Cela fait maintenant un an que mes parents se sont éteint et ce n'était pas le hasard lorsque j'ai reçu une lettre de ma famille qui avait décidé de coupé les ponts avec nous. Je n'avais pas touché à la première lettre qu'ils m'ont envoyé parce que j'étais furieuse. Je cache toujours ma colère et parfois, je ne comprends pas ce que je ressent parce que ce n'est pas une habitude. Les enveloppes démontrait l'emblème du district douze. Voilà où est-ce qu'ils se cache. Mon frère avait reçu une lettre lui aussi et il ne fallait pas oublier qu'un de nos oncles est dirigeant du bureau de poste du district.

« Est-ce qu'on peut y aller Héra ? »

Mon frère insistait depuis le tout début et la dernière fois, je lui avait fait de la peine. Je ne voulait pas le voir remplis de peine. J'ai dit oui pour lui faire plaisir et j'ai donc fermé le magasin pour quelques jours ou peut être quelques semaines, car non seulement l'économie ne va pas bien et surtout que je n'est pas encore reçu ma commende que j'avais fais pour la cuisine. Je mis plusieurs desserts dans une grande boîte en carton blanc et l'attacha avec une corde pour que la boîte soit bien fermé. Je remplis une deuxième petite boîte, car s'était dans leurs demande d'avoir des desserts. Je trouva le sac de voyage de ma mère et je le remplis de vêtements, de chaussures et de médicaments que le meilleur ami à mon frère lui a donner grâce à sa mère. Le train nous attendais à la gare et cela nous a coûté une longue marche. Je n'étais pas fatigué, mais mon frère a dormi tout le long du voyage avec sa tête déposé sur mes cuisses. Il a toujours eu cette habitude, mais il est difficile à réveillé. Le train s'arrêta en douceur. Rien n'a réussit pour le réveiller.

« Nous sommes arrivé Hermès. »

Une seule phrase et s'était celle-ci. D'un seul bon, il se leva et ne tenait plus en place. Les gens était au courent de notre visite. Les habitants du district ignoraient toutes pourquoi de notre visite et c'est parfait comme ça. Mon frère avait pris un chemin complètement différent du miens. J'ignorais complètement l'emplacement de leurs demeures. Je marchais toujours et j’aperçus une jeune fille qui démontrait de la peur dans son visage.

« N'est pas peur de moi ma chérie. Je ne te ferrai aucun mal. »

Je lui donna un sourire pour la soulagé. Elle semblait avoir le même âge qu'Hermès et son apparence était celle d'un ange. J'entendis son ventre grogner. À son âge, elle ne devrait pas avoir le ventre vide. Je remonta un peu ma robe, déposa un genou par terre et j'ouvris la plus petite boîte et je lui tendit un muffin aux bluets.

« Prend le. Je te le donne. À ton âge, tu ne devrais pas avoir le ventre vide. »