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 say my name as every colour illuminates (atlas)

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say my name as every colour illuminates (atlas) Vide
MessageSujet: say my name as every colour illuminates (atlas)   say my name as every colour illuminates (atlas) Icon_minitimeSam 10 Nov - 22:40



say my name
as every colour illuminates
we are shining
and we'll never be afraid again !

Atlas n'énervait. On avait pourtant bien prévu de se retrouver ce matin, et c'était sans préciser que ce serait chez lui, étant donné que c'était toujours à moi d'aller le chercher. C'était presque devenu comme une habitude depuis les années, et je n'avais jamais rien dit à propos de ça, mais j'aurais dû ; il était flemmard quand ça l'arrangeait. Après m'être lavée et avoir copieusement déjeuné, j'avais donc décidé d'aller le voir chez lui, en espérant et en priant tous les deux, anciens, nouveaux, de la Terre, du Ciel et même des nuages ou du sous-sol, de ne pas avoir la malchance de croiser Athos. Les choses étaient plutôt bizarres en ce moment, entre lui et moi, et plus je l'ignorais, mieux je me portais. Non pas que je porte mal si je venais à le croiser, parce que je n'allais pas laisser un garçon me dictait mon état d'esprit, mais voilà, c'était l'idée. Loin d'Athos, loin des problèmes. Je n'avais pas vraiment envie de me retrouver dans des situations inconfortables ;et puis pour ne rien cacher, j'aimais bien l'idée de lui balancer des remarques cinglantes dès que je le voyais. Puisque je n'avais pas la chance de croiser souvent miss Blackheart, que j'avais envie d'écraser contre un mur à côté de petite cuillère, il me fallait bien quelqu'un sur me défoulait. Parce que j'aimais beaucoup me défouler, me disputer, crier et insulter. Attention, cela ne signifie pas que je suis du genre impolie ; au contraire, j'ai été très bien élevée, et je sais me tenir : mais une petite engueulade de temps en temps, définitivement, il n'y avait rien de tel pour se changer les idées. Et mes idées auraient bien eu besoin d'être changées en ce moment... Mais je priais tout de même pour ne pas croiser Athos, parce qu'il y a des limites à la volonté de crier sur les gens.

Au dernier moment, ma mère m'avait appelée, alors qu'elle était occupée à parler au téléphone avec je ne sais pas qui, et m'avait demandé d'aller acheter de quoi déjeuner pour midi, au commerçant du coin. J'aime bien manger – surtout quand ce n'est pas ma mère qui cuisine – qu'on ne s'y méprenne pas, mais devoir aller acheter au dernier moment de la nourriture ne m'enchantait guère, parce que pour cela, je devais passer deux fois devant la maison du maire. D'autant plus de chances de croiser Athos, l'horreur. Finalement, je décidais de faire d'une pierre de coup et de passer chercher Atlas à l'aller, et de l'obliger ensuite à m'accompagner dans ma dure mission, avant de lui proposer d'aller chez moi, vu que je devrais de toute façon tout rapporter là-bas ; et que je doute que le lait apprécié énormément de rester au chaud pendant des heures. Parce que chez Atlas, il fait chaud, très chaud, et je dis ça sans aucune arrière pensée. Mais ça n'est pas le sujet. Je savais qu'il ronchonnerait à m'accompagner, parce que c'était loin – cent mètres tout au plus, distance ô combien impressionnante, je dois l'accorder -, parce qu'il faisait chaud et qu'il imaginait sans doute qu'il allait m'attendre tranquillement dans sa chambre, comme d'habitude, sans n'avoir rien d'autre à faire que m'ouvrir la porte une fois que j'arriverais. En fait, même pas. Il ne m'ouvrait même pas la porte, puisque la plupart du temps, il y avait toujours quelqu'un en bas, et qu'il n'avait pas besoin de descendre pour que les autres me laissent entrer. C'était affligeant de se rendre compte qu'en réalité... il ne faisait rien. Oui, vraiment rien. Heureusement que ma mère s'était manifestée aujourd'hui, finalement, histoire de le changer de ses vieilles habitudes.

J'étais donc arrivée devant chez lui. J'avais toqué, comme d'habitude, mais... Personne. Quand je dis personne, c'était vraiment personne. Parce que je sais que même si Athos avait été là il m'aurait ouvert ; il a beau être niais et vraiment effacé, on lui a appris à ouvrir une porte, quand il était petit. Et puis de toute façon, leur porte n'est pas transparente, alors il n'y avait aucun risque qu'en me voyant à travers, il décide de me laisser poireauter dehors. Il n'y avait vraiment personne. Et... Atlas ? Disparu ? Endormi. Ah oui, endormi, sûrement. Parce que monsieur dormait quatorze heures par nuit, mais ça ne devait pas lui suffire, à tous les coups. J'essayais désespérément de faire le tour de la maison pour capter le moindre signe de vie, mais toujours rien. Dépitée, je n'avais eu d'autre choix que de passer acheter ce qui ma mère avait marqué sur la liste, pour ensuite rentrer chez moi. Et là... Alors que je posais les provisions sur la table, j'entendais un bruit bizarre, à l'étage. Mes parents étaient... quelque part, mais en bas, j'en étais sûre. De toute façon, il n'y avait que ma chambre à l'étage. Méfiante, je montais discrètement les escaliers, avant de m'arrêter dans le couloir, au détour de ma chambre, pour voir d'où pouvait bien venir de bruit. Atlas. Qu'est-ce qu'il foutait là ? A tous les coups, il ne venait tellement pas souvent chez moi qu'il avait dû emprunter un chemin plus long que celui que je prenais tout le temps, et nous nous étions croisés. Et en plus, ma chambre lui semblait tellement inconnue qu'il ne pouvait s'empêcher de toucher à tout. Mais c'est pour ça que je l'aimais. Je soupirais avant de sourire ironiquement. Parce qu'après tout, j'étais tout de même contente de le voir. Un peu. Beaucoup, en fait. Je faisais demi-tour pour redescendre en bas et aller chercher un parapluie qui, je l'espérais, allait faire son petit effet. Après être remontée à l'étage, je surgis en trombe dans ma chambre, la pointe du parapluie pointée en avant, espérant lui faire peur. « A terre ! » J'avais l'air on ne peut plus sérieuse, ce qui ne tarda pas à voler en éclats alors que je ne pouvais plus contenir mon fou rire. « T'aurais... t'aurais dû voir ta tête mon vieux ! »


Dernière édition par Eden Bradsburry le Sam 9 Fév - 20:49, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: say my name as every colour illuminates (atlas)   say my name as every colour illuminates (atlas) Icon_minitimeMer 30 Jan - 19:39

Eden était franchement insupportable parfois. Où était-elle en ce moment alors que j’avais besoin d’elle ? Elle était déjà censée être chez moi. Elle avait le don de débarquer à l’improviste aux pires moments, mais maintenant que je m’ennuyais sérieusement, elle prenait tout son temps. Ça faisait déjà près de trois heures que j’étais debout, ce qui ne m’était pas arrivé depuis très longtemps. D’ordinaire, à cette heure-là, je dormais encore à points fermés. Mais voilà… ce matin, des bruits plus que dérangeants provenant de la chambre d’Aramis m’avaient tirés des bras de Morphée avec dégout. Beurk. Ce n’était pas la meilleure façon de commencer la journée, et le pire, c’est que ce n’était pas la première fois que j’entendais ma sœur en position délicate. Généralement, elle s’arrangeait pour que personne ne soit à la maison quand elle ramenait ses petits toutous chez elle.
Peut-être pensait-elle que mon sommeil était plus fort que son amour pour cet espèce de type miteux qu’elle avait dû ramasser au lycée et qu’elle ferait semblant de ne pas connaitre demain. Ou peut-être qu’elle s’en foutait simplement, et qu’elle voulait juste que je dégage de la maison pour une fois. Quand à Athos, il devait surement se trouver chez Blossom. Puisqu’elle était sa seule amie.

Mon dieu… qu’est-ce que fichait Eden ! J’aurai tout donné pour qu’elle arrive cet instant précis, et que les rires et gémissement gênés cessent enfin dans la chambre d’à côté. Elle n’était pourtant jamais en retard… C’était probablement un signe que m’envoyait le destin. Puisqu’elle n’arrivait pas, il était temps pour moi de prendre mon futur en main et de me rendre directement chez Eden. Il était clairement hors de question que je reste une seconde de plus dans ce lieu infâme, qui bien que se voulant « maison » me rendait plus étranger encore que si j’étais au bout du monde. J’avais besoin des tendres mains réconfortantes de ma douce et belle meilleure amie, qui précisons-le au passage était complètement folle et avait perdu la mémoire. Après son accident, elle était devenue encore plus marrante au final, et entre nous ; j’aimais bien lui faire croire des choses qu’elle n’avait jamais faites, pour la simple et bonne raison que j’étais cruellement farfelu et que décidément toujours là pour emmerder mon monde.

J’attrapai mon petit sac en toile, et y plongeai toute allure ce dont j’avais besoin pour la journée ; un crayon, une chaussette, un petit sachet de biscuit déjà ouvert, une cuillère en plastique… bon, c’était plutôt tout ce qu’il me passait sous la main. Désespéré, je laissai tomber le sac sur mon lit défait, j’enfilai mes chaussures à vitesse puissance quatre et me glissai en hâte sous la fenêtre. Utiliser la porte ? Too mainstream ! Et s’il fallait encore passer devant la chambre des tourtereaux, autant se pendre directement. J’atterris délicatement dans mon petit buisson, m’arrachant la peau des mains au passage, et je pris le chemin pour aller chez Ed. Chose que je n’avais pas faite depuis sacrément longtemps. Le chemin… ah, oui. Comment est-ce qu’on allait chez elle déjà ? Je me souvenais vaguement d’un petit ruisseau vers la droite, et d’une forêt d’arbre au passage… ce qui était plutôt embêtant, vu que des arbres ici, il n’y avait que ça. Je tentai de mettre mon cerveau en marche, mais les efforts me semblèrent vaincs. Tout ce que j’arrivais à visualiser, c’étaient les grands placards débordant de nourriture des Bradsburry. Puis la vision du nouvel ami d’Aramis –que je haïssais déjà– me donna envie de vomir, et je me dis que si je n’essayais pas au moins de trouver le chemin seul, cette journée se finirait vraiment de trois façons possibles : Atlas noyé dans un lac, Atlas mort d’une overdose de canard WC, ou encore Atlas, retrouvé congelé dans son propre réfrigérateur. Puis comme je n’arrivais pas à me concentrer sur la même chose pendant plus de cinq minutes, une nouvelle vision m’apparut. Celle d’Eglenver, ma belle Eggies, recouverte de soie le jour de sa sortie de l’arène, morte avec tant d’injustice… j’espérais au moins qu’elle reposait en paix là où elle était.

Absorbé par mes pensées, je ne m’étais même pas rendu compte que mes pas me portaient d’eux même. A croire que mes pieds avaient un plus gros cerveau que ma tête…. Je me retrouvai à nouveau totalement perdu au milieu d’arbres et de maisons. « Atlas, réfléchit un peu espèce de débile, c’est pourtant pas toi qui t’es pris une branche dans la tronche, alors fais marcher ta cervelle crétin ! » La voix d’Eden m’apparut très clairement. Puis lorsque je me remis à réfléchir au trajet à prendre, tout devint soudain très clair dans mes souvenirs. Je décidai de croire à une apparition divine, même si c’était très bizarre.

Une vingtaine de minutes plus tard, j’étais au milieu d’une dizaine de maisons plus belles les unes que les autres, bien qu’identiques. J’étais au village des vainqueurs, pour sur, mais il m’était absolument impossible de savoir laquelle était celle de Den. Je n'avais pas d'autre choix que de regarder sur toutes les boites aux lettres. Au bout d'une dizaine de minutes, je trouvai enfin la bonne maison. J'ouvris la porte, sans toquer ni sonner, -après tout j'étais ici comme chez moi-. "B'jour" glissai-je au passage en croisant la mère d'Eden. Elle me salua également, sembla vouloir dire qelque chose mais avant qu'elle ait le temps d'ouvrir la bouche, je gravis les marches en direction de la chambre d'Eden. "EDEEEEEEN MON AMOUUUUURRR" criai-je. Aucune réponse. Bah, elle était peut-être sous la douche. Si j'avais été dans un de mes mauvais jours, je serai surement aller l'espionner. Mais aujourd'hui, c'était beaucoup plus drôle de fouiller sa chambre dans les moindres détails. Ou attendre sagement, assis sur son lit. Bof. C'était quand même plus drôle de fouiller. J'ouvris les placards, cherchais sous le lit, sans rien trouver de très intéressant... Bah, de toute façon je la connaissais mieux que personne. Normal qu'elle n'ait pas de secrets. "A terre !" Mon coeur fit un bond dans ma poitrine. Je me retournai d'un coup, pensant d'abord à une blague. Puis un objet long, noir, effreyant se pointa sur moi. Un flingue? Je m'exécutai sans hésitation, posant les mains sur ma nuque, au bord des larmes. Oui, bon.. j'étais sensible et fragile. "T'aurais... t'aurais dû voir ta tête mon vieux !" Eden? EDEN? Mon amie baissa son "arme" en rigolant. Dieu que j'adorais ce rire! Il me donnait presque toujours envie de rire aussi. Mais là, pour l'instant, je n'avais qu'une envie : me jeter sur elle et l'innonder de chatouilles ; je savais qu'elle les craignait. "EDEN! Espèèèèce de puuuuteeeee tu m'as fait trop peur! T'aurais moins fait la maligne si j'avais pissé sur ton tapis à trois mille dollars, hein? tu... tu mérittes la pire crise de gillis jamais connues!" C'était un ton qui se voulait menaçant. Mais comment rester sérieux quand on annonçait ça? Je me jetai sur elle pour la chatouiller.
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