petites annonces à ne pas rater
✤ TOURNEE DU VAINQUEUR les jeux sont désormais terminés, place à la tournée du vainqueur qui met à l'honneur andro graham ! plus d'informations ici.
✤ INTRIGUES panem ne cesse de changer avec de nombreux événements inouïs. découvrez le volume 6.
✤ MISES À JOUR une nouvelle règle a été instaurée. merci de prendre connaissance de celle-ci ainsi que les autres nouveautés !
✤ MISSIONS ET QUÊTES toutes les missions ont été lancées ! rendez-vous dans ce sujet pour toutes les découvrir.
✤ SCENARIOS voici quelques scénarios qui n'attendent que vous:
rebelles. liam hemsworth
pacificateurs. boyd holbrook
district 13. cobie smulders & chris hemsworth
vainqueurs. gemma arterton & elle fanning
d'autres scénarios gagnants de la loterie à venir !

 

fermeture du forum
le forum ferme ses portes après six ans d'existence.
merci pour tout, on vous aime.
-40%
Le deal à ne pas rater :
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + Casque filaire ...
29.99 € 49.99 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 ALEXEED Ϟ the first cut is the deepest.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité



ALEXEED Ϟ the first cut is the deepest. Vide
MessageSujet: ALEXEED Ϟ the first cut is the deepest.   ALEXEED Ϟ the first cut is the deepest. Icon_minitimeMar 28 Mai - 22:56



we only part to meet again.



Le visage blême, le regard perdu dans le vide, Reed semblait appartenir à un autre monde, celui des zombies, voir des spectres au vu de son immobilité et sa pâleur fantomatique. Le jeune homme était un habitué des souterrains du treizième district à présent. Oublié le soleil qui venait lui caresser la peau lorsqu’il ramassait les pomelos en plein été. Evanoui son teint halé qui se gratinait à l’ombre des larges feuilles des arbres fruitiers. S’il était retourné à sa famille dans cet état, ils l’auraient immédiatement mis dans un cercueil en bois direction six pieds sous terre. La légère cicatrice qui parcourait son torse contrastait avec la lividité de sa peau. Cette même cicatrice lui rappelait la déchirure brutale entre son passé radieux malgré la pauvreté et son insouciance d’enfant avec la dure réalité de la rébellion contre le gouvernement tyrannique de Panem. Le jeune Parker pensait que sa mort aurait marqué un tournant dans sa vie. Logique. Le départ vers le paradis sans aucune privation. Mais les Dieux en ont décidé autrement. Ou plutôt la Présidente Coin. En lui, elle avait vu un atout non-négligeable dans sa quête de la domination totale du pays. Ainsi, le repos éternel de reed serait repoussé. A moins que la quête qu’il entreprend ne le mène tout droit en enfer. Triste destin pour un enfant lambda qui s’est révélé dans l’arène sanglante des Hunger Games. Et c’est ce qui arrive malheureusement à 24 gosses chaque année, sacrifiés sur l’hôtel du plaisir, du divertissement. Mais bientôt, tout cela ne serait qu’un mauvais souvenir, image d’une tyrannie renversée prochainement.

La tête tournée vers le plafond immaculée de sa « chambre », Reed s’imagina le temps du côté de son ancien district. Ensoleillé très certainement, comme toujours en cette période de moisson. Sa mine devint plus grave lorsque le visage d’Alexiane se projeta dans son esprit. Cela allait être ces seconds Hunger Games en tant que coach. Elle allait devoir être forte, à nouveau, pour observer paisiblement les tributs du district 11 se faire éliminer chacun son tour dans un bain de sang malheureusement non-négociable. Trop gentille, trop attachée et attachante, cela devait être une expérience bien trop difficile pour elle. Surtout après avoir échappé de peu à la mort lors de la pénultième édition de ce massacre télévisé. Ce sourire et ce regard pétillant de malice était à présent vide, comme aspirés par le Capitole. Lorsque l’ancien pensionnaire du onzième district l’avait vu sortir vainqueur de son édition, la joie l’avait emporté sur la tristesse de la voir tomber en décrépitude petit à petit. Plongé dans ses souvenirs heureux, humant le souvenir de  l’odeur des fleurs d’oranger, Reed se trouva nostalgique de cette période. En dehors de sa famille, Alexiane était la personne la plus importante pour lui et son départ dans l’arène avait laissé un goût d’inachevé. Notamment pour elle, spectatrice inutile de la boucherie sanguinaire sur le corps sans vie du jeune tribut. Une légère amertume se glissa dans la bouche à se souvenir des images de sa propre mort. En effet, Coin avait forcé son nouvel atout à voir sa mort en boucle pour bien imprégner dans son esprit le pouvoir destructif du Capitole.

Un léger coup d’œil au niveau des néons aveuglant et Reed se meut avec difficulté hors de son lit de camp. Une excitation particulière parcourait son corps. En effet, depuis son arrivée dans les souterrains, il prenait enfin une décision de son propre chef. Rien de décidé par Coin ou alors que Raven avait accepté. Enfin, l’ancien tribut du onzième district prenait sa vie entre ses mains. Posant ses deux pieds à plat au sol, il passa une main dans ses cheveux. Torse-nu à cause de la chaleur étouffante des radiateurs, Reed avança d’un pas décidé et convaincu vers son bureau, de l’autre côté de la pièce. Lèvres sèches, cela allait être la première fois qu’il allait être en contact avec l’extérieur, plus précisément Alexiane. Et autant dire que si cela venait à se savoir, le jeune homme n’aurait pas la vie simple. D’autant plus après l’échec retentissant de la mission menée par son supérieur, Raven. Les deux s’étaient fait tirés les cheveux et étaient étroitement surveillés par les sbires de Coin. Reed n’appréciait pas particulièrement la jeune femme frigide mais tout ce qui pouvait faire tomber le Capitole le tentait. Et pour cela, le fils unique des Parker allait essayer de rallier à sa cause sa meilleure amie, sa confidente, et très certainement plus si sa fausse mort ne les avait pas séparés.

Tirant d’un geste souple la chaise, l’ancien membre du district onze s’assit doucement dessus. L se prit la tête entre les mains, tentant de trouver les mots à coucher sur le papier. Reed sortit une feuille avec délicatesse et débouchona le crayon avec ses dents, le recrachant avec virilité quelques mètres plus loin. Néanmoins, derrière cette attitude de confiance, il y avait énormément d’hésitation. Le jeune homme n’était pas un homme de lettres. Il préférait l’action aux beaux mots. Un cerf plutôt qu’une lettre parfumée. De plus, derrière cette lettre, il devait cacher son identité. Double exercice périlleux pour un piètre écrivain. Et pourtant, il mit la main à la pâte, dessinant des lettres grossières sur le papier.

Chère Miss Hawthorne,


C’est en cette période de Moisson que je me décide enfin à prendre mon courage à deux. Pas que je sois un peureux, non. Loin de là. C’est tout simplement parce que vous êtes une femme impressionnante. Il faut rendre à César ce qui est à César, vous avez le physique d’une princesse des podiums mais vous possédez le cœur d’un lion. Courageuse, voilà un mot qui vous décrirait à la perfection. Et parmi cela, la bonté, la chaleur humaine que vous transmettez. Ces petites fossettes vous trahissent même lorsque la situation requiert une concentration extrême. Chez vous, le mal n’existe pas.

C’est pour cela que mon cœur fut déchiré en deux lorsque votre nom fut tiré au sort lors de ces sordides Hunger Games. Je ne vous ferai pas part de mon avis sur ces imbécilités jeux. Envoyer une telle fragilité dans une arène sanguinaire est un acte que les Dieux ne pardonneront jamais à ces pauvres pécheurs. Et j’espère que le retour de bâton sera bien cruel envers eux.

Et pourtant, vous avez réussi à sortir de cette épreuve, je ne dirais pas indemne, mais vivante ce qui est déjà une bonne chose. Et je vous suis, depuis cette année précise. Ne voyez pas en moi un pervers obsédé par votre beauté ou votre richesse. Mais vous m’avez touché comme jamais on ne m’a touché. Hormis quelqu’un dans mon passé à présent lointain. Mais à présent, je ne peux que m’imaginer la souffrance et les difficultés que vous vivez. Les cauchemars, le dégoût de la vie. Je les ai connus également. Et c’est pour cela que je vous propre mon aide.

Si vous souhaitez garder contact avec moi, répondez-moi tout simplement et je partagerai vos peines, vos douleurs comme si elles furent les miennes.

Cordialement, un ami qui vous veut du bien.


Relevant la tête et se tournant le poignet pour évacuer le fourmillement désagréable qui parcourait son poignet, Reed plia légèrement la lettre. Il se leva avec calme et sérénité avant de s’éclipser pour transmettre la lettre en main sûre. En espérant ne pas l’avoir effrayé et en attendant une réponse prochaine.


made by pandora.


Revenir en haut Aller en bas
Alexiane R. Hawthorne
DISTRICT 11
Alexiane R. Hawthorne
△ correspondances : 11154
△ points : 75
△ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory)
△ à Panem depuis le : 08/05/2011
△ humeur : indifférente
△ âge du personnage : vingt-deux ans
△ occupation : mentor


can you save me?
statut: célibataire, coeur occupé par un revenant
relationships:


ALEXEED Ϟ the first cut is the deepest. Vide
MessageSujet: Re: ALEXEED Ϟ the first cut is the deepest.   ALEXEED Ϟ the first cut is the deepest. Icon_minitimeSam 27 Juil - 20:00


Parfois, j’aimerais que tout soit comme avant.
Souvent même.
J’ai l’impression d’avoir mûri de dix ans en seulement quelques mois. Vingt-trois, pour être exact. Depuis que je suis sortie victorieuse de cette année et que la jeune fille insouciante à laisser place à la jeune femme devenue tueuse expérimentée. Tueuse. Je crois que je ne m’habituerais jamais à ce terme. Pourtant, c’est ce que je suis. Il y a deux ans, je n’aurais jamais pensé attendre un point de non-retour tel que je le fais aujourd’hui. Tout aurait pu se terminer à ma sortie de l’arène. J’aurais supporté une tournée des districts pour fêter ma victoire pendant quelques mois, mais tout serait redevenu calme, une fois rentrée. J’aurais continué ma petite vie tranquille. Bien-sûr, rien ne pourrait effacer le sang que j’ai sur les mains, mais j’aurais pu me reconstruire. Redevenir cette fille souriante et parfois un peu stupide qui se promène le long des champs du district onze. J’aurais pu. Mais le destin en a décidé autrement. Au lieu de ça, je me suis enfermée chez moi, j’ai tiré un trait sur tous ceux qui auraient pu m’aider et j’ai sombré. Sombré dans la folie et la dépression. Ça aurait pu se terminer. Ça aurait pu, si Phoenix et Zoé n’avaient pas décidé de faire irruption chez moi à tour de rôle, pendant la nuit. Phoenix était mort. Zoé avait été blessée. Ils sont venus me rappeler les vieux souvenirs de l’arène. Ils sont venus me rappeler que rien ne serait plus comme avant. Ils sont venus me rappeler que désormais, j’étais une tueuse.
Parfois, j’aimerais bien que tout soit comme avant. Je me revois, passant la journée dans les vergers à aider mon père ou mon frère. Puis à prendre la relève et travailler pour apporter un maigre salaire après l’école. On était mal traité, on souffrait de la chaleur et des heures qui s’accumulaient sans jamais pouvoir s’arrêter, mais au moins, on était heureux. Parce qu’on savait qu’on pouvait compter sur les autres. Cet élan de solidarité est mort avec les Jeux. Désormais, je suis riche. Je ne dois plus travailler pour ma survie. Je ne suis plus des leurs. Parfois, j’aimerais revivre ne serait-ce qu’un après-midi avec Reed. Revoir son sourire et apprécier la vie en sa compagnie. Il m’aidait à tenir malgré la pauvreté, la faim et la maladie. Il était là, il a toujours été là. Jusqu’à ce que les Jeux me l’arrache. J’ai jamais eu beaucoup d’amis, mais les rares que j’ai su gardés sont partis après mon retour de l’arène. Reed me manque. Il ne m’aurait jamais jugée comme d’autres l’auraient fait. Il aurait été à mes côtés malgré tout. Son absence me tue un peu plus chaque jour.
Vingt-trois mois, sept morts de mes mains, une tournée de la victoire et une nouvelle moisson ont eu lieu depuis que j’ai moi-même été moissonnée. Je pensais qu’on m’oublierait après la victoire de Gemma. Si la tranquillité s’est faite ressentir les premiers temps, j’ai vite compris qu’un tueur était glorifié jusqu’à sa mort au Capitole. Je n’échappe pas à la règle. D’autant plus qu’après la victoire, vient le travail de mentor. De quoi être encore surveillé par le Capitole. De grosses attentes pesaient sur mes épaules l’an dernier, attentes qui ont vite été réduites à néant grâce à moi. Malgré la bonne note de mes tributs, ils sont morts, et pire encore, Ezea a réussi à provoquer un coup d’éclat à l’aide d’Hope, notre styliste. Je n’ai pas le droit à l’erreur cette année. La moisson aura lieu dans quelques jours, et mes tributs devaient se faire oublier le plus rapidement possible. Mourir, donc, si possible. Je ne leur souhaite pas un funeste destin, mais je suis réaliste. C’est ce qu’il va leur arriver. Désormais, je n’ai plus Astaroth pour m’épauler. Ni même Phoenix. Je n’ai jamais été proche d’eux, mais leur soutien était précieux en cette période de moisson et d’avant Jeux. Maintenant, c’est seule que je dois gérer deux tributs. Je n’ai aucun conseil à leur donner, je suis arrivée à la victoire par chance. Ils vont mourir, je le sais, et ils ne tarderont pas à la découvrir eux aussi.
Mais pour l’instant, je dois me concentrer sur autre chose. Je ne peux pas lâcher prise avant même que deux pauvres gosses du onze soient envoyés à l’abattoir. La tradition veut que chaque gagnant se trouve ensuite une occupation puisqu’il n’aura plus à travailler. Je n’ai pas encore trouvé la mienne. Je dessine, parfois, pour mettre sur papier les cauchemars avant de les jeter au feu. J’ai essayé de me mettre à la cuisine, mais je reste convaincue que ce n’était vraiment pas une bonne idée. J’aimerais bien écrire, mais il m’est difficile de raconter autre chose que mon expérience au sein des Jeux. Alors, j’ai commencé à sortir dans le district. Ça n’est pas réellement quelque chose d’artistique comme le voudrait la tradition, ce n’est pas même une passion, mais ça m’aide. J’ai commencé lors de mes trop nombreuses insomnies. Le district est pratiquement désert la nuit, à cause des couvres feux. En tant que ‘’célèbre gagnante’’ je peux profiter de ce statut pour contourner les règles. Parfois, des Pacificateurs me suivent de loin, mais je n’y prête pas attention. Je me contente de marcher, sur de plus ou moins longues distances, jusqu’à ce que le vide se fasse dans mon esprit. C’est ce que je fais cette nuit, comme tant d’autres. Je fais le tour du district, puis quand le soleil commence à se dessiner dans le ciel, je prends le chemin du retour. Habituellement, je ne croise personne, si ce n’est quelques agriculteurs qui partent travailler et qui ne font pas attention à ma présence. Habituellement, il n’y a personne, encore moins pile devant chez moi.
Mais aujourd’hui fait exception à la règle.
Je distingue une silhouette posée devant l’entrée, agenouillée.  Je reste immobile pendant quelques instants. Ça ne peut pas être Avery, Avery a les clefs. Ça doit être quelqu’un que je connais, puisque  l’entrée au village des vainqueurs est étroitement surveillée et que je suis la seule résidente avec mon frère. Pourtant, je n’ai pas confiance. Si je connaissais réellement cette personne, elle ne serait pas vêtue de noir et ne viendrait pas devant ma porte à l’aube pour y déposer quelque chose. « Hé ! » Je laisse échapper. L’inconnu se retourne et fuit immédiatement. Je reste immobile encore quelques instants, je ne veux pas lui courir après, mais j’ai peur de découvrir ce qu’il a déposé sous mon porche. Finalement, après quelques instants, je m’avance. Une lettre. Une simple lettre. Tout ça pour ça ? Je l’a prends et cherche du regard l’inconnu qu’il l’a déposée. Je le retrouve, au loin, prêt à déguerpir du village. Quand je l’interroge du regard, sa seule réponse est de me désigner la fenêtre avant de disparaître. Je me faufile rapidement à l’intérieur, par peur d’être vue et surtout, curieuse de découvrir le contenu de la lettre. Elle se révèle venir d’un admirateur, comme j’en reçois des centaines depuis mon retour des Jeux. Sauf … sauf que celle-ci m’interpelle. Il ne loue pas mes meurtres, ne me félicite ou ne m’insulte pas pour ceux-ci comme j’en ai l’habitude. Malgré tout, je suis réticente à répondre. Je ne réponds pas à ce genre de lettres habituellement, car je ne sais pas qui l’écrit. Ça peut être un psychopathe, ou un admirateur obsédé. Et ça ne me rassure pas. Mais, je suis bien trop curieuse. Qui m’écrit, avec ce ton si compatissant, qui a presque l’air de me connaître ? Et puis, après tout, je n’ai plus rien à faire de mes journées, j’ai donc tout le temps d’y répondre. Ça fait longtemps que je n’ai pas ressenti une excitation ainsi, pour quelque chose qui me plaisait. Je ne peux pas faire semblant de n’avoir jamais rien reçu.

Citation :
Cher … je ne connais pas votre nom, il faudra penser à m’en donner un, ‘’ un ami qui vous veut du bien ‘’  est un titre bien trop long.
J’ai hésité à vous répondre. Je n’ai pas l’habitude de recevoir de courriers aussi compatissants. J’ai même pensé à une mauvaise blague. Mais le fait que vous sembliez me connaître m’a rendu curieuse. Nous serions-nous déjà rencontrés ? Il faut dire que j’ai écumé de nombreux districts après ma sortie de l’arène. Laissez-moi cependant rectifier une chose. Je vous assure que le mal existe chez moi.
Certaines personnes vous diraient que les Dieux eux-mêmes choisissent qui ils souhaitent envoyer dans cette arène. De mon côté, je vous dirais simplement que je ne pense pas qu’il y aura un ‘’un retour de bâton ‘’. Notre société nous a déjà prouvé que l’injustice n’était jamais punie. Injustice. Voilà un mot qui résumerait assez bien ma situation.
Personne ne peut imaginer l’épreuve que représentent les Jeux à moins de l’avoir lui-même vécue de l’intérieur. Si vous les avez connus également, êtes-vous un vainqueur ? Êtes-vous parvenu à sortir indemne de vos Jeux ? Je n’ai pas besoin d’aide. Pas par lettres interposées, en tout cas. Mais vous attisez ma curiosité comme jamais personne auparavant. Je crois que je vais prendre le risque de correspondre avec vous, même si dans ma tête vous êtes toujours un pervers obsédé comme les autres – même si vous m’assurez le contraire.
Donnez-moi un prénom la prochaine fois.
Alexiane.
Je pose le stylo, hésitante. Est-ce vraiment une bonne idée ? Je ne connais pas mon correspond. Il n’est pas difficile de venir me trouver dans le village des vainqueurs. Il y a une seule maison occupée, et visiblement on peut s’y faufiler, à en croire la facilité dont Zoé a fait preuve. Et moi, je m’apprête à raconte ma vie à un inconnu. Ce n’est pas une bonne idée. Mais le fait est que je suis plus seule que jamais, et que toute compagnie est acceptée, même par lettre interposée. Alors je prends le risque. Je la dépose sur la fenêtre, comme me l’a indiqué l’homme venu la déposer, et je file dans ma chambre pour tenter de dormir quelques heures.
Pour la première fois, j’ai la tête occupée par autre chose que les Jeux.

Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
http://www.mockingjay-rpg.net/t6442-get-along-with-the-voices-inside-of-my-head-alexiane http://www.mockingjay-rpg.net/t152-11-this-is-survival-of-the-fittest-this-is-do-or-die-alexiane
 

ALEXEED Ϟ the first cut is the deepest.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» THE DEEPEST PART OF ME
» Et si je n'étais jamais vraiment parti ? Alexeed
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
MOCKINGAY - rpg inspiré de Hunger Games ::  :: Archives :: Volume 3 :: anciens rps-
© MOCKINGJAY-RPG.NET (2011-2017)
L'INTÉGRALITÉ DU FORUM APPARTIENT À SON ÉQUIPE ADMINISTRATIVE.
TOUTE REPRODUCTION PARTIELLE OU TOTALE DE SON CONTENU EST INTERDITE.