Alexei S. Pritchard △ correspondances : 22 △ points : 31 △ à Panem depuis le : 01/02/2017 △ âge du personnage : 27 ans △ occupation : Pacificateur
| Sujet: Alexeï ▲ Peut-on supporter un monde de démons pour l'amour d'un ange ? Mer 1 Fév - 21:50 | |
| Alexeï Samaël Pritchard❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ « Voilà, regardez bien dans l’objectif et parlez-nous un peu de vous. Ce sera enregistré mais rien de plus, et gardez dans les registres de Panem. C’est obligatoire avant de passer toute formation, merci de bien vouloir être sincère. »
Hm d’accord… Alors je m’appelle Alexeï Pritchard. Mon deuxième prénom est Samaël, tout comme mon défunt grand-père, mais je ne pense pas que ce soit très important. J’ai eu vingt-sept ans récemment et je suis né au district douze, mais je dois avouer que je ne suis pas nécessairement fier d’en parler. C’est le district le plus pauvre de Panem et je l’ai fui dès que j’ai pu, c’est-à-dire il y a quatre ans, mais mon choix n’était pas forcément le meilleur car c’est au treize que je me suis réfugié. Bien heureusement, lors d’une mission débile, les Pacificateurs m’ont sauvé en m’emmenant au Capitole, ce qui m’a ouvert les yeux sur ce milieu de richesses qui m’était inconnu. Fut un temps, je détestais tout ce qui se rapprochait du gouvernement, des jeux, etc… A présent, je comprends la démarche et j’y adhère. Mon seul regret est d’avoir abandonné la personne que j’aime le plus au monde : ma petite sœur, Prunille. Elle est de quatre ans mon cadet et je ne fais que penser à elle tout le temps… Si seulement elle voyait le Capitole, sa vie changerait car elle aussi n’a encore connu que la misère. Je la considère comme ma seule famille : ma mère est morte en couche, mon père est décédé quelques temps plus tard et nous avons dû vivre avec notre oncle et notre tante, mais bien que je leur sois reconnaissant, je n’ai jamais été proche d’eux. A présent, je souhaite suivre la formation de Pacificateur afin de chanter les louanges du Capitole et du gouvernement de Panem en général car bien trop peu de personnes à mon goût y adhère et il faut remédier à cela absolument.
Concernant mon caractère j’avoue être très mauvais pour me juger. Mais les gens qui me connaissaient dans mon ancienne vie me disaient impulsif et fonceur, certaines personnes du Capitole me pensent violent… Je ne sais plus vraiment ce qui est vrai ou pas. Mais ce qui est sûr c’est que j’essaye tout de même de réfléchir avant d’agir, souvent en vain car je finis la plupart du temps par suivre mon instinct. Je pourrais tuer pour protéger ceux qui me sont importants, je leur donnerai ma vie s’il le fallait. Avant, ceux que je considérais importants étaient les personnes capables de se dresser contre le Capitole et de mener une guerre contre le gouvernement… Si j’avais vu la vérité, si j’avais su… Qu’importe.
A propos de mon physique hé bien… Suis-je vraiment obligé de me décrire, après tout vous me… Entendu. A mon entrée au treize, les personnes qui ont pris mes mesures m’ont dit que je mesurais un mètre quatre-vingt pour nonante kilos. Je ne sais pas si c’est bien ou pas, et je m’en fous. J’ai les cheveux bruns et les yeux vert-bleus, tout comme ma mère. Je suis plutôt musclé grâce à l’entrainement que j’ai subi au treize, bien que je me suis forgé une musculature très tôt car comme beaucoup d’habitants du douze, j’ai travaillé dans les mines dès mon plus jeune âge. Je n’ai pas de préférences au niveau de mon style en général car toute ma vie les seuls vêtements que j’ai porté étaient ceux que l’on voulait bien me donner. Comment se construire une apparence lorsqu’on a à peine l’argent pour ne pas mourir de faim ? J’ai donc appris à ne pas y regarder. A présent ma principale tenue sera l’uniforme blanc des Pacificateurs que je porterai chaque jour de mon existence avec fierté.
« Très bien monsieur Pritchard, ce sera tout pour aujourd’hui. » about games and relative.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Je pourrais me sacrifier pour le bien du Capitole et pour protéger ses valeurs, ainsi que pour les personnes qui me sont chères bien évidemment, même si le dire ainsi me semble un peu cliché. Pour ma soeur par exemple, je pourrais donner ma vie pour qu'elle vive enfin heureuse au Capitole. Mais de manière plus générale il me semble que s'il fallait mourir pour le bien d'autrui, je le ferai à condition que ce soit justifié et que ce ne soit pas pour un habitant du district treize ou autre.
QUE PENSES-TU DE LA RÉVOLTE ÉCHOUÉE ET DES REBELLES ? Pour commencer, je tiens à souligner ma différence d'opinion entre avant et après mon entrée au Capitole... Dans le temps, je vous aurais répondu que les rebelles étaient des sauveurs, que la révolte était une bonne chose etc. Quelle idiotie. Aujourd'hui c'est bien différent, j'ai ouvert les yeux sur ces partisans du chaos. Tout ce qu'ils veulent c'est détruire l'ordre qui régnait sur Panem et détruire le gouvernement de l'intérieur. La rébellion n'était qu'un caprice d'enfants se pensant malheureux, sans voir la vérité.
➺ COMMENT QUALIFIERAIS-TU TA VIE DANS TON DISTRICT ? EN ES-TU SATISFAIT ? Mon district, le douzième... Non, on ne pas dire que j'étais satisfait de ma vie là bas. Je connais d'ailleurs peu d'habitants qui aimaient y habiter, on vivait tous d'une vie meilleure. Et je suis l'un des seuls à l'avoir atteint en étant amener au Capitole. La vie là bas, pour les quelques semaines où j'y suis resté, étaient tellement différentes de de celle du douze. Les gens semblaient plus heureux, plus... vivants. Je sus bien heureux de ne plus vivre au douze, même si certaines personnes me manquent là bas.
➺ CROIS-TU AU BONHEUR ? Il y a encore peu de temps, je ne pensais plus le bonheur possible, mais à présent c’est différent. Je suis tout simplement heureux de pouvoir servir Panem et je suis fier d’être Pacificateur. Je pense que je suis devenu un peu idéaliste avec le temps, mais si nous réussissons à éradiquer cette sale race de rebelles, Panem et tous ses habitants pourront vivre dans l'ordre et peut-être accéder un jour au bonheur. Je suis néanmoins loin d'être naïf, ayant vécu pendant vingt-trois ans au district douze je sais que la misère est dure à vivre et qu'il n'est pas aisé de trouver le bonheur dans ces conditions... Mais sans l'organisation de Panem ce serait bien pire. Alors peut-être que le bonheur n'est plus très loin, même pour les districts les plus pauvres.
➺ QUE PENSES-TU DE L'ORGANISATION DE PANEM (DISTRICTS/CAPITOLE) ? Je pense que c'est la meilleure organisation possible. L'ordre, l'ordre, l'ordre, c'est tout ce qui en ressort. Les gens sont bien à leur place et apprennent à y rester, l'organisation des districts les aident beaucoup. Cela aident aussi les habitants à se rappeler que dans l'anciens temps, sans la division de districts c'était l'anarchie.
JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la légende. DU COUP, MON NOM A de nombreuses CHANCES/RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE Pacificateur ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime et respecte le gouvernement de Panem ainsi que son Capitole. JE SUIS DANS LE douzième DISTRICT. AYANT 27 ans JE ne peux plus PARTICIPE(R) AUX HUNGER GAMES ET j'attends la prochaine moisson avec impatience. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT. tell us your story. - Alexeï Pritchard... Ce nom leur était inconnu et pourtant il allait devenir le plus grand des héros de tout les temps ! Se dressant contre l'adversité, permettant au district douze de devenir la capitale de Panem et de devenir le plus riche de tous les districts de la Terre, du monde, de l'univers même, Alexeï Pritchard grimpa jusqu'au sommet et devint président de Panem. Il... - Alex, arrête de rêver s'il te plaît et viens ici, les jeux vont commencer.
Le petit brun souffla un grand coup. Hé oui, tout cela ne restera qu'un rêve. Il jeta un coup d'oeil à travers la fenêtre fissurée de leur petite maison : tout était comme avant, comme cela avait toujours été. De la pauvreté, de la misère à en perte de vue. Il se leva à contre coeur et se dirigea vers ce qui leur servait de salon. Agé de seulement douze ans, il avait échappé aux jeux cette année mais comme tous les enfants de son âge, il savait que ce n’en serait peut-être pas de même pour les prochaines moissons. De plus il habitait au douze, ce qui signifie aucun entraînement et peu de chances de survie aux jeux. Sa principale occupation se limitait à travailler à la mine... la situation financière de son oncle et de sa tante ne lui permettait plus d'aller à l'école tous les jours. Tout comme bon nombre de ses camarades, il n'avait droit aux bancs et au tableau noir qu'un jour par semaine lorsqu'il avait de la chance, et devait aller travailler avec son oncle afin d'espérer manger plus qu'un bout de pain à la fin de la journée. Ses parents ? Décédés tous deux. Sa mère est morte lors de l'accouchement de sa petite soeur Prunille... "Hémorragie" que son père lui avait dit, mais le petit garçon n'en avait que faire, il n'y comprenait rien, tout ce qu’il voyait c’était l’absence de sa maman. Son paternel mourut quelques semaines plus tard de tristesse, d'alcool et de beaucoup d'autres choses qu'un gamin de quatre ans ne pouvait pas comprendre. Il vivait donc avec sa petite soeur, son oncle et sa tante qui les avaient recueillis. Sans eux, il se serait retrouvé à la rue avec un bébé sur les bras, autant dire qu'à son jeune âge, c'était signer leur arrêt de mort. Il leur devait donc la vie, mais bien qu'il soit reconnaissant il n'a jamais su se considérer comme de leur famille. Il se contentait de vivre chaque jour comme une routine, souhaitant un peu plus chaque minute de partir bien loin et de ne jamais revenir dans ce trou à rats.
Bref. Il sortit de ses pensées et passa le pas de la porte pour rejoindre son oncle. Petit rêveur se devait de revenir à la réalité boueuse qui était sienne. Mais un jour, ce ne serait plus un fantasme, un beau jour il se sortirait de la misère, lui et sa famille... Par tous les moyens. Il s’assit entre sa tante et sa petite sœur de quatre ans son cadet. Dans quelques minutes les jeux seraient lancés et le bain de sang d’ouverture démarrerait. C’est bien parce qu’il avait l’obligation de regarder ces atrocités, sinon il s’en passerait bien. « Ah voilà, le coup d’envoi. » Il mit ses mains sur les yeux de Prunille : elle était trop jeune pour voir des corps baigner dans une mare de sang qui parfois n’était même pas le leur… Même si elle avait déjà vu pas mal d’atrocités de la part des pacificateurs et autres débordements, il voulait la préserver le plus possible. Il l’aimait sa sœur, même s’il ne le montrait pas souvent. Il n’en ratait pas une pour l’ennuyer, mais c’était de son âge. Entre deux rats morts dans le lit, il la surprotégeait dans la limite de son possible. Après tout, il n’y a que lui qui a le droit de l’ennuyer, c’est sa sienne, oh ! Ca y est, une bonne partie des tributs est morte, ce qu’il reste court dans tous les sens avec le peu d’équipement et de nourriture qu’ils ont attrapés et quelques-uns qui semblent avoir formés une alliance restent sur place. Sûrement du district un ou deux, comme à chaque fois. Il retira ses mains du visage de sa sœur et replia ses genoux contre son torse, observant avec effroi le reste des festivités. Que vont-ils encore bien pouvoir inventer cette fois pour tuer leurs congénères ? « Quelle barbarie. » Alexeï ferma les yeux et supplia le monde que ni lui ni sa sœur ne soit jamais envoyé là-bas, par l’amour du ciel.
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Alexei s’assit sur son lit, complètement épuisé. Son départ pour le treize ne datait que de quelques heures et pourtant cela lui paraissait des jours. Tout s’était enchaîné tellement vite qu’il n’avait pas eu le temps de souffler. C’est à vingt-trois ans qu’il avait décidé de quitter son district natal pour le treizième, fatigué de la misère du douze. Sa haine pour le Capitole, il la nourrissait de plus en plus, de jour en jour et de jeux en jeux. A chaque tribut mort pour le divertissement des plus riches, à chaque vainqueur se pensant heureux d’être ce qu’il est, à chaque proche mort de faim ou de froid dans la pauvreté du douze,… Le feu de colère à l’intérieur de lui grandissait. Comment était-ce possible de vivre dans un monde où le gouvernement approuvait, encourageait et s’amusait du meurtre de ses citoyens ? Non, déciment, cela devait changer. Et il mettrait tout en œuvre pour, quitte à en donner sa vie… Et quoi de mieux que le treize pour cela ?
Il ouvrit son sac, assez peu remplit d’objets personnels, à peine quelques vêtements, rien de plus. Après tout, il n’avait pas grand-chose. Sa main se stoppa sur un objet inattendu. Il le sortit de son sac et s’arrêta de respirer. Il tenait au creux de sa main des cheveux tressés, mais pas n’importe lesquels… Ceux de sa petite sœur Prunille qu’il avait laissé derrière lui au douze. Il l’avait prévenue qu’il partait et elle ne s’y était pas opposée, même si elle ne cachait pas sa tristesse. Il savait pertinemment que ce geste n’était pas anodin, qu’à travers ceci c’est une partie d’elle, de sa vie, qu’il avait emporté avec lui. Son ventre et sa gorge se nouèrent et pour la première fois depuis longtemps, il douta. L’incertitude ne l’a pas une seule fois effleurée depuis qu’il avait pris sa décision et pourtant en ce moment il se demandait si cela en valait réellement la peine. Elle était tout ce qu’il avait, sa sœur, la prunelle de ses yeux. Il serra un peu plus la tresse, jusqu’à ce que les jointures de ses doigts soient blanches. « Mais enfin qu’est ce qu’il te prend imbécile ! » Il y était, il pouvait plus reculer, la question ne se posait même pas ! Il n’allait pas faiblir, il n’allait plus douter, jamais. Dès que ce sera possible, il ira chercher sa sœur afin qu’elle n’ait plus à travailler dans une mine pour se nourrir de miettes, pour qu’elle soit en sécurité au treize pendant qu’il se battrait corps et âme pour lui construire un avenir meilleur. Elle ne méritait pas cette vie, sa belle princesse. Il se relâcha un peu et déposa la tresse sous l’oreiller qui serait le sien jusqu’à ce que toutes ces enflures soient remises à leur juste place. Demain, il la prendra avec lui dans la poche intérieure de sa veste, près de son cœur. Peut-être qu’elle lui portera chance pour son premier entrainement ici et pour les nombreuses batailles qui l’attendaient.
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- Votre formation prend fin aujourd’hui, vous êtes donc à partir de ce jour et pour minimum vos vingt prochaines années des Pacificateurs. En tant que tels, le gouvernement attend de vous que vous fassiez respecter l’ordre, ainsi que…
Perdu dans les rangs ordonnés de ses nombreux camarades Pacificateurs, Alexeï écoute attentivement son supérieur énoncer son discours. Il n’a jamais été aussi fier qu’à ce moment, ou tout du moins lui semble-t-il. Sa mémoire lui jouait un peu des tours ces temps-ci. Mais ce qu’il était sûr, c’est du pourquoi du comment il était arrivé ici, à cet instant. Il avait quitté le douze pour le treize, pensant que cela serait la solution ultime pour vaincre le Capitole et tout ce qui s’y rattachait… « Connerie. » La misère de son district natal l’avait aveuglé. C’est lors d’une mission que des Pacificateurs l’ont sauvé et lui ont ouvert les yeux. Il était accompagné de Gaëlle, une amie du même âge que sa sœur Prunille, qu’il connaissait depuis sa naissance. Il ne l’avait plus vue depuis qu’il était parti du douze, mais elle avait rejoint le treize et ils étaient devenus coéquipiers. Ou plutôt, elle faisait partie de cette organisation de rebelles, de mécréants, qui ont réussi à lui retourner l’esprit. C’est à cause d’eux, de toutes les personnes se révoltant, qu’il s’était écarté du droit chemin. Pendant cette mission avec Gaelle, des soldats du Capitole les ont pris en embuscade. Pour sauver la vie de son amie, il ne s’était pas débattu, se laissant capturer et laissant donc le temps à la jeune fille de s’enfuir. Il allait fuir lui aussi, il était l’un des meilleurs et il le sait, ce n’est pas quelques pions qui l’auraient… Sauf qu’il s’est avéré que ces Pacificateurs l’avaient sauvé. Ils l’ont emmené et lui ont fait voir clair, pour la première fois de sa piètre vie. Le Capitole n’est pas ce qu’il avait toujours cru, tout était bien plus beau. Alors que les couleurs vives explosant dans ses pupilles l’irritaient au plus haut point il y a quelques temps, elles lui semblaient à présent magnifiques, éblouissantes. Alors que les jeux lui semblaient barbares et inutiles, il comprenait maintenant qu’ils étaient nécessaires au bon fonctionnement de Panem, ils montraient l’exemple. Ce qu’il s’est passé après cet évènement, il ne s’en souvient pas très bien. Quoi qu’il en soit, il décida de devenir Pacificateur à son tour afin de porter la bonne parole du Capitole dans tous les districts. La formation durait deux ans, mais ils lui ont permis de la suivre en accéléré en une année. Manier une arme, se battre, il savait déjà le faire, depuis plusieurs années maintenant. Il lui fallait néanmoins apprendre de nombreuses choses, comme le bon comportement à adopter, les déroulements des missions qui n’étaient absolument pas les mêmes qu’au treize… Il apprit assez vite car il était sûr de ce qu’il voulait, complètement persuader de ses convictions, de son amour et admiration pour le capitole. Il leva les yeux vers son supérieur, toujours en train de parler. Il énonçait les noms des soldats ainsi que le district auxquels ils étaient affectés.
- […] Pritchard Alexeï Samaël : Capitole. […]
Une joie intense l’envahit. Le Capitole. Le Capitole !
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Tout cela, c’est la réalité que voyait Alexeï Pritchard. Mais la vérité était tout autre. Ce jour-là, les autorités l’ont capturé et l’ont emmené sans qu’il puisse faire quoi que ce soit : il s’est retrouvé seul contre un nombre incalculables de soldats. Suite à cela, Alexeï a subit un lavage de cerveau tout comme bon nombre de rebelles et habitants capturés à cette époque. Panem manquait de soldats et usait de tous les moyens possibles pour en recruter. Ils allèrent même jusqu’à aller chercher chez leurs ennemis, les rebelles, pour renflouer les rangs, enchaînant lavage sur lavage de cerveaux. Et Alex n’y a pas échappé. Depuis, sa mémoire défaillait mais il était persuadé avoir été trompé par les rebelles et que le Capitole était le meilleur endroit au monde. Il ne voyait que par ça, chantait les louanges du gouvernement et se dévouait corps et âme à son nouveau métier de Pacificateur. Néanmoins, une seule chose n’avait pas changé depuis son arrivé au treize à maintenant : son obsession pour Prunille. Il n’a pas eu l’occasion de retourner au douze, le temps lui a manqué… Mais il n’a jamais perdu la tresse que sa sœur lui a laissé, la gardant toujours près de lui. Il s’est juré de la revoir un jour et de la ramener avec lui au Capitole, afin qu’elle voit la beauté de cette ville, qu’elle pense comme lui. Il fallait qu’il la sorte de la misère et qu’elle vive cette vie qui le faisait tant rêver… Sachant très bien que ça n’allait pas être facile, il ferait tout pour.
Alexeï Pritchard passa quelques semaines au Capitole, le temps des 79th Hunger Games. Un fois terminés et la tournée du vainqueur commencée, il fut muté au district douze… L’occasion de revoir enfin sa sœur après quatre longue années passées loin d’elle.
reality is here.
Ahh trop de quesions c'est la paniiiique Alors bonjour bonsoir ! Je m'appelle Pauline mais mon pseudo est Again. Je viens de ce beau pays qu'est la Belgique (gaufres, chocolat, frites et bières forever ) et j'ai 19 ans. Alors non je n'ai pas lu les livres mais j'ai vu les films... J'avoue, c'est de la pure fainéantise Voilà merci de votre lecture LE BISOU FEATURING MAX THIERIOT© COPYRIGHT frostingpeetaswounds.tumblr
Dernière édition par Alexei S. Pritchard le Lun 13 Fév - 21:59, édité 3 fois |
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