Swann Frances Selwin

❝ A DROP IN THE OCEAN ❞

reality is here.

about games and relative.

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

Comme quand ses dents croquaient dans un fruit trop acide. Mais tout aussi bien étrange et inaccessible. Cette idée, elle ne parvient pas à s’y faire. Comme si tout cela, toute cette vie pouvait prendre fin du jour au lendemain sans prévenir, cette chienne de vie qui l’oblige à voir tout cela, tout ce massacre écœurant. Cette idée même, lui donne envie de vomir. Non, elle veut mourir sans le savoir, s’endormir et ne jamais se réveiller. Mais au fond d'elle, elle s'imagine surtout trouées par les armes des Pacificateurs pour osée sa futur rébellion.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Lui. Sa moitié, l’autre bout qui débarqua sur cette chienne de terre en même temps qu’elle. Son frère jumeau. Inutile de poser une patte sur lui, elle vous en collerait une, et une belle droite, pas un coup de griffe. Ces deux-là sont à part, dans leur bulle et inséparables. Liés. Quant à leurs grands-parents, Frances a quelques difficultés avec eux, mais les deux maires su District 10 ont tout de même une certaine importance à ses yeux. Ah, il y a une dernière chose. Sa liberté, la cause noble qu’elle se garde bien de crier sur tous les toits. Elle sait que cette vie-là n’est pas pour elle, que la pauvreté qui ronge tout un District, qui ne la touche même pas, n’est pas supportable.

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

Agilité aiguisées. Son agilité est surprenante, sous ce bout de fil décharnée et tatouée, se cache tout de même une dose de musculature fine. Sa force n’étant pas colossale, elle peut tout de même vous en mettre une bonne. Sa force réside donc sa rapidité de mouvements. Rattraper le poing de son adversaire étant superflue est stupide, elle se contera d’esquiver et de longer le dit bras pour un bon vieux coup de tète. Ou de lui tordre le poignet. Par exemple. Généralement, ses coups fatals et fourbes surprennent ses adversaires. Ce qui fout un peu la trouille et fait fuir tous les hommes qui la convoitaient au début. Et à part son agilité, Frances a une passion morbide pour les lames. Les heures d’entrainement qu’elle a passé peuvent en témoigner, que les épées soient courtes ou longues, elles n’ont plus de secret pour elle. Ainsi, elle sait combiner les deux arts.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Son arrière-grand père. Ayant mis sa petit amie enceinte alors qu’elle avait atteint sa dix-huitième année, Edgard n’avait pas réalisé le poids de son acte. Malheureusement pour lui, la dernière année fut la plus fatal. Il fut tiré au jeu, laissant Chelsea seule, telle le pauvre bout de femme en cloque qu’elle était. Etant la fille du Maire, tout cela avait été mis sous clef, en plus de cette honteuse histoire avec un simple habitant qui récoltait du bétail. La jeune femme fut enfermée pendant les neufs mois à venir, sous les prétextes bidons de ses parents. Une maladie contagieuse, qu’ils avaient dit au Capitole. Et cette plaie porta le nom de Swann. Morte plus tard en donnant naissance à Frances qui porte aujourd’hui le prénom de sa mère et le second prénom de sa grand-mère. Swann Frances Selwin.

➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ?

Ca la fait gerber. Rien que l’idée de voir tout ce massacre. Elle est totalement contre, mais observe néanmoins les jeux comme tout le monde. En faisant mine d’être totalement indifférente.

➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?

[Cet appel l’a rendue dingue, le jour-même Frances avait fait ses bagages. Seul son frère a su la retenir. En lui suppliant de continuer à garder sa couverture. Elle se devait de rester cette jeune femme implacable et indifférente au reste du monde, du moins le temps qu’ils ‘ trouvent un plan’. En vérité, il a la trouille. Pour lui tout est une folie pure, et s’aventurer à une rébellion est perdu d’avance. Mais Frances, qui a tout d’abord cédée à ce caprice, ne va pas se laisser faire. Non, elle convaincra sa moitié de la suivre. Et s’il le faut, alors elle partirait sans lui, le laissant en lieu sûr.

JE VIENS D'UN MILIEU FAVORISE, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE EST ABONDANTE. DU COUP, MON NOM A ZERO CHANCE D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE SIMPLE PETITE-FILLE DU MAIRE ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'AI HORREUR DE CA. JE SUIS DANS LE 10ÈME DISTRICT. AYANT BIENTOT 18 ANS JE PEUX PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET JE ME SUIS DÉJÀ ENTRAINÉE. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

tell us your story.

" Et dans mes faibles rêveries, j'imagine ce monde acidulé en un univers décoloré de toutes vos insanités. " S.F.S

Chelsea était en son temps une jeune femme rêveuse est un peu tête en l’air. A des milliers d’années lunaires de moi-même, son arrière-petite-fille. Mon arrière-grand-mère avait donnée naissance à ma mère, Swann, trop jeune. Quand la nouvelle Selwin entrait à son tour dans ce monde par une mère trop jeune, elle était déjà considérée comme une bâtarde, mes arrière-grands-parents furent emplis de honte. Pourquoi ? Parce qu’enfanter à 18 ans, sans être mariée était tout d’abord une négligence infâme. Et que s’accoupler avec un simple citoyen qui se chargeait du bétail était encore moins pardonnable. Nous, les Selwin, sang du Capitole. Si parfait … A vomir. Mon Grand-père m’a raconté tout cela dans l’intimité, alors qu’il m’expliquait de quelle façon ma pauvre mère était morte. En nous jetant de ses cuisses comme une offrande au monde, Boyd et moi. J’ai jamais aimé cette histoire, elle est triste à mourir. Comme cette vie. Banale. On se contente simplement de vivre, de manger, de se distraire. Personnellement, je le fais bien souvent en fouillant le grenier de mon grand-père, en osant des questions et en m’entrainant avec mes lames. Vous n’avez pas l’impression que toute votre vie est une immense connerie gerbée par le Belzebuth lui-même ? Que ses Hunger Games à lui, c’est le show débile qu’on lui offre à longueur de temps ? Y a un sens ? Une véritable destinée, une logique même à tout ce qui peut arriver ? J’peux vous dire avec certitude que la mienne n’a rien de bien net. Ma vie, tourne autour d’un District parmi tant d’autre, et c’est à rien n’y comprendre. Je le sais, qu’il fut un temps où la terre était peuplée abondamment et où les continent s’étendaient à perte de vu. Mais tout ça, je le sais des livres. Les bouquins que mon grand-père laisse trainer dans le grenier de la maison. Cette somptueuse et immense baraque immaculée. La seule et l’unique si on ne compte pas le village des vainqueurs presque vide et inhabité. Et quand j’demande des explications, on me bave que je devrais me contenter de visionner sagement la télé ou faire une marche à pied. Pourquoi, regardez des mendiants pleurer ou hurler rien qu’à ma vue ? Ou pire, m’implorer de leur céder un morceau de pain en douce. Je ne m’en mêle pas, je m’en suis jamais mêlée. Du moins ça, c’est officieux. Ce n’était pas comme ce jour où j’ai innocemment signalée une fausse indication à un pacificateur qui s’apprêtait à frapper une gosse. Je l’oublierai pas le regard de la petite, ses iris miroitantes qui me fixaient, plein de questionnement. L’air de me demander pourquoi j’avais fait un truc pareil. Vous savez ce que j’ai fait ? Je l’ai maté de haut et comme une merde. Comme si cette pauvre enfant n’était rien, absolument rien. Au fond de moi ça hurlait, derrière mon masque de la parfaite et ingrate petite salope, je mourrai d’envie de la prendre dans mes bras, de la ramener chez moi et de m’en occuper comme d’une petite poupée délicate. Au lieu de ça, j’ai tourné les talons … Ou dirai-je plutôt mes bottines impeccables et à peine souillées par la terre retournait par nos machines. J’ai était vomis dans cet univers qu’on croit parfait, où je passe mon temps à suivre les indications de mes grands-parents. Boyd n’arrête pas de me dire de me calmer, que c’est suicidaire. Je me souviens encore du jour où il m’a retenue à temps de frapper un pacificateur. Et je peux vous assurer qu’il s’en serait souvenu. Le problème, c’est que moi aussi et, ma famille avec.

« -PUTAIN MAIS T’ES DINGUE ! Qu’il avait hurlé comme un fou. Tu veux nous faire cramer ? Fran’, regardes moi ! J’vais pas te perdre ici, tu m’entends ? On va trouver ... J'sais pas, un plan. Mais les tiens toi tranquille et contentes-toi de continuer à jouer le jeu. »

Je me suis contentée de le dévisager comme un étranger ce jour-là, je lui en voulais. Parce que j’étais bien décidée à me tirer, à changer mon histoire insignifiante et à rejoindre Coin. Je le fairai, avec ou sans toi Boyd.

Tu viens d'être validé(e), mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent.

Pour commencer, pour les vainqueurs et les membres ayant des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Si tu fais partie des potentiels tributs, va inscrire ton personnage dans les registres ici. Il faudra ensuite que tu recenses le métier de ton personnage ici. Si ton personnage est de la famille du maire de son district, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence. Il est tout à fait possible que ton bonhomme soit un rebelle. Nous avons mis en place un registre avec leur hiérarchie. Tu le trouvera ici.
Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici.
N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici.
Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay