Prunille Dee Pritchard

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

➺ COMMENT VOIS-TU TA MORT ?

Rapide et indolore. C'est tout ce que je demande. Je me fiche de quand, de où ou de comment. Tout ce que je veux c'est que ce soit rapide. Je n'aime pas souffrir et j'espère que je n'aurais pas mal le jour où ça arrivera. Je crois que l'idéal pour moi, ce serait de mourir allongée au milieu d'un champs un soir d'été. J'apprécierai de sentir le vent chaud sur ma peau et le soleil réchauffer mon coeur mourant. Je crois que ce serait la plus belle mort qui existe. Au moins, j'aurai une belle vision avant de m'éteindre.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Pour mes proches. Pour les gens que j'aime. Mais je ne sais pas si ce serait très utile. en fait, je ne voudrais pas qu'on meurt pour moi alors je suppose qu'ils ne voudraient pas que je meurs pour eux. La mort amène la tristesse. Mais si vraiment je n'ai pas d'autre choix, alors oui, je prendrais mon sacrifice pour sauver mes proches. Si je le peux bien sur. Et je crois que je pourrais mourir pour ma liberté. Pour la liberté de tous en vérité. Mais, peut être que je suis trop terre à terre pour ça. Je veux dire, si je meurs, je ne pourrais plus me battre. Enfin, je me comprend...

➺ QUEL(S) PETIT(S) PLUS T'AIDE(NT) DANS LA VIE (OU LES JEUX) ?

Alors, pour commencer, je dirais que la persuasion est un plus dans ma vie. Pas que je sois menteuse, au contraire. Mais si c'est pour la bonne cause, alors oui, je n'hésiterais pas à mentir mais surtout à être convaincante dans ce que je dis. Après tout, c'est pour la bonne cause non?
Et puis ensuite, je dirais que je suis assez rapide et souple. Ça c'est grâce à des années de travail dans les mines. Il faut savoir courir vite pour échapper à un éboulement ou une patrouille de pacificateurs quand on se promène dans les rues après le couvre feu. Pas que je le fasse souvent mais parfois ça m'arrive. Enfin, ça reste très rare malgré tout!

➺ COMMENT QUALIFIERAIS-TU TA VIE DANS TON DISTRICT ? EN ES-TU SATISFAIT ?

Satisfaite?! J'espère que c'est une blague. C'est quand même le district le plus pauvre de Panem!! Donc non, je ne suis pas du tout satisfaite de la vie dans mon district. Ils ont déjà tout prit, on a vraiment plus rien dans ce district. Ils nous ont tout prit. Mais il ne prendront jamais notre liberté de penser. Et encore heureux qu'il nous reste au moins ça. Mais s'ils viennent à apprendre qu'on pense par nous même, ils seraient capable d'inventer une connerie pour nous empêcher de penser à note guise. Enfin, tant que ça n'arrive pas, ça me va. Autant rester discret sur ce point!

➺ CROIS-TU AU BONHEUR ?

Hum... C'est difficile à dire. Mais en fait, je crois que je suis déjà heureuse. Enfin, c'est vrai que je pourrais avoir une vie mieux que celle là mais pourquoi vouloir plus quand on a déjà le bonheur? Je ne sais pas, c'est étrange à expliquer mais il suffit qu'une seule personne soit présente dans notre vie pour la rendre belle malgré tout ce qui s'y passe. Et puis, je dois avouer que... La maison n'est pas une place mais une personne pourrait être transformé en "Le bonheur n'est pas matériel mais une personne". Enfin, non peut être pas, c'est étrange dis comme ça. Mais je dois avouer que... même si le temps est gris, le soleil réside toujours dans mon coeur.

JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la légende. DU COUP, MON NOM A beaucoup trop de CHANCES/RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE infirmière ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime ce que je fais. JE SUIS DANS LE treizièmeÈME DISTRICT. AYANT 22 ans JE ne peux plus PARTICIPE(R) AUX HUNGER GAMES ET j'en suis bien ravie d'avoir échappée à tous  ça. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

tell us your story.

PROPOSITION 2: 01. Une révolte se profile dans votre district. Vous n'en faites pas partie mais vous démasquez un rebelle dans la rue, un soir après le couvre-feu, alors que vous sortez de chez vous quelques secondes. Une patrouille de pacificateurs est sur le point de passer devant votre habitation et de le découvrir. Que faites- vous ? Vous le dénoncez ? Vous l'aidez ? Vous ne faites rien ?

« Quel froid glacial ce soir !!! » L'oncle hocha lentement le visage, chaudement installé près de la cheminée. La tante dormait déjà. Prunille venait de terminer une lessive et se dirigeait vers la porte d'entrée pour jeter l'eau dehors, sur le côté de la maison. Pas besoin d'aller geler les marches en plus de la neige. Faisant une légère moue, la brunette jeta un châle sur ses épaules, vérifiant par la fenêtre que rien ni personne ne viendrait l'embêter. Par rien ni personne, elle entendait surtout une patrouille. Eux, pour n'importe quelle raison ils pouvaient lui lancer des reproches uniquement parce qu'elle avait mis le nez dehors. « Ne traine pas ! » La voix de son oncle fit tourner le visage de Prunille vers lui, hochant mollement son visage. Bien sûr qu'elle n'allait pas trainer. Ouvrant la porte, la jeune fille sortit rapidement pour se diriger vers le côté de sa maison. Mais alors qu'elle allait balancer le contenu de sa bassin, une ombre la fit sursauter. Assurément, quelqu'un se planquait là, entre les deux maisons, tapis dans l'ombre nocturne.

Prunille balança le contenu de sa bassine avant de tendre le cou pour voir de quoi il s'agissait. Peut être un chat ou un chien. Elle ne savait pas trop à quoi s'attendre. Il n'empêche que s'il s'agissait d'un animal errant, elle devait le chasser pour qu'il évite de fouiller les poubelles et mette le bazar. Prunille s'avança alors doucement, prudemment. Elle ne savait pas vraiment à quoi s'attendre au final. Mais alors qu'elle entendit du bruit, Prunille leva sa bassine, prête à frapper ce qu'elle allait découvrir. C'est alors qu'une tête apparut. Un jeune homme de son âge ou un peu plus âgé, leva les mains comme pour lui montrer qu'il ne lui ferait rien. Prunille cligna doucement des yeux, l'observant, sa bassine levée au dessus de sa tête. « Je suis désolé... Je ne veux rien te faire... » Prunille observa le garçon avant de baisser la bassine doucement. Plus elle l'observait et plus elle se rendait compte qu'elle le connaissait. Elle se souvenait d'une moisson où sa petite sœur à lui avait été choisit. Elle n'était jamais revenue des jeux. Prunille le savait. Prunille savait ce que ça faisait de perdre quelqu'un dans les jeux. Qui ne le savait pas ici ? Pinçant doucement les lèvres, Prunille finit par totalement baisser sa garde. « Je te connais... Tu t'appelles Gordan... » Le dénommé Gordan hocha doucement son visage. Mais alors qu'il allait lui parler à nouveau, les bruits d'une patrouille approchant coupèrent court à la conversation. Remarquant alors l'air affolé et désabusé de Gordan, Prunille comprit rapidement qu'il faisait parti des rebelles. Mais peut être qu'elle l'avait compris depuis longtemps ça. Prunille tourna doucement son visage vers la rue, sachant parfaitement que si la patrouille la trouvait dehors, ils verraient aussi Gordan.

La jeune femme reposa son regard sur Gordan. Le jeune homme la fixait comme s'il craignait qu'elle le dénonce. Tournant rapidement les talons, Prunille s'empressa de rentrer chez elle, abandonnant Gordan à son sort. Peut être pas finalement. Elle entra dans la maison au moment où la patrouille s'engageait dans sa rue. Verrouillant dans son dos, la petite brune se dépêcha de filer vers sa chambre. À la hâte, elle ouvrit la fenêtre puis les volets, manquant d'assommer le garçon qui  n'avait pas bougé. Sans attendre, Prunille l'invita à entrer dans sa chambre, le pressant pour qu'il s'active. Le pauvre était grand et costaud et pas souple pour un sou. Prunille l'aida à entrer avant de fermer rapidement les volets et la fenêtre. Puis, elle le poussa sous son lit et finit par s'installer dessus alors que son oncle vint lui souhaiter bonne nuit. Prunille entendait la patrouille passer devant chez elle. Son estomac se serra alors qu'elle sentit une sueur froide. Sa chambre était tellement silencieuse et Prunille était tellement anxieuse à ce que la patrouille découvre ce qu'elle faisait que tous les sons ambiants lui semblaient être multipliés par dix. Enfin, lorsqu'elle fut assurée que la patrouille avait passé son chemin, Prunille attendit encore un long moment avant de laisser Gordan sortir de sa cachette. Le grand garçon frotta doucement ses vêtements alors que Prunille l'observait. « Merci... Je te revaudrai ça... » Gordan ouvrit doucement la fenêtre et le volet, s'apprêtant à sortir. Prunille le retint doucement et lui sourit. « Fais attention en repartant Gordan... Te fais pas prendre ! » Gordan l'observa un court instant avant de sourire et de hocher la tête. « Je ferais attention... Merci Prue... » Alors qu'il quittait la maison, Prunille sentit le feu envahir doucement ses joues. Alors comme ça, le beau garçon connaissait son prénom. Prunille ne se sentit que plus fière de lui avoir sauvé la vie.

Tu viens d'être validé(e), mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent.

Pour commencer, pour les vainqueurs et les membres ayant des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Si tu fais partie des potentiels tributs, va inscrire ton personnage dans les registres ici. Il faudra ensuite que tu recenses le métier de ton personnage ici. Si ton personnage est de la famille du maire de son district, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence. Il est tout à fait possible que ton bonhomme soit un rebelle. Nous avons mis en place un registre avec leur hiérarchie. Tu le trouvera ici.
Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici.
N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici.
Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay