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 ARIOZOLINE ღ Open Your Eyes

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MessageSujet: ARIOZOLINE ღ Open Your Eyes   ARIOZOLINE ღ Open Your Eyes Icon_minitimeMar 16 Avr - 22:59



Open Your Eyes


J'avais tout perdu, encore une fois. J'étais maudite, et ça depuis mon berceau. On m'a toujours fait comprendre que j'étais inutile, sans cervelle à dire des choses dont je ne pesais même pas les mots. Mais là ... Il avait toujours dépassé les bornes avec moi, mes parents. Pas les vrais hein ! Non, c'est connard de pacificateur, il m'avait pris ma famille. Je ne sais pas comment, ils disent m'avoir sauvés. Mais ils avaient tant de mal à me le dire que je ne croyais pas que cela soit possible. Non. Moi je voulais leur faire payer ma haine. Je ne voulais pas qu'il soit heureux, oh non ! Je voulais qu'il voit la haine que j'ai en ce moment même, en tenant le corps sans pulsion, sans bravoure d'Andy ...

Je m'étais réveillé ce matin assez tôt. La maison était vide, puisque que Aaron était parti au capitole. Il y avait peut-être une servante de lever, mais je préfère la renvoyer seule chez elle, je n'avais envie de voir personne quand Aaron n'était pas là. À part peut-être quelques exceptions comme Arizona, Eden ou encore Andy. Je pris place devant les informations du capitole un gros pot de beurre de cacahuète. Je regarde alors les dégâts causés dans le district puis dans les autres. Quelques que pubs passèrent avec Arizona dessus, une autre avec une fille au long cil, puis une autre avec un bout du concert d'Aaron. Mon coeur se met à battre dès que je le vois et je souris. Puis les informations reprennent et je vais me chercher tout ce qu'il y a mangé et je m'empiffre comme une dingue. Une fois terminée, je bois un peu d'eau et je me pèse. Deux cinq apparaisse et je baisse la tête avant de partir en courant aux toilettes me mettre deux doigts dans la bouche. Je ressors quelques minutes et je reviens directement sur la balance en séchant les quelques larmes qui ont coulé sur mes joues. Un cinq suivie d'un trois apparaisse. Je suis heureuse. J'ai perdu un peu, enfin une bonne nouvelle.

J'enfile mon imperméable et je me dirige vers mon travail. Des pacificateurs s'y tienne. J'entends des cris. « Excusez-moi ! » Un pacificateur se retourne et me voit. Son regard reste dur comme le fer et je penche la tête pour voir la victime. Mon regard est horrifié. Je vois alors le dos d'Andy complètement rempli de rouge, comme le sang. « Qui êtes-vous ? » Je ne bouge pas. Andy tourne un instant la tête et me regarde. Il me fixe tout deux, avant tant de différence d'expression que je ne bouge pas. « Qui êtes-vous ?! » Le ton du pacificateur monte. Il approche sa main de son espèce de "batte" et je ne bouge pas. Je ne veux pas. Je n'en ai pas la force. « Je suis Appoline Black-Rolls, la collègue de cet homme. » Mon ton est calme et je tente de garder ma tête droite sur mon épaule. Il ne me fait pas peur, j'ai déjà vue pire. Disons que toute la douleur infligée, tant que Aaron n'a pas a voir ça, ça me va. Et Aaron n'est pas là. « Et bien mademoiselle Black-Rolls je vous pris de partir immédiatement. » L'homme me regarde, limite il me flingue du regard. « Non. » Il reste impassible, autant que moi. Andy se retourne alors pour me voir et me demande de partir. « Qu'elle est le crime que cet homme a fait pour que vous le punissiez ainsi? Il n'a pas rangé le poisson comme il faut ? Parce que des pacificateurs se soucies des problèmes des " pauvres " gens ? » Son air se durcit encore plus et j'hésite à lui cracher dessus. Non mais franchement, parfois j'aimerais me foutre des claques à moi et mon caractère de merde. J'ai toujours eu ce côté provocateur avec les autres. « Mademoiselle Black-Rolls, cet homme a manqué de respect envers son pays, son district et sa politique. Je vous demande encore une fois de partir sinon je devrais utiliser les moyens forts. » Juste par provocation je me mords la lèvre inférieure et je fais un pas. Je le défie du regard sans fixer Andy ensanglanté. « Vraiment ? Ça s'appelle un opinion. Et puis vous allez me faire quoi, à une pauvre femme aussi vide qu'une bouteille à la mer ? Vous n'irez pas jusqu'à me frapper ? » Je baisse les yeux et il suit mon regard jusqu'à sa ceinture où il serre sa batte. Je le regarde encore une fois, fière de ma réponse. En fait, je ne sais pas si je devrais être si fière. « Vous ne me connaissez pas et vous n'avez pas la chance de tomber sur un pacificateur plus doux. » A l'instant où il prononce ces paroles il lâche directement sa ceinture et attrape ma chevelure. Il approche doucement sa tête de la mienne avec un sourire avant de venir m'embrasser et de fourrer sa langue dans ma bouche que je repousse aussitôt. Il s'arrête. « Oh, vous n'avez pas saisi votre chance mademoiselle... » Il me tient toujours par les cheveux et me plaque en avant et lève de suite son genou de sorte à me donner un coup de pied au ventre qui me fait directement tombé à terre. Je me tortille un moment et il remet une couche sur mon ventre pour s'assurer que je ne me relève pas. « Monsieur Anderson Kingstons, vous allez être exécuté pour ne pas avoir respecté la loi de notre pays. » Il tire alors et ne le manque pas. J'ouvre la bouche. Je suis incapable de parler ou de faire quelque chose. Une douleur au ventre se niche en moi. J'ai mal. « Non ! » Je tiens mon ventre en essayant de me relever pour aller vers le cadavre alors que le pacificateur ne bronche pas en me regardant ramper dans ce marrai de bout. Je touche d'une main le front d'Andy en pleurant avant que le pacificateur ne commence à partir. Je me relève, la douleur recouverte de rage et d'une haine impassible. J'enlève mon imperméable qui me gène sous la pluie et le tonnerre..« Vous ... » Le pacificateur se retourne et je commence à essayer de le frapper. Il arrive a attrapé ma main et de me tordre le poignet et je serre directement les dents. « Du calme ma jolie ... » Je lui fous alors un coup de tête avant qu'il ne sorte son arme et me tire directement dans la jambe gauche.« Tire toi pauvre folle avant que mes collègues n'arrivent et te torturent ... » Il me regarde et se retourne pour reprendre son chemin alors que je me retiens de crier sous la pluie. La douleur est palpitante et je n'ai nulle part où allé. Je verse encore quelques larmes sous mes cheveux trempés du mauvais temps et essaie de courir en boitant vers le village des vainqueurs. La souffrance de ma jambe me fait mal. J'ai tellement mal ... Je sens les pacificateurs qui vinrent sur mes pas pour aller chercher le corps d'Andy. Je commence à faire une course à une jambe pour ne pas qu'il ne me tombe dessus jusqu'à ce que j'arrive dans le village des vainqueurs. Je tombe de fatigue, la pluie sur le visage pour recouvrir mes mains remplies de sang. Je regarde et la maison en vue est celle de Arizona. Elle sera me comprendre, de plus ces domestiques sont chez elles ! Je décide d'y aller tout en boitant et en essayant de cacher mes larmes, derrière la pluie qui m'a recouverte. Je toque. La porte s'ouvre et je me tiens à celle-ci avec ma main. « Ari' ... Je peux venir ? Enfin si tu veux ... » J'éclate en sanglot, je n'ai qu'une envie. Qu'elle me prenne dans ses bras.
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MessageSujet: Re: ARIOZOLINE ღ Open Your Eyes   ARIOZOLINE ღ Open Your Eyes Icon_minitimeVen 26 Avr - 22:42



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J'aime beaucoup mieux être chez moi. Certes cette maison est trois fois trop grande pour que j'y vive seule, mais on ne peut pas dire que j'ai beaucoup d'amis. J'en deux trois connaissances, une meilleure amie, la seule et je ne voudrais personne d'autre à sa place. Je viens bien trop à elle. Appoline. Nous ne sommes pas toujours d'accord, mais disons que nous avons pas mal de point en commun. Elle est là pour moi et je serais toujours présente pour elle, je crois que c'est la personne que je ne trahirais jamais. Je sais qu'elle n'est pas spécialement pour les même opinions que moi. Mais contrairement à une autre personne, elle je ne donnerais jamais son nom, je ne ferais rien qui puisse lui nuire. Je crois que je tiens beaucoup trop à son amitié. Je pourrais trahir .. Jared.. Enfin j'en sais rien parce que je le déteste autant que j'ai pu l'aimer. Comment il peut croire les images que l'on voit dans les émissions ? Elles sont remaniées et trafiquée. Je me suis battue pour son frère, j'ai tué l'une de ses attaquantes.. Même à la fin, son tueur est mort .. et pas moi, il aurait préféré que je meurs et même si je pourrais comprendre, j'ai du mal à l'encaisser, depuis les trois ans.. plus rien, on se croise, on s'ignore, ou alors cela fini en engueulade. Mais disons que j'ai eu que trop peu l'occasion de lui parler. Je crois qu'on se fuit. Je sais qu'il est dans la résistance, je le vois beaucoup moins traiter dans la ville du quatre.. Il ne bosse plus pour mes parents. J'ai fait aisément le rapprochement, il a toujours haït ce que le gouvernement faisait, il n'a plus rien à perdre aujourd'hui, seulement sa vie, il en a rien à faire de moi. Sur sa liste à tuer, il y a moi en tête. C'est dur, lorsqu'on sait que c'est surement la personne qui vous a jamais aimé. Je ne suis pas prête de laisser parler à nouveau mes sentiments. Je crois que ce n'est définitivement pas mon genre. Je ne supporte pas. Je dois rester fixer dans mon job. Si je ne veux pas faire de faux pas. Croire au gouvernement pur garder sa vie sauve. C'est surement moi la lâche dans l'histoire dans ce cas. C'est triste, je suis ce que je déteste le plus. Pourtant une part de moi, trouve que tout cela est totalement injuste, c'est vrai, maintenant que je l'ai compris et vécu, j'ai du mal à regarder les gens endurer ce que j'ai enduré. Loin d'être une colonie de vacances. Au début cela en a l'air, cela ressemble au stage d'entraînement que mes parents me payaient pour que je ois une des meilleurs. J'avais la descendance de la famille sur les bras, qu'est ce que j'aurais pu faire d'autre ? Perdre ? Mon père ne m'aurait jamais pardonné. Mais au fond c'est moi qui ne lui ai pas pardonné, j'ai accepté un appartement tout frais payé au Capitol. J'ai pris soin d'être la meilleure des comédienne pendant la tournée de la victoire. Puis j'ai envisagé cette carrière, on me l'a proposé, j'ai accepté, grosse paye, pour montrer dans les magasines, les journaux et les JT les nouvelles truquées. Parfois j'ai envie d'en savoir plus, de savoir ce que derrière les nouvelles telles que " Les Hunger Games ne se sont jamais aussi bien passés, ils sont toujours aussi populaires " Non c'est faux. On a eu des révoltes. C'est que les gens commencent à contester.

Je suis installée dans mon rocking-chair. Je suis enroulée dans une vieille couverture à carreau sombre, elle pique un peu, mais je l'ai bien, elle fait authentique. J'aime revenir aux sources. Mon duplexe au Capitol est beaucoup trop .. il attire le dynamisme, le stresse, le boulot, les soirées. Je ne peux jamais être tranquille, je ne m'en plains pas, je n'ai au moins pas le temps de penser, penser me nuirait. Je suis en train de penser, rien de bien. Je regarde le feu dans la cheminée, pourtant dehors il ne fait pas si froid pour faire une feu de cheminée mais j'aime beaucoup. Je tiens mon thé dans une tasse presque brûlante, encore fumante. Je le bois doucement. C'est sucré, doux et je pense à Jared. Son visage danse dans les flammes, un tas de souvenirs me reviennent, je suis nostalgique, j'ai envie de vomir, pourquoi de lui ? Peut-être parce que je me sens seule, trop seule, dans un monde où tout le monde me connait, je suis seule. On frappe brusquement à la porte, c'est brusque et il est tard. Dehors il pleut à torrent, voilà peut-être la raison de mon feu, c'est indirectement le soleil. Je sursaute sur le coup, je ne m'attendais pas à avoir de la visite. Je pose ma tête sur la table basse, je laisse sur mes épaules la couverture et j'avance vers la porte. Je l'ouvre et je découvre.. Appoline ? Quoi ? Je vois la trace de sang sur la porte, sur ses mains.. Je reste sans voix.. Elle me supplie presque de la faire entrer. Je ne comprend rien. Elle m'implore presque. Je déglutis, je la fixe totalement choquée. " Qu.. Oui mais Appoline " Je vois alors le sang sur sa jambe. " Mon dieu " Je souffle ces deux mots. " Entre ! " Je l'attire contre moi et je claque la porte et je la verrouille. Je le prend pour l'aider à marcher, je l'installe sur le canapé, je me débarrasse de la couverture et je le pose sous sa jambe. " Appoline, explique moi, qu'est ce qui c'est passé ? " Je passe ma main sur son front, je remets ses longs cheveux bruns et fins en arrière. Elle est trempée. Je fonce à l'étage, je prend des serviettes, une couverture et de quoi désinfecter. Je redescend en courant et je jette tout au pied de canapé. Voyant son visage, je le prend dans mes bras, je la berce, elle pleure. " Chut ça va aller, tu ne risques plus rien maintenant. "
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MessageSujet: Re: ARIOZOLINE ღ Open Your Eyes   ARIOZOLINE ღ Open Your Eyes Icon_minitimeLun 29 Avr - 18:37



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Si elle savait la peine que j'avais. Si l'on pouvait comprendre pourquoi la malchance me tournait temps en ce moment autour. Si on savait pourquoi j'avais mérité le fait de perdre mon vieux borné de meilleur ami … Pourquoi ? Parce qu'il désirait un monde libre ? Que tout les hommes et femmes puissent enfin vivre en paix ? Je les trouves dégueulasse. Écœurant même. Plus écœurant que l'odeur d'une huître pas fraîche, faut le faire ! Mais ce foutu pays commençait à m'énerver … Ce putain de capitole. Il brise chaque jour ma meilleure amie, et le garçon que j'aime. On ne m'avait jamais fait souffrir comme ça, et la peine était dure. Je crois que les larmes que je verse sur mon pauvre et gros corps ne ressemblent à rien dans ce pays où la dictature et le rêve « américain » est d'aller crever dans une arène. J'en suis même à me demander si il faudrait que je me fasse des gros obus pour me faire accepter, et que je sorte une phrase épique pour que l'on m'aime. De toute façon, on ne risque pas de ne pas m'entendre. J'étais tellement en rage contre ce bordel de pays que la rage m'avait donné le courage d'aller chez la personne la plus capitoliste que je connaisse... Arizonna avait beau être ma meilleure amie, je n'en pensais pas moins de son opinion, et elle savait très bien que je n'avais jamais trop aimé voir les jeux. Surtout dans mon état …

Affolé devant sa porte, celle-ci s'ouvra de suite. «  Qu.. Oui mais Appoline »Je crois que je l'avais surprise … J'aurais peut être mieux fait de rentrer chez moi …  " Mon dieu " Elle pose ses yeux sur l'état de mon genoux, l'air horrifié et je ne peux m'empêcher de renifler. Un geste pas très poli et gracieux, mais dans ce moment, je pense que je pourrais me balader à poil, rien ne pourrait me calmer … " Entre ! " Elle m'attrape et referme rapidement la porte en la verrouillant, j'espère que personne n'ira la voir et surtout pas un pacificateur ! Je tremble à cette idée avant qu'elle ne me dépose sur son beau canapé de riche dont je connaissais si bien le touché. " Appoline, explique moi, qu'est ce qui c'est passé ? " Je revois l'image d'Andy, la balle dans le cœur et je sanglote. J'ai peur. Il me manque. Pourquoi ce sont les meilleures qui partent les premiers ? Et pourquoi il est mort ? Et sa fille ? Pourquoi je dois supporter la conscience de tous ces morts ? « C'est de leurs fautes ... » Je sanglote en prononçant ces mots et Arizonna s'éclipse à l'étage pour aller chercher son matériel de soin, c'est vrai que c'est une petite déesse en ce qui consistes de soigner les gens. Elle revient et voyant mon chagrin ne peut s'empêcher de me prendre dans ses bras. Ses si doux bras. " Chut ça va aller, tu ne risques plus rien maintenant. "  Il faut dire que j'avais de la balle d'avoir une meilleure amie comme elle. Elle avait toujours su me soutenir, surtout dans ces moments si dure … « Je veux qu'il souffre ... » Je prends sur moi et enroule mes bras lourds autour de son dos en pleurant à chaude larme qui afflue à toute vitesse sur mon visage. « Je veux qu'il comprenne ce que ça fait, de sentir la douleur … de perdre un être chair ... » Je n'arrivais pas à me calmer. Les muscles de mon visage ne répondaient plus, et beaucoup trop de larmes sortaient de mes yeux. Il y en avait beaucoup trop, c'est larme n'était pas du tout mérité, car je réclamais ma vengeance ...
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MessageSujet: Re: ARIOZOLINE ღ Open Your Eyes   ARIOZOLINE ღ Open Your Eyes Icon_minitimeJeu 9 Mai - 11:49



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Nous vivons vraiment dans un monde régit par la force. De toute manière tout le monde vous le dira c'est l'instinct qui nous fait faire ça, la force c'est dans notre nature, on se doit être toujours plus toujours et encore mais rien ne va vraiment puisqu'au bout d'un moment on trouve toujours mieux, toujours plus beau, plus musclé, plus intelligent. On est dans l'état de nature de l'homme, à l'époque tout au début lorsque les guerres faisaient rages c'était au plus fort de gagner, et le plus faible lui n'était plus rien, on se fait toujours battre et on n'existe plus c'est fini une fois que la force nous quitte c'est terminé. Plus rien ne peut nous atteindre. On est mort. La mort rode partout, à chaque coin de rue on peut se faire trahir et paf, la vie s'arrête. C'est comme ça que le pays vit maintenant, nous sommes des victimes de l'espoir mais c'est le seul qui peut encore nous faire vivre alors gardons le.

Forcément lorsque je vois Appoline à ma porte dans un état peu descriptible tellement elle semble bouleversée, épuisée.. totalement ailleurs je suis surprise, je ne m'attendais pas à ce genre de visite, j'étais doucement en train de penser au prochain jeu à ses morts qui ne comprendront pas comment ils en sont arrivés là et paf elle est arrivée. Bien entendu je n'allais pas la laisser rester dehors, hors de question, elle se ferait tuer et j'avoue que j'ai une certaine autorité sur les pacificateur, puisque je bosse pour le gouvernement, on ne me cherche pas vraiment d'ennuies, je ne suis ni agent double, ni rien du tout alors voilà ce que je propose, la premier qui vient m'emmerder sur elle se prendra un coup de genoux dans les couilles. Je suis sûre que leur super combinaison ne pourra pas les protéger à ce niveau là. Mais je doute qu'on vienne se frotter à moi, je ne suis plus la fille amicale et réservée, je vis toujours dans mon monde, mais dorénavant dans mon monde on y trouve des armes et du sang. Et j'en ai pas peur. Je l'allonge sur mon canapé, l'enroulant dans une couverture parce qu'elle tremble, je lui demande ce qui s'est passé mais elle semble totalement atterrir, bouleversée, bordel qu'est ce qui s'est passé là dehors.

Leur faute ? A qui quoi ? Je reste pendue à ses lèvres pour avoir la suite, je la berce légèrement pour la calmer, d'un signe maternelle, il parait que je pourrais être une bonne mère, je suis bien trop jeune et il est hors de question que je donne naissance à un potentiel tribut. Pourtant Appo est plus vieille que moi, mais à croire que j'ai pris de l'âge dans l'arène, j'ai toujours été plus mature, la preuve lorsque je suis sortie avec Jared, il est encore plus âgé que mon amie. Je tente de la rassurer, parce qu'ici rien ne peut lui arriver c'est claire. Elle me sert contre elle, elle veut qu'il souffre. Pour le moment je ne fais pas le rapprochement, jusqu'à ce qu'elle parle de la perte d'un être chair. " Tu parles de ce qu'ils ont fait à Andy ? " Je la serre contre moi, posant ma tête sur le sommet de son crane détrempé. " Calme toi, je te promets qu'un jour ils seront tous " Oui ils sauront, pourquoi pas les dénoncer, mettre cela à ma façon et venger ma meilleure amie ? C'est une idée, j'aurais les foudre du gouvernement ou justement l'inverse ils me suivront. Je pense à la seconde hypothèse pour mieux se couvrir, et puis si je tourne ça à la façon barbare je peux faire beaucoup on les détestera au Capitol et peut-être qu'ils deviendront muet dans le pire des cas, ou le meilleur. Je la serre fort pour tenter de la calmer. Je vois encore son genou. Je me détache d'elle pour l'asseoir bien sur le canapé. Je remonte doucement son pantalon couvert de sang. C'est pas très beau, je ne grimace pas pour autant, j'ai vu et fait pire. Je prend de quoi désinfecter en la tenant tranquille puis je nettoie tout autour avant de lui faire un bandage, demain on verra à quoi sa plaie ressemblera et si oui ou non il faudra que je recouse. Je la regarde tendrement, pour ne pas l'inquiéter plus. " Repose toi, je vais aller de faire un peu de soupe, tu es frigorifiée. "
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MessageSujet: Re: ARIOZOLINE ღ Open Your Eyes   ARIOZOLINE ღ Open Your Eyes Icon_minitimeSam 8 Juin - 12:35



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La vie ici n'est rien sans la mort. Tout le monde doit un jour se lever, pour mourir dans quelques heures. Certains se tuent au travail, d'autre aux jeux, et certains encore à cause de produit illicite que l'on peut prendre, un peu comme Aaron. J'aimerais tellement qu'il arrête cette comédie de jeune fou. Juste une journée, où il sera le plus normal pour que je puisse enfin lui dire ce que je pense de toutes ses drogues. Juste pour pouvoir lui dire à qu'elle point j'ai mal. Que je me sens mal en moi, qu'être la petite sœur grosse n'est pas mon rôle. J'ai horreur de cette sensation. Et je vis avec depuis vingt cinq ans. Vingt cinq année que j'en ai ras le bol de cette vie. Andy' m'avait sorti une phrase qu'il avait dit à Morgana, le jour de ses Adieux. Je me rappelle de sa voix, si dure et stricte, mais brisé. " Que dit-on à la mort?Pas aujourd'hui. " Cette pensée resserre mes pensées si faibles et me brise littéralement en deux. Je resserre mes mains dans l'étreinte que j'ai avec Arizonna avant qu'elle ne brise le silence qui commence à venir remplir la pièce, plus mes sanglots sont affaiblis. " Tu parles de ce qu'ils ont fait à Andy ? " Elle le savait?Elle savait qu'on lui avait mal. Je serre les dents et la regarde en hochant la tête. Je ne pensais plus à la douleur de mon genoux, non j'étais tellement haineuse en ce moment même. " Calme toi, je te promets qu'un jour ils seront tous " Elle m'avait comprit et me soutenait en ce moment même. L'avoir comme meilleure amie était sûrement l'un de mes plus beaux cadeaux. Pour certaine personne de ce district, je faisais peut-être cela pour me montrer au capitole, pour d'autre je faisais ça pour la richesse. Mais non rien de cela. Je me rappelle les années que j'avais passé à la détester. Elle la fille que tout le monde aimait, moi la grosse dans son coin. Puis quand elle gagnée, elle a changée. Et peut-être que moi aussi. C'est cela qui nous a rapprocher, et j'en suis bien ravis, parce qu'en ce jour c'est la seule personne que j'aurais aimé voir me consoler maintenant. Elle se détache de moi pour voir mon genoux et me pousse correctement contre son canapé bien confortable. Elle remonte mon vieux pantalon de travail bien trop grand et aperçoit mon genoux. Elle ne grimace pas, mais même moi en voyant la vision je vois à qu'elle point mon genoux est fin. Il me paraît gros, pourtant il pourrait faire la taille de mon os. Mais dans ma tête, je le vois tout simplement gros. Ignoble, comme mon corps. Elle commence à désinfecter et je grimace en sentant le produit piquer un peu la plaie, mais j'essaie de rester fort. Elle l'enroule de ces mains habillent et se relève doucement. " Repose toi, je vais aller de faire un peu de soupe, tu es frigorifiée. " Je relève la tête laisse échapper un sourire fin de remerciement. Je voudrais bien me lever, mais j'ai tellement froid, et je ne veux pas tremper sa maison que je reste assis. Je regarde la cheminée en face de moi et me lève doucement en boitant d'une jambe et me mettant devant le feu histoire de chercher la chaleur. Je frotte mes mains l'une contre l'autre pour me réchauffer avant de me retourner. « Tu sais, c'est gentil. Je ne sais pas comment te remercier. Mais merci. » Une fois sec, je me relève doucement et attache mes cheveux en une queue de cheval haute avant d'aller la rejoindre en boitant toujours dans la cuisine. « Tu veux que je t'aide?La prochaine fois je te ferais une soupe de poisson si tu veux, Aaron adore ça. » Aaron. Rien qu'à en prononcer son nom, je me sens plus calme apaisé. L'affaire Andy va passer, et je digère petit à petit l'événement qui c'est passé sous mes yeux. Même si ce n'est pas facile, il faut que j'apprenne à me contrôler sinon je sais que je risquerais ma vie en essayant de faire souffrir ce pacificateur.
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