POPPY ♣ Only you can be the aching in my heart

Invité

Poppy Marina Jenkins

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

Te te nommes Poppy Marina Jenkins et tu es la fille du très estimé Braxton Jenkins, adjoint du maire du district 10 avant toi. Tu as en ce moment 29 ans et tu es devenue adjointe du maire Hurricane Cornwells lorsque tu avais 24 ans. Tu penses l’avoir conseillé au mieux de tes capacités de l’époque tout en tentant de le garder autant que possible dans l’ignorance, vu ce que tu tramais dans son dos. La vérité, c’est que depuis ton adolescence, tu développes une certaine animosité envers le gouvernement et la dictature du Capitole, que tu tolères de moins en moins. Tu as donc commencé à songer aux rebelles et à l’aide que tu pourrais leur apporter. Haut placée comme tu l’étais dans le district 10, ça n’a pas été trop compliqué pour toi de leur fournir ce dont ils avaient besoin. Tu falsifiais des certificats de décès pour permettre aux habitants du district 10 à aller s’installer dans le district 13, tu cachais la venue des rebelles dans le district dans le dos de son maire, tu as fait de ton district un vrai quartier général pour les rebelles. Tu aurais probablement pu continuer comme ça si tes activités douteuses n’avaient pas été découvertes à cause de l’état des finances qui baissait continuellement sans que personne ne sache où allait l’argent. Alors, refusant de te faire prendre et ainsi mettre en danger les rebelles, tu t’es arrangée pour que les soupçons se portent sur Hurricane, ton ami, ton allié, la personne la plus importante dans ta vie, et tu t’es enfuie dans le district 13, où tu es toujours en ce moment.

Tu as toujours été une demoiselle plutôt discrète. La solitude ne te dérangeait nullement et tu appréciais énormément ses vertus. Tu n’as jamais haussé la voix et tu as un sang-froid à tout épreuve. Tu gardes ton calme même dans les situations les plus extrêmes et tu as réellement une tête sur les épaules. Ton district t’as toujours appréciée : tu avais énormément de charme, tu t’exprimais très bien et tu semblais te soucier de leurs malheurs. Tu le faisais, bien évidemment. Tu avais simplement d’autres plans en tête, d’autres idées qui méritaient d’après toi que tu trahisses ton district, malgré la douleur que cela te procurait. Il y avait trop d’enjeux pour que tu te laisses avoir par les sentiments, et même si maintenant tu dois vivre avec ça, tu penses que tu as pris la bonne décision. Sauf pour Hurricane – enfin, Alistair, maintenant. Il n’y avait aucun moyen que ça se termine bien et tu t’en veux encore pour ce que tu lui as fait subir. Tu ne supportes pas qu’on pense que tu es une mauvaise personne, parce que ce n’est pas le cas. Tu crois seulement que soutenir la cause des rebelles mérite de faire des sacrifices et qu’en ce moment tes sentiments ont peu d’importance. Ce n’est certainement pas le temps de s’apitoyer sur ton sort.

Tu es une jolie femme. On te l’a souvent répété et tu as fini par y croire. Tu as un charme naturel que beaucoup pourrait t’envier et qui t’a énormément servi lors de ton passage en politique pendant deux ans. Les gens qui t’écoutent parler et te regardent ont envie de te faire confiance. Les femmes jalousent ta longue chevelure brune qui ondule dans ton dos et les hommes admirent tes courbes féminines. Tu essayes toujours de bien paraître et d’être souriante en toutes circonstances, quelque chose que tu as appris pendant les deux ans ou tu étais adjointe du maire du district 10. Tu peux également te targuer d’avoir de magnifiques yeux noisette que tu diriges en permanence dans ceux de tes interlocuteurs. Ton physique t’aide énormément dans la vie de tous les jours parce que tu as l’air de quelqu’un de bien, de quelqu’un à qui on peut faire confiance et qui ne nous laissera pas tomber, ce qui est la plupart du temps vrai. Sauf pour une grosse exception qui rend enlève toute la crédibilité à cette phrase désormais.

about games and relative.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?
Tu pourrais mourir pour les rebelles et pour la cause qui vous tiens à cœur. Tu as déjà fait assez d’actions impardonnables à ce jour que mourir ne te fait plus vraiment peur. Certes, tu veux vivre et tu te battras pour rester en vie, mais tu n’as pas peur de risquer ta vie pour les gens du district treize et pour les rebelles dispersés partout dans Panem, parce que tu les considères comme ta nouvelle famille. Tu as tellement donné à la cause, tu as trahi ton meilleur ami et ton district, alors tu n’as plus grand-chose à perdre désormais.
➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ?
Non. Tu penses qu’obliger toutes ces pauvres familles à regarder leurs propres enfants s’entretuer dans une arène est d’une cruauté sans nom. C’est un peu ce qui t’as poussée à vouloir aider les rebelles au départ : tu n’en pouvais plus de voir les familles endeuillées au district 10, tu n’en pouvais plus de la violence des pacificateurs, tu n’en pouvais plus de cette dictature, et tu n’en pouvais surtout plus d’être obligée de regarder les gamins avec qui tu jouais dans ton district se faire bouffer à la télévision.
QUE PENSES-TU DE LA REVOLTE ECHOUEE ET DES REBELLES ?
Ça te rend terriblement triste de penser à toutes ces morts, même si tu sais que les vaillants soldats qui ont combattu pour la cause que tu défends voulaient mourir de cette façon-là et n’auraient pas supporté de ne rien faire. Seulement, plusieurs d’entre eux avaient une famille, et ils étaient tous aimés et appréciés, et tu es extrêmement déçue de la façon dont tout cela s’est terminé. Le Capitole a encore repoussé les rebelles, tuant des siens dans la même occasion. Il y a eu beaucoup trop de morts pour rien, d’après toi, et même si tu penses que votre cause mérite que vous continuiez à vous battre, cela ne rend pas la mort de tous ces gens correcte pour autant.
➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ?
Autant étouffée qu’en sécurité. Tu apprécies beaucoup l’hospitalité dont les habitants du treize ont fait preuve à ton égard. Tu devais fuir le district 10 après avoir trahi ton meilleur ami et l’homme avec qui tu as travaillé tous les jours pendant deux ans et ils t’ont accueilli sans vraiment poser de questions. Il faut dire, vu tout ce que tu as fait pour eux alors que tu étais à la tête du 10 en compagnie de Hurricane, ils ne pouvaient pas vraiment te laisser dehors. D’un autre côté, tu as toujours aimé l’air et les grands espaces, et le confinement du district treize t’étouffe un peu, même si tu n’es pas du tout en position de te plaindre. Tu t’y sens très bien et tu es contente d’y être arrivée sain et sauf, surtout depuis que tu as appris que ton Hurricane est devenu Alistair à la suite de ta trahison et qu’il veut maintenant ta peau. Les tunnels du treize te semblent donc parfaits désormais puisqu’ils assurent ta protection et sont désormais ta nouvelle maison, que tu le veuilles ou non.
➺ AS-TU PRIS PART AUX DERNIERS EVENEMENTS, QUE CE SOIT POUR OU CONTRE LE CAPITOLE ?
Oui, même si peu de gens étaient au courant. Tu as travaillé dans l’ombre pendant deux ans au service des rebelles, falsifiant des documents, passant de l’argent si besoin, tentant de cacher tes activités à Alistair et aux habitants du district. Personne ne pouvait savoir ce que tu faisais dans leur dos, comment tu aidais les rebelles, et c’est pourquoi, même si tu les as aidé comme tu pouvais vu où tu te trouvais, tu ne peux pas dire que tu as pris physiquement part aux derniers évènements, même si tu étais toujours dans l’ombre.
➺ CROIS-TU AU BONHEUR ?
Le bonheur est un étrange concept que tu ne peux pas vraiment te permettre de souhaiter pour l’instant. Si tu voulais vraiment être heureuse, tu n’aurais jamais trahi Alistair comme tu l’as fait, tu n’aurais jamais osé le soumettre à autant de douleur. Tu serais encore à ses côtés, à diriger le district 10 de la façon la plus juste possible. Tu ne mentirais pas, tu n’aurais pas à te cacher, les gens du 10 n’auraient jamais faim et n’auraient pas à pleurer qui que ce soit. Ça, c’est ce qui te rendrait heureuse. Une vie paisible avec ceux que tu aimes. Malheureusement, le monde ne marche pas comme ça, et tu as l’impression que les rebelles pourraient éventuellement te donner une vie comme tu l’aimerais, sans Hunger Games, sans douleur et sans mort. Un jour, peut-être, sait-on jamais.

JE VIENS D'UN MILIEU favorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est abondante. DU COUP, MON NOM A 7 CHANCES/RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE adjointe du maire du district 10 jusqu'à tout récemment ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'adorais ça, même si désormais je suis en fuite parce que j'ai aidé les rebelles. JE SUIS DANS LE 13ÈME DISTRICT. AYANT 29 ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET je suis assez indifférente par rapport à la nouvelle moisson.. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

tell us your story.

Tu as toujours eu une enfance heureuse. Ce n’est certainement pas là que ça a dérapé, et tes parents n’ont rien à se reprocher. Ils t’ont éduquée comme tout parent normalement constitué aurait dû. Chez toi, on te laissait certes t’exprimer, mais tu avais rapidement compris que critiquer le Capitole n’était pas dans les privilèges que tu avais. Au départ, cela ne te dérangeait pas. Tu n’as jamais été du genre à contredire tes parents ou à leur tenir tête. Tu étais une gentille petite fille, très calme et discrète. On te surnommait l’invisible, c’est tout dire. Tous te connaissaient au moins de vue dans le district 10. Comme ton père était l’adjoint du maire, votre famille avait une certaine importance et surtout une certaine influence sur ce qu’il se passait dans le district. Tu devais donc bien te tenir pour garder intacte la réputation de la famille Jenkins, qui était somme toute très bonne. Ça n’a pas été un problème pour toi. Tu aimais mieux rester tranquille à l’écart, échanger seulement un ou deux mots avec tes voisins par exemple. Sortir en groupe, ce n’était pas vraiment ton genre et tu préférais rester dans ta chambre à vaquer à tes occupations. Tu n’as donc jamais eu le temps de faire ou de dire des bêtises. Ça ne t’a pas manqué non plus : tu n’es pas le genre de fille qui apprécie créer des problèmes. Tu n’en as jamais eu, tes parents n’ont jamais levé la voix devant toi et vous formiez ensemble la parfaite petite famille Jenkins.

Pendant ton adolescence, tu n’as pas fait plus de bruit que pendant ton enfance. Tu ne sortais toujours pas, surtout pas pour aller parler des beaux garçons du district – les ragots, ce n’était pas vraiment toi. Tu aimais mieux rester chez toi à étudier et tes parents étaient convaincus que tu aurais une grande carrière dans ce que tu voudrais devenir plus tard. Tu ignorais dans quelle branche tu souhaitais t’en aller. Tout ce que tu voulais, c’était faire un métier valorisant qui te permettrait de changer des choses et de dire que tous tes efforts n’ont pas été vains. Tous pensaient donc que tu restais encore cette gentille petite fille à papa, qui embrassait les idées de son père et qui finirait au Capitole à un poste important quelconque. Très intelligente, tous étaient convaincus que, où que tu ailles, tu finirais par monter les échelons et tu n’apporterais que le bien autour de toi. Seulement, ce n’était pas tout à fait ce que tu avais en tête à l’époque. Tu avais entendu parler des rebelles, et, jeune adolescente, ils te faisaient un peu peur. Ton père se faisait un devoir de te raconter toutes sortes d’histoire atroces à propos d’eux, les dépeignant presque comme des sauvages. Tu n’y as jamais réellement cru, il a toujours subsisté un doute en toi. Ils ne pouvaient pas tous être mauvais. Toi, en tout cas, tu ne le voyais pas comme ça. Les rebelles pour toi, c’était des gens qui avaient une idéologie et qui avaient assez de courage pour la défendre au prix de leur vie. C’était des gens qui voulaient du changement et qui n’en pouvait plus de vivre sous une dictature. Et ça, tu pouvais le comprendre. Tu t’es donc intéressée très subtilement à leur cause pendant ton adolescente, commençant à comprendre comment tout cela fonctionnait, et au début de la vingtaine, tu étais entrée en contact avec quelques membres de la résistance, leur offrant ton soutien. Ce n’était pas grand-chose à l’époque, que des paroles en l’air, mais tu voulais les aider d’une façon ou d’une autre.

Lorsque tu as eu 24 ans, le maire Cornwells est décédé. C’est son fils, Hurricane, qui a pris sa place, et ton père, Braxton, qui était alors son adjoint, a décidé qu’il était temps pour lui qu’il prenne sa retraite. Ne sachant toujours pas ce que tu voulais faire de ta vie, tu as trouvé que c’était une excellente opportunité, et tu t’es donc proposée pour le poste. Hurricane et toi, ça a marché rapidement. Vous vous entendiez exceptionnellement bien et tu adorais travailler avec lui. Tu l’as aidé dans ses décisions, tu l’as serré dans tes bras lorsque plus rien n’allait, tu t’es assise des heures avec lui pour discuter des meilleures décisions à prendre pour le district, des pour et des contre. Tu as adoré ton expérience en tant qu’adjointe. Et surtout, tu as adoré connaître Hurricane un peu plus chaque jour. C’était à tes yeux un être humain complet, avec son lot de forces et de faiblesses, et tu avais rapidement accepté tout ça. La plus grosse crise que vous avez traversée ensemble a néanmoins été la mort de sa sœur aux Hunger Games. C’est peut-être à ce moment-là que tu as vraiment compris pourquoi la cause des rebelles t’inspirait autant de bien. Tu as senti quelque chose se briser en toi lorsque tu as vu ton meilleur ami et ton collègue de travail si misérable. Il souffrait, et tu ne pouvais absolument rien y faire. Rien ne ramènerait sa sœur. Tu ne pouvais que le consoler, lui parler, être là pour lui, tenter d’enlever un peu du poids qui pesait sur ses épaules. Tu le faisais par amitié, par amour même.

Puis tu as dû le trahir. Depuis le début de ton mandat, tu correspondais secrètement avec des rebelles, un en particulier. Ils étaient intéressés par ta position haut placée dans le district 10 qui pourrait leur sauver la vie dans quelques occasions. Tu leur as donc rendus quelques services au début, et puis c’était de plus en plus régulier. Tu falsifiais des documents de décès, tu leur prêtais de l’argent et tu tentais désespérément de cacher le tout à Hurricane, qui en vivait déjà trop avec la mort de ses proches pour apprendre que celle à qui il faisait le plus confiance trahissait sa confiance sous son nez. Tu as continué comme ça durant deux ans. Le 10 était devenu un QG pour les rebelles puisque tu les protégeais lorsqu’ils étaient dans le district, du moins autant que tu le pouvais sans soulever des soupçons. Tu as parfois demandé ce qu’il adviendrait de Hurricane, ce que tu devrais faire à ce moment-là. Tu le savais, pourtant, mais tu te devais de demander. Il ne pouvait pas être dans la confidence. Il te fallait continuer à jouer un double-jeu, disaient-ils. C’était impératif pour la cause des rebelles. Alors tu n’avais rien dit et tu avais continué à tout lui cacher, persuadée de le protéger, du moins pour l’instant.

Jusqu’à ce que tout cela dégénère. Les finances toujours plus basses du district 10 ont alerté les autorités, et tu savais que ça en était terminé de toi, de tes beaux jours pour aider les rebelles. Tu en étais parfaitement consciente. Alors, tu t’es arrangée pour faire croire que c’était Hurricane qui avait trahi le district 10 et tu t’es enfuie. Tu savais que ce jour allait arriver et ton arrivée au district 13 était déjà prévue. Tu n’as laissé qu’un mot sur la table pour ton meilleur ami : désolée. Tu es surtout désolée de n’avoir pu lui dire plus, de n’avoir pas pu lui dire au revoir. De lui faire subir toute la douleur que tu avais tenté d’effacer lors du décès de sa sœur. Tu t’en voulais vraiment, mais personne ne l’a jamais su.

Tous pensent que tu l’as fait parce que tu le devais pour la cause que tu soutenais. Ils pensent que ça n’a pas été agréable mais que ça fait longtemps que tu as oublié Hurricane. Sauf que tu prends discrètement des nouvelles de ton district pour savoir comment il va : et ça ne va pas bien. Il se fait désormais appeler Alistair et il semble avoir oublié les deux ans que vous avez passé ensemble et vos jeux d’enfance. Il ne semble se rappeler que de ce que tu lui as fait subir. Tu vas vouloir essayer de le sauver, bien sûr. Ou de précipiter sa perte, cela dépend du point de vue.

Tu ne regrettes pas ton geste. Vous êtes en temps de guerre et c’était inévitable si tu voulais survivre. Cela n’en fait pas ta plus grande fierté, loin de là. C’était un mal nécessaire. Et si tu parvenais juste à faire comprendre à Hurricane – à Alistair – que tu es toujours la même, que vous êtes toujours aussi liés… Peut-être qu’il parviendrait à te comprendre et, qui sait, peut-être rejoindrait-il les rangs des rebelles. Dans tous les cas, tu as besoin de lui à tes côtés, pour des raisons pratiques et émotionnelles. Malheureusement. Tu peux bien faire croire aux habitants du treize que tu n’en as rien à faire de ce type et que tu le manipuleras encore avec plaisir, mais il devient de plus en plus difficile de te mentir à toi-même. La vérité, c’est que tu le manipuleras encore si besoin, mais ça ne sera certainement pas avec plaisir.

reality is here.

Bonjour ! Je m’appelle Geneviève, je n’ai pas vraiment de pseudo sur le net, la plupart des gens m’appellent seulement Gen :face:J’ai 16 ans, et je suis Québécoise, ce qui veut dire que je croiserai les plus insomniaques d’entre vous souvent (a) J’ai adoré les livres ainsi que le film, j’attends le deuxième avec impatience. Je ne connais pas beaucoup votre forum encore, mais au premier coup d’œil, il m’a l’air génial, vous avez fait un merveilleux travail !
IMPORTANT : Comme je l’ai dit à Alistair, je pars à Chicago (hehe) demain (dimanche le 11 août) et je reviens le 16 août. Je me suis inscrite parce que j’ai eu un coup de cœur pour Poppy et je ne veux pas qu’elle me file entre les doigts :face:Donc je vais évidemment avoir besoin d’un délai pour ma fiche, même si je vais essayer de l’avancer le plus possible cet après-midi avant de partir demain matin. Merci beaucoup ♥

FEATURING Evangeline Lilly © ASHESDUST