| Sujet: Aedan Ainsworth. Dim 31 Mar - 21:12 | |
| Aedan Ainsworth❝ ... ❞ Aedan .. Aedan Ainsworth. Mon âge? 18 ans, me voilà maître de moi-même. Je me considère comme une personne indépendante, prête à voler de mes propres ailes, et de ce fait, je n'ai aucune affiliation particulière, et je n'ai prêté serment à aucun groupes. À mon âge, lorsque l'on travaille, on a de quoi se considérer comme étant exploités. Mon travail consiste tout bonnement à prêter main forte à mes parents dans une petite entreprise familiale spécialisée dans la tapisserie. Nos revenus sont pauvres, nous ne mangeons pas à notre faim, et pourtant nos parents ne manquent jamais à se sacrifier non pas pour moi, mais pour nous. trois enfants, lorsque l'on ne peut gagner sa vie aisément, ce nombre peut paraître incroyable, et certains considèrent mes parents comme étant des fous. Pourtant, c'est l'amour qui les a poussé à un tel nombre. J'ai hâte de pouvoir m'en aller d'ici. Gagner au mieux ma vie, et pouvoir aider ma famille, après tout ce qu'elle m'a donné.
Pour ce qui est d'avoir un fort caractère, comptez sur moi. Je ne suis pas le genre de personne à me laisser marcher sur les pieds. On me considère souvent comme étant quelqu'un de très possessif, ce qui en soit même n'est pas totalement faux, j'ai horreur que l'on me pique les choses qui me sont chère. Je suis notamment quelqu'un de très solitaire, à savoir que je préfère, comme on dit, rester seul que mal accompagné. Les filles que j'ai eu la chance de côtoyer vous le diront sûrement tôt ou tard, je suis vraiment romantique, j'ai dû hérité ça de ma mère .. about games and relative.
(choisissez au moins cinq questions qui sont les plus pertinentes pour la présentation de votre personnage, et supprimez les autres ainsi que le spoiler. répondez en un minimum de cinq lignes.)
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Pour qui je pourrais mourir? Pour qui, je serais prêt à déverser mon sang? Aussi simple que ça .. Ma patrie. Je ne suis pas un fanatique patriote, loin de là, je défends juste mes principes, ces mêmes principes que mon père m'a enseigné, autrefois transmis par mes aïeux. Je serais prêt à me livrer en sacrifice pour pouvoir offrir la liberté à mon district. Les hunger games seraient le meilleur moyen de démontrer jusqu'où je serais prêt à aller. Je ne suis pas fou.. Juste réaliste.
QUE PENSES-TU DE LA REVOLTE ET DES REBELLES ? CROIS-TU A LEUR EXISTENCE ? Les rebelles sont des personnes courageuses, et même si pour beaucoup ce ne sont que légendes, superstitions ou encore mythes .. ils ont de quoi se tromper. Je respecte l'acharnement des rebelles, à tenter de négocier à n'importe quelle prix pour la liberté. Je sais que tôt ou tard, leur dur labeur finira par payer, et qu'enfin nous serons libre pour de bon. Ce jour là, je crois qu'ils seront bel et biens considérés comme des héros, en tout cas, pour moi, ils le sont déjà.
➺ QUE PENSES-TU DES VAINQUEURS DES JEUX ? Ressortir sain et sauf, avec la victoire à la tête, d'un affrontement tout simplement atroce c'est .. Incroyable. Je respecte toutes les personnes qui ont réussit à ressortir de ces stupides jeux qu'avec quelques égratignures et une victoire pour compenser. À dire vrai, je pense que ce sont les personnes que j'admirent le plus. Bien que je haïs les jeux, je n'en reste pas pour le moins insensible à leur succès. Les vainqueurs issu du District 8 sont considérés comme des modèles, sans pour autant être des héros.
➺ COMMENT QUALIFIERAIS-TU TA VIE DANS TON DISTRICT ? EN ES-TU SATISFAIT ? Ma vie au sein du huitième district? Huh.. On ne peut pas dire que l'on vit chaque jour, un moment de bonheur. Restés cloîtrés chaque week-end, à tisser, ne pas voir mes amis et tout cela pour ne gagner que quelques malheureuses pièces et sans pour autant manger à notre aise. La vie que je mène est plus qu'ingérable. Lorsque l'on en vient à me demander comment sont nos conditions de vies sont agréables, c'est en général à ce moment précis que je m'empresse de changer de sujet. Chaque soir, au pied de mon lit, je prie dans l'espoir que le Père puisse améliorer nos conditions de vie sans vraiment y croire réellement. Mais j'espère et finalement, j'attends.
➺ COMMENT TE SENS-TU QUAND LE TEMPS DE LA MOISSON ARRIVE ? À chaque nouvelle moisson .. J'ai toujours cette même boule au ventre. À me demander si je l'attends, autant dire que je l'a redoute, et que j'espère la voir reculer de jour en jour mais en vain.. Je n'ai jamais affectionné la moisson, et même si des mois auparavant, je prends le temps de m'entraîner et de me préparer, je n'en reste pas moins incensé. J'ai peur de délaisser derrière moi un foyer en péril, en détresse. Même si il m'arrive d'avoir envie d'y participer, et ce quelques semaines avant le tirage, c'est le jour-même où je regrette de l'avoir attendue. Finalement, nous sommes des pantins, et à chaque fois c'est la même chose. On voit nos amis défilés, livrés aux jeux et ce sans pour autant y remédier.
(les résidents du capitole n'ont pas à remplir le paragraphe ci-dessous, merci de le supprimer dans ce cas!) (remplissez le paragraphe en choisissant le champ qui correspond à votre personnage. il vous est bien sûr possible de changer le texte pour que cela colle mieux, mais garder la trame de départ tout de même. message à supprimer quand la fiche est postée.)
JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé/..., AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la légende. DU COUP, MON NOM A neuf CHANCES/RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE tapissier ET POUR TOUT VOUS DIRE, Jen'aime pas. JE SUIS DANS LE 8ÈME DISTRICT. AYANT dix huit ans JE peux PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT. tell us your story. Au départ, on vient au monde. Puis, on nait et finalement au fil du temps, on grandit. On découvre des choses, on en apprend plus sur le monde qui nous entoure, et mieux encore, sur nous-même. C'est comme ça, la vie est faite d'embûche, un jour on aime la vie que l'on mène, un jour on en vient à la détester, au point de se maudir au plus profond de nous. Et quand tout cela se termine, arrive finalement la fin, l'apogée .. le déclic. C'est donc ça la vie, naître pour mourir. J'en viens encore à me demander comment peut-on encore avoir envie de vivre après cela. La douce brise qui circule dans l'air est parfaite, ajoutez à cela le beau temps et le calme de l'endroit. La tendresse de l'herbe sur laquelle je suis allongé et ce .. depuis une bonne heure maintenant. Je suis tellement bien, que je ne ressent plus l'envie de me lever. Peut-être bien que je pourrais faire ma vie ici, qui sait. Voilà une heure maintenant que je suis perdu dans mes pensées, à réfléchir au sens de la vie, sans pour autant y résoudre les mystères qu'elle regorge. Je profite de ce temps libre, pour m'adonner à moi-même, pour me reposer au calme, loin de l'agitation de la place principale, pour oublier la misère dans laquelle on vit. Je suis blasé par les alentours, j'ai besoin d'un brin de nouveauté. Couché sur l'herbe, je fais le vide en moi, à dire vrai, j'en ai même perdu la notion du temps. Quel heure est-il ? Je n'en ai pas la moindre idée, et pourtant. Je m'étais adonné à moi-même, et j'étais sur le point de fermer boutique pour une heure de plus, lorsqu'une voix infantine m'interpella. Cette voix, je la connaissais parfaitement. C'était Diana, ma petite sœur qui vint me sortir de mes pensées. Elle était là, vêtue d'une robe, courant à travers les herbes pour me rejoindre, arborant un sourire emplie de lumière. “ - Aedan ! ” Sa voix faisait ressortir un peu de bonheur , tant elle était belle. Elle était magnifique dans son habit du dimanche et lorsqu'elle fut à portée de main, c'est sans hésité que je l'enveloppa dans mes bras et la serrant de toutes mes forces. Je ne sais pas comment elle avait fait pour me retrouver, mais j'étais fasciné par son sens d'orientation. Je m'accroupis alors pour tenter de me mettre à sa portée, et pour la regarder dans le blanc des yeux. Retirez moi ma sœur, et je jure de remuer ciel et terre pour vous retrouvez, croyez moi. “ - Diana? Comment es-tu arrivée ici? ” Elle ne me répondit pas, et continua à arborer son petit sourire béat mais néanmoins, mignon. La couleur blonde de ses cheveux rayonnait, et à dire vrai, ma sœur était l'une des personnes avec qui j'aurais du mal à me défaire. Partir du district sans elle, serait commettre un crime. Elle ne devrait pas vivre dans cette misère, personne ne devrait vivre dans cette misère d'ailleurs. J'étais venu ici pour me reposer seul, et désormais j'allais devoir partir avec ma sœur dans les bras. Rien d'affolant, c'était même plaisant de me balader avec cette princesse qui sautille à chaque pas. Je me releva lorsque je constata que la pluie commençait à tomber et que dans peu de temps, si nous nous décidions pas à rentrer tout de suite, nous nous retrouverons mouillés de la tête au pied lors de notre retour au foyer familiale. Je pris alors la main de ma sœur avant de me débarrasser des quelques brins d'herbes qui s'étaient accrochés à mon pull. “ - Rentrons à la maison. Maman doit sûrement être affolée de ne pas te voir. ” Ma mère avait pour habitude de taper une grosse crise de nerf lorsqu'elle constatait que sa petite fille était partie vers l'inconnue sans même la prévenir. C'était frustrant pour elle de ne pas savoir où était son bébé et ce qu'elle faisait. Je la comprenais parfaitement. Elle avait le même caractère lorsque j'avais cinq ans, toujours à s'affolée pour un rien alors que je partais simplement monter aux arbres pour contempler les terres extérieures et mystérieuses. Diana hocha la tête en signe d'approbation. La pauvre, elle détestait la pluie comme elle déteste le capitole. Elle est pourtant jeune pour se faire une idée sur le capitole, je ne sais pas pourquoi elle le hait à ce point. Sûrement que les filles mûrissent plus vite que les garçons? A son âge, moi tout ce qui m'intéressait, c'était de courir après nos chiens. Aujourd'hui, je m'en résous à détester le capitole pour les jeux qu'ils proposent, et pour le plaisir qu'ils éprouvent à les organiser. _____________________________ Le retour à la maison se fit sans encombre. Une demi-heure nous aura suffit à retrouver le chemin du foyer. Il n'y faisait pas bon vivre, certes, mais la chaleur familiale qu'elle dégageait nous faisait la plus part du temps, oublier la misère dans laquelle on vit. Papa avait allumé la cheminée, pour se réchauffer un temps, il faisait chaud à l'extérieur, mais à l'intérieur, l'humidité nous faisait froid dans le dos, la température intérieure était désastreuse, un froid glaciale. Maman s'était attelée au fourneau depuis mon départ, tandis que mon père continuait à tisser pour ses clients. La cadette de la famille, s'était endormie, Diana veillait à ses côtés, assise sur un fauteuil non loin du berceau. Quand je vois ce schéma de famille, je me rends finalement compte que la vie ne m'a pas tellement maudit. Je me débarrassa de mon sac avant de rejoindre au pas pressant ma mère, car elle semblait débordée. Aujourd'hui encore, c'était de la soupe au menu, je commençais à en avoir marre du même plat à chaque repas. A croire qu'on va tous pourrir ici. Heureusement pour moi, je réussissais à contenir mon dégoût au plus profond de moi. Ma mère menait déjà une vie dure, elle avait pas besoin que je vienne compliquer la tâche non plus. Et puis, l'important c'est déjà d'avoir de quoi manger, c'est une chose. Ma mère, me voyant arriver dans la petite pièce qui me sert de cuisine, me regardant avec un sourire en coin. Elle retira son tablier et se lava les mains avant de s'approcher de moi et de me caresser les joues avec les yeux remplies d'étoiles. Je ne savais pas ce qu'elle me voulait, mais je me laissais faire, et lui souriant par la même occasion. C'est là qu'elle déversa une larme, je ne compris pas sur le coup, mais je la serra dans mes bras. “ - Maman, arrête de pleurer. ” “ - Tu ne sais pas à quel point je m'en veux de ne pas t'avoir offert une vie de rêve. ” De la voir pleurer par ma faute, c'est ce dont je m'en voulais moi aussi. Je ne compris pas sur le coup, comment elle avait fait pour cerner mon mépris envers la misère. Elle me serra fort dans ses bras, tandis que moi je tentais de l'apaiser du mieux que je pouvais. Elle m'a donné la vie, et je l'en suis redevable, qu'importe la misère dans laquelle elle me traînera, je continuerais à l'aimer, qu'elle le veuille ou non. J'essuya alors ses larmes, et lui déposa un baiser sur la joue. Je savais désormais de qui Diana tenait sa beauté, et même si cela ne m'a jamais échappé, en regardant ma mère dans les yeux, je constatais à quelle point elle était la plus belle femme au monde. “ - Ne t'en veux pas, maman. Tu m'as offert la famille dont je rêvais. ”
reality is here.
Anthony, quatorze ans, sur le chemin des quinze. Je n'ai lu aucun livre, cependant j'ai vu le film qui m'a bien plu.
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Dernière édition par Aedan Ainsworth le Dim 7 Avr - 20:26, édité 12 fois |
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