Posy Jackeline Rowblade. Son nom ressemble à une douce mélodie. C'est tendre, c'est beau, ça sonne comme une poésie. Posy, elle est belle comme une fleur qui vient d'éclore au soleil. Posy, elle est douce comme la soie que l'on caresse du bout des doigts. Posy, elle faisait sourire avec ses mimiques de petite fille qui a grandi dans les bois. Posy, elle a changé.

On se souvient encore de la gamine qui sautillait à chaque pas, qui chantonnait à chaque mot. Elle souriait et c'était comme si l'espoir refaisait surface. C'était la petite brune au regard scintillant. Une vraie petite poupée, cette Posy. Une poupée qui savait se faire entendre. Elle était capable de mordre si l'on s'approchait d'un peu trop près de son frère ainé, Melisandre. Ah, qui ne se souvient pas de ces deux mômes ? Toujours fourrés ensemble, comme deux siamois liés à jamais. Parfois, je les voyais se faufiler entre les buissons, main dans la main, partant à l'aventure sans se soucier de rien. Malgré leur ressemblance, elle a toujours été ma préférée. Elle était plus sauvage, aussi libre et indomptable que la rébellion. Je me suis toujours dit qu'elle terminerait là-dedans, comme ses parents. Plus elle grandissait, plus elle leur ressemblait. Elle avait cette même hargne, cette même impulsivité, qu'elle a gardé. Posy, elle représentait mon espoir, ma liberté.

Je l'ai connu quand ses parents étaient encore vivants. Ils habitaient dans le district quatre, et travaillaient dans une petite boutique au coin de la rue. Officiellement, ils n'avaient besoin de rien, et se plaisaient dans ce quotidien banal. Officieusement, ils préparaient la rébellion. Tout le monde le savait, mais cela n'empêchait personne de les aimer. Je passais souvent du temps avec eux. Surtout avec les parents. De vrais amis, comme il y en a peu. Et ils ont disparu. Du jour au lendemain, ils étaient considérés comme morts, noyés. Mais personne n'a jamais été dupe. Un habitant du quatre, se noyer ? C'est comme si l'on décidait d'arrêter les Jeux. Posy et Melisandre ont tenus bons. J'ai cherché à les aider, mais ils ont toujours refusé. Surtout Posy. Sa fierté finira par la tuer. J'ai continué à veiller sur eux, de loin. Je les ai vu grandir, se soutenir, unis contre l'adversité, unis à jamais dans cette hécatombe. C'était magique toute cette tendresse.

Puis, Melisandre a été enlevé. Et je suis revenu. Posy a refusé, comme toujours. Elle était déterminée à tenir bon. Je suis reparti. J'aurai pu insister, mais j'ai immédiatement su qu'elle ne serait jamais seule lorsque j'ai croisé Atala, sa belle-sœur. J'ai compris. Elles reprenaient ce qu'il avait commencé. Atala au commande, Posy est devenue son bras-droit. Parfois, elles disparaissaient quelques jours et le lendemain, elles revenaient sans que personne ne pose de questions. On en connaissait tous la raison. J'ai appris, plus tard, les retrouvailles avec Melisandre. Puis la dépression de sa belle-sœur. Je ne suis pas revenu, parce que Posy, bien malgré toutes ses épreuves, garderait toujours la tête haute.

Aujourd'hui, Posy a vingt-cinq ans. Posy est toujours aussi belle. Posy est toujours aussi têtue, aussi impétueuse. Mais Posy fait plus que jamais partie des rebelles. Et Posy, derrière son visage en porcelaine, ne sera plus jamais la même.

Holaaaa, como esta, dans la casa ? Moi, c'est black&blue et j'ai encore du mal à m'dire que j'suis majeuuuuuuure (mais j'suis pas sûre d'être totalement vaccinée). J'ai trouvé le forum sur bazzart, j'ai tout de suite accroché, parce que HUNGER GAMES RPZ sinooooon, j'suis aussi une sériephile, genre j'passe mes journées à regarder les séries, comme Nikita, OUAT, GOT, New Girl, HIMYM, Walking Dead, bref, j'ai tout essayé et j'me demande encore comment j'fais pour toutes les suivre et en plus, en commencer de nouvelles. Voilà voilà, c'était la minute racontage de viiiie

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