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fermeture du forum le forum ferme ses portes après six ans d'existence. merci pour tout, on vous aime. |
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Auteur | Message |
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| Sujet: Re: LE CTRL + V ★ Dim 10 Mar - 20:23 | |
| robert downey jr. 144 james mcavoy. 217 |
| | | Thybalt M. Homens △ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011 △ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
| Sujet: Re: LE CTRL + V ★ Lun 11 Mar - 12:42 | |
| robert downey jr. 145 james mcavoy. 216 |
| | | Swain Hawkins △ correspondances : 5710 △ points : 0 △ à Panem depuis le : 18/06/2012 △ humeur : I'm a fucking monster. △ âge du personnage : 38 y.o.
| Sujet: Re: LE CTRL + V ★ Mar 12 Mar - 12:54 | |
| adele. 48 kate beckinsale. 32 katy perry. 94 mary-elizabeth winstead. 40 natalie dormer. 85
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| Sujet: Re: LE CTRL + V ★ Mar 12 Mar - 13:05 | |
| C'est donc l'histoire d'un Pedobear qui avait pris l'apparence de Thylbat - qui lui avait laissé pousser ses cheveux pour ressembler à Hunter dans sa jeunesse alors qu'il était encore un hippie - et adorait chanté des chansons pour amadouer les enfants comme le Président Snow qui prenait son pied avec les One Direction. Ce pedobear avait une longue queue (...) de pie qui lui donnait un air faussement élégant ; il s'en servait d'ailleurs pour pêcher les poissons que Sagitta collectionnait dans une pièce secrète. Il y avait un portrait accroché au mur, celui de Benoit XIV qui était entrain de se caresser le nombril en louchant. Ce tableau avait souvent fasciné Avalon, car elle trouvait que la représentation était en tous points identique à celle de ses soeurs Billie et Rumer, les plus dévergondées de la famille. Elle n'eut cependant pas le temps de s'y attarder car frappa à la porte une femme. Elle avait la peau matte et on l'a reconnu de suite. Elle avait des lèvres pulpeuses, une poitrine arrondi et surtout, elle avait son pouce et son auriculaire levés, qu'elle approchait de son oreille en criant. "Allo !". Il s'agissait bien de Nabilla. Avalon eu une réaction plutôt positive, elle avait toujours été fan de cette femme et de son look. Lui attrapant l'oreille tendue elle la tira à l'intérieur de la maison pour lui préparer sa spécialité, de la soupe aux ... |
| | | Swain Hawkins △ correspondances : 5710 △ points : 0 △ à Panem depuis le : 18/06/2012 △ humeur : I'm a fucking monster. △ âge du personnage : 38 y.o.
| Sujet: Re: LE CTRL + V ★ Mar 12 Mar - 13:26 | |
| adele. 47 kate beckinsale. 32 katy perry. 96 mary-elizabeth winstead. 40 natalie dormer. 84
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| Sujet: Re: LE CTRL + V ★ Mer 13 Mar - 11:58 | |
| (rien) |
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| Sujet: Re: LE CTRL + V ★ Mer 13 Mar - 17:50 | |
| - Spoiler:
« Ça je le sais. On est dans une petite ville, tout se sait dans le coin, à moins que ça aussi tu aies fini par l'oublier. Désolé. » Qu’entendait-il par « tu aies fini par l’oublier » ? Parlait-il de lui ? Parce que si c’était le cas, il se trompait. Elle n’avait rien oublié de leur histoire. Chaque instant, chaque minute était inscrit dans sa mémoire. Même si elle le voulait, elle ne pourrait pas les oublier. Elle préféra ne rien dire sur cela et répondit simplement par un « Oui, une petite ville… »
Fairview était effectivement une petite ville. Tout se savait. Les commérages allaient bon train. C’était quelque chose qui n’avait pas manqué à Charlie lorsqu’elle était à Londres. Elle adorait cette ville. Elle ne saurait trop dire pourquoi. Pourtant, elle avait choisi cette ville par défaut, c’était le premier billet qu’elle avait pu avoir. On aurait pu lui proposer la Groeland qu’elle aurait accepté. Bon, pas sûr qu’elle s’y serait plu par contre. En allant à Londres, elle ne savait pas si elle allait y rester un an, deux ans, plus… et finalement, les années étaient passées. Six ans avaient passé. Six années où elle avait tenté de se reconstruire. Elle s’était mariée, avait eu un enfant. Et pourtant, elle avait dû revenir il y a deux mois, à cause de –grâce à ?- la mort de son paternel. Charlie était devenue une femme accomplie, et pourtant, devant Leslie, elle avait l’impression d’avoir de nouveau dix-sept ans, le jour où elle l’avait rencontré. Elle se sentait impuissante. Sauf que cette fois, Leslie n’allait pas la sauver. Bien au contraire.
« Pas le droit ? Mais tu t'attendais à quoi, à ce que je te dise merci, où que je t'accueille comme une vieille amie ? Tu me penses hypocrite à ce point-là, ou bien c'est simplement toi qui l'es trop devenue pour t'en rendre compte ? » A dire vrai, Charlie ne savait plus trop comment elle était devenue. Elle passait tellement de temps à faire semblant depuis six ans, qu’elle avait du mal à décerner le vrai du faux à présent. Du moins, chez elle. Avait-elle vraiment cru qu’il l’accueillerait à bras ouverts ? Non, elle n’avait pas cru ça. « Mais non je ne sais pas tu as raison... Faut dire que trois mots sur un post-it ça m'a pas laissé beaucoup de marge, la liste des courses aurait été plus explicite. »
Charlie repensa à l’état dans lequel elle se trouvait lorsqu’elle avait laissé ce foutu post-it. Elle avait mis dix bonnes minutes avant d’écrire ces trois petits mots. Elle aurait tellement voulu faire plus, dire plus. Mais elle n’en avait pas la force. Alors, les mains tremblants, les yeux humides, elle avait griffonné ce « je suis désolée » sur ce post-it minable. Leslie était en colère, ça se voyait. Mais Charlie se sentait mal. Elle ne savait plus où elle en était, elle était totalement perdue. Et elle avait beaucoup de mal à le regarder dans les yeux. Affronter son regard, c’était lire dans ses yeux qu’il la détestait, lire qu’il ne lui pardonnerait jamais. Et ça, la jeune femme ne le supportait pas. Bon sang, à quoi tu t’attendais, espèce de stupide, stupide, stupide ! se dit-elle soudain. Qu’est-ce qu’elle croyait ? Qu’il allait lui dire qu’il l’aimait toujours, qu’il la comprenait, qu’il acceptait sa maladie quoi qu’il arrive. Mais ça, c’était vrai il y a six ans, et comme une idiote, elle n’avait pas su le voir. Elle n’avait pas su avoir assez confiance en elle pour croire qu’il l’aimait autant qu’il le disait. Et, elle n’avait pas non plus su lui montrer à quel point elle l’aimait. Et aujourd’hui, elle tentait de garder la face devant lui. Elle tentait de ne pas faire couler ses larmes. En attendant, elle n’avait rien répondu alors Leslie avait continué sur sa lancée.
« Je t'interdis de faire ça Charlie ... je t'interdis d'essayer de me faire porter le chapeau, d'essayer de me faire culpabiliser pour tes erreurs ! C'est ta lâcheté qui a tout gâché, ta lâcheté à ne pas avoir su me dire en face que c'était fini, ta lâcheté à ne pas vouloir me regarder dans les yeux pour me dire que ce mariage tu n'en avais jamais voulu ... Tu me feras pas me sentir coupable, pas cette fois-ci. C'est toi qui es partie, alors t'as pas le droit de dire que c'est pas ce que tu voulais, parce que cette décision c'est toi qui l'a prise, et c'est moi qui l'ai subie. » Leslie avait totalement raison. Ce qu’il disait était vrai mais Charlie était bien trop tétanisée pour l’admettre, elle avait bien trop mal pour l’admettre. Ce n’était même pas une question de fierté, ou de dignité parce que sa fierté, elle l’avait perdue le jour même où elle avait accepté d’épouser Joshua. La jeune femme sentait tous ses membres trembler, elle sentait les larmes monter, mais elle refusait de pleurer devant lui. Soudain, elle avait l’impression que tout ce qu’ils avaient vécu ensemble n’était que fumée, et qu’il était vain d’essayer de la rattraper. Des explications, c’était ce qu’il voulait, n’est-ce pas ? « Oui, j’ai été lâche ! T’as raison ! J’ai été lâche parce que je savais… je savais que si tu étais en face de moi, j’aurais jamais eu la force de te dire que j’avais peur. » Elle reprit sa respiration, essayant de la contrôler mais elle n’y arrivait absolument pas. « Ce mariage, j’en voulais autant que toi. Et puis, j’me suis mise à paniquer… si je t’avais eu en face de moi, jamais j’aurais eu la force de te quitter, parce que ce que je ressentais pour toi, c’était plus fort que tout ce que j’ai pu ressentir jusqu’à aujourd’hui, et ça m’a fait peur. »
Tout ce qu’elle avait pu ressentir jusqu’à aujourd’hui ? Implicitement, Charlie venait de dévoiler qu’elle ne ressentait pas pour son mari ce qu’elle ressentait pour Leslie. Mais s’en soucierait-il ? Elle en doutait. Pourtant, c’était bien la vérité. L’amour qu’elle ressentait pour Leslie était tellement fort, tellement immuable que ça lui faisait presque mal. Elle n’avait jamais ressenti ça, et, même si elle était jeune à l’époque, elle savait très bien qu’elle ne ressentirait ça pour personne d’autre. La preuve était là. Elle était mariée à Joshua et pourtant l’amour qu’elle ressentait pour lui était de ces amours purs, l’amour qui nous donne bonne conscience, celui qui nous fournit la sécurité. Mais ce n’est pas l’amour qu’elle avait pour Leslie. Cet amour qui lui faisait battre le cœur, qui lui donnait des nœuds dans l’estomac, qui lui faisait perdre la tête dès qu’il touchait sa peau. Oui, cet amour, c’était celui qu’elle avait pour Leslie. Mais, la peur avait fini par lui prendre les tripes. Elle se réveillait en sursaut la nuit en se disant qu’ils finiraient inévitablement par se déchirer, par se haïr et par divorcer. Elle entendait déjà ses parents lui dire « On t’avait bien dit qu’il n’était pas digne de confiance. » Seulement voilà, Charlie lui faisait confiance. C’était plutôt à elle-même qu’elle ne faisait pas confiance. Sans doute pas à juste titre car Leslie ne lui avait jamais montré que sa maladie le dérangeait, ou même son âge, ou quoi que ce soit d’autre. Oui, elle n’aurait peut-être pas du paniquer. Peut-être qu’ils se seraient mariés, et seraient encore parfaitement heureux. Et ils auraient sans doute une petite fille, appelée Emmalee. Mais ce n’était pas le cas… Elle était mariée, elle avait une fille qui s’appelait Emmalee… et lui ? Et bien, finalement elle ne savait pas. Mais la façon dont il la regardait lui faisait penser qu’il ne l’aimait plus à présent, qu’il ne ressentait que de la haine pour elle. La jeune femme ne pouvait pas le blâmer.
« J'ai passé des semaines entières à t'attendre Charlie, des journées entières près du téléphone à espérer quelque chose, plus qu'un minable bout de papier, parce que naïvement je pensais que je valais mieux que ça à tes yeux ... Mieux que trois mots griffonnés vite fait pour te donner bonne conscience. » Oh oui, il valait mieux que ça à ses yeux, il valait mieux que tout, et elle n’avait pas su le lui montrer. « Tu te souviens de Trey ? Tu te souviens de pourquoi j'ai fini par me brouiller avec lui ? Pour toi ! Tu te souviens peut-être du jour où je t'ai demandé de m'épouser, parce que j'avais été assez stupide pour croire que tu voudrais passer le reste de tes jours avec moi alors que c'était que du vent ... Là aussi, pour toi ! Toutes ces soirées à faire des heures supplémentaires pour pouvoir t'offrir un mariage digne de toi, toutes ces journées passées chez toi à sourire à tes parents et à m'écraser alors qu'ils me traitaient comme un minable, pour toi encore ! ... » Charlie entendit résonner les mots « pour toi » dans sa tête. Il avait fait tellement de choses pour elle, et elle, qu’avait-elle fait finalement ? Elle l’avait fait souffrir. Alors, elle ne put retenir sa pensée. « Alors, pourquoi tu m’aimais ? Tu l’as dit, t’as fait tellement de choses pour moi, à cause de moi mais qu’est-ce que j’ai fait pour toi ? T’as jamais mérité quelqu’un comme moi. Tu méritais tellement plus, Leslie, tellement plus qu’une femme qui allait finir sa vie dans un fauteuil roulant. Pourquoi tu m’aimais tellement Leslie, hein ? » Sa voix n’exprimait aucune colère à présent, Charlie était juste dépassée par ce qu’il se passait. Toutes les questions, tous les doutes qu’elle avait ressentis pendant ces six ans remontaient et elle ne réussissait pas à les gérer parce qu’il était là, devant elle, et qu’elle était complètement décontenancée. « Alors désolé mais c'est toi qui n'as pas le droit ... de me dire que j'ai pas fait assez d'efforts, de me dire que je t'ai pas assez aimé, de me dire que je t'ai prise pour acquis ... t'as pas le droit, parce que j'ai passé cinq ans à ne faire que ça, et toi tu n'as jamais rien vu. T'as simplement tout foutu en l'air, et là-dessus t'es la seule responsable si tu en as souffert. » Décidément, ils avaient du mal à se comprendre. Le temps où ils se comprenaient d’un seul regard était apparemment révolu. Le temps où leur relation était si simple était passé. Et tout ça à cause de Charlie. Leslie venait de lui répéter et elle ne pouvait dire le contraire, elle ne pouvait même pas le prétendre, elle n’était pas vraiment douée pour le mensonge. Leslie avait toujours su déceler quand la jeune femme mentait. Toujours. Et puis, elle n’avait jamais eu la force de lui mentir pour des choses graves. Discrètement, Charlie se rapprocha du comptoir où elle posa son bras afin de se maintenir. Plus ça allait, plus elle sentait qu’elle se raidissait et elle ne l’acceptait pas. « J’sais pas quoi dire… Qu’est-ce que tu veux que je dise Leslie ? Oui, c’est ma faute. J’avais vingt-deux ans, j’avais pas ta maturité… J’avais tellement peur qu’on finisse par se déchirer… »
Alors elle avait accéléré les choses. Pas sûr que c’était la meilleure solution. Mais, Charlie n’avait jamais été douée pour parler, pour dire ce qu’elle ressentait. Elle préférait tout garder en elle. Jusqu’au jour où ça explosait, comme à cet instant. Charlie était le genre de personne handicapée des sentiments, qui ne savait pas comme exprimer ce qu’elle ressentait. Même à sa propre fille, elle disait que très rarement qu’elle l’aimait. Bien sûr, mis à part par la parole, Charlie exprimait son attachement par des gestes. En fait, Charlie s’exprimait le mieux en ne disant rien, ses yeux exprimaient tout pour elle. Elle avait un regard pénétrant, qui en disait toujours très long sur ses pensées. C’était pour ça que Joshua lui en voulait parfois, parce qu’il voyait que trop souvent le reflet de Leslie dans les yeux de sa femme. Et même si il ne disait rien, Charlie savait que ça le blessait alors elle faisait semblant. De jour en jour, elle faisait de mieux en mieux semblant. La seule personne avec qui elle ne faisait pas semblant, c’était sa fille. Cette dernière était sa raison d’avancer maintenant. Charlie s’assura qu’Emma était toujours en train de regarder les livres et ne faisait pas attention à ce qu’il se passait entre elle et Leslie. Apparemment, la petite fille était bien trop amusée par le livre qu’elle feuilletait pour faire attention à ce qui l’entourait.
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| | | Swain Hawkins △ correspondances : 5710 △ points : 0 △ à Panem depuis le : 18/06/2012 △ humeur : I'm a fucking monster. △ âge du personnage : 38 y.o.
| Sujet: Re: LE CTRL + V ★ Mer 13 Mar - 23:29 | |
| robert downey jr. 147 james mcavoy. 214
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| Sujet: Re: LE CTRL + V ★ Jeu 14 Mar - 15:20 | |
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| | | Swain Hawkins △ correspondances : 5710 △ points : 0 △ à Panem depuis le : 18/06/2012 △ humeur : I'm a fucking monster. △ âge du personnage : 38 y.o.
| Sujet: Re: LE CTRL + V ★ Mar 19 Mar - 15:16 | |
| Andreas Blacks 38 (+) Asher Weir 38 Blue-Ivy Archdeacon 18 (-) Samwell Hootkins 45
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| | | Avalon R. Sweenage △ correspondances : 13212 △ points : 2 △ multicomptes : dely, ridley, dahlia △ à Panem depuis le : 23/04/2011 △ humeur : mélancolique △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : garde d'enfants
| Sujet: Re: LE CTRL + V ★ Dim 24 Mar - 15:51 | |
| adele. 45 kate beckinsale. 32 katy perry. 98 mary-elizabeth winstead. 42 natalie dormer. 82 |
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| Sujet: Re: LE CTRL + V ★ Mar 26 Mar - 9:36 | |
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| | | Reeven-Sham Skenandore △ correspondances : 1381 △ points : -5 △ multicomptes : ❝ ever (d13) & sagitta (kaput) △ à Panem depuis le : 02/12/2012 △ humeur : ❝ dans un petit coin de paradis où tout va enfin bien, aux côtés de cette famille qui n'avait pas pu voir le jour △ âge du personnage : ❝ dix-sept ans
| Sujet: Re: LE CTRL + V ★ Mar 2 Avr - 18:07 | |
| C'est donc l'histoire d'un Pedobear qui avait pris l'apparence de Thylbat - qui lui avait laissé pousser ses cheveux pour ressembler à Hunter dans sa jeunesse alors qu'il était encore un hippie - et adorait chanté des chansons pour amadouer les enfants comme le Président Snow qui prenait son pied avec les One Direction. Ce pedobear avait une longue queue (...) de pie qui lui donnait un air faussement élégant ; il s'en servait d'ailleurs pour pêcher les poissons que Sagitta collectionnait dans une pièce secrète. Il y avait un portrait accroché au mur, celui de Benoit XIV qui était entrain de se caresser le nombril en louchant. Ce tableau avait souvent fasciné Avalon, car elle trouvait que la représentation était en tous points identique à celle de ses sœurs Billie et Rumer, les plus dévergondées de la famille. Elle n'eut cependant pas le temps de s'y attarder car frappa à la porte une femme. Elle avait la peau matte et on l'a reconnu de suite. Elle avait des lèvres pulpeuses, une poitrine arrondi et surtout, elle avait son pouce et son auriculaire levés, qu'elle approchait de son oreille en criant. "Allo !". Il s'agissait bien de Nabilla. Avalon eut une réaction plutôt positive, elle avait toujours été fan de cette femme et de son look. Lui attrapant l'oreille tendue elle la tira à l'intérieur de la maison pour lui préparer sa spécialité, de la soupe aux poils d'Aiden, sa spécialité. Elle touilla alors dans la marmite où reposait le bouillon sur l'air d'une musique qu'elle adorait, "Baby" de Justin Bieber. Elle commença alors à se trémousser telle une gourgandine lorsque Nabilla se mit à chanter, la main toujours braquée près de son oreille, "Dingue de toi" de Sofiane, un titre fait pour elle. Ce qui rendit Avalon folle de rage, de voir que son idole n'était pas respectée par l'autre jeune femme, elle brandit alors une carotte que Julian avait confectionnée pour elle et tabassa Nabilla. C'est alors qu'arriva Capucine de Secret Story. Elle prit la voix d'un bisounours et se mit à chanté une chanson de Whitney Houston pour combattre Avalon l'hérétique. Cependant, la carotte de la friponne avait déjà perforé les obus mammaires de Nabilla. Cette dernière en perdit ses cheveux, elle n'était pas donc une fille mais une baleine. Alors quand son dos fit sortir de l'eau, Avalon ... |
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| Sujet: Re: LE CTRL + V ★ Mar 2 Avr - 21:18 | |
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| | | Reeven-Sham Skenandore △ correspondances : 1381 △ points : -5 △ multicomptes : ❝ ever (d13) & sagitta (kaput) △ à Panem depuis le : 02/12/2012 △ humeur : ❝ dans un petit coin de paradis où tout va enfin bien, aux côtés de cette famille qui n'avait pas pu voir le jour △ âge du personnage : ❝ dix-sept ans
| Sujet: Re: LE CTRL + V ★ Mer 3 Avr - 3:18 | |
| C'est donc l'histoire d'un Pedobear qui avait pris l'apparence de Thylbat - qui lui avait laissé pousser ses cheveux pour ressembler à Hunter dans sa jeunesse alors qu'il était encore un hippie - et adorait chanté des chansons pour amadouer les enfants comme le Président Snow qui prenait son pied avec les One Direction. Ce pedobear avait une longue queue (...) de pie qui lui donnait un air faussement élégant ; il s'en servait d'ailleurs pour pêcher les poissons que Sagitta collectionnait dans une pièce secrète. Il y avait un portrait accroché au mur, celui de Benoit XIV qui était entrain de se caresser le nombril en louchant. Ce tableau avait souvent fasciné Avalon, car elle trouvait que la représentation était en tous points identique à celle de ses sœurs Billie et Rumer, les plus dévergondées de la famille. Elle n'eut cependant pas le temps de s'y attarder car frappa à la porte une femme. Elle avait la peau matte et on l'a reconnu de suite. Elle avait des lèvres pulpeuses, une poitrine arrondi et surtout, elle avait son pouce et son auriculaire levés, qu'elle approchait de son oreille en criant. "Allo !". Il s'agissait bien de Nabilla. Avalon eut une réaction plutôt positive, elle avait toujours été fan de cette femme et de son look. Lui attrapant l'oreille tendue elle la tira à l'intérieur de la maison pour lui préparer sa spécialité, de la soupe aux poils d'Aiden, sa spécialité. Elle touilla alors dans la marmite où reposait le bouillon sur l'air d'une musique qu'elle adorait, "Baby" de Justin Bieber. Elle commença alors à se trémousser telle une gourgandine lorsque Nabilla se mit à chanter, la main toujours braquée près de son oreille, "Dingue de toi" de Sofiane, un titre fait pour elle. Ce qui rendit Avalon folle de rage, de voir que son idole n'était pas respectée par l'autre jeune femme, elle brandit alors une carotte que Julian avait confectionnée pour elle et tabassa Nabilla. C'est alors qu'arriva Capucine de Secret Story. Elle prit la voix d'un bisounours et se mit à chanté une chanson de Whitney Houston pour combattre Avalon l'hérétique. Cependant, la carotte de la friponne avait déjà perforé les obus mammaires de Nabilla. Cette dernière en perdit ses cheveux, elle n'était pas donc une fille mais une baleine. Alors quand son dos fit sortir de l'eau, Avalon, qui était partie manger des bébés mouches, se cambra comme un cheval pour |
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| Sujet: Re: LE CTRL + V ★ | |
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