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Sujet: cassian ❖ skeletons in the closet. Mar 1 Oct - 17:09
skeletons in the closet.
Une porte métallique qui claque d'un bruit sourd qui n'est pas sans rappeler une détonation. Un souvenir. Un rêve, trop réaliste, sombre, sanglant. Si peu et pourtant suffisamment pour qu'en lui se réveille le chaos. Il suffisait d'un rien.
6h30 du matin. 20 minutes avant le réveil, 35 minutes avant que l'ont assigne des tâches journalières. Les mêmes dont il devait s'acquitter quotidiennement. La chambre qu'il ne partageait plus qu'avec lui même n'avait pas bougé : gris banal, nuance triste; meuble inexistants si ce n'est une commode et des lits superposés maintenant obsolètes. Une photo surplombe le bureau au côté d'un rectangle plus clair imprimé sur le mur. Les restes d'un miroir fraîchement décroché. Des sourires, un instant d'allégresse figé sur papier glacé.
Fourmillant devant ses yeux, de minuscules lumières aveuglantes se changeaient en ténèbres. Chancelant, il sentait son esprit s'obscurcir, sa tête prête à exploser. Il tira sur sa chemise, il avait chaud, il étouffait. La bouche pâteuse, il n'entendait que son sang battre à ses oreilles, il ne sentait que la douleur qui, pernicieuse, se disséminait dans son esprit. Dans un grognement, il plaqua ses mains sur ses tempes, tentant de mettre fin à cet enfer brûlant qui dévorait l'intérieur de son crâne. Des millions d'aiguilles envahirent sa tête, ses jambes, ses lèvres. Ses poumons furent comme vidés de tout oxygène et il trébucha. Ses genoux puis les paumes de ses mains rencontrèrent le sol rugueux de sa chambre dans un bruit étouffé, écorchant sa peau. Soudain c’est là, sous ses doigts.
Ce plexus chaud qui refroidit. Des cheveux d'or tâchés de rouge. Sauve-la. On le tire en arrière, il lutte. Pas maintenant, pas encore ! Un corps flasque et sans vie. La petite pièce grise a disparue. Autour de lui c'était la guerre à nouveau, la révolte, la violence. Le sang pâteux qui coagule, qui forme une auréole sombre autour des crânes. Son crâne. Sauve ta peau ! C'était les jeux de la faim, la mort. La mort de Constance, la mort de Biggs. Les cris de terreur et d'agonie.
La peur se lisait dans ses yeux qui vacillaient frénétiquement : gauche, droite, gauche. Vision floue. Haletant. Il plaqua une main sur sa bouche pour étouffer une quinte de toux sèche dont l'écho s'en va mourir contre les murs de béton. Les membres ankylosés, cloué au sol, il lui était difficile de fixer ses yeux sur quelques chose. Incapable du moindre mouvement précis, il inspecta fébrilement les meubles autour de lui. Ses doigts se refermèrent au hasard sur la première chose venue, cherchant désespérément à s'y accrocher. Une bouteille. Elle s'écrasa au sol dans un fracas, résonnant dans le silence matinal.
Quelques minutes passées furent suffisante. Lentement, la cécité se lève, sa respiration semble se calmer. Un courant d'air le ramena sur Terre à point nommé. Sa porte était ouverte, quelqu'un se tenait dans l'encadrement. Une fille à en juger la silhouette qu'il distingue d'ici. Il grogne mollement un "qui c'est", irrité. C'est pas le moment de recevoir de la visite. La visite de qui ? question pertinente, il n'était pas du genre à connaitre grand monde par ici. Encore moins des nana.
Dernière édition par Dorian de Massari le Lun 21 Oct - 9:27, édité 1 fois
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Sujet: Re: cassian ❖ skeletons in the closet. Jeu 3 Oct - 14:33
skeletons in the closet. I'm here for you..
Fermant les yeux, elle ne savait plus quoi penser. La nuit était venu. La jeune femme avait rejoint sa chambre pour sombrer dans son lit. Dans son esprit, on pouvait y lire du doute, de la haine et une peur de mourir. Elle était aussi tellement perdue dans ce monde. À quoi tout cela rimait ? Cela faisait bientôt un moment qu’elle était là. Cassie aidait tout le monde du mieux qu’elle le pouvait. Chacun de ses mots était un pur mensonge. Personne ne la connaissait. La jeune femme s’était inventé une vie à la minute où un gradé lui avait demandé qui elle était ? Elle avait simplement répondu : quelqu’un qui cherche asile. Il y eut après les bombardements. Depuis ce jour, il fallait toujours garder la tête haute. Il ne fallait pas se laisser lamenter. Cassie pensait retourner petit à petit chez elle. Son père devait se faire du souci. Elle repensait à ce qu’elle avait perdu. Un voile noir recouvra sa vue pour laisser place ensuite à une réception chez elle. Elle était maquillée et habillillée de manière à la rendre magnifique dans ses couleurs d’or. On aurait cru qu’elle était un Phoenix. Cela la fit sourire au début, sachant que c’était sa mère qui l’avait appelé comme ça. Elle sembla la voir. Elle était si proche d’elle. Mais un bruit sourd la réveilla au moment où elle aurait pu prendre sa mère dans ses bras. Elle essaya de se rendormir, malheureusement le bruit devint plus violent. Basculant ses jambes, elle s’assit sur le rebord du lit. Cassie passe délicatement sa main sous ses yeux pour faire disparate la preuve de sa faiblesse. La jeune femme était dans une robe blanche et pied nu.
Le bruit la guida devant la porte de son voisin d’en face. Elle sentit ses muscles se tendre. Il finit par avoir un nouveau vacarme. Sa main se mit sur la poignée glacée. Un léger geste, elle l’ouvrit délicatement et prudemment pour voir ce qu’il y avait. La jeune femme vit un homme à terre. Il semblait d’avoir fait une crise. Avait-il fait parti de la révolte ? La jeune femme l’avait deviné. Il semblait mal en point. Cassie rentra en fermant la porte derrière elle. Elle s’approcha de lui pour pousser avec sa main les morceaux de verre qui s’était éparpillé sur le sol, puis elle se mit à côté de lui en prenant la main. Pourquoi ? Il en avait besoin ? Cassie avait interviewé un colonel durant la révolte. Si un homme perdait le contrôle, il fallait le prendre dans ses bras pour accomplir une pression qui le calmerait. Cela touche après avec des toxines qui sont dans le cerveau. La jeune femme lui prit seulement la main, une simple main qui pouvait être un soutien. Il pouvait s’accrocher. Cassie commença à parler d’une voix rassurante. Elle se souvint ce qu’on lui avait dit quand elle était arrivée ici.
« Je m’appelle Cassie. J’ai vu une partie de ta crise. Calme-toi et concentre-toi sur le son de ma voix, juste un instant. Pense à autre chose. Pense que tu es dans une forêt. Tu entends le bruit des arbres. Au loin, il y a une rivière. Imagine-toi prendre cette eau qui file entre tes doigts. Elle est si pure et si transparente que tu vois tes problèmes disparaître comme cette eau. Sinon, tu peux aussi penser que tu es dans une chambre dans le district 13, un district qui se reconstruit, qui avance pour promettre un meilleur avenir. Les gens ici sont en sécurités. Tu es en sécurité. Laisse ce qui te paralyse là maintenant partir. Repose-toi encore quelque instant. Expire et inspire. Tu verras ça t’aidera. »
Cassie serra sa main pour lui faire sentir qu’elle était là s’il avait besoin d’elle. La jeune femme était prête à aller voir un médecin si sa crise recommençait, mais c’était des choses qu’on n’avait pas envie que le monde entier le sache. D’ailleurs, cela devait être déstabilisant pour le jeune homme : une inconnue rentrée dans sa chambre pour le voir dans cet état. La jeune femme reprit son courage à deux mains pour le regarder.
«Si cela peut te rassurer, tu n’as cas imaginer quelqu’un d’autre. » avant de rajouter avec une petite voix. «Même si je suis ta voisine d’en face.»
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Sujet: Re: cassian ❖ skeletons in the closet. Sam 26 Oct - 16:05
"Voilà ce qui arrive quand tu ne prends pas tes médicaments". Il souffla, calmant de force sa respiration, ne remarquant que partiellement la présence de cette jeune fille accroupit à ses côtés. Une présence floue, extrinsèque à ses aliénations. Il sentait sa chaleur, son odeur sans pour autant la distinguer totalement. Elle parlait, mais ses mots sonnaient à ses oreilles comme une langue étrangère. Le flot continu de sa voix, bien qu'indistinct, le calmait étrangement mais son contacte avait quelque chose de dérangeant. Peut-être était cette impression d'être brusquement happé par le réel. Il n'en savait foutrement rien.
Tout ce qu'il savait, c'est que cette inconnue était là, qu'elle le regardait, qu'elle le voyait dans cet état pathétique. Good news Dorian, ta self-estime n'était jamais tombée aussi bas. Pourtant passer pour un taré psychotique était assez courant chez lui, une de plus ou de moins, qu'est-ce que ça changerait ? La proximité, sans doute. Jamais quelqu'un autre que Rachel n'avait été à ses côté lors de ses crises. A ces moments là où il se sentait vulnérable.
C'était salaud et ingrat, mais il aurait eu envie qu'elle le lâche, qu'elle s'en aille, qu'elle le laisse seul. Tout du moins tant qu'il était encore dans cet état. Pourtant, il se contenta de grogner mollement, montrant d'un geste vague une boîte d'un blanc laiteux posée sur la commode, non loin de là où la bouteille brisée se trouvait.
Gobant trois cachets, il se hissa péniblement sur son lit, se laissant quelques minutes pour qu'ils fassent pleinement effet. Lentement, la brume dans son crâne se dissipait, la douleur semblait moins écrasante, moins oppressante. Un soupire de soulagement s'échappa de ses lèvres alors qu'il leva les yeux vers la jeune femme à ses côtés. Finalement il la reconnaissait plus ou moins, sans doute l'avait-il déjà croisée dans un couloir. Elle avait dit être quoi déjà ? sa voisine de pallier ? "Désolé pour... ça." marmonne-t-il, penaud. Personne n'aurait dû assister à une scène pareille, il préférait de loin laisser les autres en dehors de ses crises, le plus possible en tout cas. Même Gold n'était pas au courant, il ne voulait pas être vu comme quelqu'un d'anomal. Pourtant c'est ce qu'il était, non ? "... je pas suis un genre de taré ou quoi, hein !"
"Cassie c'est ça ?", une brunette, un visage d'ange, elle avait donné son nom qui ne lui rappelait rien. Il passa une main sur son visage, s'arrêtant quelques instants sur ses lèvres avant de se tourner vers elle. "Tu pourrais... éviter d'en parler ? ça m'arrangerait." le souvenir de sa première année passée cloîtrée ici lui retourna l'estomac. Plus jamais ça. L'infirmerie, les médecins, les injections... Il ne pourrait pas revivre ça, crise ou non. "Moi c'est Dorian"
Dernière édition par Dorian de Massari le Dim 5 Jan - 19:26, édité 1 fois
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Sujet: Re: cassian ❖ skeletons in the closet. Dim 3 Nov - 20:07
skeletons in the closet. I'm here for you..
Ne pensant plus à elle, c’était son voisin qui était sa priorité. Elle pouvait le comprendre. Elle pouvait comprendre le fait qu’il ne voulait plus aller dans une infirmerie. Dans cette infirmerie où tout avait commencé, c’était vraiment déstabilisant. Chacun avait des secrets. Cassie n’était pas des gens qui les dévoilait et dénonçait les gens. Elle faisait partie de l’autre catégorie. Au milieu de cette chambre froide du district 13, elle avait l’impression des fois d’être un stupide rat de laboratoire. Elle voulait tellement parler à cœur ouvert et avouer aux gens qui elle était réellement. Elle avait de la chance. Elle pouvait le cacher pour la plupart. Elle essayait de se tenir à une version, mais des fois cela ne marchait pas. Cela devait faire 6 mois qu’elle était par là… Pour l’instant, elle était la reine des mensonges « Queen Liars ». Un sourire rassurant vint s’installer sur son visage. Elle regarda la scène le fait qu’il prit ses médicaments. La jeune femme lâcha sa main pour le laisser s’envoler et se poser dans un endroit plus réconfortant. La jeune femme l’aida légèrement pour le ramener à son lit. S’écartant pour mettre une sorte de frontière, elle n’avait pas envie de s’imposer, mais elle n’avait pas envie de partir temps qu’elle n’était pas sûre qu’il irait mieux. Son regard se posa sur elle réellement pour la première fois ce soir. Elle avait l’impression qu’il allait déjà un peu mieux. Il s’excusa pour… cela. Cassie ne préférait ne rien rajoutait de plus pour ne pas le froisser. Il continua pour lui dire que ce n’était pas un genre de taré ou quoi ce soit de ce genre. Son regard devint plus doux pour le rassurer. Une inconnue, il ne pouvait pas lui faire réellement confiance, mais elle pouvait lui donner cette impression. Elle ne voulait pas lui faire du mal de toute façon. Quand il lui demanda si c’était bien Cassie son prénom. La jeune femme acquiesça avec un sourire.
Son regard s’égara pour voir s’il y avait d’autres dégâts. Il ne semblait y avoir que cette bouteille qui s’était brisée en mille morceaux. Cela lui rappelait que la confiance était une chose qui pouvait être détruite si rapidement. Cela pouvait être recollé, mais plus rien ne serait pareil. Cela resterait un traumatisme. Il n’était pas fou. C’était des souvenirs qu’on lui avait marqués au fer rouge dans son cerveau. On ne pouvait pas toujours lutter contre ça. On ne pouvait pas lutter contre. Pourtant, ces gens-là lui inspiraient toujours du respect. Il arrivait toujours à avancer. Certains. La voix du « vétéran » la ramena à la réalité. Il lui demandait de sceller ses lèvres sur ce qui venait de se passer. Il était hors question d’en parler. La jeune femme leva la main pour la poser sur ses hanches, pendant que son autre bras pendit le long de son corps, finissant par les croiser ne savant pas quoi faire avec ceux-ci. Dorian finit par lui dire son petit prénom. C’était vrai que le nom ne devait pas avoir d’importance.
«Enchanté, Dorian. Ne t’en fais pas. Je vais ne rien dire. Ce n’est pas dans mon genre. Je suis une vraie tombe. »
Le mot tombe résonna assez amèrement. C’était vrai. Cassie ne disait jamais rien sur son passé aux capitoles ou qui elle était réellement. Qui pourrait l’aimer assez pour garder un mensonge aussi lourd. C’était vraiment stupide. Elle reprit tout de suite la parole avec une mine plus inquiète pour son état.
«Mais tu es sûr que ça va aller ? Je veux dire. Ça t’arrive souvent ? Je vais ne le dire à personne, mais j’aimerais éviter que tu sombres à nouveau dans cet état. Si tu veux, je peux t’aider ? »
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Sujet: Re: cassian ❖ skeletons in the closet. Mar 7 Jan - 18:54
Plissant les yeux pour l'apercevoir plus nettement, il la considéra un instant alors qu'elle parlait, sans vraiment l'écouter. Elle lui rappelait quelque chose sans qu'il ne sache pourquoi, un petit quelque chose d'infime qu'il n'arrivait pas à discerner. Peut-être était-ce l'après coup de sa crise, un moment où la réalité avait pour sale manie de se mélanger avec le fantasque et où il n'arrivait plus bien à différencier le vrai de l'hallucination. L'intérieur de son crâne lui semblait toujours nappé d'un épais brouillard confus. Rien d'inhabituel, il mettrait sans doute la matinée à récupérer, faisant mine de rien lors de son entrainement à venir comme toujours. Les trente minutes de pauses du midi seraient salutaires, sans doute s'isolerait-il pour se reposer. "Même pas besoin d'acheter ton silence ?", dit-il, feignant la surprise dans un léger rire, ne sachant pas s'il était de bon goût de parler de "tombe" en ces temps où la mort régnait en maitre. "Merci." Elle lui avait promis de garder sa langue, une brève seconde il eu l'air sincèrement rassuré. L'infirmerie n'était pourtant pas un lieu si horrible qu'il ne le laissait croire, il y avait même rencontré quelques personnes qu'il estimait beaucoup aujourd'hui: Blue, Hedden, Rachel, tant de gens à qui il devait la vie. Au final, ça n'était pas tant l'endroit qui le terrifiait que l'isolement, l'inaction qu'entrainait ses séjours là bas. Les mois passés à se morfondre sans pouvoir se rendre utile, s'occuper un tant soit peu, avaient été particulièrement difficiles. Un vrai supplice, quand on est assaillit par le doute, la peur; la rage et la colère, que de ne rien pouvoir faire de ses dix doigts.
Il ignorait s'il pouvait vraiment compter sur elle et la croire sur sa seule parole. Quel autre choix s'offrait à lui cependant ? il n'avait qu'à espérer qu'elle ne change pas d'avis une fois la porte passé, qui n'aurait pas peur d'être la voisine de chambre d'un taré en crise constante après tout ? Rares étaient ceux sachant tenir parole même pour les choses anodines. Ce qu'il savait, ce qui était différent de tous les autres chez elle, c'était son regard. Elle ne le regardait pas avec la même lueur rebutée dans son regard, ces yeux teintés d'aversion qu'il avait l'habitude de croiser ici.
"Nan c'est vraiment pas grand chose", mentit-il d'une moue sur les lèvres, haussant les épaules pour ponctuer ses dires. "Ca arrive rarement t'as rien à craindre. D'ailleurs ça m'arriverait pas tout court si j'étais moins négligent" désignant d'un signe de tête la petite boite jaune transparente contenant ses cachets, il pinça les lèvres d'un air penaud. Il n'arrivait pas à se mettre dans la tête de prendre ces fichu médicaments; refusant sans doute sans même s'en rendre compte d'être dépendant d'une telle drogue. Comme pour éluder le sujet, il rangea la dite boîte dans un tiroir de la commode avant de se tourner vers elle de nouveau. "T'étais pas là avant, non ? t'es arrivé pendant... 'fin ces derniers mois c'est ça ?" Le 13 se reconstruisait lentement, pas sans mal, sans peine ni sans douleurs. Beaucoup de têtes qu'il avait connu ici avaient disparue, tant de visages qu'il ne reverrais sans doute jamais mais qui avait fait place à nombre de nouveaux. Le Capitole n'était encore pas parvenu à les détruire complètement, il finirait par comprendre un jour qu'il est impossible de tuer un symbole. "Tu viens d'où ?"