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 IV,1. Départ pour le Capitole

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Caesar Flickerman
MAITRE DU JEU
Caesar Flickerman
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IV,1. Départ pour le Capitole Vide
MessageSujet: IV,1. Départ pour le Capitole   IV,1. Départ pour le Capitole Icon_minitimeSam 31 Mai - 14:02


Les 78th Hunger Games
“ départ pour le capitole ”


(c) mockingjaystaff
La Moisson vient tout juste de prendre fin dans tous les districts. Après avoir acclamé ou pleuré le tirage au sort des jeunes tributs et dit adieu aux proches, les  tributs se rendent à la gare pour quitter leur district en compagnie de leur équipe de préparation. D'un geste de la main, ou d'un simple regard, les habitants expriment leurs derniers regrets de perdre un enfant avant de les voir partir dans le train.

les adieux
Ce sujet est ouvert à tous les habitants du district, ainsi que l'équipe des jeux et les tributs. Vous pouvez poster pour une dernier adieu de la main ou juste une impression du court moment lorsque les tributs sortent de la voiture qui les conduit à la gare pour entrer dans le train.


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IV,1. Départ pour le Capitole Vide
MessageSujet: Re: IV,1. Départ pour le Capitole   IV,1. Départ pour le Capitole Icon_minitimeSam 31 Mai - 18:59

Une journée entière et puis onze heures supplémentaires, à condition que tout se passe bien sur le trajet qui les ramera jusqu’au Capitole. Un véritable Enfer. Un véritable putain d’ENFER ! Merci papa pour cette promotion au district le plus éloigné de la maison. Merci pour tout ! Si j’avais une belle dague en fer rongée par la rouille, je te l’enfoncerai en plein cœur, histoire de voir si elle ne dérapera pas sur de la pierre…
Iron va devoir prendre son mal en patience. En fait, il va user d’une toute autre technique, bien plus efficace selon lui, qui va consister à se souler la gueule et à consommer des drogues dans son compartiment jusqu’à ne plus être capable de parler. Il postera un connard à sa porte, chargé de prévenir tout le monde qu’il souffre d’une terrible migraine et d’assurer sa sécurité, au cas où. Hors de question qu’il crève étouffé dans son propre vomi… S’il s’y met très vite, il aura tout le temps d’être frai et dispo au moment de leur arrivée en gare. Il aura même le temps de s’entretenir un peu avec ses chers tributs ! Ces précieux petits cailloux qu’il va amoureusement polir pour en faire des pierres précieuses, avant de les voir couler au fond d’un puits d’un noir d’encre… Mais ça n’est pas du gâchis ou une perte totale de temps et d’énergie. Pas vraiment.
« N’hésitez pas à jouer du bâton si l’un d’eux tente de m’agripper. »
« Oui Monsieur Flickerman. Vous êtes en sécurité. »
« Oh c’est vrai ? Je vous avoue que j’ai failli en douter quand vous avez laissé ce chien d’Elyas me sauter au cou tout à l’heure… Que c’est stupide de ma part » lance Iron en servant un sourire suintant de reproche au Pacificateur à ses côtés.
« Ca ne se reproduira plus, Monsieur Flickerman. »
« Je l’espère pour vous. Un homme qui manque à sa parole devrait avoir la langue arrachée. Avec une pince chauffée à blanc. Qu’en dites-vous ? »
Le Pacificateur ne répond rien. Il soutient le regard d’Iron avec un soupçon insupportable de défi et puis détourne finalement son affreux visage de fouine et aboie quelques ordres à ses hommes pour compenser son impuissance. Le capitolien se contente de ça et puis retourne auprès de son équipe, un large sourire enjoué aux lèvres.  

Son maquilleur est évidemment en train de se lamenter sur le sort de cette pauvre et brave petite Virani Chesterfield. La barbe ! Mais il faut qu’il ait l’air tout aussi affecté. Il faut qu’ils jouent là-dessus pendant leur campagne, l’hôte le sait, alors il le fait dès à présent, se joignant à la conversation en prenant un ton contrarié tandis qu’ils rejoignent le quai. Virani doit certainement les entendre parler puisqu’elle fait partie de leur procession animée. Elyas aussi. Et ça ne fait qu’exciter un peu plus le presque quarantenaire, bien évidemment…
« Saluez-les avec dignité. » chuchote-t-il très vite, après avoir légèrement accéléré son allure pour se retrouver aux côtés de ses deux ouailles. « Pas de larmes. Si vous vous montrez faible aujourd’hui, vous aurez de bonnes raisons de pleurer plus tard, je peux vous l’assurer. »
Là-dessus, il échange un coup d’œil avec Elyas. Un coup d’œil qui veut dire : n’est-ce pas un bon conseil ? Ne suis-je pas un mentor en or ? Amis pour la viiiie ?  
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Reed Emerson
DISTRICT 11
Reed Emerson
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IV,1. Départ pour le Capitole Vide
MessageSujet: Re: IV,1. Départ pour le Capitole   IV,1. Départ pour le Capitole Icon_minitimeMer 4 Juin - 18:29



Hj : Désolée, c'est long, mais je voulais donner mon point de vue quelque part.

Témoins avides de ma déchéance et de mon désespoir, les caméras ont finalement cessé de se réjouir de mon malheur et mon air désemparé a disparu pour de bon des écrans géants qui surplombent la Grande-Place, placé judicieusement pour que personne ne perde une miette du spectacle. Dans un claquement sonore, les lumières s’éteignent les unes après les autres, signal qu’attendait la foule en contrebas pour se disperser rapidement, sans demander son reste. Je regarde les parents s’étreindre, fous de bonheur, avant d’enlacer leurs enfants et de les serrer fort contre eux comme pour s’assurer qu’ils ne rêvent pas ; je regarde les frères et les sœurs se retrouver, se sauter dans les bras, soulagés de ne pas être les prochains sur la liste des Tributs du District Neuf. Et subitement, je sens mon sang bouillir dans mes veines et je les hais, je les hais tous autant qu’ils sont et leur bonheur me saute au visage, m’agresse presque. Parce qu’ils n’auront pas à s’inquiéter de ces Jeux, parce qu’ils ne seront pas là, planté devant leur poste de télévision, les yeux rivés sur l’écran, à trembler pour leur proche, à se demander, chaque seconde de chaque minute, s’il a froid, faim, peur, s’il est blessé, et par-dessus tout, s’il est encore en vie. Non, parce que leurs enfants avaient la chance de vivre une année de plus, chance qui avait été cruellement refusée à Virani. C’était elle qui allait mourir dans cette Arène, pas eux, et pour ça, je les détestais de toutes les fibres de mon corps, je les détestais tellement que c’en était douloureux. Ils n’avaient pas le droit de se réjouir de ne pas être moissonné, ils n’avaient pas le droit de nous tourner le dos comme ça, sans un dernier regard, et de se foutre du sort qui attendait Virani. Je serre les poings, furieux, en songeant à quel point j’aimerais que les places soient inversées, qu’ils se trouvent ici, sur cette estrade, à mes côtés, et qu’ils ravalent leur sourire insupportable en songeant à la mort atroce, horrible, violente qui viendra les cueillir. Oui, je voulais les voir souffrir, les voir baigner dans leur propre sang, les entendre supplier et implorer pitié en pleurant et gémissant. C’était là tout ce qu’ils méritaient. Ils n’étaient que des noms, des visages inconnus, leur trépas ne m’aurait pas affecté outre mesure et peu à peu, j’aurai fini par les oublier, comme tous les autres avant eux. Mais ma sœur… ma sœur… Comment pourrais-je la conseiller, la coacher, l’envoyer se battre dans cette Arène, la regarder mourir et  espérer m’en remettre un jour ?

Vingt-et-un ans, et j’ai l’impression d’avoir déjà vécu cents vies. Soudainement épuisé par le poids des années, mes jambes cèdent sous la fatigue et se dérobent mais les trois Pacificateurs qui me maintenaient toujours fermement par les bras m’empêchent de m’effondrer au sol. Laissez-moi m’étendre sur cette estrade, me coucher en chien de fusil, laissez-moi seul avec mon chagrin et mes regrets et surtout, surtout, laissez-moi y mourir.  Non, je dois me battre, encore un peu, pour elle. Je dois faire tout ce qui est en mon possible pour l’aider, la rassurer, la réconforter, je ne dois pas flancher, pas maintenant… Pas maintenant. Pas tant qu’elle respire encore. Mais relever la tête et ne pas baisser les bras me semble être un effort insurmontable tant je me sens vide, déjà mort à l’intérieur, privé de toute énergie vitale. Usé. Las.  

Du coin de l’œil, j’observe ma sœur et son co-tribut se faire escorter dans l’hôtel de ville où le Capitole, dans sa grande magnanimité, leur accordera de brèves minutes pour faire leurs adieux à leurs proches. Concernant Virani, la question ne se pose même pas ; personne ne viendra la voir et, entre nous, c’est peut-être mieux ainsi. Il n’y a rien de pire que de promettre à sa famille en larmes que tu vas revenir, alors même que tu sais que ce ne sont-là que des mensonges, que tu n’en réchapperas pas. La victoire n’est qu’un leurre ; perdant comme vainqueur, on meurt tous là-bas.
Je suis d’abord soulagé que mes parents ne soient plus là pour assister au départ pour les Jeux de leur second enfant, mais très vite, la colère prend le pas sur ma raison, et j’en viens à les détester, eux aussi, à les haïr de tout mon être, parce que sont eux, et eux seuls, qui portent l’entière responsabilité de l’envoi de Virani aux Jeux. Par leurs actes, ils ont condamné leur propre fille à mort. Qu’ils pourrissent en Enfer !


[…]


Je ne sais pas où j’ai trouvé la force de marcher, de mettre un pas devant l’autre, encore, et encore, alors même que mon cœur a cessé de battre dans ma poitrine depuis longtemps. Mais, docile, je m’exécute et j’avance en suivant le groupe. Perdu dans mes pensées, je capte de temps en à autre quelques mots entendus au cours d’une conversation ; l’équipe de tournage commente avec passion la scène à laquelle ils ont assisté plus tôt dans la journée. Apparemment, ils sont tous très émus que Virani ait été appelée, ma sœur a réussi à les attendrir, et nombre d’entre eux s’insurgent de son sort. Je relève la tête, soudain gagné par une vague d’espoir. Si cet avis est répandu au Capitole, alors peut-être pourrions-nous jouer de notre lien fraternel pour la faire aimer du public. Après tout, je suis un Vainqueur très apprécié, là-bas, notamment de la gente féminine ; nul doute que ces braves femmes prennent déjà Virani en pitié en s’appitoyant sur son triste sort ! Il me semble que le sujet qu’arbordera Virani lors de l’interview final face à Caesar est d’ors et déjà trouvé.

La voix d’Iron, une fois encore, m’extirpe de mes pensées.
« Saluez-les avec dignité, conseille-t-il judicieusement aux tributs. Pas de larmes. Si vous vous montrez faible aujourd’hui, vous aurez de bonnes raisons de pleurer plus tard, je peux vous l’assurer. » Le regard fourbe qu’il m’adresse sournoisement me donne envie de lui sauter une nouvelle fois au cou, et je dois faire appel à tout mon self-control pour m’empêcher de me jeter sur lui, brûlant de lui écraser la tête contre le sol, encore, et encore, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus qu’une bouillie sanglante. Ces conseils sont avisés, je dois le reconnaitre, mais sa démarche n’a rien de sincère, je le sais. Je me méfie de cet homme comme de la peste, et j’encouragerai Virani et Nathael à en faire de même dès que l’occasion s’en présentera, mais pour l’instant, je décide d’entrer dans son jeu en hochant la tête, à contre-coeur. « Iron a raison, souriez, et donnez-leur l’impression que nous sommes une équipe soudée, tous les quatre. », j’ajoute, avec l’envie de vomir au bord des lèvres. Moi, faire équipe avec Iron ? Plutôt crever, et il le savait ! « Nathael, c’est peut-être la dernière image que tes parents et ta sœur auront de toi, il le fallait, ce garçon ne devait pas revenir au Neuf, sous aucun prétexte, il ne volerait pas à ma sœur la chance de rentrer chez elle, alors donne leur un beau souvenir à chérir. Pas de larmes. », je répète en écho à Iron.

A la gare, les photographes qui attendaient notre venue commencent déjà à nous éblouir de toute part avec leur flash intrusif en hurlant nos noms pour attirer notre attention, alors je m’approche d’Iron et pose la main gauche sur son épaule dans un geste qui se voulait amical, complice même, et les salue de l’autre main, un grand sourire figé sur les lèvres. Je savais que ce contact leur répugnerait, et je m’en délectais d'avance.
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IV,1. Départ pour le Capitole Vide
MessageSujet: Re: IV,1. Départ pour le Capitole   IV,1. Départ pour le Capitole Icon_minitimeJeu 5 Juin - 20:49

La fin des Adieux, ce qui annonce donc le départ pour le Capitole.
Je retrouve Nathael, Elyas et Iron, puis on nous dirige vers la gare. Le chemin est tracé par une ouverture de foule, dont les habitants nous regardent tous avec des yeux ronds. Enfin du moins, ceux qui sont restés pour assister à notre départ.
Lorsque nous arrivons devant le train, nous devons nous arrêter pour saluer la foule. J'essaye de montrer un mince sourire, mais j'ai du mal à être heureuse de l'événement donc je finis par me contenter d'agiter la main, en fixant le vide.
Et surtout pas le regard des habitants.
Je n'ai plus qu'une envie : rentrer dans ce train et le mettre en marche à toute vitesse, pour ne plus voir tous ces visages coupables ou triste de notre Moisson. Pour ne plus sentir leur regard se poser sur moi. J'ai compris que j'avais déjà assez attiré l'attention lors de mon appel, et maintenant, je finis par presque regretter la période où pas une seule personne n'affrontait mon regard ou me parlait.

Premier conseil de notre hôte numéro Un en matière :
« Pas de larmes. Si vous vous montrez faible aujourd’hui, vous aurez de bonnes raisons de pleurer plus tard, je peux vous l’assurer. »
Quoique, lors de mon appel, lorsqu'il m'ordonna de garder mon calme, c'était peut être aussi une forme de conseil.

Toujours est-il que oui, j'étais exactement d'accord avec ses dire : interdiction de flancher de mon côté. Je n'avais surtout pas le droit de pleurer, devant Elyas ou qui que ce soit en ce moment. Hors de question d'arriver dans l'Arène avec le fait de savoir que tous connaissaient mes points faibles.
Un Elyas.
Deux mes parents.
Trois la vue du sang.
Quatre sûrement Nathael.
Cinq le fait que j'étais à tout moment susceptible d'exploser et ou de fondre en larmes.

Et maintenant, le monde entier en connaissait déjà un. Mon frère. Ça en faisait quatre à ne surtout pas révéler.
Sinon, mes chances de m'en sortir dans l'Arène seraient très très limitées.

Elyas approuve les dires d'Iron. Je n'ai besoin d'aucun regard ou de mouvement vers lui pour deviner que notre hôte d'ores et déjà l'insupporte.
Puis je n'entends plus rien. Aucune parole sortant de n'importe qu'elle bouche à mes côtés.
Je suis prise dans une sphère assez floues, où les bruit de certains me parviennent comme éteints et résonnent en écho dans ma tête. J'ai croisé le regard de mon amie Lou. Et j'ai l'impression de voir mes parents à côté d'elle. Mes parents qui me sourient. Qui me soutiennent. Qui ne pleurent pas et affrontent mon regard.

Brusquement, j'en ai assez de saluer cette foule presque immobile. Je suis prise dans mes souvenirs où je revois Jeremiah partir aux Jeux, juste après le retour d'Elyas. Il n'aurait pas dû être appelé, ce jour là. Son nom n'aurait pas dû se retrouver dans le bocal. Son image n'aurait pas dû s'éteindre devant nous sur les écrans, à sa mort. Il n'aurait pas dû partir aux Jeux. Pas lui. Pas Kathleen. Et mes parents n'auraient pas dû être tués.  

Je finis par secouer légèrement la tête, comme pour effacer mes pensées. Et en créer de nouvelles. Je relève la tête une dernière fois, vers la foule. Vers le District Neuf. Mon District.
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