Emily Harmony Heathcliff

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Je pourrais mourir si je pouvais de cette façon sauver un membre de ma famille ou une personne à laquelle je tiendrai. Mais en toute franchise, je pense que je serais plus utile en vie à mes proches que six pieds sous terre.

➺ QUEL(S) PETIT(S) PLUS T'AIDE(NT) DANS LA VIE (OU LES JEUX) ?

J'ai une bonne connaissance des plantes, ingrédients et racines médicinales, et je sais comment préparer des remèdes et comment les appliquer. Je ne sais pas manier d'armes c'est vrai, mais je peux sauver des vies. Ou du moins, j'essaye.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Mon frère aîné y a participé.

➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ?

Qui pourrait l'apprécier parmi les districts ? En tous cas, ce n'est pas mon cas. Chaque année, nous assistons à la mort des tributs et nous ne pouvons rien faire pour les sauver si ce n'est espérer qu'un autre enfant ou adolescent ne se porte volontaire pour combattre à leurs places. Je vous applaudit président, vous avez vraiment trouvé le moyen de calmer les districts après la révolte du 13. Maintenant, vous courrez encore plus à votre perte. Comme on dit, dans la vie, tout se paye un jour ou l'autre.

QUE PENSES-TU DE LA REVOLTE ET DES REBELLES ? CROIS-TU A LEUR EXISTENCE ?

Je comprend leur combat, leur mode de pensée et le pourquoi ils font tout ça. Dans ce monde de brutes et de sauvages qu'est le monde des hommes, la seule façon de prouver sa force ou sa façon de penser à ses rivaux est de combattre et de mettre les vies de millions de vies en danger. C'est triste, et même monstrueux, mais il faut croire que ça marche... Malgré tout, je ne participerai pas à leur combat, bien que je les comprennent.

➺ COMMENT QUALIFIERAIS-TU TA VIE DANS TON DISTRICT ? EN ES-TU SATISFAIT ?

La vie ici n'est pas particulièrement bonne. Nous ne vivons pas dans le district le plus aisé et personne n'est à l’abri des pacificateurs. La vie est assez dure à vrai dire, mais nous faisons de notre mieux dans ma famille pour nous faciliter la vie et pour survivre du mieux possible. Vous connaissez ces petits instants de joie que vivaient apparemment les gens auparavant ? Nous essayons de les vivre nous aussi. Nous ne sommes pas particulièrement riches, nous ne sommes pas toujours tous d'accords et nous n'avons pas toujours la même façon de voir les choses, mais nous nous efforçons de nous rendre la vie plus douce et de nous sentir bien, ne serait-ce qu'entre nous.

➺ CROIS-TU AU BONHEUR ?

Je pense que le bonheur est une chose extrêmement rare, et qu'il faut tenter de ne pas le rechercher. Je crois au bonheur, mais je pense que pour qu'il soit, les gens doivent tenter de se construire des souvenirs ou des pensées un peu moins noires. Disons que généralement, le bonheur n'arrive qu'aux gens qui souffrent et vivent des choses horribles. Je dis ça parce que lorsque nous ne sommes pas habitués aux bonnes choses et qu'elles nous tombent dessus, nous en profitons plus que les gens qui auraient l'habitude d'être heureux. Le bonheur est semblable à une valeur humaine à mes yeux qui peut toujours arriver. Le bonheur est aussi présent que le malheur, il faut juste éviter de prendre le malheur pour acquis.

JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est plutôt "rare". DU COUP, MON NOM N'A aucune CHANCE D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE apprentie guérisseuse ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime/n'aime pas. JE SUIS DANS LE 7ÈME DISTRICT. AYANT 23 ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende énormément la prochaine moisson. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

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tell us your story.

Je me suis longtemps demandée pourquoi les gens autour de moi étaient malheureux, en colère ou bien révoltés. Il m'a fallut du temps avant de prendre conscience de ce qu'il se passait. A vrai dire, j'ai toujours été comme ça. Mais est-ce vraiment ma faute ? Je ne sais pas. Je pense, après tout je suis née comme ça. Je suis quelqu'un d'insouciant et de naïf selon mon entourage et les gens qui prennent beaucoup de plaisir à se moquer de moi, aussi bien devant que derrière moi. Les gens prennent leurs aises en ma compagnie, parce que même si nous sommes presque tous pauvres et que nous avons quasiment tous une vie plus ou moins misérable, cela restait plus facile de s'en prendre aux plus stupides. C'est ainsi que l'on me considérait. Comme une personne trop bête, ne serait-ce que pour comprendre ce qu'il se passe autour d'elle, et c'est ainsi que l'on me considèrera toujours. Mais au fond, je préfère ne rien dire.

Ceux qui se pensent les plus intelligents sont toujours ceux qui souffrent le plus. Ils attendent trop et n'ont généralement pas assez. Alors ils en redemandent, quitte à faire couleur le sang des autres, et parfois même le leur. Moi au moins, personne ne me cause de tord à ce niveau-là, car je n'attend pas beaucoup, et je me satisfait d'un rien. Personne ne semble comprendre mon point de vue, excepté moi. Mais pourtant c'est très simple... Mais je n'ai pas envie de m'expliquer là-dessus. Je ne m'explique jamais sur rien. A quoi bon ? Je suis trop stupide d'après les gens, alors je n'ai pas à me justifier. J'ai juste à continuer de me conduire ainsi, de parler très peu et de garder mes pensées pour moi. Certaines personnes ont de la compassion pour moi. Elles pensent que je suis trop inconsciente des horreurs qui nous entourent et qui nous guettent pour pouvoir souffrir. Pour ressentir quelque chose de mauvais. A vrai dire, c'est plutôt moi qui me sentait mal à leur égard...

Enfant, j'étais protégée par les hommes de ma famille. C'est à dire par mon père et par mon grand-père. Ils veillaient également sur ma mère et ma grand-mère, ainsi que sur mon frère et moi. Mais j'étais la plus jeune, j'étais une fille, et j'étais trop inconsciente du danger. Ils devaient supposer que je pouvais révéler quelque chose que j'avais vu ou entendu chez nous ou bien dans notre district aux pacificateurs. Par conséquent, ils me surveillaient et s'intéressaient beaucoup à moi, à ce que je voulais, pensais et faisais. Ils le faisaient certes par amour, mais aussi pour protéger toute notre famille. Mon frère quant à lui avait trois ans de plus que moi et savait tenir sa langue. Il l'avait toujours su et était comme mon père. Il était fort intérieurement et bâti de sorte que personne ne puisse lire en lui. Ce n'était pas un comédien ou un menteur, loin de là. Mais il agissait de la meilleure façon possible afin de ne jamais se laisser marcher dessus, et il possédait une force émotionnelle incroyable. Tout comme mon père, à vrai dire.

Alors, bien que j'étais très jeune encore à l'époque, ma mère me prit sous son aile pour m'enseigner ce qu'elle savait sur les plantes médicinales qui existaient, surtout sur celles de notre district à vrai dire, mais aussi un peu partout à Panem. J'étais fascinée par la végétation abondante qui avait le pouvoir de soigner les maux des malades et également des repas et tisanes dans lesquels nous pouvions nous servir des plantes. Oui, car bien que ma mère ne me parlait quasiment que des plantes médicinales, ma grand-mère me montrait aussi comment les utiliser autrement. Elles étaient très proches, et je sentais que ma mère avait peur que la sienne ne nous quitte un jour. Malheureusement, c'est une femme d'un âge mûr et elle n'est pas en excellente santé. Mon grand-père non plus d'ailleurs... Mais dans le district 7, les gens étaient majoritairement pauvres... par conséquent, nous n'avions pas de bonnes conditions de vie, notamment pour des personnes âgées. Mais dans cette famille, il y avait aussi un petit dernier.

Mon petit frère est né huit ans après moi. Il n'était pas désiré, pas plus que mon frère ainé et moi à vrai dire. Mes parents n'avaient pas voulu avoir d'enfants parce qu'ils savaient que les Hunger Games ne nous épargneraient pas plus que les autres enfants de notre district. De plus, les moyens de contraception étaient assez réduits ici, et je présume qu'ils avaient leurs besoins... Mais je sais qu'ils nous aiment. Je sais qu'ils ne nous regrettent pas. Du moins, qu'ils ne me regrettent pas moi...

C'était un jour nuageux pour la saison. Mon frère ainé Théodore et moi-même étions debout, alignés parmi les rangs des enfants de notre âge. Il avait 17 ans et j'en avais 14. Je ne sais pas pourquoi, mais ce jour-là j'avais froid. Avant de nous séparer de notre famille mon frère et moi, Théo m'avait regardée et avait retiré son pull puis me l'a faite enfiler. Il a ensuite prit ma main et m'a accompagnée jusqu'aux filles de mon âge avant de ne partir rejoindre les garçons du sien. Une fille près de moi tremblait un peu à cause du froid elle aussi, alors je l'ai prise dans mes bras pour la réchauffer un peu. Sur le coup, elle eut un mouvement de recul et d'incompréhension, mais elle reste collée à moi ensuite. Lorsque les gens ont envie de faire quelque chose en général, ils ne le font pas par peur de ce que les autres pourront penser d'eux, ou de se faire rejeter pour x raison. Là aussi, je ne pouvais pas penser de cette manière-là. Et je rendais service et rassurai sûrement un peu cette petite fille, juste par mon geste.

Puis un habitant du Capitole est monté sur scène, nous a parlé sans que je ne puisse comprendre quoi que ce soit de ce qu'il nous disait, trop concentrée sur mon geste et a regarder les autres enfants. Dans la lignée de garçon de mon âge, j'en repérai un en particulier. Je l'avais déjà croisé une fois je crois. Il se tenait droit et je pouvais sentir qu'il éprouvait de la haine envers cette personne, sur scène. Je l'observai quelques instants avant de ne sentir le regard de mon frère sur moi. Je tournai alors la tête et je le vis me sourire. C'était le seul adolescent qui souriait, parmi tous les autres. Je lui rendis alors son sourire, puis je relâchais doucement la personne que j'avais enlacé durant quelques minutes. L'heure était à l'annonce du nom des deux sacrifices humains qui devraient se rendre aux Hunger Games. J'avais toujours songé au fait que les gens qui s'y rendaient disparaissaient. Je n'avais jamais songé une seule seconde que quelque que je connaisse particulièrement bien ou moi-même puisse entendre son nom tiré au sort.

Puis la petite fille qui était à côté de moi se mit à reculer de quelques pas, semblant perdre le contrôle de ses jambes. Étonnée, je regardai une fille derrière elle l'aider à la maintenir droite, puis en tournant la tête vers la foule d'enfants, je vis tous les regards tournés vers nous. Ce fut comme une claque en plein visage. Je ne connaissais pas cette fille, je ne lui avais même jamais parlé. Mais elle était si proche de moi... elle était si jeune, elle avait l'air si douce, si innocente. Mais j'avais comprit que son nom venait d'être tiré, et qu'elle allait disparaître. Comme tous les autres, au fond. Des pacificateurs vinrent près de notre rangée et elle s'avança fébrilement vers eux. J'ai alors songé à la suivre pour lui dire quelque chose, mais je ne savais rien de l'enfer des jeux. Je ne savais rien d'elle. Cette fois-ci, je suis restée debout, à la regarder partir et monter sur scène. Je n'étais pas sûre de tout comprendre, je ne savais pas très bien comment le tirage au sort fonctionnait. Mais je n'aimais pas ça. Je supposais que je ne la reverrai plus malgré tout, même si au fond je me doutais qu'elle allait mourir aux jeux.

Puis elle fut sur scène, et j'avais l'impression d'assister à une mise à mort. Elle était perdue avant même de n'être partie du district... J'avais beaucoup de peine pour elle, même si je n'avais pas fait attention à son nom. Je ne m'étais pas rendue compte que ça aurait très bien pu être moi de plus. Puis on tira le nom du garçon qui allait la rejoindre. Je me réchauffais un peu en soufflant dans mes mains, regardant les rangées avec les garçons de notre district jusqu'à l'annonce du nom. Puis tout à coup, mes années d'innocence et d'inconscience s'envolèrent. Lorsque j'entendis le nom du tribu annoncé, j'ai senti ma vision se troubler et mes membres trembler. D'un coup rapide, je me suis essuyée les yeux afin d'avoir une vision nette, puis j'ai commencé à bousculer les filles qui me séparaient de l'endroit où étaient les pacificateurs attendant mon frère. J'ai été retenue un instant par une enfant qui devait sans doutes se dire qu'il valait mieux pour moi que je ne bouge plus, et j'ai tenté de me calmer, l'espace de quelques secondes.

Théodore faisait tout pour éviter de me regarder. Il avait les yeux rivés sur la scène. Il était droit, il était fort et il était indestructible en cet instant. J'admirai soudainement ce qu'il était... avant de ne reprendre conscience de la réalité. J'ai donc bousculé la personne qui me tenait, et j'ai couru dans sa direction puis j'ai hurlé. Je ne me souviens plus de ce que j'ai dit. Je ne sais plus si je m'adressai aux pacificateurs, au Capitole, à mon district ou bien à mon frère. D'après ma mère, j'aurai prononcé le mot « meurtriers » avant de ne me faire attraper par mon père qui s'était précipité vers moi en évitant les pacificateurs sur son chemin. Il n'allait rien faire de mal, au contraire. Il allait me prendre dans ses bras afin de m'éloigner pour que je n'évite de me faire frapper je suppose. Mes yeux étaient rivés sur mon frère. Je l'ai vu se tourner vers moi finalement, puis j'ai entendu un coup de feu. Mon frère regarda alors derrière moi, puis se tourna à nouveau.

Il n'a pas réagit, et je n'ai pas compris pourquoi sur le coup. Je me suis alors faite attrapée par un pacificateur qui m'a soulevée du sol pour m'éloigner. C'est à ce moment-là que je vis mon père, allongé sur le ventre par terre. Je n'ai pas compris pourquoi il était là et ce qu'il faisait dans cette position... jusqu'à ce que je ne vois une marre de sang inonder le sol. Tout cela semblait tellement naturel pour les pacificateurs et les habitants. Les morts, les sacrifices humains, les jeux. Naturel, mais désapprouvé. Je venais de voir toute mon enfance s'envoler et je voyais à présent que mon adolescence et mon état d'esprit partait en fumée. Je ne fis plus le moindre geste, car j'étais consciente que l'homme qui me tenait pourrait me tuer, et je venais de comprendre que ma famille venait de perdre deux individus. Je venais de perdre mon père et mon frère ainé. De loin, je voyais mon frère fixer le pacificateur qui me tenait. Plus tard, j'ai apprit qu'il s'agissait du meurtrier de mon père. Après ce moment de « spectacle » nous avons du attendre avec la famille de la petite fille dans une salle de la mairie.

Ils avaient hésité à nous laisser entrer à vrai dire. Nous n'avons eu que cinq minutes avec lui. Ce n'était rien, et pourtant c'était tout. Mon frère ne pleurait pas, il ne se le permettait pas. Moi, je ne disais rien, je me contentai de pleurer toutes les larmes de mon corps dans ses bras. Il m'a ensuite demandé de ne pas changer ce que j'étais pour me venger de ce qu'il venait de se passer. Il m'a dit que cela avait fait ma force, et que je ne devrai jamais la perdre. Je ne devais pas chercher à combattre le Capitole, pas comme les rebelles le faisaient. Il a ensuite prit mon petit frère et ma mère dans ses bras, puis nous avons du partir. Ma mère portait son futur fils unique dans ses bras tandis que je me retenais de pleurer en public. C'était presque peine perdue, mais j'y parvenais tant bien que mal jusqu'à ce que nous arrivions chez nous. Ce jour-là, ma vie s'est envolée. Cependant, les paroles de mon frère m’empêchèrent de dormir durant quelques temps. Je ne sortais plus de chez moi et ma mère ne me forçait pas à aller à l'école durant quelques temps. C'était trop tôt, c'était trop douloureux et c'était trop cruel.

J'ai regardé les jeux cette année-là, et j'en ai manqué aucune miette. Cela a failli me tuer plusieurs fois, tout comme ma famille. Même mon petit frère les as regardés. C'était la dernière fois que nous voyions Théodore, et même s'il finirait par mourir, nous nous sentions obligés de regarder. Il est mort au bout d'une semaine et demie, tué par un garçon du district 2. Quant à la fille de mon âge, elle est morte au bout de cinq minutes passées dans l'arène.

Lorsque je n'ai plus eu l'âge de faire les jeux, ma mère en éprouva un certain soulagement, mais malheureusement mon frère Logan devrait se présenter à la moisson chaque année jusqu'à ses 18 ans. Cela brisa à nouveau le cœur de notre famille, et je sens mes grands-parents et ma mère de plus en plus faibles. Je sens que si à nouveau, quelqu'un devait mourir dans la famille, ils seraient brisés au plus haut point, et ce à jamais.

Désormais, j'ai 22 ans et Logan en a 14. L'âge que j'avais lorsque Théodore a été tiré au sort et sacrifié pour rien. Je suis guérisseuse et je prend la relève de ma mère et de ma grand-mère avec le temps ; à vrai dire, ma grand-mère est beaucoup moins active et ma mère est malade, par conséquent je m'occupe beaucoup d'elles. Quant à mon frère, il passe beaucoup de temps avec mon grand père et avec les femmes de notre famille, dont moi. Nous avons huit ans d'écart, mais nous sommes très proches et il me questionne sur Théodore quelques fois puisqu'il ne l'a pas beaucoup connu. Cependant, comme je suis toujours naïve et insouciante – mais quand même moins, il faut bien l'avouer – il prend soin de moi et a un instinct protecteur lorsque nous sommes ensemble, surtout en public. Je le protège tout autant, à ma façon. Bien-sûr, je ne pourrai jamais remplacer Théodore ni mon père... Voilà pourquoi j'espère que mon grand-père lui enseignera tout ce qu'il doit savoir et que nous, les femmes, ne pouvons lui expliquer.

Merci les filles
Et ne t'en fais pas Alex, je n'ai besoin que de mon premier post !
Et même si ça ne sert à rien de dire ça, je tiens à préciser que je suis en train de travailler sur ma fiche et qu'elle ne va pas rester "non remplie" bien longtemps >>

E. Epha Blackheart a écrit:

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