| Sujet: jared ♧ it's better to feel pain than nothing at all Sam 13 Avr - 11:57 | |
| Jared Aaron Ronan❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Il y aurait beaucoup de choses à connaître sur Jared Ronan, cependant, nous n’allons résumer que le principal. Il a toujours vécu dans le district 4 avec toute sa famille, comme son père et le reste de sa famille il est marin pêcheur, ce qui est bien sûr logique lorsqu’on vit dans le district de la pêche. Jared a vingt-six ans, il avait un petit frère, mais ce dernier est décédé dans l’arène des Hunger Games. Le jeune pêcheur n’a jamais pu s’en remettre, il avait déjà des idées anti-capitoles, mais la mort se dernier l’a entrainé à rejoindre les rebels. En effet, Jared est capable d’une grande discrétion et pour cette raison, il a réussis à rejoindre ce réseau de résistance. Il possède un fort tempérament et est très rancunier et borné, il a une fierté sans limite et peu parfois apparaître égocentrique. Mais au fond, il est bien tout le contraire, très altruiste, il vient en aide aux personnes les plus défavorisées de son district et demeure fidèle auprès de ses proches, c’est quelqu’un de romantique et il peut se montrer très drôle lorsqu’il le désir. Mais il n’est pas rare de découvrir un visage froid depuis la mort de son frère, il semblerait que son visage doux se soit endurci, ne montrant plus une once de faiblesse. Jared est une personne forte, ayant pu être un carrière s’il le voulait. Il n’a pas peur de la mort, seulement pour ses proches. Jared ne supporte pas être enfermé, il se peut qu’il soit claustrophobe. Ce qu’il aime sont les espaces ouverts, prendre le large, il adore son métier, mais encore plus la musique. Il ne joue d’aucun instrument, mais il ne peut se passer d’écouter les chansons qu’il adore. about games and relative.
QUE PENSES-TU DE LA RÉVOLTE ET DES REBELLES ? CROIS-TU A LEUR EXISTENCE ? Bien sûr que je crois à leur existence ou je ne ferais pas partie de ce réseau. Je pense qu’il était enfin temps de passer à cette révolte. On ne peut pas rester là les bras croiser à regarder nos proches se faire tuer sans rien pouvoir faire. Il faut agir ! C’est pour cette raison que je les ai rejoints, pour changer les choses, pour faire quelque chose de bien pour Panem. Il est certain que nous ne pouvons plus vivre dans ces conditions. Nous les rebelles sommes des héros.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? Oui, mon petit frère Julian. Ce fut une véritable torture que de le regarder tenter de survivre aux côtés de ma petite amie Arizona. Je savais que j’allais perdre l’un d’eux, voir les deux et je ne voulais pas avoir de préférence. J’ai dû les voir ainsi et assister à la mort de mon frère sous les caméras tandis que l’autre joueur passait les mains autour de son cou. J’aurais voulu passer à travers cette télévision et hurler, tuer de mes propres mains cet autre tribu, mais j’étais impuissant. Arizona n’a rien fait pour l’aider, elle savait que c’était mon frère, que je ne pouvais pas vivre sans lui, mais elle n’a rien fait et est revenue.
➺ QUEL EST TON OPINION SUR LES PACIFICATEURS, LEUR ROLE, LEUR COMPORTEMENT ? Le premier mot qui me vient lorsqu’on me donne le mot « Pacificateur », je pense au mot « mouton ». Il faut avouer que ce costume blanc le montre très bien. Ce ne sont que des moutons, suivant les ordres et le reste du troupeau sans réfléchir, sans même se poser la question sur ce qu’ils font. C’est tout à fait inacceptable d’avoir un tel comportement et de traiter plus bas que terre ceux qu’on soupçonne être des malfras. Les pacificateurs ne devraient même pas exister, voilà mon avis.
➺ QUE PENSES-TU DE L'ORGANISATION DE PANEM (DISTRICTS/CAPITOLE) ? Foutaises ! Nous les districts sommes les esclaves du capitole. Ce n’est que de l’esclavagisme légalisé, du simple bétail faisant le sale boulot des autres. Pendant ce temps, ces extraterrestres à la peau et aux maquillages hideux s’amusent, jouissent sans cesse alors que le reste de Panem se tue à la tâche. Ce qui est encore plus horrifiant, c’est que si on interroge un habitant du Capitole, il trouve cela normal. Je pense qu’il y a beaucoup de baffes à donner avant qu’ils ne se rendent compte de l’horreur de cette distorsion sociale.
➺ COMMENT TE SENS-TU QUAND LE TEMPS DE LA MOISSON ARRIVE ? Nostalgique et dépressif. J’ai sans cesse le souvenir de la moisson du soixante-et-onze Hunger Games. J’entends encore les deux noms que j’aimais le plus au monde être appelé chacun leur tour. « Arizona Howe » et « Julian Ronan ». Mon frère et ma petite amie. Alors, chaque année, c’est ce souvenir qui me gagne et aussi celui de ce cercueil renvoyé dans ma famille, celui de mon frère. Alors, je ne sors pas en ce jour, le méprisant un peu plus chaque année. [/size]
JE VIENS D'UN MILIEU DÉFAVORISER , AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE TIENT BIEN PLUS DE LA LÉGENDE. DU COUP, MON NOM AVAIT 5 RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE MARIN PÊCHEUR ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'AIME. JE SUIS DANS LE 4ÈME DISTRICT. AYANT VINGT-SIX ANS JE NE PEUX PLUS PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET JE ME SUIS DÉJÀ ENTRAINER POUR LA PROCHAINE MOISSON. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story. « L’essentiel en enfer est de survivre ». Ce que je devrais appeler enfer, c’est ici, dans cette vie. Notre situation sociale était tellement misérable que je sentais presque les flammes des enfers me lécher l’épiderme. Certes, ma famille et moi vivions dans le district quatre qui n’était pas le plus pauvre de tous, cependant, les classes sociales demeuraient néanmoins partout ce qui faisais qu’on pouvait y trouver des personnes très riches et d’autres d’un milieu défavorisée comme dans ma famille. Mon père a toujours été marin-pêcheur, lorsqu’on vit dans le district de la pêche, c’est quelque chose de logique que d’avoir un métier dans cette branche-là. Ma mère, elle, s’occupait de vendre nos produits sur le marché, mais enchaînait aussi un bon nombre de petits travails afin de nous permettre de nous nourrir. J’ai un petit frère : Julian, nous avons quatre ans d’écart. Si on pouvait décrire ma relation avec lui, ce serait de l’ordre du véritable amour fraternel. Nous n’avons jamais eu de problème dans la famille, nous restions soudés, nous serrant sans cesse les coudes, la famille a toujours été quelque chose d’important pour moi, la valeur sûre. J’étais certain que je ne me ferais jamais trahir. Hormis cela, j’ai eu une enfance des plus normales je pense. Mon père et moi travaillons avec les Howe, c’est ainsi que j’ai rencontré Arizona depuis notre plus jeune âge. Elle a l’âge de mon petit frère et c’est la fille de mon patron en quelque sorte. Au départ, nous ne nous parlions pas beaucoup, elle était très distante et me répondait très peu lorsque je lui parlais, la première fois, j’ai presque cru qu’elle n’était qu’une bêcheuse trop fière pour parler avec quelqu’un de mon « rang ». Or, au fil des années j’apprenais à la connaître et sa personnalité ne me laissait pas indifférent. Bravant la barrière de la différence d’âge, j’avais dix-sept ans et elle, treize lorsque j’osais lui glisser une première lettre dans son casier – cela pouvait paraitre étrange de s’intéresser à quelqu’un d’aussi jeune, mais je ne pouvais aller contre mon attirance, elle me happait, tout chez elle me donnait envie d’en savoir toujours plus. Ce petit jeu dura jusqu’aux quinze ans de la jeune fille qui, lors de l’un de mes moments d’étourderie, me fit « surprendre » à lui laisser ce mot. Dans ces mots, je ne parlais pas seulement de mes sentiments pour elle, nous en étions venus à avoir de véritables conversations. Notre sujet préféré était bien sûr les jeux. Elle a été la première personne à qui j’ai avoué mes penchants anti-capitole, tentant de la convaincre que tout cela n’était que foutaise. Or, elle était peut-être encore trop jeune à l’époque pour véritablement comprendre. Cela ne nous empêcha pas d’entamer une relation, j’étais véritablement amoureux d’elle jusqu’à ce moment où tout fut gâché.
Je déteste me souvenir de ce jour, cela faisait quelques années que j’étais libéré de cette hantise d’entendre mon nom appelé pour les Hunger Games, mais à présent, celle-ci était sans cesse rivée sur celle de voir Julian ou Arizona y aller. Ils étaient tous les deux très bien entrainés, mais les carrières des premiers districts aussi. Il semblerait que le jour de la moisson des soixante-douxième Hunger Games, il semblerait que le sort ne m’a été favorable en aucun cas. Tout d’abord, l’un des noms tant redouté résonna sur la grande place du district 4 « Arizona Howe » je voulais hurler, l’empêcher d’y aller, je pense même que j’ai eu un mouvement en avant, car mon voisin m’avait bloqué de son bras pour m’empêcher de faire quoi que ce soit qui me coûterais la vie. Je voyais l’objet de mon amour monter sur cette estrade à présent morbide et le deuxième nom me fut un second coup de poignard « Julian Ronan ». Non ! Pourquoi ?! C’est à ce moment même que je réalisais que dans le meilleur des cas, un seul des deux allait revenir et je ne pouvais vivre si l’un d’eux manquait à l’appel. Je voulais hurler, la fureur contre ces jeux infâmes me gagnais encore plus dès l’instant que mes proches étaient mis en péril. Ce fut l’une des premières fois où j’ai réellement suivit ces jeux, constatant qu’eux deux faisaient équipe. Mais dès l’instant que je voyais leur image, je sombrais dans un désarroi profond, ne pouvant échapper à l’idée que j’allais les perdre. Je le regardais toujours seul, la fierté me poussait à ne pas verser de larme devant les autres, ainsi, c’est seul que je scrutais l’écran de télévision, me disant que c’était la dernière fois que je les voyant, qu’ils pouvaient être tués ou mourir d’une minute à l’autre. Cela ne tarda pas. J’ai assisté au meurtre de mon frère en direct, j’ai hurlé, alarmant mes voisins, restant là, regardant la caméra zoomer sur son corps livide et une Arizona courant après cette fille du deux, n’ayant rien fait pour sauver mon frère… Elle n’avait rien fait ! Rien ! La fureur s’emparait de moi. C’est ce qui m’a poussé à entrer en contact avec des personnes appartenant au réseau de la résistance. Après de nombreux test, on me laissait y pénétrer. Je ne perdais jamais mon but : renverser le gouvernement, comme je l’ai voulu, sauf que cette fois, il y avait quelque chose de plus, l’idée de venger mon petit frère, la rage, le feu qui passais dans mes veines, la soif de sang, mettre fin à cette barbarie. Lorsqu’Arizona est rentrée, plus rien n’était comme avant, je ne pouvais pas la regarder en face sans voir la preuve de lâcheté qu’elle a fait. Plus rien n’est pareil, je la hais de tout mon cœur autant que je l’aime. C’est cette dualité qui s’empare sans cesse de mon corps dès l’instant que je la revois. Partagé entre l’envie de la reconquérir et de lui faire payer. Heureusement, les nombreuses missions données par la résistance m’aident à penser à autre chose, me font changer d’aide, car cela demandait une forte concentration. Mais je n’oubliais pourtant pas ma rancune comme je n’oubliais pas la ferveur de mes sentiments.
reality is here.
Bonjouuuuuur ! Moi c’est Charline, mais sur les forums tu peux me trouver sous le pseudo de Clumsy ou Sun (parfois Lovergirl haha). J’ai 18 ans et je suis complètement fan de la trilogie de Suzanne Collins – sinon, je ne me serais pas inscrite vous pensez. C’est Arizona qui m’a « trainée » ici, donc c’est grâce à elle que je connais le forum qui est plutôt cool et j’adore le design.
FEATURING Ian Harding © tumblr
Dernière édition par Jared A. Ronan le Lun 15 Avr - 10:27, édité 10 fois |
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Thybalt M. Homens △ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011 △ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
| Sujet: Re: jared ♧ it's better to feel pain than nothing at all Sam 13 Avr - 14:49 | |
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L. Ridley Coradane △ correspondances : 1084 △ points : 0 △ multicomptes : ava, dely, dahlia △ à Panem depuis le : 30/12/2012 △ humeur : massacrante, comme toujours △ âge du personnage : vingt-neuf ans △ occupation : préparatrice en pharmacie et occupée par quelques affaires rebelles quand on veut bien d'elle (c'est-à-dire pas souvent)
| Sujet: Re: jared ♧ it's better to feel pain than nothing at all Sam 13 Avr - 15:01 | |
| Bienvenue sur MJ Bonne chance pour ta fiche |
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L. Ridley Coradane △ correspondances : 1084 △ points : 0 △ multicomptes : ava, dely, dahlia △ à Panem depuis le : 30/12/2012 △ humeur : massacrante, comme toujours △ âge du personnage : vingt-neuf ans △ occupation : préparatrice en pharmacie et occupée par quelques affaires rebelles quand on veut bien d'elle (c'est-à-dire pas souvent)
| Sujet: Re: jared ♧ it's better to feel pain than nothing at all Sam 13 Avr - 15:22 | |
| Avec plaisir |
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Alexiane R. Hawthorne △ correspondances : 11154 △ points : 75 △ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory) △ à Panem depuis le : 08/05/2011 △ humeur : indifférente △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : mentor
| Sujet: Re: jared ♧ it's better to feel pain than nothing at all Sam 13 Avr - 16:52 | |
| Bienvenue parmi nous et bonne chance pour la suite de ta fiche |
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