Joey-Noa Lovely Mercer

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

(merci de répondre aux questions en suivant les indications de lignes. certaines questions sont seulement pour certains personnages, merci de supprimer celle(s) qui ne correspondraient pas au vôtre.)

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

Allez savoir pourquoi, j'ai toujours espérer mourir d'un accident quelconque. Ménager, de la route, je sais pas, moi. Mourir dans mon quotidien, en tout cas. Je n'aimerais pas rendre l'âme en compagnie de mes proches, je ne veux pas qu'ils souffrent comme j'ai souffert pour ma mère. Ou alors, si je n'ai pas la chance de mourir dans ces circonstances, j'aimerais bien me sacrifier. Faire un dernier geste, mourir pour sauver Panem ou quelque chose comme ça. Je sais, c'est pas demain la veille.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Comme je l'ai déjà dit, je pourrais mourir en faisant en dernier geste qui pourrait sauver des vies. Mais sinon, je ne pourrais pas mourir pour n'importe quoi. Ni me suicider. Je pourrais peut être mourir par amour. Et encore une fois, c'est pas près d'arriver puisque l'amour et moi... Donc, non, c'est impossible, restons dans l'imaginable. Alors, je pourrais décéder pour une grande cause, si jamais l'avenir de plus d'un milliers de personnes est en jeu, à la limite, je pourrais y réfléchir. Et puis, ainsi, je deviendrais une grande héroïne connue de tous...

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

référez-vous à ce sujet.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Heureusement pour moi, je ne connais personne qui ait participer aux Hunger Games, personne de mon entourage n'a jamais été tiré au hasard le jour de la Moisson. A croire que nous sommes protégés par un sort. J'espère, pendant les dernières années qui me restent, ne pas être choisie. Sinon, je connaissais de vue seulement les tributs des années précédentes.

➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?

(en gros, êtes-vous pour une rébellion ou contre.) minimum cinq lignes. (résidents du capitole & des districts sauf 13)


JE VIENS D'UN MILIEU très aisé, riche., AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est abondante. DU COUP, MON NOM A cinq chances d'être choisie (les 5 inscriptions obligatoires) . J'EXERCE LE MÉTIER DE glandeuse professionnelle ou artiste de pacotille, à mes heures perdues ET POUR TOUT VOUS DIRE, j'aime ce que je fais car je ne fais rien de mes journées et je me la coule douce.. JE SUIS DANS LE sixÈME DISTRICT. AYANT 16 ans JE peux PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende, même si j'aime beaucoup l'euphorie qui règne avant la moisson. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

tell us your story.

Je regardais avec compassion la presque totalité de mes proches, rassemblés en ce jour de deuil. J'avais vêtue une robe noire, créée spécialement pour moi par l'un des meilleurs stylistes que papa pouvait s'offrir. Ils pleuraient. Ils pleuraient et je ne comprenais pas un mot de ce qu'il se passait. Je restais, quasiment impassible, devant la scène, ne comprenant pas le drame que nous vivions. Je n'avais pas versé une larme. Ils me faisaient parvenir leurs condoléances alors que nous étions le jour de mes dix ans. Ne devrait-on pas plutôt souhaiter un joyeux anniversaire, dans ces circonstances ? Mais la fête que papa avait organisée n'avait rien de joyeuse. Les invités étaient tristes, le mascara des riches femmes avaient coulé et elles ressemblaient plutôt à des ratons-laveurs qu'à autre chose. Les hommes portaient des costards, leurs chemises étaient froissées, comme s'ils avaient passés la nuit dans un champ. Les gens me disaient qu'il fallait que je sois forte, qu'elle me regarderait de la haut et qu'elle me porterait à jamais dans son cœur. Pourquoi ? Je n'en savais rien. « Elle est morte et c’est tout ce que ça te fait?! » s'emporta mon père. De quoi parlait-il ? Je lui adressais un regard interrogateur. Devant la porte, j'attendais que ma mère revienne du travail, comme tout les soirs. Cela faisait plus de vingt quatre heures qu'elle aurait dû être à la maison, en train de préparer le dîner. Dans un élan d'espoir, la battant de la porte vint se claquer violemment contre le mur. « Joe' ! » fit-une voix enfantine familière. La jeune blonde courra dans mes bras. Je m’emplis de son parfum, elle sentait la sueur, elle ne devait pas s'être lavée depuis quelques jours Mon père était contre le fait que je la fréquente. Il disait que nous n'étions pas de la même classe sociale, mais je m'en fichais. Ma mère, elle, disait qu'il fallait être charitable avec les plus pauvres, que le District Six mélangeait à nous. « Taiss' ! Qu'est ce que tu fais là? Je lui pris la main et gravis les escaliers de ma maison jusqu'au dernier étage, ou se trouvait ma chambre. « Comme tout les samedis, tu sais ! Et puis c'est ton anniversaire !  » fit-elle en agitant les mains, pour me faire retrouver la mémoire. Effectivement, nous passions tout nos samedis après midi en compagnie l'une de l'autre, mais elle me rejoignait rarement chez moi. Généralement, nous traînions dans le District. Parfois, lorsqu'elle venait ici, nous jouions à la poupée et je n'avais pas l'impression qu'elle avait l'habitude de faire pareil chez elle aussi. J'entendais mon père, rageur, me dire de descendre. Je haussais les épaules en direction de ma meilleure amie. Je fis signe à Taissa de rester ici le temps de voir ce qu'il voulait. J'en avais oublié la fête pas festive de mon père. « Oui, papa ?  » Je penchais la tête sur le côté et redescendis les marches avec hâte. Quelques invités tournèrent la tête vers moi mais ils replongèrent bien vite dans leurs mouchoirs. « Dis à ton amie de partir immédiatement! » s'écria t-il en colère. Il devint rouge pivoine. Encore une fois, je ne comprenais pas du tout ce qui le mettait dans cet état. « P... Pourq... » D'un geste brusque de la main, il me coupa. « Tu lui dis de partir ou c'est moi qui le fait, point barre. » Lentement, je remontais dans ma chambre et dis à mon amie qu'elle devait s'en aller. Elle ne comprit pas pourquoi. Moi non plus. « Tiens. » Elle me tendit un bout de toile dans lequel elle avait emballé quelque chose. « Tu l'ouvriras plus tard. Joyeux anniversaire. » Je lui offrais mon plus beau sourire. Elle était vraiment la meilleure. Et même si je ne la connaissais que depuis une année seulement, je savais qu'il n'y en avait pas deux comme elle.