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fermeture du forum le forum ferme ses portes après six ans d'existence. merci pour tout, on vous aime. |
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| DOUGLAS ◊ you can't die because we're meant to be. | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: DOUGLAS ◊ you can't die because we're meant to be. Dim 22 Juil - 14:54 | |
| douglas kayàn winter-scott❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Comment décrire ce petit brin d'homme sans parler de sa famille ? Son père, James Scott était un homme respectable, bien dans les rangs, riche suites à diverses actions menées au malheure de certaines personnes défavorisées. Il se maria à Tallulah Winter et ils eurent ensemble trois enfants : James Jr, Douglas et Alicia. Ils étaient destinés à devenir trois personnes importantes, d'après leur parent, dans le capitole où ils étaient nés. Leur premier enfant mourut d'une pneumonie à l'âge de deux ans et, très vite, le petit bonheur que s'était construit les Winter-Scott tourna aux cauchemars. Ils durent retourner, misérables, au District 10 d'où ils tenaient des origines lointaines, allant jusqu'à la maison d'un oncle éloigné pour survivre, ruinés. Et, comme pour appuyer sur le trait de malchance qui semblait les accabler plus chaque jour, Alicia fut moissonnée et mourut dans un bain de sang immonde. Quoiqu'auparavant profondément d'esprit pro-capitole, Douglas Kayàn prit la terrible décision de se venger, non pas de l'autorité en vigueur, mais de ces rustres qui avaient osé tuer sa petite soeur adorée. Après multiples entraînements et, enfin, coups de chance, il atteint l'âge adulte et réussit à se faire engager en tant qu'assistant styliste afin de retourner au Capitole. Là-bas, il devint rapidement un Juge des Jeux de la Faim, ces immondes personnages décidant des souffrances des uns et des malheurs des autres. Âgé aujourd'hui de vingt-quatre ans, Douglas mène une vie faite de rancoeur, de pur sadisme et d'un certain ennui. Devenu insensible aux autres depuis des années, indifférent à leurs malheurs comme à leurs bonheurs, c'est un jeune homme plutôt solitaire et qui n'a confiance qu'en lui et ses propres capacités, se sentant supérieur aux autres et ne gardant en aucun cas son mépris pour la peuplade. Menteur de génie, il serait prêt à tout faire pour que personne ne découvre la situation instable de sa famille de ces dernières années. Dans la tête de Douglas, la vie n'est qu'un jeu et les gens ne sont que des marionnettes - oui, Dougie est un grand joueur et ne refuse ni les jeux, ni les défis, ni rien en fait. Fier et arrogant, il est rarement apprécié par ses pairs. Le grand brun porte peu de personnes dans son coeur et essaie lui-même de se convaincre qu'il peut survivre sans eux - bien que cela puisse s'avérer faux. Doté de yeux bleu glace froids, il paraît qu'il peut lire en vous comme dans un livre juste en vous regardant. De quoi vous faire froid dans le dos. about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? je n'ai jamais pensé à ma mort. A quoi bon ? Il y avait un moment, quand j'étais avec mes feu parents, oui, j'avais peur de la mort. A en mourrir, aussi ironique que cela puisse paraître. Le froid, la faim, la soif, tout ça, ça me faisait peur. Et les Jeux de la Faim, pas si loin de moi, si proches en fait. Mais ça, c'est fini. Je ne compte pas vivre longtemps mais je compte bien survivre à la vie, rester inscrits dans les livres, laisser ma marque sur Panem, sur le monde. Ma mort, je la vois paisible, dans un lit d'hôpital peut-être. J'espère pouvoir vivre la fin de ma vie afin de rendre les gens tristes à ma mort. A ma naissance, je pleurais et les autres souriaient. Moi, je veux me barrer tandis que les gens pleurent et afin que je leur adresse un dernier sourire - à dans cinq minutes, bande de cons. ➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? ça mon gars, c'est la question à cent mille pesos. Si seulement. J'ai pas envie de mourir, strictement aucune envie. Et je ne vois aucune cause à embrasser, femme, homme, personne pour laquelle je pourrais faire le don de ma vie. Déjà, ça serait hyper triste parce que ma disparition attristerait tout le monde. Ensuite, je ne voudrais pas que la personne vive avec la culpabilité d'avoir un mort sur les épaules, même pour la bonne cause. Donc non, je le ferai pas. Si je dois mourir, ce sera le plus tard possible, par accident. Et, de préférence, il vaudrait mieux trouver un sérum pour me ressuciter car, franchement, je vais vous manquer. ➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE ? je crois que si on oublie mon charme et mon sourire à toutes épreuves, mon talent inné pour la persuasion et la manipulation en général pourrait m'aider dans ma carrière voire même ma vie en général. ➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ? le visionnage des Jeux est un réel délice. J'adore, tout simplement, mettre des obstacles sur la route des tributs. J'adore les voir geindre, crier, pleurer, s'entretuer ou se battre en général. Ils n'ont que ce qu'ils méritent, après tout. La vue de leur sang me donne des frissons et le délicieux sons de leurs gémissements... la meilleure des musiques, croyez moi. Chaque année, j'attends la Moisson avec impatience pour voir qui sera brassé et qui sera destiné à mourir, franchement, avouez que c'est excitant ! ➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ? quelle question idiote ! Je n'en ai que faire, sérieusement. Pour moi, le problème n'est pas fautif, les rebelles non plus. Non. Les véritables fautifs, c'est les habitants de ces sous-merdes appelées Districts. Plutôt que de se rebeller contre les règles du Jeux, ils tuent leur compatriotes. Plutôt que de refuser d'être ce que l'on veut qu'ils soient, ils rentrent dans le moule. On devrait tuer tout le monde et laisser juste les habitants du Capitole qui sont des gens tout à fait exquis et adorables. Qu'ils lancent leur rébellion de pacotille, de toutes manières ! Je m'ennuie, moi.
reality is here.
salut moi, c'est lola, je viens de la planète pieu et j'aime le coca. c'est la meuf là, alix/billie qui m'a prise par les sentiments à l'usure qui m'a ramenée ici même si j'avais eu vent du projet à son démarrage en m'inscrivant une ou deux fois sans motivation... contrairement à maintenant. j'ai lu les bouquins, j'ai adoré le second, apprécié le premier, détesté le dernier (et surtout katniss en vrai) et je suis team gale, finnick et cinna, que ce soit clair. FEATURING aaron johnson © COPYRIGHT mlightwood(tumblr.)
Dernière édition par Douglas K. Winter-Scott le Ven 27 Juil - 11:19, édité 7 fois |
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| Sujet: Re: DOUGLAS ◊ you can't die because we're meant to be. Dim 22 Juil - 14:54 | |
| tell us your story. IT'S NOT THE DOOR YOU'RE USING BUT THE WAY YOU'RE WALKING TROUGH IT. « Papa, je serai quoi plus tard ? » Si il y avait une chose qui agaçait James Scott plus que tout au monde, c'était les questions. Malheureusement pour lui, son cadet, Dougie, était un enfant très et qui, fatalement, posait beaucoup trop de questions. Il semblait toujours vouloir avoir réponse à tout, une raison, une explication. Mais, le pire, c'était quand il demandait : « pourquoi ? » James avait toujours envie de lui répondre « parce que » mais, fatalement, Dougie se contentait de rétorquer : « parce que quoi ? » jusqu'à ce que réponse s'ensuive. Il était du genre agaçant. Et insistant. C'est pour ça que, tirant sur la manche de son paternel il répéta : « Papa, je serai quoi plus tard ? » Le père, sans darder un instant son regard sur son gamin, leva un index dans sa direction pour le faire momentanément taire. Bien contre sa volonté, Dougie – alors âgé d'une petite demi-douzaine d'années – tressaillit terriblement, comme s'il redoutait chaque réaction et chaque geste brusque de son père. Les raisons n'étaient pas obscures, loin de là. Durant de longues années, Dougie était « tombé dans les escaliers » ou, plutôt, avait eu le malheur de contrarié son géniteur qui, bien loin de maîtriser ses mots, laissait mieux voler les poings. Au moins Dougie avait-il eu le mérite d'apprendre vite et bien. Sauf quand il s'agissait d'avoir des réponses à ses questions. Il s'avérait très vite têtu et insistant. C'est pour ça que, malgré la véritable terreur qui le faisait trembloter et l'appréhension de se prendre un revers de main désobligeant, Dougie retira d'un coup sec sur la manche de son paternel. « Papa, dis-moi ! » « Douglas, je t'en prie, tais-toi et laisse-moi travailler. Juste... » « Papa ! » Car en plus d'être têtu, curieux, insupportable et sensiblement aimé, Dougie pouvait aussi être capricieux et princier, persuadé que tout lui était dû et qu'il pouvait demander ce qu'il voulait sans qu'on ne cille ou bronche. Le père, les yeux absorbés par les écrans de télévision, qui diffusaient comme à leur habitude à cette période de l'année, les Jeux de la Faim, ne répondit que d'une voix distraite ce que l'enfant, inconsciemment, voulait entendre : « Puissant et riche, Douglas. Maintenant, laisse-moi tranquille. »
« Puissant et Riche », donc, écrivit petit Dougie sur son grand, grand livre. C'était un énorme bouquin, aux pages fines et aisées à déchirées, recouverts de dessins immondes – alors qu'il se pensait sérieusement grand dessinateur – et de petits mots. Une fois n'était pas coutume, il s'appliqua comme un grand pour écrire, enjolivant même les majuscules, un bout de langue s'échappant de ses lèvres, comme de son infinie concentration. « Douglas ! » Le cri, soudain, le fit sursauter et la mine du crayon rouge transperça la feuille. N'y croyant tout d'abord pas, Dougie regarda la feuille, déchirée, et les mots, illisibles, avant de pivoter sur sa chaise tournante pour voir sa petite sœur, Alicia dans l'encadrement de la porte. Celle-ci, aussitôt que son aîné de deux misérables années ait porté son regard bleu sur sa silhouette, courut et sauta sur ses genoux pour voir ce qu'il faisait. Personne ne pouvait en vouloir à Alicia, de rien. Elle était adorable, avec d'énormes yeux verts qui lui bouffaient le visage et des longs, longs cheveux blonds qui descendaient en cascade jusqu'au milieu de son dos. Elle sourit tendrement à l'adresse du brun, si différent d'elle par le caractère et le physique, en se serrant contre lui. « Tu fais quoiiiii ? » demanda-t-elle. Dans un soupir, Dougie referma son livre d'un coup sec avant de câliner son adorée petite sœur. « Rien, marmonna-t-il en embrassant son crâne. Rien de bien important. » Elle se tourna vers lui et lui sourit, radieuse. « Alors on peut jouer à un, deux, trois, soleil ? » Le visage du garçon s'éclaira un peu. « Oui, on peut jouer à un, deux, trois, soleil. » dit-il en rigolant, chatouillant brièvement Alicia qui lâcha un glapissement avant de se lever pour l'accompagner dans le jardin. Voilà quoi la vie de Dougie se résumait à six ans. Jouer, importuner les adultes et, enfin, rêver de son avenir. Il serait puissant et riche. Au moins.
« Je ne comprends pas, Papa, vraiment pas. » « Il n'y a rien à comprendre, gamin. » « Je ne suis plus un gamin. Tu n'as plus le droit de m'appeler comme ça. » « Tu restes un gamin, quoi que tu en penses. Je t'appelle tel que tu es, ne me fatigue pas avec ces histoi-- » « Ca veut dire que j'ai le droit de t'appeler vieux con ? » Et le débat s'était enflammé. Les Winter-Scott avaient dû se résoudre, ruinés à rentrer dans leur District d'origine, le dix, après avoir largement profité des plaisirs du Capitole. Cela faisait trois générations qu'aucun Winter, qu'aucun Scott n'avait fichu les pieds ici. Mais, pourtant, ils trouvèrent Seth, le gentil Seth, leur oncle par je ne sais quelle alliance de je ne sais quel degré qui avait accepté de les accueillir malgré tout. Mais, l'année d'après leur emménagement – Dougie avait alors quatorze ans – Alicia avait été moissonnée et était morte. Pour une fille qui ne s'était jamais préoccupée des combats, trop occupée par ses ongles et ses cheveux, évidemment qu'elle avait duré longtemps : dix minutes. Pathétique. La honte, en plus de la pauvreté, planait sur cette famille. La malchance, aussi. Et, à la mort de sa femme – un malheur n'arrive jamais seul –, James n'avait trouvé réconfort que dans la boisson. C'était si simple, après tout. Largement plus simple que d'assumer sa vie, sa pathétique vie de loup solitaire. Dougie a claqué la porte en partant. Emmitouflé dans sa veste hors de prix – bien qu'elle commençait à être trop petite et à s'élimer – il marcha avec détermination, aussi loin que ses pieds voulaient bien aller. Il marcha, marcha, marcha. Au moins le District dix avait le mérite d'être géant pour un gamin de quinze ans.
Il finit par s'asseoir à l'ombre d'un arbre en soupirant, les jambes devant lui, la tête baissée et les yeux fermés. Il se laissait aller au soleil, crevé par cette dispute, éreinté par la chaleur de ce mois d'août vraiment chaud et, surtout, fatigué de se battre contre la vie qui, apparemment, voulait lui pourrir l'existence à souhait. « Tu n'as pas le droit d'être là, c'est une propriété privée. » Il souleva une paupière engourdie de sommeil sur un œil bleu, clair mais à la fois troublé par les réminiscences de sa petite sieste improvisée. « Pardon ? » réussit-il à articuler en ouvrant l'autre œil. Il découvrit en face de lui une jeune femme, rousse, fièrement campée sur ses deux jambes, les cheveux au vent et les poings fermés sur les hanches, l'air singulièrement énervée ou, du moins, embêtée. « Je t'ai dit que tu n'avais pas le droit d'être là car tu empiètes sur une propriété privée, pauvre idiot. Dégage. » Dougie n'aimait pas vraiment qu'on lui parle comme ça. Il avait l'habitude qu'on prenne des pincettes, qu'on fasse ce qu'il voulait, que tout se passe bien dans le meilleur des mondes. Pas qu'on lui dise quoi faire, pourquoi et, surtout, ce qu'il n'avait pas le droit d'accomplir. Il fronça les sourcils. « Et tu vas me forcer ? » fit-il, dubitatif alors qu'un sourire goguenard s'invitait sur ses lèvres. « Oh que oui ! Mais je ne préférerais pas alors si tu voulais bien te donner la peine... » « Crève. » Ca, au moins c'était clair. Violet fronça les sourcils à son tour. Pendant quatre ans, ils n'allaient cesser de se battre sans interruptions mais ça, ils ne le savaient pas encore.
BABY SAYS SHE'S DYING TO MEET YOU TAKE YOU OFF AND MAKE YOUR BLOOD HUM « Ca ne sert à rien de voiler la face, Violet. Viens avec moi. Tu ne pourras pas rester dans le dix jusqu'à la fin des temps. » Pour la première fois de sa vie, Dougie fit un geste en direction de la jeune femme. Pour la première fois de sa vie, au lieu de tourner les talons et de s'éloigner en faisant mine de se fiche d'elle, oui, pour la première fois, il lui tendait la main. Littéralement. Elle regarda la main, dubitative, paume vers le ciel, avant de plonger son regard dans le sien. Ebahie. Non pas par ce geste – qui, pourtant, était plutôt surprenant de la part de Dougie – mais à cause de la stupidité de ce garçon. « Je suis désolée, Douglas, mais c'est non. Je dois veiller sur ma mère. » Il eut un geste d'irritation, qui tenait tout autant de la colère. « Réfléchis, Violet ! Cela ne se représentera plus jamais à toi, tu le sais n'est-ce pas ? Je te propose une vie de richesses. De bonheur. Tu ne peux pas rester ici avec... » « Douglas, dépêchez-vous ! » « J'arrive. Tu ne peux pas rester ici avec... avec eux. Violet ! » geignait-il presque. Elle savait qu'il était faible quand il n'avait pas ce qu'il voulait. Qu'il s'énervait. Que ses mots se cafouillaient et formaient des nœuds inexplicables, inextricables. Qu'elle l'avait à sa merci. Mais, plutôt que de le faire payer pour tout ce qu'il lui avait fait endurer, plutôt que de se venger de tant d'années de batailles, de meurtrissures, de chamailleries pas si innocentes que ça, non, elle posa sa main sous celle du brun et la ferma. Vide. « Tu ne peux pas traiter les gens comme de la merde et les exhorter à te suivre, Dougie. Je suis désolée. » répéta-t-elle avant, à son tour de se détourner. C'était elle qui lui présentait son dos. Elle qui le laissait en plan. Elle qui abandonnait l'autre. Mâchoire pendante, il la regarda partir, s'éloigner de lui et de sa mauvaise influence, son cœur dur comme la pierre. Ne pouvant y croire, il se passa une main nerveuse dans les cheveux. Jiveen s'impatientait dans le train. Il fallait qu'ils embarquent dans le train, direction le Capitole. Il était styliste et Dougie son nouvel assistant. Celui-ci comptait utiliser ce métier comme tremplin afin de se trouver un travail. Et devenir puissant et riche.
« Mais Violet, je t'aime ! » finit-il par crier, de désespoir sans doute. Un peu trop sincère à son goût. La silhouette rousse s'immobilisa. Sans rien dire. Finalement, elle fit demi-tour et courut jusque dans les bras de Dougie, le serrant très, très fort contre elle. Aussitôt un petit sourire s'installa sur les lèvres du brun alors qu'il l'enlaçait, la tenait le plus proche possible de son cœur, son nez emmitouflé entre deux ou trois mèches de feu. « Je t'aime tant, Dougie, vraiment... » murmura-t-elle dans son oreille et son sourire s'élargit. Lui-même ne savait pas s'il l'aimait vraiment. Non. Tout ce qu'il pouvait espérer, c'était que ça pourrait arriver un jour. Et qu'ils seraient heureux ensemble. Non, pour l'instant, il n'éprouvait pas de l'amour pour Violet. Pas tout à fait. Elle se détacha de lui et prit sa tête entre ses mains, le forçant à plonger son regard dans le sien. Ils se regardèrent un instant. « ...je ne t'apprécie juste plus. » Puis, sans rien rajouter, elle se détacha, lui tourna le dos et se mit à courir loin de lui, les larmes aux yeux. Il la regarda s'en aller sans comprendre, se sentant comme le plus idiot des idiots. Il grinça des dents. Dougie n'était pas homme à se faire repousser. « Douglas ! » « J'arrive... » lâcha-t-il, dépité, tournant les talons à un pan de sa vie. Qu'il en soit ainsi, pensa-t-il amèrement.
Mon très cher Douglas, Je sais que tu détestes que l'on t'appelle Douglas mais je le fais quand même parce que tu sais quoi ? je te déteste. Voilà, comme ça, c'est dit. Je te déteste, je te déteste, je te déteste. Toutes ses années à te suivre comme un petit chien et t'es même pas foutu de me rattraper quand il le faut. T'aurais dû me courir après, Douglas, me prendre la poignet et me dire qu'on serait ensemble jusqu'à la fin des temps. Mais comme t'es un connard, tu l'as pas fait. Je te déteste. J'espère sincèrement qu'un des tributs te tuera, Dougie. Qu'il se vengera sur toi. Pendant que tu seras tranquillement assis, en train de décider si tu veux lui mettre un deux ou un trois, il prendra son arc ou son couteau et il te le plantera dans la gorge. Et tu sais quoi ? Tu l'auras mérité. Tu vas mériter et tu as mérité tout ce qui t'est arrivé, tout ce qui va t'arriver. C'est le contrecoup de l'indifférence, Douglas, parce que tu sais ce que c'est le contraire de l'amour ? C'est pas la haine. C'est l'indifférence. Moi je t'ai toujours aimé comme t'étais et toi t'es pas foutu de me rattraper alors que je te demande que ça. T'es qu'un con. Violet.
:fuck2: Qu'ils soient rebelles ou pro-Capitoles, ils mourraient. Qu'ils le veuillent ou non, ils mourraient. De toutes manières, qu'ils soient ici ou là-bas, ils finissaient inévitablement pas mourir, par le laisser tout seul. Alors pourquoi faire des différences ? Pourquoi les catégoriser, dire que celui-ci peut vivre et pas celui-là ? Ils étaient tous pareils. Traîtres. Du genre à quitter le navire dès que possible, à sauter dans l'eau et à vous abandonner aux commandes alors qu'ils savent très bien que vous avez jamais su faire marcher l'embarcation. A la fin, tu finis toujours seul, quoiqu'il en soit – alors pourquoi ne pas profiter, ne pas écraser les autres pour les attacher au bateau et les jarter quand on en a plus besoin ? Pourquoi penser qu'un cœur bat plus vite en présence de cette personne alors qu'il risque de plus jamais tressauter la seconde suivante ? Voilà à quoi pensait Douglas quand il avait appris que Violet était morte. Voilà à quoi pensait Douglas quand la pluie lui coulait sur le visage et qu'il ne semblait pas s'en rendre compte, tout à ses questions, tout à sa douleur. Pourquoi.
THERE'S JUST NO POINT HATING SOMEONE YOU LOVE © COPYRIGHT daylightdoe(tumblr.)
Dernière édition par Douglas K. Winter-Scott le Ven 27 Juil - 11:12, édité 7 fois |
| | | Gemma K. Mubstin △ correspondances : 4141 △ points : 0 △ multicomptes : Ø △ à Panem depuis le : 16/04/2012 △ humeur : Floue. △ âge du personnage : Vingt-et-un △ occupation : Danseuse.
| Sujet: Re: DOUGLAS ◊ you can't die because we're meant to be. Dim 22 Juil - 17:01 | |
| Bienvenue sur MJ |
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| Sujet: Re: DOUGLAS ◊ you can't die because we're meant to be. Dim 22 Juil - 17:33 | |
| coucou (je sais je sais je suis pas encore validée) c'était pour savoir, parce qu'il y a pas mal de aaron / karen dans ta fiche et en fait je prends karen (bon karen et aaron, je comprends quoi) et je crois que blythe voulait prendre AJ mais vu qu'elle n'est pas encore inscrite (osef c'est pas le sujet ) donc je sais pas si tu avais prévu d'utiliser karen quelque part |
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| Sujet: Re: DOUGLAS ◊ you can't die because we're meant to be. Dim 22 Juil - 18:03 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: DOUGLAS ◊ you can't die because we're meant to be. Dim 22 Juil - 20:33 | |
| Bienvenue sur MJ |
| | | Miléna E. Andréis-Wheeler △ correspondances : 5888 △ points : 1 △ multicomptes : (l. c. meery) △ à Panem depuis le : 04/09/2011 △ humeur : cruellement arrachée à sa famille △ âge du personnage : vingt sept ans pour toujours
| Sujet: Re: DOUGLAS ◊ you can't die because we're meant to be. Dim 22 Juil - 21:29 | |
| Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: DOUGLAS ◊ you can't die because we're meant to be. Dim 22 Juil - 21:48 | |
| - Citation :
- BABY SAYS SHE'S DYING TO MEET YOU.
Rien que pour citer des paroles d'une chanson des Kills, tu mérites un bienvenue différent HEY I JUST MET YOU AND THIS IS CRAZY SO FINISH YOUR FICHE AND RP MAYBE Voilà, je souhaiterais les bienvenue comme ça maintenant *sort* |
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| Sujet: Re: DOUGLAS ◊ you can't die because we're meant to be. Dim 22 Juil - 21:51 | |
| lolaaaa ! t'sais que je t'ai de suite reconnue ? d'abord le nom composé m'a mis la puce à l'oreille, mais quand j'ai vu aaron haawt johnson, j'ai su que c'était toi.
- Douglas K. Winter-Scott a écrit:
- c'est la meuf là, alix/billie qui m'a prise par les sentiments à l'usure qui m'a ramenée ici
geeenre. j't'en ai juste parlé deux fois (en te disant, certes, que t'étais nulle de pas être sur mj, mais... osef. ). c'est juste que t'es faible, honey, et que t'as pas su résister.
bon, johnson () + capitole + toi (&nos ships habituels ) = je veux un lien qui déchire touuut avec alix. (et, si on trouve, pourquoi pas billie... ) alors, commence déjà à te creuser la tête parce que je vais pas te lâcher... (avoue, que t'es contente. )
breeef, dooooonc bienvenue sur mj, bonne chance pour ta fiche (tu vas nous faire des merveilles, comme d'habitude ) & hâte de voir ce que douglix va donner () ! |
| | | Silk Preston △ correspondances : 1057 △ points : 0 △ multicomptes : Fenugreek (✝) Auden (D2) △ à Panem depuis le : 01/04/2012 △ âge du personnage : 32 ans
| Sujet: Re: DOUGLAS ◊ you can't die because we're meant to be. Lun 23 Juil - 0:44 | |
| Bienvenue |
| | | Adonis Nightsprings △ correspondances : 2406 △ points : 12 △ multicomptes : Robin D. Bates / F. J. Kennedy △ à Panem depuis le : 01/04/2012 △ humeur : Blasé. △ âge du personnage : 35 ans △ occupation : [i]Chef[/i] Pacificateur du D08
| Sujet: Re: DOUGLAS ◊ you can't die because we're meant to be. Lun 23 Juil - 12:36 | |
| Aaron sexy Johnson 8D ! Hola bienvenue 8D ! |
| | | Thybalt M. Homens △ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011 △ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
| Sujet: Re: DOUGLAS ◊ you can't die because we're meant to be. Mar 24 Juil - 18:16 | |
| Bienvenue sur MJ |
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| Sujet: Re: DOUGLAS ◊ you can't die because we're meant to be. Mer 25 Juil - 7:47 | |
| Bienvenue à toi sur Mockingjay, mon loulou! |
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| Sujet: Re: DOUGLAS ◊ you can't die because we're meant to be. Mer 25 Juil - 13:16 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: DOUGLAS ◊ you can't die because we're meant to be. | |
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| | | | DOUGLAS ◊ you can't die because we're meant to be. | |
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