gordan eliott lockwood

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

➺ COMMENT VOIS-TU TA MORT ?

J'aimerais mourir en héro et je sais que c'est idiot mais c'est une fantaisie dans laquelle je me réconforte. Mort au combat, en sauvant des vies, ma famille probablement. Je ne sais trop! Je veux une mort rapide, indolore. Je veux d'une mort significative, qui restera gravée dans l'histoire car après tout, nous voulons tous laisser notre trace dans l'histoire de la vie n'est-ce pas? Ou bien j'aimerais probablement mourir de mes vieux jours. Mourir dans un sommeil paisible, dans mon lit, alors que je m'y attendrai mais pas tout à fait. Peut-être même accompagné de Prue' on sait jamais? la vérité c'est que j'ai un peu peur de la mort, plus que n'importe qui d'ailleurs et je sais bien qu'elle me guette plus que n'importe quel individus puisque j'ai rejoint les rangs des rebelles et que je ne peux plus faire marche arrière.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Malheureusement oui. Ma petite soeur, Julianna. Je me rappelle encore du moment où son nom a été tiré. Je me souviens du bruit infernal du micro. Un seul prénom, et cela fichait une famille en l'air. J'ai refusé de les regarder, d'ailleurs je ne les ai jamais regardé. Je ne voulais pas la voir la mort de ma soeur en live. Quatorze ans. Elle n'avait aucune chance. Nous n'avions aucune aptitude guerrière dans la famille. J'étais déjà désemparé à l'annonce de son nom, je le fus d'autant plus lorsqu'elle me fut arraché de mes doigts. J'Ai cependant eu le temps de lui dire de rester forte, de lui dire que je l'aimais. Avant qu'un pacificateur l'amène loin de nous et ce fut la dernière fois que je la vis.. vivante. Elle fut l'une des premières à se faire attaquer par un autre élu. La première à périr de ces jeux barbares.

QUE PENSES-TU DE LA RÉVOLTE ÉCHOUÉE ET DES REBELLES ?

 Au départ, je comprenais leur cause mais je préférais m'en ternir éloigné. On voyait tous le sort que réservait le gouvernement de Panem pour ceux qui osait les défier.Alors comme tous, j'essayais juste de mener une existence paisible. Mais quand Julianna fut tirée au sort pour les hunger games, j'ai vu noir, rouge, ou qu'importe la nuance de couleur sombre qui vous passe dans l'esprit. Je devais agir. Changer les choses. EN SON NOM. Oui , voilà, c'était pour elle que je m'étais rallié à leur cause. Pour elle que je les ai rejoint. Bien évidemment, depuis ma récente histoire amoureuse, je me demande si j'ai fait le bon choix mais après réflexion, je préfère encore essayer de me battre contre eux que d'attendre qu'on nous soutire nos pauvres âmes. Parce qu'on se le dise bien, c'est tout ce qu'il nous reste. La révolte échouée? Qui dit qu'elle est échouée? On en fabriquera toujours une nouvelle... parce qu'on a le feu ardent en nous, parce qu'on a le désir de vengeance. Parce qu'on finira par être plus nombreux qu'eux. On renversera le gouvernement, le capitole, un jour!

➺ COMMENT QUALIFIERAIS-TU TA VIE DANS TON DISTRICT ? EN ES-TU SATISFAIT ?

 La vie dans le district douze ? Vous rigolez ? Je veux dire.... On a plus rien. Ni nourriture, ni argent, ni structures, ni vie décente. On a rien du tout et on essaie encore de tout nous enlever. On essaie de nous briser. Enfin je dis on, mais c'est plutôt eux. Donc, ouais, hum la vie dans le district douze est tout sauf calme et paisible. Je ne souhaite à personne de vivre pareil misère mais au moins nous on se sert les coudes et on s'entraide. Au moins on est tous - pour la plupart du moins - des gens simples et généreux. C'est tout con qu'on soit généreux parce qu'en fait on ne possède plus rien dans ce bas monde mais bon.... dès que quelqu'un a un souci, on essaie tous d'aider. On forme une belle communauté. Le capitole devrait nous envier et bien sûr ils ne le font pas. On est laissés pour compte voyez. Pour eux, on est juste des rats, les rejets de la société. On ne mérite rien.

➺ SERAIS-TU CAPABLE DE TUER POUR PARVENIR A TES FINS ?

Je ne tue jamais en vain sans but précis. Enfin je dis cela, je pense plutôt que je ne le ferai jamais en vain. Je n'ai jamais tué, bien que l'envie s'est fait ressentir plus d'une fois envers le gouvernement en place. Je sais qu'en prenant part aux rebelles, les risques que je doive éliminer quelqu'un qui me barre la route est bien là mais je sais que je ferai le bon choix au moment voulu. Jamais je n'enlèverai une vie pour rien. Parce que si je deviens comme ça, comme eux, je ne vaudrais plus grand chose. Et aussi parce que ma petite soeur qui me regarde de là-haut ressentirait la honte et le désespoir et ce n'est pas vraiment ce que je veux. AU fond, je suis pacifique mais pour combien de temps encore?

JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé..., AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la légende.... DU COUP, MON NOM A beaucoup  de CHANCES/RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE minier ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'e n'aime pas.... JE SUIS DANS LE 12ÈME DISTRICT. AYANT vingt-six ans JE ne peux plus PARTICIPE(R) AUX HUNGER GAMES ET j'en suis bien heureux. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

tell us your story.

Citation :

PROPOSITION 2:

Citation :

04. Vous êtes arrêtés par les pacificateurs dans la rue pour un contrôle de routine mais vous avez quelque chose à vous reprochez (rebelle, petit délit...). Il n'y a personne d'autre puisque le couvre-feu est dans quelques minutes. Vous jouez les innocents naïfs en espérant qu'ils ne cherchent pas plus loin ? Vous fuyez ? Vous les combattez quitte à commettre l'irréparable ?

Noir. Noir de Jais. Noir charbon.Noir corbeau. J'en voyais de toutes les nuances de noir dans cette mine de malheur. Noir sur le bout de mes grands doigts de géant.Noir sur la peau de mes joues. La suie, bien crayeuse me donnaient des apparences de clochard. Que j'y pense bien, nous étions tous des clochards ici, dans le district douze... Faute de ne pas avoir le luxe des habitants du capitole et des districts à proximité, nous devions nous démerder avec le peu que nous avions. Travailler, à la sueur de notre front n'était qu'une des illustres choses qui nous rendaient sales à leurs yeux. Tout ça était de leur faute. Et comme pour couronner le tout, les pacificateurs n'aidaient en rien à calmer les ardeurs des rebelles, bien au contraire.  En rentrant à la maison, je m'empresse d'embrasser ma mère en maudissant le fait que je doive travailler pour des miettes « Tu devrais arrêter de penser à tout ça » me susurrait doucement ma mère quand elle voyait l'animosité animer mon regard habituellement doux et docile. Ma mère, cette petite femme toute menue... Les gens peinaient à s'imaginer que je sois sorti de son utérus tant notre différence de taille était visible.Je ne retenais pas d'elle, du moins pas physiquement sauf des yeux. Les gens disaient que j'avais ses yeux.  Pour tout le reste, j'étais le vrai portrait de mon père. Je souris, parce que je souris toujours à ma mère même quand le monde est en train de s'écrouler « Je ne peux pas tu le sais bien maman » J'aurais voulu lui donner plus. Plus que que je ne le pouvais d'ailleurs. Dans mes prunelles azurées, on pouvait y lire la tristesse. L'incapacité de pouvoir offrir plus à ma famille me rendait fou. Mais ce qui m'avait fait comprendre que cette misère suffisait, c'était la mort de Julianna dans les jeux de la faim. J'ai eu une soudaine prise de conscience : je ne pouvais plus laisser les choses couler et faire l'autruche . Je voulais faire bouger les choses. Et je me suis engagé chez les rebelles, tel un soldat pour soulever une révolte qui affaiblirait le capitole.

Mais pendre part à la rébellion engendre certains risques. J'étais évidemment constamment sur mes gardes, notamment ce soir-là, alors que j'étais sorti pour aller voir Prue comme je le faisais souvent, bien après le couvre-feu parce que je m'en fichais. Allez donc savoir comment j'avais trouvé le moyen de ne jamais me faire pincer. Mais ce soir-là, je manquai de chance.  « Bonne soirée Prue' » lui avais-je alors soufflé en me glissant tel un chat à travers la fenêtre. C'était un peu ma marque, de passer par la fenêtre de sa chambre plutôt que par la porte. C'était comme ça qu'on s'était liés plus profondément, elle et moi. Pourquoi faire comme tout le monde quand on pouvait être uniques? Telle était ma devise. Le couvre-feu était sonné depuis quelques minutes déjà et pour ne pas inquiéter ma mère, je devais rentrer bientôt.  Mais j'aimais passer du temps infini avec Prue' ma meilleure amie. Ouais. Vous pouvez le penser je suis dans la friendzone depuis un bout de temps déjà. Parce que ouais, je l'aime. Plus qu'une amie, plus qu'une soeur. Je l'aime d'amour. Mais qu'est-ce que je pouvais y faire? Elle avait un mec, une vie, elle avait pas besoin d'un rebelle non plus. Je me tenais donc à carreau tout en passant des soirées comme celles-ci à ses côtés, nourrissant l'espoir qu'un bon jour elle et moi serions plus. J'étais idiot, je le savais et pourtant! pourtant, ça ne m'empêchait pas de revenir bon sang! ET de risquer de me faire pincer pour ne pas avoir respecter le foutu règlement. J'arpentais une ruelle quand je vis dabord les silhouettes de pacificateurs. Je savais que c'était  ça. Ça ne pouvait être autrement puisqu'il n'y avait qu'un abruti tel que moi pour errer dans les rues à une heure pareille. Je pensais dabord m'en sortir en me tapissant contre le mur, croyant qu'ils passeraient droit devant sans remarquer ma présence. Sauf que je heurtai bruyamment une vieille conserve. La seconde d'après j'avais la lumière aveuglante de leur lampe-torche dans les yeux, me brûlant dès lors les cornées . Instinctivement je portai les mains devant le visage pour me cacher de cette dite lumière et l'un deux m'interrogea « Hey toi, qu'est-ce que tu fais là! Tu n'es pas autorisé à te promener après le couvre-feu » Mon esprit bouillonnait, je ne savais pas quoi répondre sur le coup. Pourtant  je n'avais fait que rendre visite à mon amie. J'aurais pu sagement lui raconter cette version de l'histoire. Pourtant, quand je voyais un pacificateur je n'avais qu'une envie : m'enfuir loin très loin. Pas parce que j'avais peur d'eux. Non .. non. J'avais peur plutôt de ce que je pourrais leur faire. Parce que j'avais peut-être l'air d'un vieux sage, quand je croisais quelqu'un qui se rapprochait du capitole, je n'avais pas des idées joyeuses.

« J'étais en route pour chez moi, allons les gars...Ça ne fait que cinq petite minutes » disais-je lâchement d'un ton neutre. Je ne vouais aucune estime pour ces petits clébards du capitole, d'ailleurs je ne remarquai même pas qu'inconsciemment ma lèvre supérieure avait remonté pour laisser apparaître mes canines blanches immaculées. «Fouille-le, Sam. » Merde. J'avais pourtant rien fait ( pas encore) Je lève donc les mains en l'air et je coopère, que vouliez-vous que je fasse d'autre? Le dit " Sam " se hâte, ça se voit qu'il débute , ses  mains tremblent comme des feuilles. D'ailleurs ça m'amusait un peu, je laissai échapper un sifflement amusé, un espèce de rire camouflé.L'autre semble ne pas me trouver très drôle. Il me regarde d'un oeil sévère. « C'est bon t'as trouvé ce que tu cherchais » soufflais-je alors qu'il tapotait le moindre centimètre de mon corps à la recherche d'une arme, d'une pièce compromettante ou je ne sais quoi. Mais je ne trimbalais pas mes armes pour aller cher Prue, hein! Et donc, je n'avais strictement rien à me reprocher. Sam laissa longuement retombé ses bras, je pouvais même lire la déception sur son visage. Ça m'amusait tellement. Mais je ne le laissai pas paraître. Parce que je serais dans la merde si je le ferais. « Je peux rentrer chez moi ou bien? » demandais-je donc en arquant les sourcils sans quitter le plus expérimenté des deux d'une pupille défiante. Ce dernier me fit signe de poursuivre mon chemin et intérieurement je remercier le bon Dieu, enfin s'il m'écoutait encore parce qu'il faut bien se le dire, il ne semble franchement écouter à ma porte ces derniers temps....Bref. Je n'hésitai pas un seul instant à emboîter le pas pour rentrer au bercail. Le teint blafard de ma mère témoignait de son inquiétude et je me sentis quelque peu coupable de mon insouciante. J'embrassai celle qui m'a fait voir le jour d'un baiser du bout des lèvres sur son front perlé par la sueur du stress que je lui avais occasionné. « Désolé maman, j'ai oublié l'heure » J'avais aussi oublié à quel point je n'étais pas le seul affecté par la mort de ma soeur Julianna il y a deux ans déjà. Que chaque soir ma mère priait pour que nous soyons tous sauvés de la mort, moi , ma soeur et mes deux frères; les survivants d'une fratrie de sept membres. J'avais oublié et j'en avais ressenti une curieuse honte. Ma mère me caressa doucement la joue du bout des doigts. Elle était si petite....Je lui souris une dernière fois ce soir-là avant d'aller me coucher, complètement exténué. Demain était un autre jour, qui ressemblait peut-être un peu moins à hier, un peu plus à aujourd'hui. J'avais déjà hâte de revoir Prue. Je m'endormais en revoyant son visage une dernière fois, ses mimiques, son rire, son sourire me hanterait jusqu'à ma mort. J'en étais presque sûr.

Gaëlle Y. Edreen a écrit:

Perfect amitié, moi je dis
Go²

Tout ça juste pour te souhaiter une nouvelle fois la bienvenue
Bon courage pour ta fiche

(Prue, si tu lis ça, aucune raison d'être jalouse, j'ai un fiancé et un fils )

Tu viens d'être validé(e), mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent.

Pour commencer, pour les vainqueurs et les membres ayant des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Si tu fais partie des potentiels tributs, va inscrire ton personnage dans les registres ici. Il faudra ensuite que tu recenses le métier de ton personnage ici. Si ton personnage est de la famille du maire de son district, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence. Il est tout à fait possible que ton bonhomme soit un rebelle. Nous avons mis en place un registre avec leur hiérarchie. Tu le trouvera ici.
Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici.
N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici.
Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay