirigeant vers la sortie des tunnels. Les gardes ne tentèrent même pas de m'empêcher de passer. Grâce à mon statut spécial de 'survivante', j'étais plus ou moins dispensée de certaines obligations, jusqu'à ce que les médecins me jugent apte à les remplir. Et puis, tant que j'étais accompagnée de mon toutou de garde du corps, je faisais ce que bon me semblait. Je passais déjà pas mal de temps à aider à l'infirmerie, c'était pas pour en plus me coltiner les corvées de ménage ou de cantine. Une fois dehors, je plissais les yeux, le temps qu'ils se réhabituent à la lumière du jour, et j'inspirais l'air à grandes goulées. J'en avais marre d'être enfermée en permanence. Le grand air me manquait. Il n'y avait que dehors que je me sentais vivante. Peut-être que si je faisais des efforts, je pourrai sortir et... Je sais pas, me lancer dans une campagne de propagande dans les districts les plus proches. Pas forcément sur la place publique bien entendu. Mais dans les alentours, là où les plus hardis osaient se rendre pour tenter de nourrir leur famille, ou pour se retrouver et organiser la résistance. Il faudrait que j'y réfléchisse sérieusement.
Je regardais les ruines autour de moi. Dire qu'il y a soixante-quinze ans, des milliers d'âmes s'activaient sur cette terre. Aujourd'hui, ils étaient sous terre. Mon regard se posa sur Alaric. Impressionnant dans sa tenue de combat. Il m'adressa un léger sourire, comprenant ce que je lui demandais silencieusement. De la solitude. La première fois, je lui avais dit expressément, et pour une raison que j'ignorais, il avait décidé de me laisser seule, mais il devait passer toutes les heures pour s'assurer que j'étais toujours là. Ça me convenait. De toute manière, si je tentais de me sauver, ils ne tarderaient pas à me retrouver. Grâce à cette puce sous cutanée. Saloperie. Je le suivais des yeux, tandis qu'il s'éloignait. Je me retrouvais seule au milieu de ces ruines. Malgré le froid, j'allais me poser contre une colonne écroulée. De là, je commençais à regarder au loin. Les oiseaux. Ils volaient, et étaient libres de faire ce que bon leur semblait. Pas moi. « Hey. » une voix m'appela. Je sursautais. Ce n'était pas Alaric. Je levais la tête pour voir de qui il s'agissait. Atala. Une fille plus âgée que moi, qui avait perdu les pédales elle aussi. J'en ignorais la raison. « Hey... » je soufflais en affichant un sourire incertain. « C'est quoi cette sécurité qui laisse sortir les patientes sans surveillance ? » je demandais en ricannant. Deux folles à l'extérieur... Le district 13 devrait être plus vigilant. »
Dernière édition par Kathleen Harper le Dim 1 Jan - 22:49, édité 1 fois
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Sujet: Re: there is a light that never goes out ◢ pv kathleen Dim 1 Jan - 22:47
Je ramenai mes jambes contre ma poitrine, et calai mon menton entre mes genoux. Tout était si calme dehors. Aucun bruit ne semblait vouloir briser la tranquillité qui nous enveloppait. De temps en temps, un oiseau prenait son envol et le bruit feutré de ses ailes perçait dans le silence environnant. Je fermai les yeux, laissant le soleil chauffer ma peau, rendue blafarde par mon enfermement quotidien. Cette sensation si familière me rappelais la maison ; mon district quatre natal et ces longues après-midi que je passais, étendue sur la plage, à écouter les allées et venues de la mer près de moi. Quelques instants, je m'autorisai à rêver, à imaginer ma vie au quatre. Une vie sans danger, sans Pacificateurs ni Capitole. Où les gens pourraient voyager librement à travers tout Panem, comme j'avais toujours désirer le faire. Même si cette vision du monde était complètement utopiste, elle était envisageable. Je me laissai divaguer dans ma conception du monde parfait, quand les paroles de Kathleen me rappelèrent à la réalité. « C'est quoi cette sécurité qui laisse sortir les patientes sans surveillance ? » Sans ouvrir les yeux, j'esquissai un sourire, le premier depuis plus d'une semaine. Elle avait raison. Je sortais de sept jours d'internement à l'hôpital pour crises d’hystéries. Même si je ne connaissais pas la raison exacte des visites de Kathleen au centre de soins, je devinais facilement que cela avait avoir avec ses derniers jeux. Par principe, nous n'étions pas les jeunes filles idéales à faire sortir dehors. Et pourtant, nous étions seules aux milieux des ruines, sans aucunes surveillance. « Tu m’étonne ! » Je marquai une pause. Il m'était encore difficile de tenir une conversation normale, de me focaliser sur un seul sujet pour tenir un véritable discours. Depuis le retour de Messalla, mes rares contacts avec les autres se limitaient à des grognements, des syllabes et dans le meilleur des cas un assemblages de mots sans réellement de sens. Personne ne me forçais à m'améliorer, alors pourquoi faire des efforts. Pourtant, c'est moi qui était venu perturber Kathleen. Pourquoi ? Je réfléchis et en vins à une simple conclusion : avec les horreurs des Jeux, elle était une des seule à réellement comprendre ce que je pouvais ressentir. Partir loin de sa famille, perdre tout ce à quoi elle pouvait se rattacher, voir mourir des personnes chères. Peut être avait-elle même connut la folie, comme moi, d'où ses visites à l'hôpital. Soudain, j'eus envie de me confier à cette personne que je ne connaissais à peine. Cela ne me ressemblait absolument pas, je détestais parler de moi, et encore plus de mon passé. Et pourtant, cette jeune femme m'inspirait confiance. J'ouvris les yeux, et posais un regard protecteur sur elle. Elle paraissait si douce et si vulnérable ainsi, à regarder l'horizon. « Ce sont mes hommes à la porte. Même s'ils sont censés obéir à Coin, je reste celle dont ils reçoivent les ordres, peut importe ce qu'en pense la Présidente. Enfin, recevaient. » Recevaient oui. Car ce n'est pas moi qui ai ordonné la descente dans la prison du quatre. Celle-ci contenait bon nombre de prisonniers rebelles que je connaissais, mais surtout mon fiancé. J'aurai bien sur été trop impliquée, cela aurait put compromettre la mission. Pourtant, je ne peux m’empêcher d'en vouloir à mes soldats de n'avoir prévenu ni moi ni Posy, mon bras droit et belle-sœur. Mais Messalla était leur vrai chef, ils avaient toutes les raisons de vouloir de le sauver. Je jetais, par contre, entièrement la faute sur Coin. Pour avoir fait prendre des risques inconsidérés à mes hommes sans mon autorisation et inutile de me le cacher, d'avoir compromis la vie de Mel. Kathleen n'en avait sûrement rien à faire de tout ça. Elles ne savaient surement même pas que j'étais la chef des rebelles du district quatre, mais pourtant je me sentais mieux d'avoir exprimer ceci à voix haute. Je le ruminais depuis maintenant une semaine, ça faisait du bien d'en parler. Le vent s'était levé, et s'amusait maintenant à faire voler avec mes mèches brunes atour de mon visage. D'un geste maladroit, je les rabattaient derrière mon oreille. « Et toi ? Ils te laissent circuler comme tu veux ? » Je ne savais pas grand chose de Kathleen. A part qu'elle avait été arraché de la mort lors des derniers Jeux de la Faim, je ne savais rien de son histoire. J'avais beaucoup d'autres choses à m’occuper lors de la diffusions des derniers Hunger Games ; au quatre, on était en plein préparatifs pour rejoindre le treize. Je n'avais de plus aucune idée de ce qu'était devenue la jeune brune à mes côté une fois remise sur pieds.
Kathleen S. Harper
△ correspondances : 11512 △ points : 1 △ multicomptes : ◭ silver & asha △ à Panem depuis le : 21/05/2011△ humeur : ◭ lasse. △ âge du personnage : ◭ vingt-quatre ans.
Sujet: Re: there is a light that never goes out ◢ pv kathleen Ven 20 Jan - 15:18
« Je m'attendais tout de même à un peu plus d'attention de la part du district treize. A force d'être si peu impliqués dans la nouvelle vie de leurs résidents, ils allaient finir par les perdre. Et quel meilleur moyen de commencer, que celui des patients en vadrouille ? « Tu m’étonne ! » au moins, elle était d'accord avec moi sur ce point précis. « Je crois que si Coin savait, elle serait furieuse. » dis-je en soupirant. Heureusement pour nous, les échos de nos escapades hors du district restaient hors d'atteinte des oreilles de la Présidente. Je ne l'aimais pas cette femme. Je n'aimais pas son attitude, ni ce qu'elle dégageait. Et... Je crois que si elle avait un peu plus de considération pour nous autres tributs, elle ne m'aimerait pas non plus. « Ce sont mes hommes à la porte. Même s'ils sont censés obéir à Coin, je reste celle dont ils reçoivent les ordres, peut importe ce qu'en pense la Présidente. Enfin, recevaient. » me dit la jeune femme. Je relevais la tête, cherchant du regard lesdits hommes. Je fronçais les sourcils. « Tes hommes ? T'as une position si haut placée que ça dans le district ? » questionnais-je légèrement incertaine. D'ailleurs, si elle avait vraiment une position importante, je ne devrai même pas la tutoyer. « Et toi ? Ils te laissent circuler comme tu veux ? » je ricanais à sa question. Comme si on allait un jour me laisser me déplacer à ma guise. Je secouais légèrement la tête en souriant. « Presque. Je suis censée avoir une garde rapprochée en permanence. Mais Alaric a la gentillesse de me laisser me promener seule tant que je lui cause pas de problème. » murmurais-je sur un ton qui faisait très confidentiel. Je savais pourtant que le susnommé Alaric n'était pas particulièrement du genre bon samaritain, on m'avait assez mise en garde à son sujet. S'il agissait comme ça avec moi, c'était uniquement parce qu'il attendait quelque chose de ma part. Quoi ? Je l'ignorais encore, mais je ne tarderai sûrement pas à le découvrir un jour ou l'autre. J'espérais juste que ça ne soit pas quelque chose que je serai incapable de lui donner. Après tout, j'avais une dette envers lui désormais. Il était bien l'un des seuls à ne pas me considérer comme une pauvre folle a l'esprit tordu. Si Coin savait qu'il me laissait vadrouiller seule à l'extérieur du district, nous aurions tous les deux de gros problèmes. Enfin, surtout lui. Pour ma part, j'étais considérée comme instable, alors je pouvais toujours plaider ça. Même si j'avais parfaitement conscience que cela serait tout à fait déloyal de ma part. « Enfin de toute manière c'est pas comme si je pouvais aller bien loin. » Je ricanais de nouveau en levant mon bras droit. Sous mon manteau, j'avais cette petite cicatrice, là où on m'avait implanté une nouvelle puce. On m'avait retiré celle de l'arène, pour la remplacer par une autre. Histoire de savoir où je me trouvais. Et ce, en permanence. Finalement, ma condition actuelle n'était pas si différente de celle que j'avais lors de la semaine de préparation. La raison en moins dans le cas présent. Jusqu'à ce qu'ils n'aient plus besoin de moi, j'étais toujours leur prisonnière. Je pouvais toujours tenter de me charcuter le bras pour retirer le traqueur et m'enfuir, mais où est-ce que j'irai de toute manière ? Personne n’accueillerai une fugitive chez soit, les gens n'étaient pas assez concernés par tout ça. Je relevais les yeux vers Atala, la tête légèrement penchée sur le côté. « Tu viens de quel district ? Moi j'étais dans le neuf avant... Avant de mourir. » lui demandais-je alors, curieuse de savoir d'où elle venait, et la raison pour laquelle elle se trouvait ici. Après tout, je ne savais rien sur elle, si ce n'était qu'elle avait eu quelques problèmes de santé, d'ordre mental. Peut-être la raison pour laquelle je m'étais montrée aussi conciliante avec elle. »
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Sujet: Re: there is a light that never goes out ◢ pv kathleen
there is a light that never goes out ◢ pv kathleen