Athéna Silas-Capricione Maurer

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

(merci de répondre aux questions en suivant les indications de lignes. certaines questions sont seulement pour certains personnages, merci de supprimer celle(s) qui ne correspondraient pas au vôtre.)

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

Je l'ai longtemps espérer. Pleurant à chaude larmes dans mon lit, ma boîte à musique ouverte. La petite fée à l'intérieur tournoyant sur elle même, devant un petit miroir. J'aurais voulu mourir, comme on laisse s'envoler une feuille d'un arbre quand vient l'automne. Sans bruit, sans que personne ne le remarque. J'aurais voulu m'en aller, retourner dans les bras de mon frère, mort tous bêtement. Cet idiot c'est énuquer en descendant des escaliers. Ma mort, je la veux douce. Je la vois pas, je l'attend.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Aujourd'hui, je ne pourrais mourir que pour peu de monde, ma mère peut être. J'aurais pu mourir pour mon frère, mais cet abrutis ma devancé. Alors aujourd'hui, si mon me pause la question ce sera pour personne. Je suis seule après tous. Alors pourquoi me poser mille question stupide, quand la réponse est évidente : Pour qui je pourrais mourir ? Personne. Maintenant, pour quoi je pourrais mourir, c'est une autre question. Pour le renversement de Panem, pour la fin des jeux ? Pour arrêter le massacre ?

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

agilité ➺ En plus de courir, je saute, je grimpe. Je suis un petit ninja en action. discrétion ➺ À force de courir, d'abord on cours dans un nuage de bruit. Mais en suite, ça s'arrête et plus personne ne remarque ton passage. rapidité ➺ Quoi de plus logique, j'ai travaillé mon endurance toute ma vie, je dois savoir courir, être rapide. persuasion ➺ Je vous l'ai pas dit ? Je suis une vrai petite menteuse. J'adore faire tourner les têtes, et leur planter un couteau dans le dos en suite. maniement de l'épée ➺ Avec mon frère, on jouait toujours au chevalier, même si j'étais une fille, il voulait que je fasse la princesse à sauver, mais moi je voulais être la méchante.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Y'a eu ma voisine, et puis la meilleure amie de x. X. C'est le prénom que je donne au personne que j'ai déjà fait tourné en bourrique. Peut être qu'un jour, toi tu seras un X. Non, je n'ai pas eu de proche directement qui sont morts. Et encore moins qui ont gagné, le pire c'est que je m'en fiche complétement de leur sort. Sauf peut être pour mon futur petit ami, lui ça m'importera, mes meilleures amies, enfin toute ces personnes là quoi. Je pourrais peut être me porter volontaire pour sauver ces personnes. Où peut être pas. Il y à bien Sagitta, cette fille que je ne peux pas voir, mais bon je ne peux pas la qualifier de proche.

➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?

(en gros, êtes-vous pour une rébellion ou contre.) Vous voulez vraiment savoir ce que j'en pense !? Bh il était temps que les gens ce révolte ! Ce pays est partis à la castagnette quand le Capitol c'est proclamé grand chef. Alors si la révolte viens jusqu'à chez moi, je vais pas me battre pour que ça s'arrête, au contraire. ça répond à la question ? Oui, je ferais une rébellion, et oui je suis pour. Si vous voulez perdre votre humanité, continuer d'envoyé des jeunes ce faire déchiqueter dans une arène où tous par à volo, et où pitié ne signifie plus rien. Continuer de procrée des petits soldats, dîtes carrières. Pathétique, nous sommes pathétiques.

➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ?

minimum cinq lignes. (résidents du district 13, sachez qu'ils n'ont connu que ça dans leur vie. sauf pour les rebelles qui auraient quitté pour une raison ou une autre leur district d'origine.)


(les résidents du capitole n'ont pas à remplir le paragraphe ci-dessous, merci de le supprimer dans ce cas!) (remplissez le paragraphe en choisissant le champ qui correspond à votre personnage. il vous est bien sûr possible de changer le texte pour que cela colle mieux, mais garder la trame de départ tout de même. message à supprimer quand la fiche est postée.)

JE VIENS D'UN MILIEU favorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la légende. DU COUP, MON NOM A 8 CHANCES/RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE boulangère ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime. JE SUIS DANS LE 4ÈME DISTRICT. AYANT 17 ans JE peux PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET je me suis déjà entraîné. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

tell us your story.

Je m’étais levée ce matin-là, totalement en furie. Je détestais l’endroit où j’étais, je me sentais oppressé, je n’étais pas libre. Oui, d’accord j’avais appris à me battre, de plus que développer mon cerveau, mais quand même… Je fixais le plafond de ma chambre. On murmurait à côté de moi. Bien entendu c’était des choses cruelles qu’on disait à mon sujet… Mais je mettais habituer à tout ça. Je vivais avec le fait que les gens me détestaient. Il avait bien raison de me détester, je n’ai jamais eu de cœur et je n’en aurai jamais. Mais je vis bien avec ça… J’étais étendue sur mon lit, je rêvais d’un monde meilleur… J’étais loin d’imaginez que ce sera ce jour précis que mon rêve le plus fou se réaliserait… Mais pourtant ce fut le cas.

J’entendis une autre fille qui vivait dans la même chambre que moi chuchotée « Elle est folle et brute, elle n’a aucune affaire ici. » J’étais en colère. Je soupirai et je levai en un bond. Je l’ai regardai avec mon regard habituel qui disait tout et je pris sa commode et la balançai par terre en criant de rage. Elle me regardait, paniquée. Je partis de ma chambre et me rendis à la cafétéria.

Dans l’orphelinat, je déteste tous les endroits, mais par-dessus tout, la cafétéria. Il y a toujours trop de monde là-bas. De plus, je dois m’asseoir avec des gens que je n’aime pas, et qui me regardent toujours étrangement. En plus, la nourriture est infecte. Je faisais la file à ce moment-là. Je regardais ce qu’il y avait. Des crêpes, dégoutant. La dame me faisait un sourire amical, je lui dis bêtement « Non, mais t’arrêtes-tu de sourire bêtement comme ça, c’est saoulant à la fin. » Elle me regardait, exaspérer. « On surveille son langage, mademoiselle. » Je lui jetai un regard provocateur, un signe de défi. On ne me dirait plus jamais quoi faire. J’étais libre, J’étais moi, je faisais tout ce qui me plaisait. C’est alors que la rage me prit tout d’un coup de moi. Comme si mon visage la mettait mal alaise, elle me laissa passer sans dire un mot de plus. C’est alors qu’on m’appela à l’entré de l’orphelinat. Je me demandais bien ce que j’avais encore fait de pas correcte. Je m’étais plusieurs fois rendu là-bas pour entendre deux millions d’insulte à mon sujet. J’en avais bien assez.

J’entrai dans le bureau du dirigeant de l’établissement, étrangement, je ne le vis pas. À la place ce tenait une dame qui me ressemblait drôlement. Elle me souriait. Elle me bouleversait. Elle me dit soudainement : « Athéna Silas-Capricione Maurer, tu es si belle, tu ressembles tellement à ton père… » Comment savait-elle tous mes noms ? Personne ne les savait. « Puis-je savoir qui vous êtes. En passant mon nom est Silas. » « L’abréviation de ton nom… J’aurais dû le savoir… Je suis Anita, ta mère. » Non, ce n’était pas possible. Ma mère m’avait abandonné, pourquoi serait-elle là ? « Je viens te reprendre sous mon aile. Avec ton père nous avons longtemps réfléchis et nous croyons pouvoir vivre avec le fait que nous aillons deux filles... » « Mais, mais… » « Chut, ne dit rien, suis moi. J’ai tout arrangé et le propriétaire est d’accord. »

Après avoir fait deux heures de marche, je suis enfin devant mon nouveau chez moi. J’aime bien cet endroit, je me sens enfin chez moi. Avant de me laisser seule, elle me dit gentiment. « Une dernière chose, Sil'. Tu as une sœur. Elle se nomme Athèsia, mais appelle-là Athès. Elle t’attend dans ta nouvelle maison. Je te laisse y aller seule. Une dernière chose… Je t’aime… » C’était la première fois que quelqu’un me disait ses mots… C’était tellement contente… J’ouvris la porte pour voir ma sœur. Et ça fait aujourd'hui 2 ans, que je suis dans le district 4.