| Sujet: ► « Tu veux devenir ma maman ? » Mar 22 Juil - 11:15 | |
| Oscar Hidden Barry❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Il a pour nom Barry et se prénomme Oscar. Né il y a 12 ans dans le District 3, le garçon est donc appelé à remplacer son père mécanicien ; même s'il devra apprendre le métier auprès de quelqu'un d'autre puisque « papa a été tué ».
« Je trouve rigolo que mon père ait autant soutenu le régime qui l'a liquidé. À vrai dire, nous n'avons aucune opinion politique dans la maison Barry : nous soutenons le parti qui nous donne à manger et n'avons d'autre objectif que de nous remplir le ventre et les poches ; qu'importe le moyen. En cela, vous pouvez penser à raison que nous sommes très opportunistes : avoir des idéaux est l'occupation des gens qui s'ennuient ; et si les rebelles avaient gagné il y a 75 ans, nous aurions été les premiers à applaudir aux décisions tout aussi stupides de ceux que nous haïssons aujourd'hui ».
Pourtant, si l'homme a été fait d'argile, le jeune Oscar provient du sucre : « je suis un petit garçon doux, une friandise de chair ! » - sa vue suffit à fondre le cœur des autres mamans, et même les hommes les plus vulgaires se sentent une mission de le protéger. À vrai dire, sa seule arme pour survivre se trouve dans son physique et sa jeunesse ; « je l'ai compris très vite » ; et qu'importe qu'on le cible dès le début des prochains Jeux, car il aura autant de soutiens que de chasseurs. Avoir quelques atouts semblables lorsque l'on est incapable de tenir une arme ou de courir longtemps n'est jamais de trop.
Tout dans son apparence attire les caresses ou la pitié. Néanmoins, ses atouts dévoilent parfois ses intentions secrètes ; comme lorsque les deux joyaux incrustés dans ses yeux – et que lui a légué sa mère – inspirent la peur et non plus seulement la naïveté joviale d'un garçonnet de 12 ans. Oui ; il y a une petite quantité d'horreur en Oscar, si bien qu'il lui arrive parfois d'oublier son rôle victimaire pour celui de tribut potentiellement dangereux. Une Faim, d'une autre nature, et étrangère à la seule volonté de croquer, s'éveille de plus en plus en lui, le pousse parfois à des pensées vicieuses, et tord les traits harmonieux de son visage pour les rendre inquiétants.
Bref ; même si ses éventuels assassins avaient le cœur verrouillé à l’innocence de son physique, et quand bien même ils ne souffriraient pas l'horreur de commettre un infanticide, ils se diront, en plongeant la lame ou les instruments de mort quelconques qu'ils trouveront au sol, et en regardant une dernière fois la lueur du jour vibrer dans ses rétines désormais inertes : « Quel gâchis ! » Alors, peut-être regretteront-ils d'avoir mis en pièces un ouvrage que la Nature confectionne une fois par siècle. about games and relative.
➺ COMMENT VOIS-TU TA MORT ? Oscar l'espère la moins douloureuse possible. Dans le secret des couvertures, il s'imagine tué dans son sommeil ; et même lorsque l'hypothèse d'un trépas si doux attise son espérance, il lui vient soudain des pensées absurdes sur l'instant qui suit la mise-à-mort ; et l'angoisse du rien revient plus grande. « Mais au moins, j'en aurais terminé avec tout ça ». Le système politique arrive même à user des garçons de 12 ans, à distiller dans les cerveaux l'idée de pouvoir disparaître si jeune dans les plus horribles conditions, et à ne leur inspirer aucun regret - mais même une délivrance – lorsqu'il s'agit de mourir. « J'en viens à m'étonner que le taux de suicide soit si bas, alors que tout semble opéré pour que nous nous jetions en famille au bout de plusieurs câbles ! » Le district serait alors recouvert de guirlandes d'ingénieurs et de génies suspendus, les bras et les pieds lourds, le regard tombant comme eux vers le sol avec, au milieu des pendus, la petite ombre inerte d'un garçonnet soulagé de « quitter la douleur quotidienne ». Voilà comment Oscar observe sa mort : la tentative d'ouvrir la dernière porte que le pouvoir ne peut verrouiller ; peu importe qu'elle ouvre sur un écran noir pour toujours ou sur un placard à balais.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDEDANS LA VIE (OU LES JEUX) ? Les précédents Jeux ont montré que des animaux prétendants au titre d'homme n'avaient aucune pitié à massacrer des enfants de son âge ; mais tant pis si la jeunesse et l'innocence ne sont pas un atout contre tous ses adversaires – à l'évidence, Oscar n'imaginait pas gagner en clignant quelques fois des yeux ou en se laissant abuser par des protecteurs plus grands. Non ; le jeune Barry a un atout : il possède l'oreille d'or ; nul ne sait d'où lui vient un tel avantage – peut-être l'exposition à la musique permanente des usines ou des réacteurs technologiques, ajoutée à une prédisposition naturelle du cerveau ? Qu'importe ! Son père vit là un héritage de son propre génie et de ses talents cachés ; il l'obligea à développer son don, si bien qu'Oscar sait désormais reconnaître le chant d'un animal à celui d'une reconstitution numérique, ou bien deviner la distance d'une masse provoquant un bruit dans sa chute. De même, sa précocité intellectuelle et ses rapports nombreux aux machines lui ont permis de développer une aisance d'ordinateur pour tous les calculs pratiques de l'ingénierie. Aussi parvient-il à deviner la vitesse, les distances parcourues et le temps nécessaire après quelques secondes de réflexion. Les carrières de son âge s'exercent par des pompes ; lui par des devinettes, assis dans la rue, regardant les machines et les passants ; et voyant, derrière eux, quantité de chiffres et de figures géométriques dans une perpétuelle mutation.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? Le père d'Oscar, désireux de jouir d'une année de nourriture gratuite, d'accéder au village des vainqueurs, d'y vivre sans travail ni obligation et de bénéficier des retombées d'une gloire qu'il n'aurait jamais pu acquérir par la médiocrité de ses vertu guerrières, consacra sa vie à avoir beaucoup de garçons vigoureux « comme lui » puis à les former en secret de sorte qu'ils se portassent volontaires aux différentes Moissons, avec la certitude imbécile que l'un d'eux, un jour, gagnerait. Imaginez sa tête lorsque le médecin lui annonça que le résultat de sa dernière jouissance était rachitique, dépourvu de toute constitution physique et mourant dans son berceau ! D'ailleurs, Oscar pensa naïvement que sa faiblesse physique lui permettrait d'échapper au projet paternel ; mais son père le paria aussi, comme on donne ses derniers centimes avec l'espoir vain de tout rafler in extremis ; et la découverte de ses dons intellectuels acheva de lui faire oublier la mort de ses aînés et de la sœur qu'Oscar affectionnait tant.
➺ SERAIS-TU CAPABLE DE TUER POUR PARVENIR A TES FINS ? Même si Oscar avait disposé des arguments physiques pour vaincre, il aurait été incapable de tuer directement. Sa préférence serait allée aux poisons, à des morts douces et discrètes ; il aurait glissé quelques baies dans un repas et se serait aussitôt éloigné pour ne pas assister à l'horreur d'un trépas. Néanmoins, le garçonnet reste encore trop ignorant des ressources bestiales dissimulées dans l'homme pour savoir si il pourrait ou non approcher voire piller un corps. En effet, apercevoir un cadavre, ou pire : le sentir, risquerait de lui infliger des sévices mentaux proches de l'évanouissement. Aussi, Oscar ne se sent pas prêt à tuer, même en lâche – le meurtre lâche restant une option d'ultime secours. Il déléguera donc les mises-à-mort à d'autres, quitte à abandonner une cible par terre après l'avoir endormi ou blessé aux jambes pour qu'un passant quelconque ait la tâche de soustraire une vie du monde, et de damner la sienne.
➺ A QUOI ASPIRES-TU LE PLUS DANS LA VIE ? Tout Barry désire la richesse et l'abondance des biens les plus inutiles. Il suffirait d'observer la jalousie du père pour constater qu'il n'aurait jamais été plus heureux qu'en montrant son opulence au village, et en marchant, au milieu de ses voisins, dans des vêtements richement décorés, avec la prétention d'appartenir désormais au monde d'au-dessus, de tutoyer le président ou d'avoir de nombreux amis hauts-placés. Quant à Oscar, il ne veut que la prospérité économique, étant un jeune garçon. Mais plus profondément, il veut la vie avec toutes les saveurs qu'elle offre, quitte à mettre sa vie dans la balance. « Il faut naître dans la misère pour comprendre un tel choix. Nous n'avons rien à perdre. Je ne comprends même pas pourquoi tout le monde ne se porte pas volontaire aux Moissons. Sont-ils si heureux dans leurs usines ? Les Jeux sont presque une porte dorée pour nous, un cadeau inestimable ». Y avait-il des ascensions sociales pareilles aux nôtres dans les temps oubliés de la démocratie ?
JE VIENS D'UN MILIEU DÉFAVORISÉ ; AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE EST UNE PRÉOCCUPATION PERMANENTE. DU COUP, MON NOM A UNE VINGTAINE DE CHANCES D'ÊTRE TIRÉ AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER D'APPRENTI MÉCANICIEN ET POUR TOUT VOUS DIRE, VIVEMENT QUE JE ME BARRE LOIN. JE SUIS DANS LE TROISIÈME DISTRICT. AYANT DOUZE ANS JE PEUX PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET J'ATTENDS LA PROCHAINE MOISSON AVEC IMPATIENCE. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL VENAIT À ÊTRE TIRÉ AU SORT.
tell us your story. Le malheur de la maison Barry a toujours été d'avoir des ambitions trop grandes et des rêves inachevés. Depuis des générations qu'ils vivaient au Troisième District, pas un seul habitant du voisinage ne put donner tord à la réputation de la famille : tous les porteurs du nom de Barry étaient d'une nature jalouse et rongée par l'envie ; ils s’agrippaient à leur espérance comme pour ne pas tomber dans le vide, et avaient pour seul objectif la réalisation des rêves où la nuit les plongeait. Bien sûr, étant donné que pas un ne parvint à réaliser leur projet, on se le léguait depuis des décennies avec la certitude arrogante qu'un jour, un garçon hisserait le rang social de la maisonnée, noierait ses parents dans l'or et les biens, et – qui sait ? – ornerait leur nom d'armoiries quelconques ou de gloires inutiles. Et quand bien même la Providence inspirait parfois des sentiments de douceur à quelques uns de ses membres, jamais leur malédiction héréditaire ne s'éteignit dans les cœurs, ni dans leur descendance.
Il fallut attendre Madame Barry pour qu'une personne portât un nom si avide et une âme si bonne. Bien sûr, elle s'abandonnait aussi à des rêveries de meubles raffinés et de tables débordantes ; mais qui donc ne partageait pas de telles aspirations, ici-bas ? La misère rendait les bas-instincts légitimes. Aussi Madame Barry se maria à un homme bien plus avare qu'elle, et n'eut d'autre fonction pour le restant de ses jours que de donner la vie à des garçons. Tous les neuf mois, la maison Barry se remplissait donc d'instructions médicales, de hurlements douloureux puis de pleurs. Lorsqu'on apercevait un pénis, le père se laissait aller à l'émotion de l'événement ; mais lorsqu'il s'agissait d'une fille, il jetait un œil déçu, quittait son tabouret et classait la nouvelle venue dans la liste des personnes qu'il ignorerait à vie. Néanmoins, l'intensité que Madame Barry vouait à la procréation – ou plutôt que son mari lui imposait – diminua sa santé. Alors, la pauvre manqua de mourir lors de la délicate et sanglante mise-au-monde du petit dernier ; une sorte de minuscule squelette recouvert de peau, avec deux billes hémorragiques incrustées dans des paupières trop étroites, et des sortes de branchages humains à la place des bras.
En voyant Oscar si misérable et muet, le médecin lui donna l'espérance de vie d'une poule – (d'autant plus qu'un gallinacé n'aurait vécu que quelques secondes dans les rues du Troisième District). Oscar devait donc trouver son tombeau dans son berceau, tandis que, abandonnée dans son lit pareil à une éponge de sueur et de sang, sa mère lavait son petit corps de sanglots ; et, le tenant dans ses mains comme une idole, s'excusait religieusement, souhaitant qu'une puissance supérieure insufflât une vigueur nouvelle au garçon. Oscar trouva là son baptême ; car Madame Barry lui voua une telle passion qu'il donna tord au médecin du village et survécut, quand bien même il garda toute sa vie une santé médiocre et le dynamisme physique d'une moule sous morphine.
Élevé dans l'indifférence de son père, Oscar ne manqua néanmoins pas d'amour, ayant l'exclusivité des tendresses maternelles. Sa survie avait rendu sa santé à sa mère ; un lien unique les réunissait, et dès qu'Oscar acquérait plus de vigueur grâce à ses traitements – comme lorsqu'il parvint à quitter son fauteuil-roulant vers sa huitième année – Madame Barry se sentait apaisée, plus légère et libérée d'un poids qui, depuis des années, lui comprimait les poumons et provoquait en elle des orages tourmentés à la moindre toux de son petit. Lorsqu'Oscar acheva de quitter son physique maladif et qu'il s'éloigna pour toujours des rivages de la mort, qu'il reprit des couleurs et qu'il parvint à marcher seul, le malheureux découvrit pourquoi son père lui vouait une ignorance proche du mépris et de la haine.
Monsieur Barry violait la loi, donnant à ses aînés des leçons sportives et militaires (quoiqu'il ne sût jamais maîtriser une épée), toujours animé par la certitude qu'il était en mesure d'élever des soldats et de transmettre le maniement des armes (lui qui n'avait jamais rien su tenir qu'un tournevis). Bien sûr, les quatre garçons tinrent d'avantage leurs aptitudes physiques de leurs propres talents que des remontrances de leur père – mais il était communément admis qu'ils dussent leur musculature à leurs gênes et aux instructions qu'ils recevaient sous couvert de leur apprentissage à l'usine. Oscar n'ayant aucun potentiel, il fut relégué aux soins de sa mère ; renforçant les liens déjà religieux qui les unissaient, mais permettant au garçon de recevoir une éducation primaire, notamment dans les mathématiques et l'usage des technologies les plus pointues ; une habitude dans le Troisième District.
Son génie, d'abord incertain, décupla la passion que lui témoignait sa mère. La première année de ses leçons, il assimila toutes les équations et tous les théorèmes dans la journée ; la deuxième année, il remplaça les professeurs qu'on lui trouvait dans le voisinage, ou qui s'étaient intéressés avec une fascination d'enfant à l'intelligence d'Oscar. Nul pour tous les métiers d'usine, sa propre santé physique lui assurait néanmoins de devenir très bon mécanicien, voire ingénieur. En effet, lorsqu'il s'intéressa à l'anatomie technologique, le jeune garçon était admiré pour la douceur de ses gestes, et les soins minutieux qu'il appliquait à ses mouvements ; si bien que, au-dessus des batteries qu'il s'amusait à recomposer comme des jouets, il avait l'air d'un médecin déplaçant des organes. Ses dons mécaniques provenait sans doute de sa propre fragilité, qui lui donnait une aisance remarquable dans la maîtrise des organismes délicats, notamment numériques.
Tandis qu'il développait ses dons, les aînés des Barry périrent les uns après les autres, se portant volontaires aux Moissons sous la pression paternelle ; si bien que l'animosité qu'on vouait à leur nom diminua, notamment grâce aux mères vers qui revenaient les malheureux que la responsable du District avait pioché d'abord. Le meilleur de la fratrie arriva huitième des Jeux ; les autres ne dépassèrent pas le bain de sang, tous morts dans les positions les plus ridicules ; voire les plus sexuelles.
Et, dès que le père apercevait l'un de ses descendants inerte au sol, il tapait violemment la table du poing avant de disparaître, indifférent du sort qu'il leur avait infligé ; puis il les oubliait de suite comme on renierait un cheval de course décevant. Tandis que sa mère tombait d'une masse au sol, Oscar n’aperçut jamais d'homme plus dépourvu d'humanité ; et même les pires assassins des Jeux semblaient avoir plus de regrets dans leurs meurtres même sadiques que son père déçu d'avoir perdu plusieurs années d'énergie ; et non d'avoir perdu un fils. Alors, lorsque la sœur d'Oscar, la seule qui l'aima vraiment par pitié de lui, se porta volontaire puis mourut aussi, mise en morceaux sur tous les écrans du monde et poussant des hurlements mêlés de « ...Scar ! », le pauvre garçonnet, tapis en larmes dans les jupes également humides de sa mère, sut qu'il serait le prochain ; tandis que le regard vide et dépassé de son père se tourna lentement vers lui, avec l'expression d'un juge infligeant la peine de mort.
Sa mère ne parvint pas à avorter le projet vain de son époux. « Envoyer Oscar, avec sa santé, son physique ? Autant le tuer maintenant ! » Elle déploya une vigueur plus grande pour protéger Oscar ; aussi son maris l'imita, mais dans ses coups. Heureusement, le régime en place s'était douté que le nombre de volontaires Barry aux Moissons n'était pas un hasard, mais peut-être une violation de la loi. Ils vinrent donc, un soir, assassiner le père d'Oscar puis déporter sa mère pour une prison quelconque ; voire pour une mort semblable ? Le garçonnet ne sut jamais. En une nuit, le régime venait d'apporter la liberté et la souffrance. Selon Panem, les parents ne pouvaient qu'être tous deux responsables, s’organisant ensemble pour transformer leurs garçons en machines de guerre. Les hommes en blanc quittèrent la maison, laquelle semblait vomir des flammes par la porte avant de disparaître au matin. Ainsi s'acheva la malédiction tragique des Barry, dynastie disparue de par des ambitions anthropophages que seul un régime anthropophage pouvait susciter dans la population.
N'ayant alors d'autre moyen de survivre, ni d'autre désir plus ardent que de retrouver sa mère, Oscar décida de se porter volontaire à la prochaine Moisson. Il gagnerait les Jeux pour elle, obtiendrait sa libération et vivrait avec elle dans une opulence méritée. Une équation simple le poussait à agir ainsi. Un maître des chiffres savait, par un instinct mercantiliste digne de son parieur de père, que même dans l'échec de son projet, avec l'horrible et immense risque qu'il prenait, Oscar serait gagnant soit dans les richesses que lui offrirait la vie, soit dans la paix que lui accorderait la mort.
reality is here.
Bonjour, je m'appelle Romain, je viens de quelque part dans l'Est ; vous pouvez me surnommer Romy et j'ai 18 ans. Je dois vous prévenir que je n'ai ni lu les livres, ni vu les adaptations (s'éloigne tandis que 10 000 couteaux jaillissent dans l'air). Je suis un parfait néophyte ! Je viens plutôt de l'univers Battle Royale et rêvais d'un bon site pour y jouer ; j'ai trouvé le vôtre, qui me semble parfait avec en plus un élargissement social et politique, et suis actuellement en pleine lecture de toutes les notices liées à l'univers ; qu'elles soient ici ou sur le wiki de HG. Mais comme il me reste beaucoup à apprendre, j'ai bricolé très vite ce petit personnage pour me lancer une fois dans le jeu et le découvrir plus en détails. Attendez-vous donc à ce que je MEURS ! (mais je reviendrai alors avec un autre personnage, beaucoup plus travaillé et que j'impliquerai mieux dans l'intrigue). Merci d'avoir lu et navré d'avance si j'ai commis des bourdes historiques malgré mes premières lectures.
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Dernière édition par Oscar H. Barry le Mer 23 Juil - 3:53, édité 11 fois |
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Alexiane R. Hawthorne △ correspondances : 11154 △ points : 75 △ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory) △ à Panem depuis le : 08/05/2011 △ humeur : indifférente △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : mentor
| Sujet: Re: ► « Tu veux devenir ma maman ? » Sam 26 Juil - 1:29 | |
| J'adore le personnage et ta fiche est très bien, j'aime beaucoup comment tu écris et l'histoire de ton personnage est très intéressante Tu es donc validé Tu viens d'être validé(e), mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent. Pour commencer, pour les vainqueurs et les membres ayant des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Si tu fais partie des potentiels tributs, va inscrire ton personnage dans les registres ici. Il faudra ensuite que tu recenses le métier de ton personnage ici. Si ton personnage est de la famille du maire de son district, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence. Il est tout à fait possible que ton bonhomme soit un rebelle. Nous avons mis en place un registre avec leur hiérarchie. Tu le trouvera ici. Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici. N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici. Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay
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