Stiles Basil Clemens

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

(merci de répondre aux questions en suivant les indications de lignes. certaines questions sont seulement pour certains personnages, merci de supprimer celle(s) qui ne correspondraient pas au vôtre.)

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

Hm… vous avez pas encore plus embarrassante comme question, non ? Alors donc laissez-moi réfléchir. Si je dois mourir, j’aimerais que ce soit après avoir fait un truc dont tout le monde se souviendra. Forcément, je n’ai que 19 ans alors pour le moment si je pense à la mort, je pense forcément aux Hunger Games. Mais si j’en échappe, il faudra quand même qu’on se souvienne de moi. De toute manière je ne veux pas mourir vieux. Non, finalement… Si ça se trouve je me ferais transpercer le cœur par une balle, dans les arènes des Hunger Games, hué par la foule. Je n’ai pas l’étoffe d’un combattant. Je crèverais direct si j’étais sélectionné….

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Je n’ai aucune réelle raison qui pourrait me pousser à vouloir mourir. A part ma mère, peut-être. Je dis peut-être parce que… franchement, je ne sais pas. C’est sur que je pourrais tuer tout ceux qui lui font du mal, mais mourir pour elle ? Il faudrait que je sois dans l’action pour savoir ce que je ferais. A part ça, il n’y a aucune cause suffisamment importante à mes yeux pour que j’y risque ma vie. Enfin pour l’instant. Parce que récemment il s’est passé certaines choses… qui me laissent à penser qu’un truc important va se produire. Un truc qui vaut peut-être la peine qu’on y risque sa vie ?

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

Ben… je suis très doué pour la pêche ? C’est une aptitude que beaucoup de personnes possèdent dans mon District, après tout ça parait normal. A partir du moment où j’ai un point d’eau à proximité, je suis capable de me nourrir en construisant un hameçon. C’est un truc élémentaire chez nous mais j’en suis plutôt fier. A part ça… Gaby m’a appris un ou deux trucs sur l’art de voler les portefeuilles mais ça c’est notre secret.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Non, aucun. Enfin, une amie, l’an dernier. A l’édition d’expiation. Elle est morte, ça vous étonne ? J’ai pas envie de m’attarder sur le sujet, c’est pas très plaisant sachant que j’ai été obligé de regarder sa mise à mort en direct, jusqu’au bout. Je la connaissais pas vraiment. Mais un ami, Killian, avait le béguin pour elle et parlait tout le temps de cette fille, Zoé Williams. Elle était mignonne c’est vrai. Un peu moins une fois le visage bousillé à coups de massue.

➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?

Ah… ça. Ben je pense que j’essayerai d’être utile pour les aider, même si je ne sais pas si un mec comme moi peut vraiment l’être. Il y a déjà eu quelques trafics avec le Black Jack pour des gens bizares, mais je sais pas de quoi il s’agissait et Alice nous a interdit de fourrer notre nez là dedans. Enfin, ça ne m’empêche pas de fourrer mon nez dans tout ce qui concerne le District 13. Je me demande si c’est vrai. Il va vraiment y avoir une nouvelle révolution ? ça me laisse dubitatif.


(les résidents du capitole n'ont pas à remplir le paragraphe ci-dessous, merci de le supprimer dans ce cas!) (remplissez le paragraphe en choisissant le champ qui correspond à votre personnage. il vous est bien sûr possible de changer le texte pour que cela colle mieux, mais garder la trame de départ tout de même. message à supprimer quand la fiche est postée.)

JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé..., AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la légende, même si on arrive à avoir régulièrement du poisson.... DU COUP, MON NOM A 12 RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE matelot ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime assez.... JE SUIS DANS LE 4ÈME DISTRICT. AYANT 19 JE peux PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende. . ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

tell us your story.

(Racontez ici votre histoire en une vingtaine de lignes. Donnez-lui la forme que vous souhaitez, mais pas besoin de faire de longs pavés, présentez l'essentiel. Vous pouvez utiliser la forme de la biographie, ou alors nous vous conseillons une anecdote qui pourra faire transparaître le caractère de votre personnage. Bref, cette partie est assez libre.)



Penché par-dessus la balustrade du chalutier, je regardais flotter sur l’eau les restes du repas d’à midi. J’étais aussi livide qu’un poisson pourri. Haletant, je me reculais et m’allongeais sur le pont humide en me traitant mentalement de tous les noms, le temps que mon ventre se calme. La première chose qu’il faut savoir sur moi, c’est que je suis un crétin. Qui d’autre que moi deviendrait matelot, en sachant pertinemment qu’il a le mal de mer ? Pas grand monde, je pense. A vrai dire, en embarquant dessus pour la première fois, je m’imaginais que ça passerait avec le temps. Mais non. Sachez mesdames et messieurs que le mal de mer, ça « passe pas avec le temps ».
Une fois remis de mes émotions je me relevais prudemment. La tête me tourna un peu. Derek me regardait d’un air apitoyé que je savais parfaitement faux. Il devait bien se foutre de ma gueule intérieurement et se demander ce que je pouvais bien avoir dans le cerveau. Je repris ma serpillère et mon seau d’eau savonneuse et en avant moussaillon, c’est parti pour le nettoyage des fientes de mouettes. Un job palpitant donc vous avez, avouez-le, toujours rêvé ! Oh, surtout, faites attention à ne pas glisser !... Le poste de radio posé sur une caissette grésillait de la musique classique. Un concerto de violoncelle.
-Bon sang, Derek, après tout ce que j’ai enduré depuis ce matin, tout ce que tu as à me proposer c’est de la musique classique ? Râlais-je tout en nettoyant avec ferveur le plancher.
Ce dernier fumait encore je ne sais quelle substance illicite tout en écaillant un mérou. Il releva les yeux vers moi sans rien dire, une seconde passa avant qu’il ne les baisse à nouveau et retourne à sa tâche. J’aurais bien aimé pouvoir être stone en permanence, moi aussi.
La mer était calme. On avait arrêté le bateau pas très loin de la côte pour étendre nos filets et les ramasser le soir. Je pouvais voir la terre à l’horizon, toute petite. Vu d’ici, le District 4 paraissait magnifique. C’est là bas que j’avais grandi durant dix neuf ans avec ma mère ; Ismène Clemens. Mon père ? Je l’ai jamais connu. Ça n’a pas vraiment d’importance, parce qu’Ismène m’a élevé merveilleusement bien. Du moins, aussi bien qu’on peut l’être dans le District 4. On n’a jamais été hyper riche, on mangeait ce qu’on pouvait, jamais vraiment rassasié mais pas mort de faim non plus. A douze ans, j’ai commencé à l’accompagner au port, le matin pour aller ramasser des huîtres et les vendre. Je loupais l’école exprès pour pouvoir l’aider, on gagnait un peu plus d’argent comme ça. Puis après, à dix sept ans, je suis monté pour la première fois sur un bateau de pêche et la capitaine m’a engagé comme… Comme quoi ? Souffre douleur ? Femme de ménage ? Mascotte ? Peut-être un peu des trois. Parce que je suis un excellent nageur. En tout cas maintenant j’étais là, à puer le poisson h24, les vêtements pleins de merdes et d’algues. Super. Pas vraiment le top, mais je m’en contentais. C’est pas comme si je pouvais vraiment rêver mieux. Dans le District 4, quasiment tout tournait autour de la pêche alors… être matelot, c’était un peu la suite logique de toute une enfance à bouffer du poisson.
Gaby, le cuistot, arriva prêt de nous en s’étirant. Je n’osais pas lui dire qu’une fois de plus j’avais évacué en vitesse ce qu’il avait cuisiné pour nous toute la matinée même si à mon avis, en me voyant manger comme quatre à midi il avait du se douter que ça ne resterait pas bien longtemps dans mon estomac.
-On va p’t’être pas tarder à remonter tout ça, non ? Stiles, t’as fini le nettoyage ?
Je marmonnais un vague « non » pendant qu’il s’intéressait à ce que faisait l’autre drogué. Gaby et Derek était censé être mes supérieurs hiérarchiques, après Alice, la Capitaine complètement tyrannique qu’on ne voyait quasiment jamais sauf quand il s’agissait de me faire passer par-dessus bord « pour rire ». Gaby est originaire du Capitole, même si je sais pas comment il a fait pour venir jusqu’ici et pourquoi il est partit. Il n’est pas censé être là. Officiellement sur ce bateau il n’y a que Derek, Alice et moi. Gaby n’en descends que rarement, il a même un lit assez confortable dans la cale, avec toutes ses affaires qu’il a ramené de là bas. Je l’aime bien même si au début son accent assez étrange me mettait mal à l’aise. Au moins il n’a pas toutes ces manies qu’ont les gens du Capitole, ce qui n’est pas plus mal. Mais si les Pacificateurs nous surprennent en train de mentir à son sujet, on est gravement dans la mouise, alors Alice et lui essayent de trouver une solution. Enfin je crois. Derek, quant à lui… ben c’était Derek quoi. Un hippy drogué d’environ 40 ans avec un sex appeal de fou. Il ramène souvent des filles deux fois plus jeunes que lui faire des balades en mer avec nous, ce qui met Alice dans une colère noire. Et qui passe par-dessus bord ? Je vous laisse donc deviner. Heureusement qu’ils me repêchent toujours après.
Néanmoins, malgré tout ça… je crois que j’aime ça. Non, je ne suis pas maso hin, rassurez vous. Ce que j’aime quand je suis là, c’est la sensation de liberté. Partir chaque jour, quitter la vieille cabane de tôles pour s’enfuir sur l’océan. Quand j’ai de la chance, si la pêche a été bonne, je peux garder un peu de poissons pour moi. Je me demande tout le temps si un jour, j’aurais les couilles de partir pour de bon. Voler un bateau et voguer jusqu’à ce que la côte disparaisse complètement pour ne plus jamais revenir. Actuellement, je ne peux pas. Parce qu’il y a ma mère... et mes amis. Et puis il est vrai qu’on a tout juste assez de navire au port. Un chalutier est déjà en réparation après s’être frotté à une tempête, alors si jamais il en manquait un de plus…
Finalement, Derek se leva, me faisant sortir de mes pensées. Wow, bravo Gaby, tu as réussi à faire revenir sur terre le mec le plus à l’ouest de l’univers. Celui-ci s’approcha des poulies qui retenaient le filet et testa la tension. Apparemment c’était bien, parce qu’il me fit bientôt signe de laisser ma fidèle serpillère pour venir l’aider à remonter les lignes. Je fus bientôt en sueur à tirer en rythme, tout en arrachant les poissons prisonniers pour les jeter dans les bacs, encore frétillants. Tirer, arracher, tirer, arracher. N’empêche qu’à force de faire ça tous les jours, j’avais fini par avoir de jolis biceps. Derek s’arrêta soudain en jurant à voix basse alors qu’il coinçait le filet pour ne pas qu’il redescende.
-Y’à encore un idiot de dauphin coincé là.
Il me le désigna d’un doigt tendu et je sus aussitôt ce qu’il attendait de moi. Mes talents de nageur étaient souvent exploités pour ce genre de problèmes.
Je redescendis dans la cabine, apercevant rapidement la capitaine en train de dormir tranquillement dans sa chambre. Je pris mon masque et mon tuba avant de remonter en courant. Il fallait que je me dépêche avant que l’animal ne s’empêtre trop. Derek me tendit un couteau, je le pris et, me penchant une nouvelle fois par-dessus la balustrade, loin de vomir, je plongeais tête la première.
Yeurk. Personnellement, je ne connais pas de goût plus horrible que celui de l’eau de mer. Je remontais rapidement à la surface pour m’orienter et m’accrochais au filet afin de le suivre dans sa longueur sans me faire trop ballotter par le courant. J’avais oublié d’enlever mes fringues. Voyons le côté positif de la chose : ça avait au moins le mérite de me nettoyer des fientes. J’arrivais un peu prêt à hauteur de là où Derek avait vu le dauphin. Je ne le voyais pas. Surement plus profond. Après avoir pris une grande inspiration, je remis la tête sous l’eau et m’enfonçais dans l’eau froide. Je finis par tomber nez à nez avec et laissais un instant ma main trainer sur sa peau douce et grise. Je dus recommencer à plusieurs reprises pour pouvoir découper le filet dans lequel il s’était emmêlé la nageoire dorsale ainsi que le museau. Alice allait me tuer. J’allais encore passer des heures ce soir à réparer son filet. Lorsque l’animal fut libéré, il eut un peu de mal à se dégager mais je n’avais remarqué aucune blessure. Il était surement juste un peu sonné. Je remontais en vitesse, Derek me tendait déjà la perche pour que je m’y agrippe et je m’en pris un coup dans les côtes avant de réussir à l’attraper. Je le soupçonnais d’avoir fait exprès et me mordis la joue pour ne faire aucune remarque alors je m’étalais royalement sur le pont. Dégueulassant d’algues et d’eaux salée le sol que je venais de nettoyer. Misère…
Aller Stiles, tu vas retrouver ton amie la serpillère ?

Tu viens d'être validé(e), mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent.

Pour commencer, pour les vainqueurs et les membres ayant des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Si tu fais partie des potentiels tributs, va inscrire ton personnage dans les registres ici. Il faudra ensuite que tu recenses le métier de ton personnage ici. Si ton personnage est de la famille du maire de son district, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence. Il est tout à fait possible que ton bonhomme soit un rebelle. Nous avons mis en place un registre avec leur hiérarchie. Tu le trouvera ici.
Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici.
N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici.
Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay