slythein edelweiss zacharias

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

Spoiler:

JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la légende.. DU COUP, MON NOM A 36 CHANCE D'ÊTRE TIRE AU SORT. JE N'EXERCE aucun MÉTIER ET POUR TOUT VOUS DIRE, JE n'aime pas ça. JE SUIS DANS LE troisièmeÈME DISTRICT. AYANT 17 ans JE peux PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende mais je m'entraîne pour ça. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

reality is here.

Et salut vous Je m'appelle Jaël et j'aurai bientôt 15 ans, j'ai eu 15 ans ça faisait un baille que j'avais vu votre forum mais je n'avais jamais regardé hunger games donc je me suis dit que se serai bête de m'inscrire. Puis se week-end j'ai regardé le film sur canal + et j'ai adoré, je l'ai téléchargé et je l'ai déjà regarder trois fois (team peeta     ) bref, venir sur se forum ensuite m'est paru évident  j'adore vos smileys sérieux :chatrose::bla: mon pseudo et fucking face pour que vous soyez au courant et j'ai trouvé le forum grâce à mon navigateur qui avez gardé une trace de vous    

FEATURING nina dobrev © COPYRIGHT frostingpeetaswounds.tumblr

tell us your story.

people always leave.
J'ai peur. C'était une journée tellement lugubre. Il ne faut pas ma chérie. J’étais triste, mais je comprenais. Tout le monde était bien habillé pour ce jour, mon père était un homme apprécié au troisième district. Sa mort était tragique, mais ça devait arriver un jour ou l'autre. Après son enterrement, je restais dans la cuisine toute seule avec ma mère. C'était un an avant que mon nom ne puisse être tiré au sort. C'est se couteau maman ? Un couteau de mon père avait été mis de côté, sûrement le couteau qui l'a tué. Mon père travaillait depuis toujours avec se couteau, et il a eu un accident. Qui aurait cru qu'un si petit couteau pourrait causer autant de malheur à cet homme ? La plaie était plutôt grande mais c'est l'infection qui tua mon père. En moins d'une semaine il était parti. Il disait que ça allait et il nous cachait cette cicatrice immonde parce qu'il devait allez travailler. Ma mère pleurait la nuit, parce qu'elle savait qu'avec un peu de soin elle aurait pût éviter ça. Oui ma chérie, c'est celui-là. Ma mère caressa ma chevelure brune et posa un baiser sur mon front. Je me levais et pris le couteau, je n'allais pas le laisser à la vue de tous il pourrait me prendre mon frère ou ma sœur ou pire encore ma mère. Je l'ai jeté sur le feu, comme la majorité des choses que l'on brûle d'habitude. Le couteau n'as pas brûlé, mais je le voyais dans le feu et ça me faisait du bien, ça me soulageais. Ma mère la récupéré, pendant que je dormais. Pendant un temps, j'ai cru qu'il avait brûlé, mais plus tard j'ai fini par le retrouver dans les affaires de ma mère. Elle n'avait pas pu de résoudre à l'idée de se débarrasser de l'objet qui lui avait pris son mari.

don't think they know

Tu as peur ? J'avais peur de beaucoup de chose. D'être tiré au hunger games, que ma famille meurt et de la faim, mais je n'avais pas peut de lui. J'avais toute confiance en Alex. Non, ça va Alex. Je lui adressais un sourire affectueux et déposais l'une de ses mèches rebelles derrière son oreille. J'aimais cet homme plus que n'importe qui. Il avait toujours été là pour moi, d'abord comme un ami, puis meilleur ami et maintenant petit-ami. On as tout vécu ensemble, j'avais perdu ma virginité avec cet homme et ce n'est pas n'importe quoi. Respire profondément... Je suis là. Tu vois cette hirondelle ? Regarde bien, la pointe de ta flèche doit être sur elle et tu dois l'atteindre. Allez, tu tires à trois ? Un, deux... Je fais tout comme il a dit. Je respire profondément, je vise cette hirondelle et j'attends le décompte. Trois ! Je lâche tout. La flèche se dirige droit vers l'hirondelle, mais fini contre un arbre. Tu vois ? Je t'avais dit que j'étais nul avec ses foutu arc pourquoi tu ne me laisse pas mon arbalète ? Je lui fais ma moue des plus tristes et lui fais les beaux yeux. Si tu dois entrer dans l'arène je veux être sûr que tu sois entraîné au maximum. Tu n'auras peut-être pas d'arbalète sur place, tu dois apprendre à faire et à savoir utiliser un arc. Demain on essaie l'épée d'accord ? Je vais voir si je peux m'en procurer une. Je m'arrête. Il est si serein, un jour comme celui-là il ne devrait pas l'être. Alex s'occupait lui tout seul de sa famille tout entière son grand-père, ses grands-mères, sa mère, sa petite sœur et son grand-oncle, son nom peut-être cité plus de 40 fois et il ne s'inquiète même pas. Et si tu dois y aller Alex ? Et si cette année était celle où tu devais y participer ? J'étais paralysé par la peur, la peur de le perdre et j'avais bien raison. Puisse le sort m'être favorable. Il me sourit. Son sourire restera à jamais graver dans ma mémoire. Il était toujours de bonne humeur, toujours serein rien ne l'atteignais jamais. Et pourtant cette année-là son nom sorti. ALEXANDER BOTWIN-RHODES Ça ne pouvait pas être lui, pas cette année. C'était notre dernière année, après ça il n'était pas obligé d'y retourner nous avions 18 ans, c'était fini. Ne l'emmener pas s'il vous plaît, pas lui... Il y allait d'un pas las et avant de monter les marchés il chercha mon regard, un regard qu'il ne trouvera jamais. Olivia, Alexander, un dernier mot ? Je tremblais de tous mes membres, tellement convaincue qu'il allait mourir tuer dans l'arène comme un vulgaire animal. J'étais en colère, contre des hunger games de malheurs et contre la capitole, ses assassins. Oui, j'en ai un. Il s'avança près du micro et me chercha. J'étais caché dans cette foule, les yeux embués de larmes et les yeux rivés vers le sol. Demain j'aurais un peu de retard mon amour.

be wild.
J'avais peur pour lui. Oui j'avais peur. J'étais sûr qu’il ne me s'en sortirait pas, puis il y a eu cet espoir. Il avait tué LA personnalité préférée du public, devenant alors l'un des favoris. J'étais pleine d'espoir et j'avais peur, peur que le deuxième tribut de ce district ne venge le défunt, et j'avais bien raison. J'ai vu Alex se vider de son sang sur un grand écran. J'avais peur, vraiment peur et je criais et pleurais toute les larmes de mon corps... Et maintenant ? Après ça, ce sentiment fut comme abolie. Je n'ai plus eu peur de rien, je faisais certains choix à mes risques et péril et je me mettais en danger. Et alors ? Je n'avais plus rien à perdre, l'homme de ma vie avait été froidement assassiné et laisser agonisé de côté. Quelques mois après sa mort ma famille a essayé de me remonter le moral, en vain. Une année après, ils ont utilisé la manière forte : ils m'ont secoué, en vain. Et aujourd'hui j'ai 22 ans, rien a changé à part peut-être le fait que je me suis fait à l'idée qu'il soit mort. Maintenant je fais avec.