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CHAPITRE PREMIER: THE BEGINNING
And may the odd be ever in your favor.

Duncan était rouge écarlate. Son père lui avait fait porter des planches de bois toute l’après-midi et à vrai dire le jeune garçon n’en pouvait plus. Bien qu’il fut fasciné par l’ébénisterie, il ne supportait plus l’idée de porter un seul morceau de bois supplémentaire. Duncan avait toujours été un garçon turbulent au grand damne de ses parents qui craignaient toujours qu’il se mette en danger. D’ailleurs, cela serait surement arrivé s’ils n’avaient pas vécu dans le district sept. Son étendue jouait en leur faveur et d’ailleurs les parents Rutherford ne se privaient pas pour en profiter eux aussi. Si au départ leurs activités illégales n’étaient que de simples aides appréciées de tous, elles prenaient dorénavant une ampleur bien plus large et les actions de leurs fils risquaient souvent de les mettre en lumière. C’était d’ailleurs pour cette raison que cette après-midi-là, Duncan avait été assigné à cette tâche et il n’y avait eu aucune discussion possible. Le calvaire du jeune garçon prenait fin puisque l’heure du dîner approchait. Sa mère était en cuisine depuis un moment et la maison embaumée le pain chaud et la viande. Duncan n’avait que douze ans, mais il savait très bien que tout ceci provenait du trafic illégal de ses parents et de leurs arrangements avec bons nombres de personnes du district. Il n’avait aucune idée de ce qui se tramait dehors, il ne savait rien de plus que ce qu’on voulait bien lui dire et on ne lui disait pas grand-chose. Duncan, s’installa à sa place habituelle et soupira. Sa mère fronça les sourcils et posa ses petites mains sur ses hanches. « C’est comme ça qu’on se tient maintenant ?! Vas donc te laver les mains, petit sanguin. » Duncan s’exécuta à contre cœur sachant très bien qu’il ne gagnerait pas. Il plongea ses mains dans le sceau d’eau froide ce qui lui arracha une grimace. Ses yeux étaient à bonne hauteur pour qu’il puisse voir tout ce qui se passait par la petite fenêtre de leur cuisine. Un petit groupe de trois personnes attira son attention. Ils marchaient d’un pas décidé, droit vers eux. Duncan n’aurait su dire s’il s’agissait de pacificateur ou de personnes lambda, la seule chose qu’il remarqua c’est qu’il n’avait jamais vu ces personnes auparavant. « Maman ! Je crois que ces personnes viennent à la maison. » S’exclama-t-il lentement en se tournant vers elle. Sa mère s’approcha à son tour de la petite fenêtre, passant sa main dans les cheveux de son fils. Le changement flagrant de comportement qu’elle adopta n’échappa pas à Duncan qui sentit une angoisse grimpait en lui. Il regarda son père, qui avait adopté cette même attitude. Tous deux étaient sur le qui-vive. Quelque chose se passait mal, Duncan pouvait le sentir. « Mets-toi là, Duncan et n’en sors que quand je te le dirais, tu m’as compris ? » articula son père avec empressement en poussa Duncan dans un petit placard. Le jeune garçon s’exécuta s’en avoir vraiment trop le choix. La scène fut particulièrement rapide et violente. Duncan plaqua sa main sur sa bouche pour ne rien laisser entendre et il put observer par un petit trou ce qu’il se passait, chose qu’il n’aurait surement jamais dû faire. Ces gens étaient venus pour assassiner ses parents. Duncan fut perdu, un mélange de nausée, de peur, de tristesse, un vide, une angoisse, c’était une sensation terrible. Les images ne cessaient de se répéter dans son esprit. Duncan sentit les larmes lui montaient aux yeux. Son père lui avait dit de ne sortir que lorsqu’il lui dirait, mais visiblement il n’allait pas lui dire. Que devait-il faire ? Et s’ils revenaient ? Si c’était un coup du capitole, il devait forcément savoir que Duncan trainait quelque part ? Mais si c’était quelqu’un d’autre, est-ce qu’il savait pour lui ? Duncan tenta de calmer ses angoisses et de réfléchir un instant, sa respiration était devenu galopante et son cœur s’emballait tellement qu’il avait la sensation qu’il allait lâcher. Après de longues heures passées dans ce placard, Duncan pris la décision de faire quelque chose. Il ne pouvait pas se laisser mourir ici. Les corps de ses parents étaient tous deux étendus sur le sol, ce qui choqua à nouveau le petit garçon. Il s’accroupi devant eux, attrapant la main de sa maman froide et rigide. La vie avait belle et bien filée et il ne restait plus que leur corps inerte. A cette vision qui rendait toute la scène terriblement réelle, les larmes de Duncan roulèrent sur ses joues, elles dansaient sans interruption, ne lui laissant à peine assez de temps pour reprendre son souffle entre chaque sanglot. A force de pleurer, il finit par s’endormir, là, à même de le sol, entouré pour ce qui semblait être la dernière fois de ses parents.

Un silence inquiétant avait pris place dans la maison, Duncan avait l’impression que tout le monde était partit et l’avait laissé seul. Il restait là en silence, les genoux ramenés sous son menton. Il ne savait pas bien depuis combien de temps il était là, où il en était ni ce qu’il devait faire. Il avait tant pleuré qu’il n’avait plus aucune larme. Seule son ouïe restait en éveil, attentive au moindre bruit suspect. Son cœur qui ne savait plus comment battre correctement se callait sur un petit clic clic régulier qui sonnait comme un tempo. Maintenant que Duncan se concentrait sur ce bruit, cela ne faisait aucun doute que le bruit se rapprochait. Il redressa vivement sa tête, toujours attentif, son cœur s’accéléra, ses doigts se crispèrent et il sentit son estomac se serrer. Et il ne faisait plus aucun doute que le bruit arrivait vers lui. Duncan fonça à nouveau dans sa cachette qui lui avait sauvé la vie une première fois. Deux personnes pénétrèrent dans la maison à peine Duncan avait-il fermé la porte de son placard. « sors mon garçon, on t’a vu. » Duncan garda le silence. Etaient-ils venus pour l’abattre à son tour. Peut-être que cela était préférable, après tout, il venait de tout perdre, il n’avait pas besoin de rester en vie. La suite ne fut pas très clair, les deux personnes parlèrent entre elles sans que Duncan ne comprennent vraiment de quoi il s’agissait, mais elles ne semblaient pas vouloir partir sans lui. Au bout d’un certain temps, que Duncan ne pourrait définir, les deux personnes ouvrirent la porte du placard et tirèrent Duncan de là. Il tenta de se débattre, mais le regard et la douceur avec laquelle lui parler la jeune femme le calma rapidement, elle n’avait rien de quelqu’un du capitole, et puis elle avait un air gentil. L’homme quant à lui était plus intimidant et Duncan pris grand soin de ne jamais croiser ses grands yeux noirs. Le jeune garçon regarda une dernière fois les corps de ses parents et se promis de jamais parler de tout cela à quiconque, jamais. D’ailleurs dans un premier temps, il ne parlerait pas du tout. Ce n’est qu’après de longues heures de marches qu’ils arrivèrent à destination. Duncan ne reconnaissait pas Panem, c’était une sorte de ville souterraine avec plein d’enfants de son âge. On lui expliqua qu’il était dans le district treize et qu’ici il serait en sécurité pour toujours.

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CHAPITRE DEUXIEME: IT'S ABOUT BROTHERHOOD
We were in this together, and then you were gone

Le district treize devint très vite le nouveau foyer de Duncan. Il ne parvenait toujours pas à parler, mais déjà il se sentait plus en sécurité. Une armée de personne s’occuper de lui et il mangeait chaque soir à la même table que des centaines enfants. Chaque jour on lui apprenait à se battre, à tirer, à survivre. Dans un premier temps, Duncan pensait qu’on l’entrainait pour les jeux, mais le temps passait et il n’avait jamais entendu parler de moisson ou de quoique ce soit en rapport avec les hunger games. On répétait sans cesse à Duncan que les gens qui avaient tué ses parents venaient de Capitole, tous les prétextes étaient bons pour faire ressortir cette histoire et lui raconter encore et encore. D’ailleurs on lui avait raconté tant de fois que Duncan ne connaissait même plus la réelle version de l’histoire. Ses souvenirs devenaient chaque jour un peu plus flous et sa haine contre le capitole devenait chaque jour un peu plus forte. Duncan commençait également à reprendre la parole et c’est à cette même période que ses liens avec Raven se tissèrent lentement mais surement.

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CHAPITRE TROISIEME: LIFE GETS ON THE WAY
« You're stronger than your father. » «You didn't know my father. »
« But I know the rage that drives you. That impossible anger strangling the grief, until the memory of your loved ones is just poison in your veins. And one day you catch yourself wishing the person you loved had never existed, so you'd be spared your pain. I wasn't always here in the mountains. Once I had a wife, my great love. She was taken from me. Like you, I was forced to learn that there are those without decency that must be fought without hesitation, without pity. Your anger gives you great power, but if you let it, it will destroy you, as it almost did me. » «What stopped it? » « Vengeance. »

Ce visage Duncan ne pouvait pas l’oublier, du moins il le c’est ce qu’il avait toujours pensé. Il était certain que ces images qui avaient changé sa vie à jamais resterait graver à jamais dans son esprit et qu’un jour enfin il pourrait se venger et faire payer les assassins de ses parents. Maintenant qu’il faisait partie de l’armée du district treize, maintenant qu’il était entrainé il n’avait plus qu’une hâte qu’on l’envoie dans n’importe quel district. A vingt-quatre ans, Duncan avait déjà fait quelques missions et rien n’avait été concluant. Le jeune homme ne prenait jamais le temps de réfléchir, il fonçait tête baissée prêt à tout pour venger ses parents et peu importe qui pouvait se mettre en travers de son chemin. Duncan enfila tout son attirails, aujourd’hui ils devaient tous se rendre dans le district neuf. Ainsi, tous partirent. Duncan restait en éveil, attentif, ça avait toujours été son point fort, il observer tout, sauf quand il s’agissait de vengeance. Un des pacificateurs attira son attention. Duncan se tourna alors vers lui et cela ne faisait pour lui aucun doute, c’était l’homme qui avait tué ses parents de sang-froid. Et il était temps qu’il sache ce que cela fait. Duncan ne se soucia même plus de quel camp il était, il n’était plus que lui, il ne pensa pas un instant au protocole, aux autres gars, à Raven. Son sang battait si fort dans ses tempes, il sentait ses mains se crispaient sur son arme, enfin, leur qu’il attendait temps. Poster devant la maison du Pacificateur, il n’attendait qu’une chose, que celui sorte. Et soudain, ce fut si rapide que Duncan n’est plus trop sûr que cela ce soit passé comme ça. Le Pacificateur sortit de chez lui, Duncan s’apprêtait à le tuer, s’élança en avant comme un animal assoiffé de sang, mais lorsqu’il atterrit au niveau de cet homme qu’il haïssait tant, celui-ci était déjà mort. En voulant se venger de la sorte, Duncan n’avait même pas pensé à sa sécurité et si c’était lui qui avait été visé, il n’était même pas un tout petit peu caché. Pourtant, il regarda le corps du Pacificateur et les blessures étaient bien trop précises, bien trop franches pour ne pas lui être destinées. C’est alors qu’un seconde Pacificateur sortit de l’ombre dans lequel il était tapi. Duncan pris peur, il sentait qu’il allait devoir tuer cet homme. Mais c’était différent de tuer des personnes en masse sans savoir qui vous tuez réellement et tuer quelqu’un de sang-froid en le regardant droit dans les yeux. Pourtant, la peur de Duncan s’envola si tôt le Pacificateur eut pris la parole, la voix de cet homme le rassura immédiatement. Bien que sceptique, il accepta de l’écouter. Le Pacificateur chamboula toutes ses croyances, toutes ces expériences, pour lui le treize se servait de Duncan comme d’une arme, ils avaient fait tuer ses parents pour le recruter dans l’armée, le façonner de telle sorte qu’il ferait la rébellion à leur côté et qu’après, il resterait dans le treize ou il mourrait. Cela fut un processus très long pour que Duncan commence à croire ce que lui disait le Pacificateur, mais celui-ci atteint son objectif. Et alors qu’il avait fallu des années au treize pour faire de Duncan un bon soldat obéissant, il avait fallu à peine quelques heures au Capitole. Et bien qu’il prétexta de vouloir réfléchir, le mal était fait, le doute avait germé. Et Duncan avait pris sa décision, il deviendrait Pacificateur.

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CHAPITRE QUATRIEME: KILL OR BE KILLED
You could be brilliant, but you're a coward.

Duncan n’est pas le pacificateur que l’on reverrait d’avoir. Il se tient tranquille c’est un fait, il suit sagement les règles, sachant très bien que c’est là sa seule chance de survie. Duncan est peut être quelqu’un d’influençable, mais il n’est pas bête pour autant. Il sait très bien que si le Capitole a besoin de lui c’est qu’ils peuvent tirer un avantage de cette situation. Maintenant, ils doivent surement avoir ce doute persistant et s’ils étaient toujours l’un des leurs. La vérité c’est que Duncan n’est l’un ni l’autre. Aujourd’hui il n’en plus que lui face au monde entier. Mais être seul est une mort certaine.

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CHAPITRE CINQUIEME: LA REVOLTE
blablabla

Le Capitole allait enfin savoir si avoir pris Duncan dans leur camp était bénéfique ou non et surtout, ils allaient enfin savoir dans quel camp il était. La vérité c’est qu’en apprenant les attaques du treize, Duncan n’avait aucune idée de qui il devait combattre. Ainsi dans les premiers mois de la révolte, il n’a fait que maintenir l’ordre dans son district comme le lui avait demandé le Capitole. Le district dix étant l’un des plus pauvre, cela ne faisait aucun doute que le treize l’attaquerait en premier. Il fallait être bête pour ne pas le faire d’ailleurs. Mais malgré son désire irrépressible de vengeance, Duncan avait une conscience et il lui était impensable de se battre pour une organisation dans laquelle il ne se reconnaissait pas et il lui était encore plus impensable de se battre pour le Capitole, responsable de tous les maux de la société. Duncan se contenta donc de protéger comme il le pouvait les quelques habitants du Capitole qui avait besoin de sa protection. Le reste du temps, il se contenta de rester impassible à tout ce carnage, ressentant bien malgré lui un petit pincement au cœur. Panem avait toujours été la ville où il avait vu le jour et pour laquelle il s’était battue et voilà que maintenant il n’en restait plus rien qu’une guerre dont Duncan ne voyait pas l’issue favorable, quelle que soit cette issue.

DUNCAN DUNCAN DUNCAN DUNCAN

Je suis tellement contente que tu sois là pour mon Raven
En plus ton avatar est pire que sexy

Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche

(tu crois qu'on a le droit ? )

J’espère être à la hauteurs de vos attentes.

Et mille mercis. D'ailleurs, je crois que l'avatar a été réalisé par quelqu'un du forum, mais qui, je ne saurais pas dire.

(Je sais pas si ça risque pas d'être mal interprété )

Spoiler:

BIENVENUUUUUUUE officiellement anyway (oui moi aussi du coup je )
Bon courage pour ta fiche & comme je t'ai dit si tu as des questions (ou si tu veux que je te fasse ... des choses ) ma boite à MP est ouverte

Et oui ton avatar c'est Avalon qui l'a fait
Avalon c'est notre déesse des avatars à tous

HAHA s'il n'y a que les doigts, le jeu en vaut la chandelle.

Ne fais pas trop de propositions indécente tu pourrais vois ta boite mp noyée sous un flot de mp salace. Ou juste pour te poser des questions.

Avalon est aussi celle qui a vendu ton scénario avec succès.

Bienvenue sur MJ
Oui l'avatar est bien de moi Je suis bien contente d'avoir vendu la scénario de Raven, depuis le temps qu'il l'attend

Bonne chance pour ta fiche

Bienvenue sur MJ

bienvenue bon courage pour ta fiche

omg, ça va tourner au threesome votre histoire là

Bienvenue

Kathleen S. Harper a écrit:

omg, ça va tourner au threesome votre histoire là

Avoue que si c'était le cas ça serait un seksy threesome

De un tu me brises pas les doigts
De deux pour un threesome faut mon avis

De trois, ma fille va te coucher

Spoiler:

Bienvenue

Bienvenue