NOAM ALEX LEVENSEBEE

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

(merci de répondre aux questions en suivant les indications de lignes. certaines questions sont seulement pour certains personnages, merci de supprimer celle(s) qui ne correspondraient pas au vôtre.)

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

Rapide et si possible indolore. J'ai développé une sorte de phobie de la douleur après mon entrainement de Pacificateur. Pour des raisons qui me semblent désormais un peu floues d'ailleurs j'ai été longuement battu au début de mon entrainement. Ça laisse un traumatisme, j'aimerais mourir dans mon sommeil ou empoisonné par le sureau mortel. Ce sont des belles morts je pense. De plus j'aimerais que mon corps reste un minimum intact au moment où je passerai l'arme à gauche.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Pour moi. Ou pour le Capitole. Mais principalement pour moi, donc pour rien puisqu'une fois mort et bien il n'aura servi à rien que je meurs, vous saisissez ? Ça peut paraître confus. Autrefois j'aurais probablement répondu une connerie du genre 'pour Panem' ou 'pour mes proches' mais quand vous vous retrouvez seul face à votre merde, personne ne vient. Et ça, je l'ai appris à mes dépends.

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

Avant mon entrainement j'étais déjà naturellement souple et agile. Je pouvais courir vite et ce sans me prendre un arbre en pleine tronche ou en évitant les petites branches qui blessent au passage. Mais mon principal atout est mon intelligence, j'ai l'esprit vif et je suis capable d'analyser et de comprendre une situation en moins de temps qu'il en faut pour la plupart des gens. Cette intelligence a été accrue pendant mon entrainement, j'analyse, je comprends et j'agis. Il n'y a pas de demi mesure.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Ma soeur, alors qu'elle avait quatorze ans et mois seize. J'ai du la voir monter sur l'estrade et s'échapper pour ne plus jamais revenir à l’intérieur de ce train maudit. J'ai longtemps été révolté par ça, je voulais changer notre monde en espérant qu'une société meilleure pourrait renaître sur les cendres de ce monde de fou qu'est le nôtre. Mais ces vaines désillusions ne sont aujourd'hui plus les miennes, elles appartiennent a un peuple fou, aveuglé par la détresse d'avoir perdu un être cher.

➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ?

Désormais, oui. Les jeunes doivent apprendre à se défendre et a se battre le plus tôt possible. Il n'y a pas de place, dans notre monde, pour les faibles. Ceux qui réussissent sont ceux qui sont forts et les jeux permettent d'éliminer, chaque année, 23 faibles enfants des districts. Ma soeur était faible, elle a perdu. C'est normal. Je ne vois pas pourquoi je ne devrais pas penser autrement, c'est une gloire d'être le seul survivant dans de tel jeux non ? Je crois qu'au fond j'aurais aimé y participer, juste pour en ressortir vivant car il va de soit que je ne serais pas mort dans ces jeux.

➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?

Il fut un temps où j'aurais rêvé de pouvoir rejoindre le treize mais lorsque j'étais encore un jeune gamin insouciant ces messages de propagande n'avaient pas encore été diffusé, ils l'ont d'ailleurs été pendant mon entrainement. Je n'ai pas vu l'édition des jeux d'expiation et donc pas ce message. J'ai vu par contre la nouvelle édition des jeux et ce qu'elle a causé dans les districts. Je pense que si cette présidente, comme elle se nomme elle-même, avait su rester à sa place Panem ne serait aujourd'hui pas dans un tel chaos.

JE VIENS D'UN MILIEU moyen, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est disponible. DU COUP, MON NOM AVAIT 7 CHANCES/RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE pacificateur ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime. JE SUIS DANS LE 6ÈME DISTRICT. AYANT 26 JE ne peux pas PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'attends la prochaine moisson avec impatience. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

reality is here.

Saloute ! Moi c'est Lise (et vous pouvez tous m’appeler Lise) mon pseudo sur le net c'est ironic et j'ai 19 ans. C'est la troisième fois que je m'inscris sur ce forum, j'adorais mon personnage les deux autres fois (Velvet Furbereen) ainsi qu'Amelia Hamilton la dernière fois mais j'ai eu un gros manque de temps et puis je sais pas je crois que c'était pas les bons personnages pour que je me sente bien ici. Avant de revenir j'ai beaucoup hésité et finalement je suis tombée amoureuse du scénario d'Elodie. Donc après mure reflexion je me suis dis qu'il fallait que je revienne parce que mine de rien, je venais stalker MJ au moins une fois tous les deux jours - sans déconner - (et sinon ouais j'ai lu les livres (2 fois) et vu le film (milles fois, voire plus) et J'ADORE).

FEATURING max irons © COPYRIGHT tumblr

tell us your story.

Noir. Il faisait noir depuis des jours et j’avais beau taper sur ce que je pensais être la porte il faisait toujours et encore noir jusqu'à… Maintenant. Une lumière vive, blanche, s’alluma soudainement. Par réflex je fermai les yeux que je maintenais jusque là grands ouverts. Reflex qui ne m’empêcha cependant pas de voir danser devant mes paupières des tâches de lumières vive. J’ouvris doucement les yeux et vis devant moi les bottes noires d’un pacificateur. Je levai alors les yeux sur lui et clignai plusieurs fois des paupières. Il souriait, heureux d’avoir une victime de plus. Je ne dirai rien, je ferme les yeux à nouveau et j’attends les coups, les cris, les ordres et les menaces de mort. Tuez-moi, je m’en fou, tuez-moi parce que de toute manière je suis déjà mort.

« Noam ! » Je tourne la tête, c’est ma sœur qui court vers moi avec un panier en main. Je passe un bras sur mon front et l’enduit au passage d’une belle tache noire d’enduis. Elle s’approche et rigole en voyant mon front tout noir, là-dessus elle sort un mouchoir blanc de son panier et me frotte le front. Je me laisse faire comme si c’était moi le plus jeune des deux alors que c’est elle, la plus jeune. « Maman te cherches partout. Arrête de travailler et vient te préparer Noam. » Elle me tend le panier. « Et, aussi, mange un peu. » J’attrape le panier et souris. « Merci Joannie. » Fis-je en ouvrant le petit panier, il y a un morceau de pain et un peu de fromage que produit la vache de notre voisin. Oui, il a une vache, elle est constamment malade et pas bien grosse mais c’est une chance pour nous car il a toujours trop de lait et comme tout le monde est trop pauvre pour en acheter, il nous le donne. Et lui on lui donne du pain, de temps à autre. Je ne vis pas dans une famille pauvre, disons qu’on se nourrit, que ça pourrait être pire et que je n’ai jamais du prendre de tesserae. Je ne le ferai jamais, ma sœur non plus, je nous estime un peu comme sauf. Même aujourd’hui. C’est le jour de la Moisson. Notre mère veut qu’on s’habille bien, juste au cas où. Histoire qu’on ne soit pas désavantagé dès le début mais nous avons si peu d’inscriptions chacun par rapport aux autres que j’ai tendance à me dire qu’on ne sera jamais pris. Je termine de manger et me rend chez moi pour me laver et m’habiller, une fois prêts, ma sœur et moi nous rendons sur la place pour attendre que l’hôtesse dévoile les noms des deux malheureux qui iront probablement mourir dans l’arène. J’écoute attentivement, mon regard se pose sur le dos de ma jeune sœur. J’ai peur. Je serre les poings et attends silencieusement la suite, j’espère de tout cœur que ce sera une inconnue qui devra monter sur l’estrade parce que je ne pourrai pas supporter l’idée de voir une fille que j’aime monter là bas et de ne pas pouvoir prendre sa place. L’hôtesse plonge la main la bulle de verre et en retire un petit papier blanc. Le temps s’arrête puis reprend, il s’étire comme si les minutes coulaient doucement dans un sablier, comme si le temps était suspendu. Je suis pendu aux lèvres de la femme aux cheveux bleus, elle ouvre le papier et lit le nom à voix haute. « Joannie Levensbee ! » Mon cœur manque un battement et reprend de plus belle comme si il voulait battre pour toutes ces années ou Joannie ne vivra probablement pas. Je regarde les filles, personne n’ose se porter volontaire. J’ai envie de crier, de leur dire de sauver cette pauvre gamine de quatorze ans seulement mais personne ne bouge. Je n’ai plus qu’un espoir : ne pas être tiré au sort. Je ne pourrai pas vivre sans elle et elle sans moi, je le sais. Voilà comment la Capitole m’a prit ma sœur.

Il me frappe encore, j’ouvre les yeux et aperçois sa matraque ensanglantée, mon dos me fait incroyablement mal, j’ai envie de mourir mais je ne supplierai pas parce que c’est exactement ce qu’il attend de moi. Il attrape mon bras et tire violement dessus. « Debout, Levensbee ! » En plus il sait qui je suis, depuis quelques mois je dois probablement être une des cibles du Capitole. Après la mort de ma sœur dans l’arène - déchiquetée par une mutation génétique – j’ai décidé que j’allais me venger. Il était hors de question que je reste là sans agir alors que des milliers de gens rêvaient d’une vie meilleure. Pas seulement dans le six, mais partout. Je me traine derrière le Pacificateur. « Je ne dirai rien, vous savez. » Trouvai-je la force de dire, j’ajoutai à cela un petit sourire arrogant comme j’étais bien capable de faire et me pris une baffe en pleine gueule en guise de récompense. « Oh, mais ça, on s’en fou. » Pardon ? J’ai l’air décontenancé, du moins je le pense car il rit à voir ma tête. Je sens encore le sang me couler dans le dos. J’ai peur, pour la première fois depuis des semaines que je suis ici j’ai la trouille. Et à nouveau, c’est le noir. C’est ainsi que le Capitole m’a prit ma liberté.

Ce qu’ils voulaient faire, avec moi, c’est une machine de guerre. Un être déstabilisant pour le district six entier. Ils voulaient quelqu’un qui eut un jour été la tête de proue de la révolution, une forte tête, un guerrier sans limite. Bien sur c’était moi qu’ils ont choisis. J’ai tenté de résister aux lavages de cerveau mais au bout d’un moment j’ai compris. Ma sœur était morte parce qu’elle devait mourir, elle le devait pour que les gens comme celui que j’avais été avant comprenne qui étaient les plus fort. Le capitole. « Imagine, Noam, qu’une fille de douze ans soit prise en flagrant délit de braconnage. Qu’est-ce que tu fais ? » Je lève les yeux sur le Pacificateur, toujours le même, envers qui je voue désormais une haine sans nom. « 50 coups de fouets sur la place publique. » Répliquais-je d’un ton dur et froid. Les lèvres de l’homme s’étirèrent en un sourire satisfait et sadique. C’est comme ça que le Capitole m’a transformé. Et c’est ainsi que je suis encore aujourd’hui.

Spoiler:

Tu viens d'être validé(e), mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent.

Pour commencer ton pacificateur doit être recensé dans le listing officiel disponible ici. S'il est natif d'un district, il peut être vainqueur et avoir eu des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Il peut également faire parti de la famille du maire, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence.
Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici.
N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici.
Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay